lundi 31 décembre 2012

Polémique à Surgères (17) : fallait-il interdire la crèche vivante ?

La décision du maire de Surgères de supprimer la crèche surprend et la position des libres penseurs est critiquée

À Châtelaillon, la crèche vivante a lieu sur le domaine municipal et le maire, Jean-Louis Léonard, assume. (photo archives Pascal Couillaud)

«Je suis tombé sur le dos quand j'ai lu ça ! » En vacances dans le Jura, le maire de Châtelaillon, Jean-Louis Léonard, a été surpris, hier, de découvrir dans « Sud Ouest » la décision de son homologue surgérien, Philippe Guilloteau .
Ce dernier a en effet décidé, samedi dernier, d'annuler la crèche vivante dans sa commune, à la suite d'un courrier des libres penseurs de Charente-Maritime. Ces militants l'interpellaient sur l'organisation « d'un symbole catholique » dans un lieu communal : les halles de la ville.
Or, à Châtelaillon, cela fait six ans que le maire et le curé annoncent en même temps la crèche vivante, devenue un vrai événement dans cette commune, située au sud de La Rochelle. « Près de 500 personnes chaque soir et, plus encore, le dernier soir cette année », confirme le directeur de la station balnéaire, Jean-Christophe Mercorelli.

« Le curé ne bénit personne »

« Je vous assure que l'on n'a pas 500 personnes qui viennent prier et que le curé ne bénit personne », préfère en sourire Jean-Louis Léonard, assumant son choix. Il reconnaît avoir eu des courriers l'interpellant sur ce mélange des genres. « Je les ai envoyés paître », assure l'ancien député.
Un choix que n'a pas fait son collègue de Surgères « pour éviter la polémique », nous indiquait-il, avant-hier soir, et obtenant semblait-il le résultat inverse. Sur le site Internet, sudouest.fr, ce sujet était parmi les plus lus, et même le plus débattu, hier, par les internautes. Plus de 230 commentaires - très divisés - étaient même postés, la plupart était critique vis-à-vis de la Libre pensée, jugée trop « rigide ».
Pas de quoi rassurer le curé de Surgères, à l'origine de cette idée, qui appelait au calme. « Je respecte cette association des libres penseurs mais je regrette cette issue, observe-t-il simplement. Car cela provoque les extrêmes. »

« Impliquer les enfants »

La crèche vivante était « une proposition du conseil pastoral, visant à impliquer les enfants dans l'organisation de cette crèche », regrette le père Mickaël, arrivé à Surgères il y a trois ans. Près de 120 enfants, qui s'étaient retrouvés, vendredi soir, pour répéter, avaient été réunis par le catéchisme et l'aumônerie. « C'est d'abord dommage pour eux », raconte le prêtre, désireux, comme le maire, de ne pas polémiquer. Et l'homme d'Eglise de préférer se consoler avec le repas servi le lendemain aux plus pauvres et aux personnes isolées. « Une organisation œcuménique, un vrai Noël, assure le curé. Quand on organise ce genre de manifestation, on n'est pas là pour convertir le public. »

Sud-Ouest via Gaelle Mann
(merci Xavier)

Terre et Peuple n°54




jeudi 27 décembre 2012

Hollande salue l’Aïd-el-Fitr et oublie… Noël !



"Dans la chaleur estivale du mois d’août, notre Président normal prit la peine d’abandonner un instant sa Valérie en bikini sur la plage de Brégançon pour aller poster sur le site de l’Élysée un message à l’attention des musulmans de France.
Saluant la fin du mois de Ramadan, il leur disait :
"A l’occasion de l’Aïd-el-Fitr, j’adresse tous mes vœux de bonheur, de santé et de réussite aux musulmans de France.
Je souhaite que cette fête du pardon, du partage et du souci de l’autre, contribue à la concorde, dont notre Nation a tant besoin.
Je tiens à réaffirmer mon attachement à l’égalité républicaine, qui protège tous ses citoyens et résidents, sans discrimination. La laïcité, qui assure la liberté de conscience comme elle garantit la liberté religieuse, demeurera indéfectiblement la règle de notre République
."
Sans doute distrait par une nuit de réveillon laïc et républicain chez sa nouvelle belle-mère, à Angers, François Hollande n’a pas songé à adresser ses vœux de Joyeux Noël aux chrétiens de France.
Derrière l’attitude volontairement grossière et ouvertement discriminatoire, pour le coup, on rappellera à François Hollande qu’il n’a pas seulement un physique à porter la bure pour vendre du fromage ou de la bière à la télé, mais bien des titres qui, attachés à sa fonction de président de la République, marquent les liens historiquement indéfectibles qui unissent la France et l’Église.
En effet, et l’on ne sache pas qu’il y ait renoncé, François Hollande est aujourd’hui :
– premier et unique chanoine honoraire de l’archibasilique majeure de Saint-Jean-de-Latran, à Rome
– chanoine de l’abbaye de Beauchêne, à Cerizay (Deux-Sèvres)
– proto-chanoine de la cathédrale d’Embrun (Hautes-Alpes)
– proto-chanoine de la basilique Notre-Dame de Cléry (Loiret).
– et enfin chanoine honoraire de la cathédrale de Saint-Jean-de-Maurienne, de Saint-Hilaire de Poitiers, Saint-Julien du Mans, Saint-Martin de Tours, Saint-Maurice d’Angers, Saint-Jean de Lyon, Saint-Étienne de Châlons et Saint-Germain-des-Prés, à Paris.
A ce jour, il n’est ni mufti honoraire de la Grande mosquée de Paris, ni rabbin de cérémonie à la Grande synagogue. Peut-être le regrette-t-il mais c’est ainsi, même s’il se fend d’un message officiel pour saluer la fin du Ramadan ou s’il coiffe la kippa une fois par an pour se rendre avec tout son gouvernement au déjeuner du CRIF.
La France a une histoire dont tout président de la République est l’héritier, même socialiste et bouffeur de curés.
François Hollande s’honorerait en ne l’oubliant pas."
(Marie Delarue, le 26 décembre 2012)

source 

Maison de l'Histoire de France : c'est fini ...


Nous savons tous que les socialistes n’aiment pas l’Histoire de France tant qu’ils ne l’ont pas réécrite eux-mêmes. D’ailleurs, si cela ne tenait qu’à eux, il n’y aurait même plus de France du tout. Juste un petit village avec des "bobos" citoyens du monde. Le pied quoâ !...

Ainsi, l'établissement public de la « Maison de l'Histoire de France », projet de l'ancien président Nicolas Sarkozy, sera officiellement dissous au 31 décembre 2012 par décret paru le mercredi 26 décembre dans le journal officiel.

Établissement public depuis le 1er janvier 2012, cette « Maison de l'histoire de France » prévoyait notamment la création d'une « Galerie des Temps ».
L'ex-chef d'État avait choisi en septembre 2010 de l'installer sur le site parisien des Archives nationales. Une ouverture au public était prévue en 2015. Fin août, la ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti, avait annoncé l'abandon du projet, « coûteux » selon elle, de 80 millions d'euros dont 7 millions déjà dépensés pour l'avant-projet, et « daté », devant être remplacé par une mise en réseaux des différents musées d'Histoire à travers un site internet. Philippetti à la Culture… l’Histoire méritait mieux !

Source

mercredi 26 décembre 2012

Génocide contre les peuples d'Europe

L'article 2 de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide
de l'ONU affirme :

« dans la présente Convention, le génocide s'entend de l'un quelconque des actes ci-après commis, dans l'intention de détruire, en tout ou en partie un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel :

a) Meurtre de membres du groupe.
b) Atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale de membre du groupe.
c) Soumissions intentionnelles du groupe à des conditions d'existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle.
d) Mesures visant à entraver les naissances au sein d'un groupe. »

J'ACCUSE donc tous les dirigeants de mon pays de crime de génocide et de non assistance à peuple en danger.

J'ACCUSE nos dirigeants de masquer le déficit de la natalité de notre espèce en interdisant les statistiques qui prouvent que de l'Oural à Gibraltar le taux de fécondité chez les européennes de souche n'est que de 1,3, alors que le taux minimum pour assurer la reproduction d'une espèce est de 2,1 (3,3 chez les non européens).

J'ACCUSE nos dirigeants de promouvoir la dissolution de la famille (première cause de notre dénatalité) en remplaçant l'autorité parentale et professorale par un 'doltoïsme' aussi stupide que malfaisant.

J'ACCUSE nos dirigeants de laisser nos enfants sans défense devant les drogues, la
violence, la pornographie, la partialité des programmes scolaires, le prosélytisme homosexuel (gay pride, gender théorie).

J'ACCUSE nos dirigeants de complicité de viol, torture et assassinat pour avoir supprimé la peine capitale. La nature produit des monstres, du trèfle à 4 feuilles, au mouton à 5 pattes. Des responsables dignes de ce nom doivent permettre aux Beethoven de se révéler et d'éliminer les Guy Georges. Ceux qui vendent du sang contaminé, de l'amiante et autres produits assassins doivent avoir le courage d'éliminer physiquement les monstres récidivistes.

Ceux qui sont contre la peine de mort sont aussi pour l'avortement ; ils tuent des innocents mais se refont une virginité en sauvant les coupables.

Faites circuler ce manifeste, adressez-le par mail ET courrier à toutes les personnalités dont vous pourrez trouver l'adresse (politiques, décideurs, sportifs, acteurs, etc.).
Ainsi, politiques et intellectuels ne pourront plus prétendre « je ne savais pas » ; ils devront prendre leurs responsabilités ou ils seront mis en accusation et jugés !

samedi 22 décembre 2012

Que François Hollande demande pardon pour le génocide vendéen


Interrogé par l’hebdomadaire Minute de ce mercredi sur la sortie de son nouveau livre, Le Roman de Charette, Philippe de Villiers explique attendre « que le chef de l’État – celui-là ou un autre – vienne demander pardon au nom de la République » pour le génocide vendéen. En effet, rappelle-t-il, les trois conditions : « un plan d’extermination, contre un groupe ethnique et religieux, par des moyens de masse », sont réunies pour qualifier de génocide les massacres de grande échelle organisés en Vendée. Philippe de Villiers cite l’exemple d’Alain Decaux qui, « en tant qu’historien républicain », a déclaré « aux Lucs-sur-Boulogne, le 25 septembre 1993″ : « Au nom de tous les historiens républicains, je demande pardon pour ce qui a été écrit sur la Vendée. »
Une déclaration reprise par Le Lab d’Europe 1 qui, après qualifié Minute d’« hebdomadaire d’extrême-droite », tente de désorienter les internautes en affirmant que la thèse du génocide vendéen « a été rejetée par une grande partie du monde universitaire » sans préciser que des historiens de renom comme Reynald Secher, Stéphane Courtois (co-auteur du Livre noir du communisme) ou encore François Furet la défendent. Autant de noms prestigieux cités dans l’entretien par Philippe de Villiers lui-même, que se garde bien de publier Le Lab. Il ne faudrait quand même pas éveiller la curiosité des internautes sur un des épisodes les plus sombres de l’histoire de la République…

(Eric Martin)

Source

vendredi 21 décembre 2012

La Flamme

"Ce feu résume une vivante tradition. Non pas une image inconsistante mais une réalité. Une réalité aussi tangible que la dureté de cette pierre ou ce souffle de vent.Le symbole du solstice est que la vie ne peut pas mourir. Nos ancêtres croyaient que le soleil n’abandonne pas les hommes et qu’il revient chaque année au rendez-vous du printemps.
Nous croyons avec eux que la vie ne meurt pas et que, par delà la mort des individus, la vie collective continue.
Qu’importe ce que sera demain. C’est en nous dressant aujourd’hui, en affirmant que nous voulons rester ce que nous sommes, que demain pourra venir.
Nous portons en nous la flamme. La flamme pure de ce feu de foi. Non pas un feu de souvenir. Non pas un feu de piété filiale. Mais un feu de joie et de gravité qu’il convient d’allumer sur notre terre. Là nous voulons vivre et remplir notre devoir d’hommes sans renier aucune des particularités de notre sang, notre histoire, notre foi entremêlés dans nos souvenirs et dans nos veines…
Ce n’est pas la résurrection d’un rite aboli. C’est la continuation d’une grande tradition. D’une tradition qui plonge ses racines au plus profond des âges et ne veut pas disparaitre. Une tradition dont chaque modification ne doit que renforcer le sens symbolique. Une tradition qui peu à peu revit."

Jean Mabire

jeudi 20 décembre 2012

Tuerie du Connecticut L’hypocrisie de l’idéologie médiatique surfe sur les victimes


 Les journalistes progressistes et donc la quasi-totalité des journalistes français de l’audiovisuel, ne supportent pas le port d’armes à l’américaine. En fait, ils se résignent assez facilement à l’utilisation d’armes de guerre dans les banlieues américaines, noires et hispaniques et même maintenant dans les banlieues françaises qui hélas leur ressemblent tant. Pour eux finalement, il n’y a qu’un port d’arme inacceptable, c’est le port d armes pour l’américain des campagnes ou cadre des villes, héritiers de l’esprit pionnier.

En un mot ils redoutent plus le citoyen armé que le criminel suréquipé, plus le justicier que le bourreau. Il s’agit donc d’une indignation idéologique. La couverture du drame du Connecticut, inacceptable et bouleversant, par les médias français en a apporté une nouvelle preuve. Avant même de connaitre le nombre des victimes, la personnalité du tueur, les raisons de son acte, la campagne faisait rage pour l’interdiction de la liberté de porter des armes. Cela les intéresse plus que tout.

Alors bien sûr on ne reviendra pas sur un amendement constitutionnel qui est une composante majeure de l’identité historique de l’Amérique. C’est cette identité que l’on attaque, celle d’un pays créé par une immigration blanche et l’épopée du Far West, quoi qu’on en pense par ailleurs. Cette identité, on veut la remplacer par des identités de substitution et donc saper petit à petit ses composantes.

Il est vrai que le port d’arme peut être limité et porter un calibre à la ceinture comme un cowboy où avoir chez soi un arsenal de guerre à la Rambo, ce n’est pas la même chose.
On pourra donc durcir la législation. Cela ne servira pas à grand-chose. Ceux qui veulent des armes, surtout les fous, pour ce genre de tuerie savent toujours s’en procurer  et pas seulement aux Usa d’ailleurs.

 C’est vrai aussi dans l'Allemagne culpabilisée vis-à-vis de la violence ou dans les pays nordiques si pacifistes comme ne peuvent le nier les norvégiens. Il y a eu des tueries de ce type en France, en Finlande où en Australie. La législation n’est donc pas la solution. Quand aux psychiatres qui expliquent tout après, on les préférerait plus efficace avant.

Chaque pays en fonction  de son histoire légifère sur le port d armes. Le parti médiatique voudrait interdire les armes aux américains  car le citoyen libre et armé fait peur à tous les totalitarismes. Ils feraient mieux d’être moins compréhensifs avec les « jeunes »  de nos cités, surarmés sans que la loi ne les y autorise.

Cherchez l’erreur.

(Jean Bonnevey)

Source

mercredi 19 décembre 2012

De quoi parle-t-on ?

Je n’ai aucune sympathie particulière pour Gérard Depardieu, ni antipathie d’ailleurs, mais je ne vois rien d’illégal dans sa démarche. Il a décidé d’aller habiter en Belgique pour des raisons fiscales. Les lois européennes l’y autorisent. A-t-on fait autant de battage et traité de « minable » Bernard Arnault, le propriétaire de LVMH, nettement plus riche que l’acteur et bien d’autres encore (les Mulliez, les Peugeot, etc.), installés qui en Suisse, qui à Monaco, etc.
La France possède une fiscalité particulièrement confiscatoire qui handicape d’ailleurs bien plus les classes moyennes que les autres. Allez en toucher deux mots à ces artisans qui participent pourtant de la renommée de la France à l’étranger ou à ces chirurgiens qui sauvent des vies tous les jours.
Ce n’est pas en déshabillant les riches que l’on vêtira les pauvres.
Une fiscalité à 75 % est fatalement pénalisante, notamment pour les gens du spectacle dont la sécurité de l’emploi n’est jamais assurée. J’écoutais l’autre soir Michel Galabru qui avouait être resté onze ans sans proposition de rôle, même subalterne.
Aussi, de voir toute cette classe politique, FN compris, pousser des cris de vierge effarouchée est proprement indécent vu le nombre d’élus mis en examen pour détournement de fonds publics ou non. Piquer l’argent du contribuable, n’est pas « minable » monsieur Ayrault ? Vous devriez en toucher deux mots à vos potes Jean-Noël Guérini ou Jean-Pierre Kucheida. On n’a pas de leçon à recevoir de cette classe politique qui, quand elle ne tombe pas dans le ridicule comme à l’UMP, fait chaque jour preuve de sa veulerie et de son incompétence.
(Patrick Parment)
(caricature de Dea)

source

lundi 17 décembre 2012

Une étude indique l’ampleur du remplacement de population à l’œuvre en France


(NOVOpress via le Bulletin de réinformation)

— L’Institut de veille sanitaire, établissement rattaché au ministère de la Santé, a publié en juillet 2012 une étude montrant le pourcentage de naissances en France concernées par le risque de drépanocytose en 2010. Cette maladie génétique a pour particularité de concerner quasi exclusivement les populations extra‑européennes, principalement « originaires des Antilles, d’Afrique noire mais aussi d’Afrique du Nord. »
La drépanocytose permettrait donc de chiffrer l’ampleur de l’immigration. En 2010, en Ile‑de‑France, par exemple, 60% des naissances étaient considérées à risque (carte ci-dessus). Ces chiffres permettent d’affirmer que 60% des naissances en Ile‑de‑France sont issues de populations extra‑européennes. En comparaison, la précédente étude basée sur les données de 2005 fait état d’un chiffre de 54%, ce qui montre que la proportion de naissances extra‑européennes, déjà énorme, augmente rapidement. Les chiffres des autres régions parlent d’eux‑mêmes.
Cette étude fournit — partiellement — quelques chiffres fondamentaux de ces fameuses « statistiques ethniques » toujours interdites en France. Ils permettent d’appréhender dans toute son ampleur la réalité effrayante de la substitution démographique actuellement en cours.
Ce phénomène se constate partout ailleurs en Europe de l’Ouest. Le Royaume‑Uni, par exemple, présente une situation proche de la France. Selon le dernier recensement, en 2011, le pays compte 7,5 millions d’immigrés, en forte hausse en 10 ans, soit 13% de la population. Enfin, moins de 45% des Londoniens sont des Blancs de souche britannique. Ils sont devenus minoritaires dans leur propre capitale…
Cette immigration massive à un coût non moins massif… Plusieurs travaux ont été effectués sur la question, notamment par la Fondation Polémia, ou par Jean‑Paul Gourévitch pour Contribuables associés, dans une étude intitulée Le vrai coût de l’immigration. Cette dernière montre que l’immigration représente un coût net de plus de 17 milliards d’euros pour la France. Cela signifie que le coût de l’immigration régulière et irrégulière, des politiques d’intégration, des investissements publics en écoles ou en logements, de sécurité, est nettement supérieur à la plus value apportée au PIB par le travail des immigrés.

dimanche 16 décembre 2012

Saint-Loup

16 décembre 1990. Mort à Paris, de l'écrivain Saint-Loup (Marc Augier), chantre des patries charnelles. Ce militant socialiste national fut journaliste à La Gerbe d'Alphonse de Chateaubriant et fonda les Jeunes de l'Europe Nouvelle. Engagé en 1941 dans la Légion des Volontaires français, il rejoint le front de l'Est, sujet de deux de ses romans, Les Volontaires et Les Hérétiques. Ayant fondé le Combattant européen, organe de la LVF, il sera rédacteur en chef de Devenir, le journal de la Waffen SS française. Après la guerre ce sportif accompli se réfugie en Argentine, devient instructeur des troupes de montagne (Face Nord, La Nuit commence au Cap Horn).
(Ephémérides Nationalistes)

samedi 15 décembre 2012

Le début de la fin




Le début de la fin est le titre d’un petit livre d’Éric Werner, dont je vais parler pour ceux qui ne le connaissent pas encore. On va vite comprendre de quelle fin il est question, bien qu’Éric Werner se garde de donner des assurances à ce sujet. Confidence : j’aimerais bien, pour ma part, que ce soit en effet le début de la fin de ce que nous détestons, mais je ne suis pas certain que ce soit encore pour demain. Mais venons-en au fait.
Longtemps professeur de philosophie politique à l’université de Genève, Éric Werner s’est fait connaître du grand public par un essai retentissant, L’Avant-guerre civile, publié en 1998. Il faisait entendre une voix d’une lucidité inhabituelle. Il développait la thèse d’une stratégie délibérée par laquelle la nouvelle classe dirigeante européenne, structurée autour du triptyque : libéralisme, américanisation, mondialisme, a établi son pouvoir en favorisant la dislocation des anciens cadres sociaux et en suscitant des antagonismes internes à la limite de la guerre civile. Antagonismes d’âge de sexe, de statut social, de culture, de religion, d’ethnie… Parmi ces antagonismes, l’immigration de masse extra-européenne jouait un rôle décisif.
Éric Werner posait la question : pourquoi cette immigration de masse a-t-elle été voulue et encouragée par les gouvernements et classes dirigeantes européennes alors que ses conséquences nuisibles sont évidentes ? Réponse : s’ils favorisent cette immigration c’est qu’elle leur profite. En attisant les antagonismes et la défiance mutuelle, elle paralyse les réactions et défenses de la population. Pour une classe dirigeante corrompue, une société balkanisée est plus facile à contrôler qu’une société homogène. L’insécurité née de l’immigration devient même une arme formidable de gouvernement.
« En laissant les délinquants agir à sa place, le pouvoir fait d’une pierre deux coups. L’ordre se défait, mais le désarroi même qui en résulte débouche paradoxalement dans une relégitimisation du pouvoir, car le pouvoir apparaît comme l’ultime rempart contre le désordre triomphant ». Le pouvoir tire ainsi argument de l’insécurité pour que les citoyens se résignent à l’abandon de leurs droits, comme la légitime défense.
C’est un peu cette thématique, avec un zest de sophistication et d’ironie mordante en plus qu’Éric Werner développe dans son nouvel essai sous la forme très originale de brefs dialogues entre plusieurs personnages (ou plusieurs « types ») qui s’entrecroisent, l’Avocate, l’Ethnologue, l’Auteur bien sûr, l’Étudiante, le Colonel (d’un cynisme réjouissant), etc. Si vous souhaitez rire (jaune parfois) devant la réalité vraie de notre « meilleur des mondes », courez acheter Le début de la fin & autres causeries crépusculaires. Le plaisir de la démonstration est garanti.
 (Dominique Venner)

source 


vendredi 14 décembre 2012

Poitiers : ouverture de la mosquée fin 2013 ?

dans son édition d'aujourd'hui, le journal dhimmi la Nouvelle République, par l'intermédiaire de son journaliste aux ordres se réjouit :

Le chantier de la future grande mosquée devrait avancer dans les prochaines semaines. Son ouverture est prévue d’ici à la fin 2013.

Un permis de construire délivré en 2003, un chantier débuté en 2008. Une ouverture « espérée » fin 2013… Il est long le chemin qui mène à la future grande mosquée. Rue de la Vincenderie, l'édifice de béton devrait si tout va bien accueillir les fidèles dans de meilleures conditions dans quelques mois.
 " Pas exclusivement réservé aux musulmans "
« Au début du printemps prochain, les différents corps de métier (électricité, chauffage, isolation) pourront intervenir sur le site, résume Boubaker El Hadj Amor, le président de la communauté musulmane de Poitiers, nous avons récemment plaidé notre cause devant l'UOIF  qui nous a promis un soutien dans des délais très proches. Pour finaliser un projet propre, il nous manque encore entre 700.000 et un million d'euros. Il faudra un million supplémentaire pour l'ameublement, la décoration, etc. » Au final, le bâtiment comprendra un étage qui sera consacré à l'enseignement de l'islam, un autre à des activités culturelles (salle d'exposition et de conférences) deux autres enfin à des salles de prières et à des bureaux. (…)
« Vous savez, appuie Khelef Ali Zazou, vice-président de la communauté, ce sera un centre qui appartiendra à Poitiers. Et à Poitiers il n'y a pas que des musulmans ! ».

jeudi 13 décembre 2012

Malgré la crise, la rémunération des patrons du CAC 40 progesse encore


Malgré la crise, la rémunération des grands patrons du CAC 40, qui s'était déjà envolée en 2010, a continué à progresser légèrement en 2011, se maintenant à un niveau élevé par rapport aux autres pays européens, a indiqué mardi le cabinet Proxinvest.
Cette rémunération --qui regroupe notamment le salaire fixe, les bonus, les actions gratuites, les options et les indemnités de départ versés au dirigeant-- a atteint en moyenne 4,2 millions d'euros l'année dernière contre 4 millions en 2010.
"L'indice CAC 40 a pourtant sur la même période perdu 17% de sa valeur", relève Loïc Dessaint, directeur associé de Proxinvest, spécialisée dans la gouvernance des entreprises.
La France se situe à la sixième place en Europe derrière le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Espagne, la Suisse et l'Italie.
La rémunération moyenne d'un patron du CAC 40 reste toutefois loin de son niveau d'avant crise: la moyenne observée était de 5,7 millions en 2006.
Quatorze dirigeants français ont dépassé en 2011 un plafond établi par Proxinvest de 240 Smic annuel soit actuellement 4,6 millions d'euros.
Maurice Levy (Publicis) a été l'année dernière le mieux payé (19,6 millions d'euros) grâce notamment au versement anticipé de plusieurs bonus, suivi par Carlos Ghosn (Renault, 13,3 millions d'euros), Bernard Charlès (Dassault Systèmes, 10,9 millions), le patron de LVMH Bernard Arnault (10,8 millions d'euros) et Jean-Paul Agon (L'Oréal, 7,7 millions).
Ces rémunérations ne prennent notamment pas en compte les régimes de retraite supplémentaire dont bénéficient certains grands patrons.
Renault a tenu à apporter une précision sur la rémunération de M. Ghosn.
"La rémunération de M. Ghosn, au titre de PDG de Renault, est de 2,8 millions d'euros. Mais le reste vient de Nissan qui, Renault tient à le rappeler, n'appartient pas au CAC 40", indique le constructeur.
Selon Proxinvest, M. Ghosn a touché --en tant que PDG de Nissan-- 8,93 millions d'euros.
De manière générale, "la politique de rémunération des grandes sociétés françaises manque de transparence et est beaucoup trop court-termiste. Il faut absolument étudier la performance d'un dirigeant sur au moins trois années pleines", note le cabinet.
Dans le détail, pour la première fois en 2011 le salaire fixe moyen des dirigeants du CAC 40 a franchi le million d'euros.
Les bonus annuels ont pour leur part baissé de 8,6%, mais ils se maintiennent à un niveau élevé (124% du salaire fixe en moyenne).
Tous les grands patrons français ne sont pas logés à la même enseigne.
En moyenne un dirigeant du SBF 80 (peloton des 80 entreprises qui suit les 40 plus grandes capitalisations boursières) est deux fois moins rémunéré qu'un dirigeant du CAC 40 avec 2,06 millions d'euros (contre 2,1 en 2010).

source

mercredi 12 décembre 2012

Saintes sous les tropiques


Il ne manque pourtant pas dans la région de belles traditions populaires établies au cours des siècles , dont certaines remontent probablement aux temps antiques et qui viennent fêter avec bonheur ces moments particuliers de l'année. On se demande alors bien pourquoi Saintes a décidé de donner à la 53ème édition de sa Nuit de la St-Sylvestre la couleur d'un Carnaval Tropical !?!
Un coup d’œil sur la liste des chars permet de répondre à la question : il importait simplement d'inverser les valeurs qui fondent notre société et, de la même manière qu'à Moussais, une exposition avait été organisée sur l'Institut du monde arabe plutôt que de fêter la victoire de Charles Martel, on estime, là, que les « autres », surtout s'ils sont exotiques, sont toujours mieux que nous :

- «BLOCO CHANGO» - Groupe . PARADE TROPICALE - Char - AMBIANCE AFRICAINE- Char animation .LES AVENTURES DE MARIO - Char - «DOM'S BANDA» - Groupe . SEA, SEX AND SUN - Char - «TUMBLACK» - Groupe . FANTAISIE EGYPTIENNE - Char - CHAR MEURT DE SERPENT - Char animation . «CHAYE YO» - Groupe . DUO TRES SHOW - Char animation - LA MEKANIBULE - Compagnie Déklic Théâtre Tonik . «LA CLAU» - Groupe . PETS, GAZ ET COUCHE D'OZONE ÇA FAIT LE COMPTE Char - «LA BATUCADA'BRA» - Groupe - «ETHNICK 97» - Groupe . SUN PARTY - Char animation -

on ira pas !...

(merci Xavier)

A Poitiers, la deuxième mosquée reste d'actualité

Bouchaïb Kamali est depuis 2011 le président du conseil régional du culte musulman.

Le président du conseil régional du culte musulman défend le projet d’une seconde mosquée. Concernant la première, il souhaite la transparence.


A l'image du reste de la société, la communauté musulmane n'est pas constituée d'un seul bloc. A Poitiers comme ailleurs, des tiraillements, parfois de réelles divergences se font jour entre différentes tendances de l'islam. Elles émergent notamment au sujet de la future grande mosquée, encore en chantier du côté de la rue de la Vincenderie, dont le permis de construire fut accordé en octobre 2003 à l'UOIF ( Union des organisations islamiques de France).

" L'entretien coûtera cher "

« Déjà en 1998, rappelle le poitevin Bouchaïb Kamali, aujourd'hui président du conseil régional du culte musulman, un groupe avait commencé à réfléchir sur un projet de mosquée à Poitiers. » Puis le projet de la Vincenderie est arrivé, piloté par le président de la communauté musulmane Boubaker El Hadj Amor, l'un des dirigeants de l'Union des organisations islamiques de France, réputée proche des Frères musulmans .
A plusieurs reprises, le financement de la mosquée a posé question. D'où vient l'argent ? Des émirats arabes unis ? Des Etats du Golfe ? « Il n'y a pas de traçabilité et de transparence sur l'origine des fonds. Deux millions d'euros ont déjà été dépensés. Et puis c'est un grand monument dont l'entretien coûtera cher. Comment gérer l'après ? Je crois en fait que tous ces éléments n'encouragent pas la communauté musulmane locale à donner », déplore Bouchaïb Kamali, inquiet par ailleurs de la destination d'une certaine partie de la future mosquée.
« Un institut de formation ou une école d'imams ? J'émets toutes mes réserves sauf si l'encadrement est fait par l'Etat, de manière claire et transparente. La formation des imams doit se traiter au niveau national. La question ce n'est pas de finir la mosquée, c'est son entretien et son utilisation, une fois construite… »
Aujourd'hui, Bouchaïb Kamali affirme qu'il est en train de travailler « sur un projet poitevin de deuxième mosquée. Une mosquée de proximité qui intégrerait toutes les nationalités et communautés, des Turcs aux Algériens… »


repères

L'interlocuteur du pouvoir

> Créé en 2003 par Nicolas Sarkozy, le conseil français du culte musulman (CFCM) se veut l'instance représentative du culte musulman en France. Il intervient notamment dans les relations avec le pouvoir politique français, dans la construction des mosquées, dans le marché des aliments halal ou la gestion des lieux de culte.
> Plusieurs grandes fédérations y sont affiliées parmi lesquelles le rassemblement des musulmans de France (RMF) plutôt soutenue par le royaume du Maroc, la grande mosquée de Paris (Algérie), l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), le comité de coordination des musulmans Turcs de France ou encore la fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles.
> On dénombre actuellement 13 lieux de culte en Poitou-Charentes : Châtellerault (1), Angoulême (3), Parthenay (1), La Rochelle (2), Rochefort (1), Royan (1), Cognac (1), Niort (1), Poitiers (2).
> Contact CRCM :
tél. 06.42.56.67.70

source

mardi 11 décembre 2012

Guignol's band


Le billet de Patrick Parment

J’admets volontiers que Nicolas Sarkozy n’a pas laissé au camarade Hollande un pays au cordeau dans sa version économique et sociale. J’admets qu’aujourd’hui un Etat est une machine complexe difficilement contrôlable aux prises avec l’Europe et le vaste monde. Mais, entre gouverner et partir à la dérive, il y a quand même une marge. On avait un président excité comme une puce venant d’avaler un tube de Maxiton, on hérite d’un président ataraxique et d’un gouvernement tétanisé par l’ampleur des problèmes qui leur tombent sur la tête. Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, l’avoue d’ailleurs : « le Président est incapable de prendre une décision. » Ou alors, s’il en prend une, c’est pour nous coller le mariage des folles de France et de Navarre qui se rêvent en ménagères, avec enfants, poussettes et sortie d’écoles. Quand ce n’est pas Duflot, sous ministre au Logement, qui veut réquisitionner les biens du clergé comme en 1789 ! Sauf que face à l’Eglise, elle fait pas le poids, l’écolo-poireau-dingo !

D’ailleurs à ce sujet, et pour nous éclairer sur les mœurs de cette république bananière, j’ai relevé une anecdote révélatrice. Concernant le mariage gay, les députés voulaient entendre toutes les autorités religieuses. Débarquèrent donc les grands Mamamouchis catholique, protestant, juif, musulman et … bouddhiste lequel devait se demander ce qu’il foutait là. Respectueux avec le juif, of course, les députés ne prêtèrent qu’une oreille discrète à la plupart d’entre eux. Et, le seul qui s’est fait tirer dessus comme un lapin, c’est le catho, Monseigneur Vingt-Trois ! Révélateur de l’ambiance qui règne dans ce claque à cloportes. Heureusement, le cardinal, qui ne manque pas d’humour, leur a filé l’extrême-onction !

Il ne faut pas s’étonner si Arnaud Montebourg, qui a le sang chaud, dérape. Comme de vouloir nationaliser le site de Florange, quand le groupe auquel il appartient, Mittal, emploie 20 000 personnes en France. L’erreur qui a été faite, c’est d’avoir bradé Arcelor, une belle entreprise, européenne de surcroît (franco-luxembourgeoise), à l’Indien Mittal, n°1 de l’acier dans le monde aujourd’hui. Elle est là, l’erreur.

Quant à Florange, on est d’accord pour une fois avec Jacques Attali. Florange n’est pas viable pour la bonne raison qu’aujourd’hui les aciéries sont implantées à proximité des ports pour des raisons d’approvisionnement en matière première, le fer en l’occurrence. Quant aux ouvriers de Florange, qu’ils arrêtent de brailler, ils ne seront en rien maltraités. Et comme le dit Jacques Attali, il y a plus urgent, les 50 000 nouveaux chômeurs, eux, bien dans la mouise. Mais voilà, les médias donnent la parole aux grandes gueules de la CGT ou de la CFDT, manière infaillible d’enterrer une affaire. Une belle image et puis plus rien. Rien comme la fameuse représentativité syndicale !

Pendant les travaux socialo, nos élus continuent de jeter l’argent du contribuable par les fenêtres. Eternelle ancienne me direz-vous, tant le gaspillage de tous ces chefaillons de province, va bon train, histoire de flatter leur ego. Alors que les mômes qui sortent de l’école ne savent même plus qui est Vercingétorix, Louis XIV, Molière et compagnie, on installe un sous-Louvre à Lens. Etait-ce bien utile d’installer un tel bazar dans une ville sinistrée où pas un mec n’ira mettre 9 € dans un musée alors que le paquet de clopes est à 6 €. Ah, mais voilà, c’est le grand Mamamouchi, Daniel Percheron, président du conseil régional du Nord (sinistré) qui veut laisser une trace dans l’histoire. Il aurait mieux fait d’investir dans une chaîne de bistrots pour que les mecs noient leur chagrin.

source

lundi 10 décembre 2012

Paris la laïque célèbre la fête juive Hanoukka

"Un chandelier géant a été allumé en plein cœur du Champ de Mars à Paris, dimanche 9 décembre à 20h. Ce n’est pas une nouvelle illumination de Noël : l'allumage du chandelier est venu lancer les festivités de Hanoukka, la fête juive des lumières, qui a débuté le 8 décembre et se poursuit jusqu’au 16.

Le Grand Rabbin de France Gilles Bernheim a procédé à l'allumage du chandelier. Un concert a ensuite été donné sur le Champ de Mars. « Hanoukka, la fête des Lumières, commémore la victoire d'un peuple juif militairement faible, mais spirituellement fort, sur les puissantes armées de l'empire grec, héritier d'Alexandre le Grand, qui avait submergé la Judée et entrepris d'effacer sa culture propre », a déclaré le rabbin loubavitch Mendel Samama.

D’autres allumages ont eu lieu dans la capitale et en région parisienne, comme en Seine-et-Marne où quatre allumages de chandeliers géants sur des places publiques étaient prévus le week-end du 7 et 8 décembre, rapporte Le Parisien.

Le premier s’est déroulé à Pontault-Combault comme depuis plusieurs années, dans le jardin de l’hôtel de ville, en présence de la maire. « La lumière fait reculer l’obscurité. C’est un message universel d’espoir, qui s’adresse à toute l’humanité », a indiqué le rabbin Yossi Amar, fondateur et responsable de l’association juive Beth Habad de Seine-et-Marne.

Durant une semaine, les juifs célèbrent une fête qui symbolise pour eux un miracle survenu dans le second temple de Jérusalem où une petite fiole d’huile, destinée à allumer un chandelier, brûla pendant huit jours, alors que son contenu était suffisant pour une seule journée. Pour commémorer ce miracle, les juifs allument une hanoukkia, un chandelier à neuf branches dont un bougeoir central sert à allumer, jour après jour, les autres lumières.

Cette année, près d’une centaine, de chandeliers géants ont été allumés dans la région parisienne sur des places publiques : l’étendard de la laïcité tant souvent brandi par des élus de la République a, comme par miracle, disparu."

source

(ndlr. on ne peut pas s'étonner des commentaires du média-source ... ni les contester. Si ce n'est que l'Islam n'a quand même pas à se plaindre : dans le partage du gateau, il est loin d'être lésé... en ce qui nous concerne, sans insister sur la drôle de conception que les "autorités" (?) "françaises" (?) ont de la laïcité, on préfère la roue solaire et la Tour de Jul à ce chandelier étranger qui est là pour fêter la victoire des juifs sur les armées greques -un comble !)

vendredi 7 décembre 2012

Tintin au Congo définitivement blanchi



(par Daniel Couvreur)
La Cour d’appel de Bruxelles a rendu son verdict dans l’affaire Tintin au Congo. Les plaintes déposées par le citoyen congolais Bienvenu Mbutu Mondondo et le Conseil Représentatif des Associations Noires de France ont été jugées « non fondées ».

Les plaignants sont condamnés à payer 110 euros à Moulinsart et à Casterman au titre d’indemnités de procédure. La justice belge a répété dans sa décision que Tintin au Congo ne pouvait être considéré comme une œuvre « raciste » ou « méchante », puisque dans cette histoire Tintin « cultive l’amitié avec le petit Coco, contribue à la paix entre deux tribus rivales, n’hésite pas à mettre sa vie en danger pour autrui et lutte contre le mal, représenté non pas par un Noir mais par un Blanc ». Il n’y avait donc aucune raison légale d’interdire cet album ni d’imposer à l’éditeur l’insertion d’une mise en garde aux lecteurs.
La Cour a ajouté que « Tintin au Congo est avant tout un témoignage de l’histoire commune de la Belgique et du Congo à une époque donnée » et que « rien ne permet d’affirmer comme le soutenaient les plaignants que les enfants du XXIe siècle, confrontés à cette bande dessinée, ne seraient pas capables de relativiser les stéréotypes du passé et de remettre l’œuvre dans son contexte historique ».
Selon la justice belge, « il ne ressort pas des dessins et des dialogues de l’album qu’Hergé avait la volonté de concevoir une bande dessinée destinée à véhiculer des idées à caractère raciste, vexantes, humiliantes ou dégradantes à l’égard des Congolais ni d’inciter ses lecteurs à la discrimination ou à la haine envers eux ». La Cour ajoute encore que « rien ne laisse penser qu’Hergé considérait que les Africains constituaient une race et qu’il entendait la comparer à une autre qui lui serait supérieure ». Clairement, « Hergé s’est borné à réaliser une œuvre de fiction dans le seul but de divertir », où il « pratique un humour candide et gentil. »
Par conséquent, la demande d’interdiction de Tintin au Congo a été définitivement rejetée car elle ne reposait pas « sur des motifs pertinents et suffisants ». La Cour n’a pas non plus accédé à l’exigence d’insérer un avertissement dans l’album parce que cela aurait constitué « une ingérence dans l’exercice de la liberté d’expression » et qu’une telle décision se serait heurtée « au droit moral sur l’intégrité de l’œuvre ». Ni Casterman ni Moulinsart ne sont, en effet, propriétaires des droits moraux sur l’œuvre d’Hergé. Ils sont détenus par Fanny Rodwell, légataire universelle du créateur de Tintin. Or elle n’était pas partie à la cause.

Source 

jeudi 6 décembre 2012

L'Arche de Zoé : l'ingérence humanitaire poussée à son terme


L’affaire dite de l’Arche de Zoé est l’occasion de mettre en garde ceux qui désirent adopter des petits africains. En dépit des boniments des trafiquants d’êtres humains, et sauf cas exceptionnel, ils doivent en effet savoir qu’en Afrique, il n’existe pas d’orphelins au sens européen du terme.

L’organisation sociale africaine étant communautaire et fondée sur le clan ou la famille élargie, l’enfant y est donc presque autant le rejeton du groupe que celui du couple. Ceci fait qu’un enfant qui perd son père et sa mère est tout naturellement pris en charge par une tante, par un oncle, par un grand-père, par des cousins, par un grand frère déjà marié ou par tout autre membre du lignage ; et si le lignage a disparu, ce qui n’est quasiment jamais le cas, par tout autre membre du clan. Même s’ils n’ont plus leur père ou leur mère, ces enfants ont donc toujours une famille.

Quant à ceux qui avaient été kidnappés par l’Arche de Zoé, ils avaient presque tous leurs parents…

Cette écœurante affaire doit également servir à rappeler que, dans les régions africaines aux fortes structures claniques et tribales, l’individu n’existe pas en tant que tel car il n’est qu’un élément d’un groupe, un simple chaînon entre les ancêtres et les générations à venir. Il est donc indissolublement lié à son lignage par un réseau complexe de solidarités et de dépendances dont il ne peut s’extraire.

Voilà pourquoi, au Tchad et au Soudan, pays d’origine des petites victimes de l’Arche de Zoé, l’adoption est interdite car elle est considérée à la fois comme une trahison lignagère et comme un crime social ; d’autant plus quand les enfants sont destinés à entrer dans des familles européennes vues comme chrétiennes…

Avec l’affaire de l’Arche de Zoé, comme nous sommes très clairement en présence à la fois d’un kidnapping massif d‘enfants et d’une tentative de violation délibérée de la loi française sur l’adoption, la question qui se pose et à laquelle le procès en cours permettra de répondre, est donc de savoir si ceux qui ont déboursé 2 500 euros pour « accueillir » ces prétendus « orphelins du Darfour » savaient que ces derniers avaient une famille.

Quant aux organisateurs dont nous ne connaissons pas les véritables motivations puisqu’ils se sont soustraits à la justice, ils pourront toujours avancer pour leur défense qu’ils n’ont fait que pousser à son terme l’ « ingérence humanitaire ».

(Bernard Lugan, le 5 décembre 2012)

source

Hongrie : le retour en force du néo-paganisme

(Par Vincent Baumgartner et Corentin Léotard)

Les néo-païens sont de retour en Hongrie ! Dernière preuve en date de leur influence grandissante, leur don au Kazakhstan d’un « arbre de la vie » de 9 mètres de haut en l’honneur de leurs « peuples frères des steppes ». Cet « életfa » symbolise dans la mythologie hongroise la résistance au Christianisme et constitue un élément essentiel des croyances táltos, les chamanes hongrois. Plus significatif encore, une scène extraordinaire s'est déroulée quelques semaines plus tôt au sein du parlement hongrois : Ojun Adigzsi See-Oglu, un grand chamane venu de la République russe de Touva aux confins de la Sibérie, s’est livré à une danse rituelle devant la Sainte-Couronne, le symbole du christianisme en Hongrie. Ces anecdotes illustrent un renouveau identitaire plus profond et une contre-culture qui prend de l'ampleur.

Face au catholicisme romain imposé par la force il y a mille ans par le roi Szent-Istvan (Saint-Étienne), le paganisme est en train de renaître de ses cendres. De nombreux courants néo-païens se sont développés au cours de ces dernières années avec le dépoussiérage d’une histoire hongroise mythifiée et régulièrement célébrée dans des festivals. Il est fréquent de rencontrer l’aigle Turul ou le cerf merveilleux Csodaszarvas au détour d’un village, dont le nom sur le panneau est désormais écris en proto-hongrois (les runes hongroises), banni jadis par Saint-Étienne. Emese, Magor, Koppány, Álmos… ces prénoms issus de la mythologie hongroise sont très populaires. A tel point qu’il semble que la mythologie païenne et chamanique soit en train de devenir un élément symbolique de l’identité nationale.

Un pays « fondamentalement païen et en pleine crise identitaire »...

Lire la suite

mercredi 5 décembre 2012

L’Elysée infiltré par le CRIF…


Il est dommage que Le Monde Diplomatique n’ait pas une plus large audience. Car l’on y trouve souvent des articles courageux, comme celui de son directeur adjoint, Alain Gresh, qui sur le blog de ce journal, nous apprend que l’un des « nègres » de notre Président appartient au comité directeur du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF). Il s’agit de Paul Bernard qui, selon Alain Gresh, tiendrait régulièrement la plume de François Hollande, comme il le fit, notamment, pour la commémoration du Vél’ d’Hiv ou lors de la tuerie de Toulouse. L’éminent membre du CRIF aurait inspiré également les propos tenus par notre président au cours de la visite du premier ministre Netanyahou, ainsi que l’essentiel de son discours à la tribune des Nations Unies. Ainsi la maison Hollande serait infiltrée par le CRIF, partisan inconditionnel et unilatéral de l’État d’Israël dont il a soutenu toutes les interventions militaires, de la guerre contre le Liban en 2006 à celle contre Gaza en 2012.
Cette présence, pour le moins inédite, inspire en toute logique au directeur adjoint du Diplo cette réflexion marquée au coin du bon sens : « Imagine-t-on un instant un citoyen français de confession musulmane, engagé dans une association de soutien au peuple palestinien, chargé d’écrire les discours du président de la République ? »

source

Le sénégalais qui propageait le Sida remis en liberté


Poitiers (86). Soupçonné d’avoir transmis le sida à plusieurs de ses conquêtes niortaises, un homme récemment arrêté a été remis en liberté hier.

La nouvelle a douché les plaignantes. Elles se désespéraient de voir leur ancien amant un jour rattrapé par la justice.
Après bien des vicissitudes, la police avait finalement mis la main sur Sekou Camara à Nantes, le 8 novembre dernier.
Ce Sénagalais de 37 ans avait été mis en examen à Poitiers le lendemain, pour administration de substance nuisible provoquant une infirmité permanente. Il avait été placé en détention provisoire dans la foulée.
Hier, c'est la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Poitiers qui a décidé de le libérer sous contrôle judiciaire.
Séducteur et véritable aimant à femmes, Sekou est-il un serial contaminateur qui transmet le sida à ses multiples conquêtes ?
Trois Niortaises avaient porté plainte contre lui, l'accusant de les avoir contaminées en toute connaissance de cause. Dans le même temps, l'homme entretient plusieurs foyers et des relations multiples avec des femmes qui connaissent sa séropositivité et qui n'ont pas engagé de procédures.

" Je demande pardon c'était un accident ! "

Alors, Sekou est-il un amant négligent, qui oublie de se protéger ou un dangereux séducteur qui propage sa maladie ?
Les deux versions se sont opposées hier devant la chambre de l'instruction. « Je ne suis pas un monstre, je n'ai pas contaminé exprès », assurait le trentenaire arrivé en France avec le passeport d'un autre. « J'ai appris que j'avais le sida en 2003 au moment de la naissance de mon fils. Quand j'ai eu une relation avec Cyrielle, je ne le savais pas encore. Pour Séverine, c'est vrai, je reconnais, c'était accidentel, le préservatif a éclaté je lui demande pardon ! »
La jeune femme accuse son ex de lui avoir présenté un faux résultat d'analyse indiquant qu'il était séronégatif.
La contamination volontaire d'Aurélie, Sekou la conteste aussi. Le trentenaire réfute catégoriquement des déclarations qui lui sont imputées par des femmes contaminées. « Je n'ai jamais dit que je me vengeais parce que j'avais été contaminé par une Européenne. C'est faux ! » Pour l'avocat des trois contaminées, Me Takhedmit, cette succession de contaminations accidentelles est pour le moins curieuse venant d'un homme qui connaît sa séropositivité. « Il faut éviter qu'il ressorte et qu'il contamine encore ! »
Un point de vue partagé par l'avocat général pour lequel il existe « un risque majeur pour la santé publique ».
L'avocate de Sekou, Me Coutand, relève que rien ne permet d'attribuer ces contaminations à Sekou plus qu'à un autre homme. « Comment vérifier cela des années après ? Il pourrait parfaitement être innocenté. En plus, il n'a pas notre degré d'information sur le sida. »
(Emmanuel Coupaye)

Source 

mardi 4 décembre 2012

Que faire ? disent-ils ...

"Pour respirer un peu loin des miasmes ridicules de la petite politique, je vais parler d’un message que m’adresse un lecteur de La Nouvelle Revue d’Histoire. Un lecteur mécontent, je le précise. Il a 21 ans, des études scientifiques. Il vit en grande banlieue. Il a réagi à la lecture de notre dossier récent « Les droites radicales en Europe ». Il me reproche, dans mon éditorial, de ne pas répondre à la question du « Que faire ? ». Il relève mes distances à l’égard de l’action politique, note que je parle de « solution spirituelle », me disant en substance : « c’est bien beau, mais cela ne me dit pas comment réagir face à la décadence européenne ». Je ne vais trahir aucun secret en reproduisant ma réponse qui résume en profondeur ma façon de voir. Voici :

« N’attendez pas de moi des recettes pour l’action. Attendez de moi que je dise ce qu’est la vocation de votre génération. Si vous éprouvez le désir d’une action politique, engagez-vous, mais en sachant que la politique a ses propres règles qui ne sont pas celles de l’éthique. Quelle que soit votre action et tout simplement votre existence, il est vital est de cultiver en vous, chaque jour, comme une invocation inaugurale, ce qui doit devenir, par répétition, une foi indestructible. Une foi indestructible dans le devenir européen au-delà de la période présente.

« Je songe souvent au désespoir de Symmaque, appelé « le dernier Romain », l’un de nos ancêtres spirituels. J’ai évoqué ce personnage bien connu dans Histoire et tradition des Européens (p. 39-41). Symmaque, grand aristocrate romain, vivait à la fin du IVe siècle, époque sinistre entre toutes. Il est mort en témoin désespéré de la fin de l’ancienne romanité. Il ignorait que l’esprit de la romanité, héritier lui-même de l’hellénisme, renaîtrait par la suite perpétuellement sous des formes nouvelles. Il ignorait que l’âme européenne, autrement dit l’esprit de l’Iliade, est éternel à l’échelle humaine (qui n’est pas celle de la physique astrale).

« Nous qui connaissons l’histoire sur quelques milliers d’années et l’explorons avec le regard interrogateur qui pouvait être celui de Symmaque, nous savons ce qu’il ne savait pas. Nous savons qu’individuellement nous sommes mortels, mais que l’esprit de notre esprit est indestructible, comme celui de tous les grands peuples et de toutes les grandes civilisations. Pour les raisons que j’ai souvent expliquées (conséquences du Siècle de 1914), ce n’est pas seulement l’Europe de la puissance qui est en sommeil. C’est avant tout l’âme européenne qui est en dormition. Quand viendra le grand réveil ? Je l’ignore et certainement je ne le verrai pas. Mais de ce réveil je ne doute pas une seconde. L’esprit de l’Iliade est comme une rivière souterraine toujours renaissante et intarissable. Parce que cela est vrai, mais invisible, il faut se le répéter soir et matin. Et ce secret (l’éternité de l’esprit de l’Iliade), personne ne pourra jamais nous le voler. »

(Dominique Venner)

Notes

  1- Illustration : Scène de l’Iliade : Achille pansant Patrocle blessé. Figure rouge d’un médaillon attique vers -500.

source

vendredi 30 novembre 2012

SOS Racisme : ça suffit !

Soutenez notre campagne pour demander la dissolution de l'officine "SOS racisme" !
Adressez-nous vos coordonnées (nom, prénom, adresse, courriel) en indiquant :
"Je soutiens votre campagne
pour la dissolution de SOS racisme"
à l'adresse suivante :
synthesenationale@club-internet.fr

Source (et pour reproduire et diffuser le tract)

Notre Dame des landes : le reflet d’une société en décomposition


(Tribune libre par Gael)

"Des cabanes à l’abandon dont les seringues jonchent encore le sol.
Des bouteilles en verre cassées à n’en plus finir.
Des mégots de cigarettes partout et d’autres substances illicites.
Des arbres cassés, de la végétation massacrée.

Tel est le triste spectacle qui se trame aujourd’hui et depuis quelques mois maintenant à Notre Dame des Landes, en Bretagne, où un aéroport doit être construit, sans que jamais les bretons n’aient été consultés d’ailleurs, détestés qu’ils sont par le Jacobin Ayrault. Cet aéroport a fait naître une contestation, qui semblait jusqu’à il y a quelques semaines être légitime et amener un débat, voir un réfrendum. Mais le premier ministre a manifestement préféré laisser le terrain de la contestation à la cour des miracles.

Car qui sont aujourd’hui les créateurs de ce triste décor et de ces cabanes à toxicos ? Le groupe Vinci ? Les Gendarmes mobiles ? Les extraterrestres ? Les fascistes ?

Non, tout simplement des petits groupes d’anarchistes, de pseudo écologistes, d’étudiants en 8e première année d’histoire, des toxicomanes, des hippies et avec eux sans aucun doute quelques vrais opposants, quelques vrais paysans qui refusent de voir leurs terres sacrifiées sur l’autel de la mondialisation.

Les 20 ou 30 000 personnes qui se sont déplacées un samedi de Novembre pour manifester leur opposition à la construction de cet aéroport ne sont certainement pas à mettre dans le même lot, mais doivent être placées devant leurs contradictions. Combien ont contribué à donner tous les pouvoirs à la gauche ? Combien mettent en avant la lutte écologique, mais laissent dans le même temps des mégalopoles se construire en Bretagne ? Combien mettent en avant le social sans se préoccuper des milliers d’emplois qui pourraient être créés avec l’aéroport ? Combien mettent en avant l’humain d’abord, mais ne tolèrent pas qu’on soit contre l’immigration invasion aujourd’hui présente sur notre sol ? Pourquoi ne disent-ils pas qu’un aéroport, ce sont aussi des migrations accélérées, une urbanisation démesurée et tous les fléaux qui vont avec le monde moderne ? Pourquoi se mentent-ils à eux même en prétendant défendre les paysans locaux alors qu’ils vont ensuite prendre leur café équitable de Colombie, habillés dans leurs haillons fabriqués en Chine, coiffé avec un Keffieh de Palestine, en fumant des cigarettes américaines (et en refusant de manger des oranges d’Israël, mais uniquement par conviction politique hein) ?

Le fait est qu’aujourd’hui, dans une zone désaffectée de Bretagne, une poignée d’individus, ayant trouvé un terrain et des dizaines d’excuses pour l’occuper tout aussi illégalement que le groupe Vinci veut le faire, entend décider pour les Bretons ce qu’ils doivent penser, de ce qu’ils doivent faire, ce que doit être leur avenir.

Tout comme Jean Marc Ayrault, depuis le début de ce projet, entend également faire passer de force son projet qui ne fait pas l’unanimité.

Dirigeants socialistes jacobins contre pseudo anarchistes et toxicomanes : le combat pourrait prêter à sourire ..."

lire la suite

Vendredi, le jour de Rivarol


jeudi 29 novembre 2012

Goldman Sachs, le grand noyautage…


Mark Carney, Canadien qui dirige actuellement la banque centrale de son pays, vient d’être nommé par le gouvernement britannique à la tête de la banque d’Angleterre. Sans aucun égard pour les probables divergences d’intérêts nationaux en jeu. Un peu comme un vulgaire joueur de football transféré vers un club étranger de standing supérieur.
De nations, Carney n’en a cure. Comment pourrait-il en être autrement après avoir été pendant 13 ans un salarié de Goldman Sachs ? Après l’américain Paulson, les italiens Draghi et Monti, ou encore le grec Papademos, la Banque d’affaires américaine poursuit sans vergogne, et avec la complicité active des responsables politiques, son noyautage des gouvernements et institutions publiques.
Si de telles passerelles ont toujours existé, elles n’avaient jamais été aussi apparentes. Comme si les vampires de Goldman Sachs ne craignaient désormais plus la pleine lumière. Comme si le travail de sape entrepris dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour démanteler les protections douanières, poursuivi dans les années 1970 avec l’instauration de taux de change flottants 1 et parachevé par la déréglementation financière des années 1980-1990, avait permis d’ôter aux gouvernements nationaux et aux peuples tout moyen d’action face aux puissances d’argent.
Ce mouvement de globalisation n’a rien de naturel : c’est un phénomène voulu et patiemment mis en œuvre par les élites mondialisées, dont le caractère prétendument inéluctable et spontané est expliqué doctement par les techniciens et experts. Ces Diafoirus de l’économie complaisamment mis en avant par l’ensemble des médias du système.
L’économie globalisée est dématérialisée et déterritorialisée : ses maîtres ne sont plus les entreprises, fussent-elles multinationales, mais les spéculateurs. Ceux-là même qui rêvent de l’homme nouveau qui serait le stade suprême du capitalisme : un homo oeconomicus mondial à la cervelle dévastée par le « tittytainment » 2, incapable de se révolter contre la spoliation des richesses, la confiscation désormais visible par tous du pouvoir politique par l’oligarchie financière qui constitue aujourd’hui l’association de malfaiteurs la plus puissante et la plus structurée de l’histoire de l’humanité.
L’Union Européenne, objet politique post-national et post-démocratique, est le modèle réduit de la globalisation : un territoire où les séides de Goldman Sachs peuvent s’ébrouer sans risque ; la Commission européenne, la City et l’Allemagne de Mme Merkel y veillent.
Les altermondialistes et autres indignés sont quant à eux les idiots utiles du système qu’ils prétendent combattre mais qu’ils n’ont de cesse de relégitimer par leurs excès et leurs outrances, et avec lequel ils partagent la haine des frontières et des identités. Le combat contre les banksters est une affaire trop sérieuse pour être laissée à l’extrême-gauche.
(Etienne Lahyre)

1 - Décision du Président Nixon du 15 août 1971de suspendre la convertibilité du dollar en or, puis accords de la Jamaïque de janvier 1976 légalisant les taux de change flottants.
2 - Néologisme inventé par Zbigniew Brzezinski : combinaison des mots tit (sein en argot américain) et entertainment (divertissement) ; cocktail de divertissement abrutissant et d’alimentation suffisante, soit la version globish de Panem et Circenses…

source

"Les Etats Arabes doivent assumer la traite des noirs..."

La traite négrière orientale a été la plus meurtrière, un véritable génocide : 17 millions de morts, déportés, castrés par les musulmans. Tidiane N'Diaye, un musulman sénégalais, anthropologue et économiste, est l'auteur du livre « Le génocide voilé », une enquête historique.

À quelques jours de la Journée Internationale de l'Abolition de l'Esclavage, le 2 décembre, la Fondation du Mémorial de la Traite des Noirs appelle les pays arabes à reconnaître leur rôle dans la traite des Noirs et l’esclavage.

« Les États Arabes doivent, aussi, assumer la traite des noirs ». C’est le titre d’une pétition en ligne et de la lettre adressée par la Fondation, à toutes les ambassades de « pays arabes » en France (Maroc, Koweit, Egypte, Liban, Algérie, Tunisie, Yemen…).

« Inévitablement associée à son aspect occidental, la traite d’esclaves africains a aussi concerné le Maghreb et le monde arabe. Le plus grand commerce négrier de l’Histoire a permis la déportation de 40% des 42 millions de personnes vers le Maroc, en Algérie, en Arabie Saoudite, en Égypte, etc. », rappelle la Fondation du Mémorial de la Traite des Noirs, dans sa lettre ouverte.

Cette association bordelaise, présidée par Karfa Diallo, juriste, écrivain et guide conférencier, exige « de sortir de l’oubli » :
« Après l’important travail de mémoire sur la traite des Noirs entrepris par les nations occidentales (lois, musées et initiatives de la société civile) et de plus en plus par l’Afrique noire (1ère loi africaine au Sénégal et nombreux lieux de mémoire), il importe que le monde arabe ouvre ce chapitre de son histoire pour dessiner un quotidien plus humain pour ses populations. »

L’association appelle à un rassemblement le 2 décembre devant l’ambassade du Maroc à Paris.

Source

mercredi 28 novembre 2012

Le coût de l'immigration en France


Peut-on raisonnablement calculer le coût de l’immigration ? Question tabou en France, peu abordée, ou de façon biaisée. A l’heure où l’actuel gouvernement se pose des questions sur la politique à tenir, entre fermeté d’un côté et assouplissement de l’autre, le débat ne peut faire l’impasse sur le bilan comptable des coûts de l’immigration.

Contribuables Associés donne donc à nouveau la parole à Jean-Paul Gourévitch, expert international en sciences humaines.

Dans une étude rigoureuse et exhaustive, l’auteur s’efforce de rassembler les données disparates les plus récentes afin de dresser un panorama des coûts actuels de l’immigration en France. De façon inédite au regard de ses précédentes études, ce travail élargit le champ des recherches à l’ensemble du territoire (métropole et collectivités et territoires d’outre-mer) et à l’ensemble des populations concernées (migrants réguliers, irréguliers et descendants directs de migrants).

Avec un coût réactualisé de 17,4 milliards d’euros, soit près de 1 % de la richesse nationale annuelle, cette problématique concerne tous les Français. Alors que le gouvernement cherche à réduire le déficit budgétaire, la question de réduire le coût de l’immigration doit se poser sans tabou.

Chiffres clés de l’étude :
• Dépenses totales de l’immigration : 88,921 milliards (mds) d’euros par an.
• Dont dépenses sociales : près de 80 % du total.
• Recettes totales de l’immigration régulière pour l’Etat : 83,370 milliards d’euros par an.
• Dépenses dues à l’immigration irrégulière : 4,445 Mds d’euros par an, dont 40 % dus au travail au noir.
• Recettes due à l’immigration : 1,236 Md, dont 75 % environ de TVA et TIPP.
• Déficit de l’immigration régulière : 5,551 milliards d’euros.
• Bilan de l’immigration irrégulière : 3,209 Mds d’euros de surcoûts nets.
• Investissements de l’Etat et des collectivités locales : 8,652 Milliards d’euros.

Le coût total de l’immigration en France est donc de 17,412 Mds d’euros par an, soit 0,9 % du PIB.

source

Elections en Catalogne, des précisions ...



Terra i Poble Catalunya Nord: Les catalans auraient-ils consulté le rapport du laboratoire d’idée Terra Nova fondée en 2008 par Olivier Ferrand, membre du Parti Socialiste. Le 10 mai 2011 Terra Nova a publié un essai intitulé Gauche, quelle majorité électorale pour 2012?
Il est en effet troublant de trouver des similitudes entre le Parti Socialiste français et la fondation Nous Catalans (« nouveaux Catalans ») affiliée à Convergència i Unió (CiU, centre droit), Ciutadans (C’S centraliste et  jacobin de centre gauche) et la CUP ( Candidature Unité Populaire, parti d’extrême gauche catalaniste)
Les membres de CiU courtisent les immigrés jusque dans les mosquées, les ciutadans collent des affiches bilingues, castillan et arabe , alors que nous sommes en Catalogne. La CUP tire le pompon, elle a   réalisée une vidéo de campagne totalement en arabe.  Plus de quatre minutes dans une langue étrangère… pour une élection catalane, logique…
Dans le califat d’al Catalunya tout va très bien madame la marquise…

lire la suite

mardi 27 novembre 2012

Utlagi n°34

(à paraitre fin novembre)

Sommaire :

-Dieux et Déesses des Indo-Européens
-Botanicum : le pissenlit.
-Symbolisme animalier: le serpent
-les symboles : 2 ème partie
-Mythologie :Orphée & Eurydice
Etc…

Attention !
Nouveau prix : 6,5 euros
Abonnement :
France métropolitaine 4 n°: 26 euros
Europe 4 n° : 48 euros
Chèque à l’ordre de : UTLAGI

UTLAGI
B.P. 50527
F-35505 Vitré Cedex

www.utlagi.org

Renseignements :
utlagi@orange.fr

La presse française ment sur le succès indépendantiste catalan




Après le scrutin décisif de ce week-end en Catalogne, la presse française se livre à une véritable surenchère de désinformation, allant jusqu’à évoquer une “défaite des indépendantistes”. La réalité est toute autre : le bloc séparatiste compte près de 71 députés sur 135, c’est-à-dire la majorité absolue sur fond de forts progrès de la gauche indépendantiste.

Le journal français Le Figaro (Bloch-Dassault) évoque “le pari perdu d’Artur Mas” (président de la Catalogne). L’article consacré aux élections est pour plus de la moitié la somme des réactions des chefs de partis espagnols centralistes ! Ainsi Le Figaro s’étend longuement sur les déclarations du premier ministre espagnol ou celles des chefs de la droite au pouvoir dont le représentant, pourtant, ne représente que 19 sièges… Ils sont pourtant présentés comme les grands vainqueurs ! Il faut attendre la fin de l’article pour que l’auteur, Mathieu de Tailhac, admette timidement que “les nationalistes de centre droit restent tout de même la première force en Catalogne” avec 50 sièges et que l’affaiblissement de ceux-ci profite à la gauche indépendantiste et non aux espagnolistes.

Le Nouvel Observateur quant à lui titrait “les nationalistes en chute libre”, rien de moins. Pourtant la “chute libre” en question a des allures de simple recul : de 38%, la CIU est passée à 30,5%. Le bloc nationaliste dispose toujours de la majorité relative, ce qui le place au cœur du futur gouvernement catalan.

La BBC anglaise ou Reuters quant à eux concluent très différemment : “Victoire des séparatistes en Catalogne”. Le Wall Street Journal y voit “une adhésion des Catalans à l’autodétermination”.

Et de fait, contrairement aux vessies que la presse française prend pour des lanternes, les conditions pour un objectif d’euro-souveraineté catalane sont rassemblées. La gauche indépendantiste se disant “ouverte” à un programme faisant de l’autodétermination catalane l’objectif de la prochaine législature ainsi qu’à de sérieux amendements quant à la politique économique du président sortant. C’est là, certainement, la vertu du scrutin : créer un front large allant de la gauche à la droite portant le référendum d’autodétermination. Le président Artur Mas ayant longtemps montré des signes d’hésitation sur l’émancipation totale de la Catalogne, une coalition intégrant une gauche indépendantiste plus radicale aura donc des vertus indéniables.

On comprend donc la mauvaise foi d’une presse parisienne enfermée dans son ultra-jacobinisme.


source

lundi 26 novembre 2012

Tous des guignols


"La pantalonnade qu’offre, comme spectacle récréatif, aux Français l’UMP est révélatrice de l’état de décomposition d’un Système usé jusqu’à la corde. C’est « un règlement de compte entre clans », écrit Le Monde (23 novembre ). Qui pourrait en douter ? On n’en est pas encore au flingage, de style corse, mais regardez les images transmises par les media : si les yeux étaient des pistolets, il y aurait déjà une hécatombe… Comment mouvement, l’UMP, qui est devenu un champ de ruines, pourrait-il sérieusement se positionner en recours face au Parti socialiste ?

Celui-ci, d’ailleurs, n’a pas de quoi pavoiser et a du souci à se faire, tant il n’est pas à même de donner de leçons à quiconque. Son chef ( ?), François Hollande, et son sous-chef ( ?), Jean-Marc Ayrault, empêtrés dans leurs contradictions, font preuve d’un amateurisme qui a de quoi déconcerter leurs plus farouches partisans. Par exemple, la valse hésitation concernant le « mariage » entre homosexuels de tous poils a suscité l’ire des intéressé(e)s, qui parlent de « capitulation » et, sûr(e)s des appuis sur lesquels ils (elles) peuvent compter dans les media (où sont installé(e)s beaucoup d’entre eux et d’entre elles…), posent leurs redoutables ultimatums : un gouvernement qui ne satisferait pas leurs goûts très particuliers serait, quoi qu’il en dise, affreusement réactionnaire (et peut-être même quelque peu fasciste…).

Devant ce spectacle de cirque, les gens sensés ne peuvent qu’en conclure qu’il est urgent de refuser de participer, d’une façon ou d’une autre, à une telle mascarade. Un seul mot d’ordre, donc : gauche ? droite ? Tous des guignols. Alors, sans nous."

(Pierre VIAL)

source