mardi 30 octobre 2012

Chez nos amis italiens

ROME (NOVOpress) – Riccardo Pacifici , proche collaborateur du maire de Rome Gianni Allemanno et représentant de la communauté juive romaine, semble bien mal nommé si l’on en croit ses déclarations véhémentes, pour ne pas dire violentes, à l’encontre du mouvement Casapound et de son président Gianluca Iannone.

Il y a quelques mois M. Pacifici avait déjà déclaré, à l’occasion de l’inauguration à Rome d’un « mur de la paix » (ce qui ne manque pas d’une certaine ironie au regard de ses propos), que « Casapound est un danger non seulement à Rome mais dans toute l’Italie et même en Europe. C’est la raison pour laquelle nous devons nous retrousser les manches et faire tout ce que nous pouvons de manière démocratique avant de devoir prendre les fusils comme les partisans ».

Pus tard, il avait réitéré, cette fois en menaçant directement le président de la Casapound en ces termes : « Je tiens à dire à Monsieur Ianonne que les hommes comme lui n’auront pas la vie facile à Rome. »

Aujourd’hui, le président de la Communauté hébraïque de Rome récidive, prenant pour prétexte une action militante du Blocco Studentesco dans des établissements scolaires romains, en déclarant : « Ils (NDLR : les jeunes de 15 à 19 ans du Blocco) doivent savoir que nous n’avons pas de peur. Ils doivent être mis hors d’état de nuire, ils viennent d’être identifiés et dénoncés. Nous connaissons leurs visages et leurs noms de famille, il faut fermer tous les endroits où ils se trouvent, où ils se réunissent. »

Des propos d’une rare virulence qui annoncent une campagne électorale sous tension pour le Mouvement Casapound, qui se présente « seul contre tous » pour proposer une alternative à la gabegie de l’actuelle équipe municipale dont fait partie Riccardo Pacifici.

source

vendredi 26 octobre 2012

Eléments n° 145

Extrait de l'éditorial de Robert de Herte

Faite d’individus fondamentalement non situés, d’atomes individuels venus de partout et de nulle part, la société devient une structure subchaotique, un caravansérail qui a perdu tout sens du commun.
(…) Toute appartenance ou singularité collective est représentée comme enfermement carcéral, fiction trompeuse ou « construction » illusoire, tout souci de les préserver comme relevant du « fanatisme » ou du « fondamentalisme ».
« Pour donner la liberté du choix, il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel », déclare Vincent Peillon, nouveau ministre de l’Éducation nationale. (…)
Tocqueville remarquait que « rien ne révolte plus l’esprit humain dans les temps d’égalité que l’idée d’être soumis à des formes ». Les formes sont ressenties comme des limitations, des contraintes. L’art contemporain a déjà aboli les catégories esthétiques. L’ultime « déconstruction » est la déconstruction du sexe, à laquelle procède l’idéologie du genre.

**************
Communiqué : Le nouveau dossier de la revue Eléments n°145 : l'idéologie du genre contre le sexe

«L'idéologie du genre, c'est le grand retour du cache sexe. L'idéologie feuille de vigne : non plus "cachez ce sexe que je ne saurais voir" mais "cachez ce sexe qui n'a rien à nous dire"».

La revue Eléments vous propose une plongée au cœur d’un courant de pensée qui réinvente la haine du sexe pour mieux libérer l’Humanité !

En contrepoint des théories de Judith Butler, Monique Wittig, Natacha Cetchuti, Eric Fassin, Ruwen Ogien, Christine Delphy, Caroline de Haas, il était temps de faire un détour par la biologie, la neurobiologie, la psychologie révolutionnaire, l'ethnologie…

Contre le féminisme sans femme, la revue Eléments se joint avec le sexologue Gérard Zwang pour crier : «Vive le sexe de la femme » !

Un dossier signé Alain de Benoist, Xavier Eman, David L'Epée, Pierre Gripari et… l'américaine Arianna Huffington (créatrice du Huffington Post), très convaincante en passionaria anti-féministe !

Ce numéro d'Éléments revient également sur le cas Richard Millet. Editeur par qui le scandale arrive, le franc-tireur Pierre-Guillaume de Roux, qui marche dans les nobles pas de son père, détaille pour nous les ressorts de cette chasse à l'homme. Les mousquetaires Gabriel Matzneff, Olivier Maulin, Christian Combaz, Michel Marmin et Alfred Eibel sonnent la riposte.

Vendredi, le jour de Rivarol


jeudi 25 octobre 2012

732

Fédérées grâce à l’Islam, la nouvelle religion enseignée par le Prophète, les tribus arabes, en quelques décennies, se rendent maîtres d’immenses territoires dès la mort de Mahomet en 632. En 711, les musulmans soumettent la péninsule ibérique et leur progression continue vers le nord. Le samedi 25 octobre 732, ils sont brutalement arrêtés par l’armée de Charles Martel aux environs de Poitiers et leur chef, Abd al-Rahman est tué dans la bataille. Aucune autre expédition arabe d’envergure n’a pu atteindre le cœur de la Gaule par la suite … jusqu’à aujourd’hui , le pire étant que c'est avec la bénédiction de ceux qui nous gouvernent !

mercredi 24 octobre 2012

Recrudescence de vols de troupeaux à l’approche de l’aïd des musulmans


Les vols d'agneaux se multiplient à l'approche de la fête musulmane de l'Aïd, qui sera célébrée vendredi, « en raison d'une offre légale largement insuffisante », note la fédération des éleveurs d'ovins. La belle excuse !
"L'arrivée prochaine de l'Aïd stimule les appétits: c'est comme pour les huitres à l'approche de Noël", constate le président de la Fédération nationale ovine (FNO) Serge Préveraud joint par l'AFP, sans être en mesure de chiffrer le nombre de larcins. "D'autant plus cette année", renchérit le responsable de la fédération dans le Vaucluse, Julien Bonnet, que "la fête tombe à une période de faible disponibilité en agneaux: en ce moment, ce sont plutôt des mises bas et les agneaux du printemps ont déjà été vendus".

Un troupeau de 130 agneaux parqués dans un champ isolé en Isère a ainsi été volé de nuit, la semaine dernière, et le préjudice estimé à 20.000 euros. Pour Rémy Bensson, secrétaire général adjoint de la FNO et responsable des Bouches-du-Rhône, le grand sud-est, région Provence-Alpes-Côte d'Azur en tête, est le plus touché.

LES ÉLEVAGES DU VAUCLUSE MIEUX PROTÉGÉS

"Sur les 50 sites d'abattages temporaires autorisés, 24 se trouvent en PACA", relève-t-il, évoquant "des réseaux de contrebande organisés". "C'est une période propice avec des débouchés extrêmement rapides", ajoute-t-il, précisant que "ce qui intéresse les voleurs, ce sont surtout les agneaux mâles". L'Aïd-el-Kébir ou Aïd-el-Adha est la plus grande fête de l'islam. Elle commémore le sacrifice d'Abraham.
Un agneau de 40 kilos se négocie entre 150 et 160 euros au prix du marché, et peut atteindre jusqu'à 200 euros au marché noir, précise M. Bensson. Ce dernier invite les "éleveurs à signaler les vols". Deux d'entre eux l'ont fait dernièrement dans sa région, dépouillés chaque fois d'une quarantaine de têtes. Même si la parade est difficile. "Nos élevages sont extensifs: (...) les brebis ne sont pas rentrées la nuit et les bergeries sont parfois excentrées".
C'est d'ailleurs dans des régions comme le Vaucluse où sévit un prédateur naturel comme le loup que les éleveurs sont le mieux organisés pour protéger leurs troupeaux, parqués et gardés par des chiens. Le phénomène des vols est généralement conjoncturel, insiste enfin Serge Préveraud. "Le reste de l'année, il reste anecdotique".

Le gouvernement et la gauche en général se sont-ils émus de ces atteintes à des biens privés ?... Une enquête approfondie est-elle diligentée en direction des milieux musulmans ?... Des dissolutions sont-elles à l'étude visant les organisations qui célèbrent cette fête responsable de tous ces vols ?... 

source  

Najat Vallaud-Belkacem fait une fixette sur l'homosexualité … à quand le coming out ?


La ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, estime qu'il faut "passer en revue" les manuels scolaires à propos de l'homosexualité, dans un entretien au magazine "Têtu".
"Aujourd'hui, ces manuels s'obstinent à passer sous silence l'orientation LGBT (lesbienne, gay, bi et trans) de certains personnages historiques ou auteurs, même quand elle explique une grande partie de leur oeuvre comme Rimbaud", explique la ministre au magazine gay.
Najat Vallaud-Belkacem estime aussi qu'il "serait utile que des familles homoparentales soient représentées dans les campagnes de communication généraliste du gouvernement, afin de banaliser ce fait".

Pour la dépénalisation universelle de l'homosexualité

La ministre annonce par ailleurs qu'elle va saisir la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) "pour qu'il soit mis fin aux dérives que sont les 'thérapies de transition'". Ces thérapies sont proposées par des groupes protestants pour "guérir" les homosexuels.
La France portera un discours politique pour la "dépénalisation universelle de l'homosexualité et nous remettrons en marche l'appareil diplomatique pour obtenir une résolution aux Nations unies", dit également la ministre. "Je vais travailler au niveau européen pour que l'Union adopte des lignes directrices contre l'homophobie" ajoute-t-elle.
"Il faut dessiner la perspective d'une grande convention internationale contre les discriminations en raison de l'orientation sexuelle, c'est urgent alors que dans certains pays voisins les marches de la fierté sont réprimées", explique la ministre. "Les ambassades françaises interviendront en faveur des militants LGBT", assure-t-elle.

Source 
(ndlr. On croit rêver … mais non ! autant nous obliger dès maintenant à porter une étoile cousue sur la poitrine pour afficher notre orientation sexuelle... certains jours, je m'imagine que si, par exemple, mon grand-père revenait (c'est pas si loin que ça!) il ne comprendrait rien à ce qui se passe dans notre monde …)

mardi 23 octobre 2012

"Communistes assassins ! PC dissolution !"


« L’insurrection nationale hongroise fut la première révolution anti-totalitaire de l’après guerre. Cette révolution ne fut pas préparée mais spontanée. C’est en effet le discours d’un dirigeant hongrois qui a provoqué ce grand soulèvement. D’un seul coup, le peuple tout entier des grandes villes et de toutes les provinces se leva [le 23 octobre 1956]. Le gouvernement, pris de panique fit alors appel aux troupes et aux chars soviétiques. Ce fut le carnage » sans que le monde libre n’intervint d’aucune manière . Le Parti Communiste « français » approuvait sans réserve l’intervention soviétique ; la Hongrie ne connut que quatre jours de liberté. »

« C’est un soir d’octobre qu’une grande manifestation fut organisée sous l’Arc de triomphe. De nombreux mouvements et partis politiques (à l’exception du PC) s’étaient donnés rendez-vous pour manifester leur indignation contre le massacre du peuple hongrois et l’attitude du PC « F ». Nous étions 20 à 30 000 sur les Champs Élysées à crier « Moscou assassin ! », « Communistes assassins ! », « Libérez la Hongrie ! », « PC dissolution ! » quand tout à coup, après le dépôt de gerbes et la minute de silence, un mot d’ordre circula dans la foule : « Tous au carrefour Châteaudun ! » C’est donc au pas de course qu’une partie du cortège s’ébranla en direction du siège du PC.

Les forces de l’ordre ne purent rien contre notre nombre et notre détermination ce soir là. En tête des assaillants contre l’immeuble du PC se trouvaient « les troupes de choc » habituelles de l’activisme anti-communiste : les militants de Jeune Nation, des étudiants nationalistes, les combattants d’Indochine. Retranchés au premier étage de l’immeuble, les Cocos nous accueillirent avec des cocktails Molotov. Beaucoup de nos camarades durent se replier les vêtements en flammes. C’est alors qu’un petit groupe réussi à s’emparer des échelles accrochées au candélabre de l’angle gauche de l’immeuble, s’en servi comme béliers pour enfoncer la porte blindée du rez-de-chaussée et pénétrer dans l’immeuble. Malheureusement, l’accès aux étages étant bloqué, ils durent se replier d’autant que les cocktails Molotov lancés des étages supérieurs avaient aussi contribué à mettre le feu à l’immeuble (un incendie que les pompiers mirent plus d’une heure à maîtriser).

C’est alors qu’un autre mot d’ordre circula parmi les assaillants : »Tous à l’imprimerie de l’Huma » qui se trouvait à quelques centaines de mètres, boulevard Poissonnière.

Là aussi nous étions attendus, mais faisant place aux cocktails Molotov, ce sont les pavés d’imprimerie en plomb qui se mirent à) pleuvoir sur nous. Un jeune étudiant courageux qui avait réussi à atteindre de manière audacieuse les locaux du Journal fut surpris par les Rouges et jeté du deuxième étage sur une verrière du rez-de-chaussée. Durant ce laps de temps, toutes les communes communistes de la banlieue avaient mobilisé leurs troupes et affrété des cars entiers de militants appelés à la rescousse pour nous faire face. Le grand affrontement eu lieu à l’angle du boulevard Poissonnière et de la rue Montmartre. Une bagarre violente et sanglante qui dura plusieurs heures, qui fit de nombreux blessés des deux côtés mais qui nous laissa finalement maîtres du terrain, les Cosaques ayant dû déguerpir. Ce soir là, Paris était vainqueur mais Budapest vaincue ! »

(cité dans « Ma vie pour la Patrie », par vitéz Lajos Marton. Les Amis du Livre Européen)

source

lundi 22 octobre 2012

Poitiers : vive la Résistance identitaire !


Le MRAP, SOS Racisme, le RMF (rassemblement des musulmans de france), le Front de Gauche par son habituel Mélenchon, le PS par Jean-Philippe "Harlem" Désir, le PC"F" par les mânes de Georges "messerschmitt" Marchais, deux ou trois grenouilles de bénitier et un raton-laveur convoqué pour faire "diversité" demandent avec fermeté l'interdiction de "Génération Identitaire" dont une centaine de garçons et filles a occupé ce dernier samedi - sans aucun incident ni dégradation - les toits de la future grande mosquée de Poitiers... c'est à dire pas bien loin de là où il y a 1280 ans nos lointains aïeux ont étrillé d'importance une armée de mahométans venus inconsidérément sur nos terres se livrer à leurs occupations favorites : le massacre, le pillage, l'incendie et la profanation au nom de leur religion de tolérance et d'amour.

C'est un acte symbolique de Résistance à la politique criminelle de substitution de population qui croît et embellie depuis des décénies, un réflexe de survie au véritable génocide programmé du peuple indigène de France submergé qu'il risque d'être par une immigration de peuplement exotique, fortement islamisée, installée sur nos terres ancestrales au nom du mondialisme. C'est un acte de Résistance et un crachat symbolique à la face des collabos, des traîtres et de leurs idiots utiles qui se font les valets de cette entreprise génocidaire. C'est un acte de Résistance et un avertissement sans frais pour ceux qui croient déjà que tous les souchiens vont accepter sans se battre de se soumettre et de tomber en dhimmitude ad maiorem prophetae gloriam. C'est un appel aux Français, aux Européens de France pour leur faire comprendre qu'il n'est plus temps d'attendre des jours meilleurs qui ne viendront pas des urnes s'ils ne prennent pas leur destin en main et ne réagissent pas à l'invasion en se regroupant et en manifestant leur détermination. C'est un appel à la levée en masse des gaulois qui entendent rester maîtres chez eux.

Les glapissements des indignés amèneront peut-être Roudoudou et le fatras de son gouvernement à en arriver à des mesures de persécution. Qu'ils y réfléchissent ! La Résistance qui se regroupe et s'organise n'est encore que symbolique, elle ne le sera plus seulement si elle devient clandestine !

source Yves Darchicourt - Synthèse Nationale

samedi 20 octobre 2012

Une nouvelle bataille de Poitiers ? Reconquête !

Communiqué de Géneration Identitaire
Une centaine de jeunes, garçons et filles de toute la France, viennent d’entrer [samedi 20 octobre] dans la future Grande Mosquée de Poitiers et l’occupent depuis les toits. Sur la façade, face au minaret, nous avons déplié une banderole sur laquelle on peut lire un message clair : « Immigration, construction de mosquées : REFERENDUM ! » Par cette première action d’envergure, Génération Identitaire entend se placer en première ligne du combat pour notre identité.

Il y a bientôt 1300 ans, Charles Martel arrêtait les Arabes à Poitiers à l’issue d’une bataille héroïque qui sauva notre pays de l’invasion musulmane. C’était le 25 octobre 732. Aujourd’hui, nous sommes en 2012 et le choix est toujours le même : vivre libre ou mourir. Notre génération refuse de voir son peuple et son identité disparaître dans l’indifférence, nous ne serons jamais les Indiens d’Europe. Depuis ce lieu symbolique de notre passé et du courage de nos ancêtres, nous lançons un appel à la mémoire et au combat !
Nous ne voulons plus d’immigration extra-européenne ni de nouvelle construction de mosquée sur le sol français. Depuis les premières vagues d’immigration africaine et le regroupement familial adopté en 1974, notre peuple n’a jamais été consulté sur les populations avec lesquelles on lui impose de vivre. L’immigration massive transforme radicalement notre pays : selon la dernière étude de l’INSEE, 43% des 18-50 ans d’Ile de France sont issus de l’immigration. Un peuple peut se relever d’une crise économique ou d’une guerre mais pas du remplacement de sa population : sans Français, la France n’existe plus. C’est une question de survie : c’est pourquoi chaque peuple a le droit absolu de choisir s’il souhaite accueillir des étrangers et en quelle proportion.
Puisque ce droit nous a été refusé et que notre génération en paie le prix fort dans la rue face aux intimidations de la racaille, nous disons : ça suffit, on ne recule plus ! Nous réclamons la mise en place d’un référendum national sur l’immigration et la construction de lieux de culte musulmans en France. Nous ne quitterons pas les lieux avant d’avoir été entendus et satisfaits.
Conscients que notre combat ne fait que commencer, nous appelons tous les jeunes Européens à devenir héritiers de leur destin et à rejoindre l’avant-garde de la jeunesse debout.
Que toute l’Europe entende notre appel : ici et maintenant, RECONQUETE !
Génération Identitaire

vendredi 19 octobre 2012

Ouvrir plus largement l'accès à la nationalité française


Quatre mois après l'avoir annoncée, le ministre de l'intérieur Manuel Valls a publié,
jeudi 18 octobre, une circulaire pour rouvrir plus largement l'accès à la nationalité française. Il s'agit pour le gouvernement de revenir sur la très forte inflexion du nombre de naturalisations qui avait été mise en œuvre par l'ancienne majorité depuis 2010: entre 30 % à 45 % de moins.

M. Valls devait annoncer publiquement cette circulaire lors d'une cérémonie en préfecture de Toulouse de remise de certificats de nationalité à des nouveaux Français. L'accès à la nationalité "a été entravé, empêché, sans que cela ne fasse l'objet d'aucun débat, devait-il notamment justifier dans un discours. Elle ne doit être ni bradée ni reservée à une élite. (...) C'est le moteur du sentiment d'appartenance à notre nation" Au début du quinquennat de Nicolas Sarkozy, malgré un discours musclé sur l'immigration, les naturalisations – qui étaient de l'ordre de 100000 par an – avaient été préservées. Mais après le discours de Grenoble, à l'été 2010, et le choix de l'ex-majorité de s'aligner en partie sur les thèses du Front national, un tour de vis avait été effectué sous forme de consignes internes ou orales.

"RETROUVER LE RYTHME D'AVANT"

Aujourd'hui, M. Valls dit ne "pas avoir d'objectif chiffré", mais explique au Monde vouloir "retrouver le rythme d'avant". Soit celui d'avant le passage de Claude Guéant Place Beauvau, entre février 2011 et mai 2012. C'est en effet surtout à l'initiative de l'ex-secrétaire général de l'Elysée que l'accès à la nationalité a été restreint afin d'afficher des chiffres d'immigration en baisse lors de la campagne présidentielle.

Pour redresser cette courbe, la nouvelle circulaire prévoit d'assouplir les critères liés au travail, responsables d'environ 40% des refus de naturalisations. Alors qu'il fallait quasi-nécessairement être en contrat à durée indéterminée (CDI) auparavant, un CDD ou des emplois en intérim pourront suffire désormais. "L'idée est de ne plus juger le dossier d'une personne à "l'instant T", mais sur l'ensemble de son parcours professionnel, explique la Place Beauvau. Surtout en période de crise économique."

La circulaire demande aussi aux préfets de se montrer plus souples sur les dossiers des étudiants étrangers, systématiquement retoqués ces deux dernières années pour "manque de ressources". Cette disposition concerne notamment les "jeunes diplômés" ayant fait leur cursus en France. Beaucoup se retrouvaient bloqués en fin d'études pour trouver un emploi, l'embauche d'un étranger étant très contraignante. Une "meilleure prise en compte des potentiels" est en outre demandée aux préfets. En particulier celle des médecins étrangers.

lire la suite

Vendredi, le jour de Rivarol


jeudi 18 octobre 2012

Rébellion 55

SOMMAIRE

ÉDITORIAL
> Hollande trouve son chemin de Damas.

ACTUALITES
> La gauche contre le peuple.
> Charles Robin démonte l'idéologie libérale.

DOSSIER
BALKANS. L'EUROPE MEURTRIE
> La guerre contre la Serbie.
Laboratoire des "guerres humanitaires".
>En première ligne au kosovo.
> Entretien avec Slobodan Despot.
>Balkans. L'éclatement programmé de
Alexis-Gilles Troude.

IDEES
>L'encaillement des Clercs. Réflexion sur les
travaux de François de Négroni.
>Jacob Burckhardt et la communauté locale des citoyens.

CULTURE
>Child of the black Sun.
Entretien avec Boyd Rice.

Chronique >Le début de la fin & Autres
Causeries crépusculaires. Eric Werner.
>Vogelsang ou la mélancolie du vampire
Christopher Gérard.

Le numéro est disponible contre 4 euros ( port compris)
à notre adresse :
Rébellion - RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02
rebellion_larevue@yahoo.fr
http://rebellion.hautetfort.com/

XVIIe Table Ronde : les interventions

Voici les textes des interventions lors de la XVIIe Table Ronde :

Pierre Vial :
http://www.terreetpeuple.com/la-table-ronde/2012-xviieme-table-ronde-de-terre-et-peuple/intervention-d-alain-cagnat-lors-de-la-xvii-table-ronde.html

Alain Cagnat :
http://www.terreetpeuple.com/la-table-ronde/2012-xviieme-table-ronde-de-terre-et-peuple/intervention-d-alain-cagnat.html

Roberto Fiorini :
http://www.terreetpeuple.com/la-table-ronde/2012-xviieme-table-ronde-de-terre-et-peuple/intervention-de-pierre-vial-lors-de-la-xvii-table-ronde.html?2d4883b0bf7db295e9826020acb22e07=4c25eefbde2547d5ce1d544127dba8ad

Méridien zéro était présent ; émission spéciale lors de la Table Ronde :
http://www.meridien-zero.com/archive/2012/10/13/emission-n-114-meridien-zero-a-la-table-ronde-de-terre-peupl.html

Rendez-vous l’année prochaine, encore plus nombreux. Car si nous voulons incarner une communauté unie, il nous faut pouvoir penser et agir comme une communauté unie.

Après l’esclavage, le 17 octobre 1961… La coupe de la repentance déborde !


En reconnaissant la responsabilité de l’Etat et en rendant hommage aux « victimes » de la manifestation interdite du 17 octobre 1961[1], François Hollande s’est comporté en militant sectaire, non en président de tous les Français. D’autant plus que, pour les historiens de métier, les prétendus « massacres » du 17 octobre 1961 constituent un tel exemple de manipulation qu’ils sont étudiés comme un cas exemplaire de fabrication d’un mythe ; comme Timisoara en Roumanie, comme les « couveuses » au Koweit ou encore comme les « armes de destruction massive » en Irak !!!

Tout repose en effet sur des chiffres gonflés ou manipulés et sur des cadavres inventés. Dans une inflation du nombre des morts, les amis du FLN algérien et les porteurs de valises communistes ont ainsi joué sur les dates, additionnant aux 3 morts avérés du 17 octobre ceux des jours précédents ainsi que les décès postérieurs. Pour eux, tout Nord Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961 est forcément une victime de la répression policière…même les victimes des accidents de la circulation.

Il est possible d’affirmer cela sans crainte d’être démenti car :

- En 1998, le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission présidée par le conseiller d’Etat Dieudonné Mandelkern qu’il chargea de faire la lumière sur ces évènements. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière des accusations portées contre la police française[2]. Or, ce rapport consultable sur le net n’a visiblement pas été lu par François Hollande.

- En 1999, Jean-Paul Brunet, universitaire spécialiste de la période, publia un livre extrêmement documenté qui démontait la thèse du « massacre » du 17 octobre (Brunet, J-P., Police contre FLN. Le drame d’octobre 1961.Paris).

- En 2003, le même Jean-Paul Brunet publia un nouveau livre (Charonne, lumière sur une tragédie.Paris) dans lequel il démontrait que le prétendu « rapport de police » faisant état de 140 morts le 17 octobre, document qui sert de point de départ à J.L Einaudi, auteur du livre sur lequel repose toute la manipulation (Octobre 1961, un massacre à Paris), n’a jamais existé.
Reprenant la liste des morts donnée par Einaudi, il montre également que la majorité des décès remonte à des dates antérieures au 17 octobre et il prouve que ce dernier a manipulé les chiffres, additionnant les cadavres non identifiés reçus à l’Institut Médico Légal au nombre des disparus et même (!!!) à celui des Algériens transférés administrativement en Algérie après qu’ils eurent été arrêtés le 17 octobre. Il montre enfin qu’Einaudi a compté plusieurs fois les mêmes individus dont il orthographie différemment les noms…
Monsieur Hollande pouvait-il ignorer tout cela ? Si oui, la nullité ou l’aveuglement militant de ses conseillers laisse pantois.

Quel est donc le vrai bilan de cette manifestation ?

- Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant massacre, l’Institut Médico Légal (la Morgue), n’a enregistré aucune entrée de corps de « NA » (NA= Nord Africain dans la terminologie de l’époque).
- Le 17 octobre 1961, de 19h30 à 23 heures, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ?
- En dehors du périmètre de la manifestation, « seuls » 2 morts furent à déplorer, Abdelkader Déroues tué par balle et retrouvé à Puteaux et Lamara Achenoune tué par balle et étranglé, gisant dans une camionnette, également à Puteaux. Rien ne permet de dire qu’ils furent tués par les forces de l’ordre.

Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne fut donc de 3 morts. Nous sommes donc loin des dizaines de morts et de « noyés » auxquels l’actuel occupant de l’Elysée a rendu hommage !!!

Certes, nous dit-on, mais les cadavres ont été déposés à la morgue les jours suivants. Faux, car ce n’est pas ce qu’indiquent les archives de l’Institut Médico Légal de Paris puisque, entre le 18 et le 21 octobre, « seuls » 4 cadavres de « NA » furent admis à la Morgue :
- Le 18 octobre, Achour Belkacem tué par un policier invoquant la légitime défense et Abdelkader Benhamar mort dans un accident de la circulation à Colombes.
- Le 20 octobre, Amar Malek tué par balles par un gendarme.
- Le 21 octobre Ramdane Mehani, mort dans des circonstances inconnues.

Nous voilà donc bien loin des 100, 200 ou même 300 morts « victimes de la répression » avancés par certains et pour lesquels M. François Hollande a reconnu la responsabilité de la France !!!
D’autant plus que le « Graphique des entrées de corps « N.A » (Nord-africains) par jour. Octobre 1961 »[3], nous apprend que du 1° au 30 octobre 1961, sur les 90 corps de « NA » entrés à l’Institut Médico Légal, la plupart étaient des victimes du FLN.
Plus encore, pour toute l’année 1961, 308 cadavres de « N.A » entrèrent à l’IML, la plupart ayant péri dans la guerre inexpiable que le FLN menait contre ses opposants partisans de l’Algérie française ou du MNA de Messali Hadj. Ainsi, au mois d’octobre 1961, sur les 34 cadavres de « N.A » retirés de la Seine ou de la Marne, notamment aux barrages de Suresnes et de Bezons puis conduits à l’IML, la quasi totalité étaient des harkis, des partisans de la France ou des membres du MNA, une des méthodes d’assassinat du FLN consistant à noyer ses opposants. La police française n’est pour rien dans ces noyades.

François Hollande devra donc rendre compte au tribunal de l’Histoire car il a couvert de son autorité un mensonge, une manipulation, un montage grossier qui va être utilisé contre la France par ceux que son ministre de l’Intérieur a qualifiés d’ «ennemis de l’intérieur ».

Pour en savoir plus :
- Brunet, J-P., (2002) « Enquête sur la nuit du 17 octobre 1961 ». Les Collections de l’Histoire, hors série n°15, mars 2002.
- Brunet, J-P., (2008) « Sur la méthodologie et la déontologie de l’historien. Retour sur le 17 octobre 1961 ». Commentaire, vol 31, n°122, été 2008.
- Brunet, J-P., (2011) « Combien y a-t-il eu de morts lors du drame du 17 octobre 1961 ? ». Atlantico, 17 octobre 2011.

Bernard Lugan
17/10/12

[1] Voir à ce sujet le dossier spécial de l’Afrique réelle, novembre 2011 intitulé Pour en finir avec le mythe du « massacre » des Algériens à Paris le 17 octobre 1961.
[2] « Rapport sur les archives de la Préfecture de police relatives à la manifestation organisée par le FLN le 17 octobre 1961 ». Rapport établi à la demande du Premier ministre, M. Lionel Jospin et remis au mois de janvier 1998 par M. Dieudonné Mandelkern président de section au Conseil d’Etat, président ; M. André Wiehn, Inspecteur général de l’administration ; Mme Mireille Jean, Conservateur aux Archives nationales ; M. Werner Gagneron, Inspecteur de l’administration. En ligne.
[3] Voir l’Afrique réelle, novembre 2011.

source

mardi 16 octobre 2012

La loi Taubira et l'ethno-masochisme


 L’on croyait avoir tout vu à propos de la repentance ! Or, au moment où, à Gorée, François Hollande se couvrait la tête de cendres , le cabinet du Premier ministre français reconnaissait qu’il avait été demandé à un « collectif » d’associations de « faire des propositions sur ce qui peut être fait en termes de réparations ». Rien de moins ! Français, à vos portefeuilles…
Peut-être pourrait-on suggérer à Monsieur le Premier ministre de mettre particulièrement à contribution les habitants de sa bonne ville de Nantes, elle qui fut une capitale de la Traite et dont les électeurs apportent régulièrement leurs suffrages au parti socialiste…

La question des réparations est régulièrement posée depuis que, sous un Président de « droite » et un Premier ministre de gauche, les députés votèrent à l’unanimité et en première lecture, la loi dite « Taubira », loi qui fut définitivement adoptée le 10 mai 2001.
Jacques Chirac décida ensuite que ce même 10 mai, serait désormais célébrée la « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions ». Cette décision plus qu’insolite rompait avec une sage pratique voulant, sauf exception, que des dates du passé soient toujours choisies pour célébrer les évènements historiques. Or, avec le 10 mai, ce fut une date du présent qui allait permettre de commémorer des évènements du passé.
Pourquoi ne pas avoir choisi le 27 avril, date anniversaire de l’abolition de l’esclavage en France (27 avril 1848) pour célébrer cette « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions » ? L’air du temps y fut naturellement pour quelque chose…
Il est d’ailleurs proprement stupéfiant de devoir constater que, littéralement couchés devant le politiquement correct, tous les députés de « droite », je dis bien TOUS, votèrent cette loi qui ne dénonce pourtant qu’une seule Traite esclavagiste, celle qui fut pratiquée par les seuls Européens, loi qui passe sous silence le rôle des royaumes esclavagistes africains et la traite arabo-musulmane. L’ethno-masochisme de nos « élites » semble sans limites !
Quelques années plus tard, Christiane Taubira a osé déclarer qu’il ne fallait pas évoquer la traite négrière arabo-musulmane afin que les « jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express du 4 mai 2006) !!!

L’énormité de la demande concernant les réparations est telle que le gouvernement va nécessairement devoir clarifier sa position. Il est même condamné à le faire devant l’impopularité et l’incongruité d’une telle démarche. Mais, harcelé par les groupes de pression qui constituent son noyau électoral, il va devoir donner des compensations « morales » aux « associations » concernées. Nous pouvons donc nous attendre à une nouvelle rafale de mesures de repentance.
Voilà comment l’histoire est violée et comment le totalitarisme liberticide se met en place. Lentement, insidieusement, mais sûrement.

Source : Bernard Lugan

lundi 15 octobre 2012

Nietzsche, le philosophe au marteau



Le 15 octobre 1844 naissait Friedrich Nietzsche.

« Je pense que la solution à la crise culturelle contemporaine nous est donnée par Nietzsche: en parlant de solution j’entends bien ce terme dans son sens le plus positif, le plus actif; Nietzsche ne nous apporte pas seulement des explications sur tous les problèmes culturels, sur le mal de vivre contemporain, il nous offre aussi des remèdes individuels et collectifs (…) Pour tous ceux qui aspirent à une vérité sans équivoque, à une cohérence des valeurs, cette lecture sera un lavage de cerveau et d’âme suivi d’un fleurissement de potentialités souvent insoupçonnées. S’ils sont assez nombreux, Nietzsche aura déblayé pour l’Europe la voie royale révolutionnaire, jeté les tisons ardents de la plus puissante révolution culturelle dans l’histoire connue de la planète ».

Robert Dun

Féministes ou fumistes ?


Il faut dire qu’en ce morne début d’août, la tribune libre du Monde avait fière allure. Intitulée « Harcèlement : la rue ne doit plus être un espace où les femmes sont exposées au sexisme et aux violences », elle était signée par Magali, Anne-Cécile et Hélène, « membres d’Osez le féminisme! ».

C’est le point d’exclamation d’Osez le féminisme ! qui m’a tout de suite ravi. Jeune militant (dans un azimut pas exactement féministe, avouons-le), j’ai collé bien des affiches, toujours ou presque ornées de points d’exclamation. Après nous, les maos ont quelque temps encore maintenu la tradition (“Servir le peuple!”), mais ensuite, le point d’exclamation a déserté un monde politique envahi de prudents bureaucrates, plus enclins à la froide litote qu’à l’exaltation.

Également, tout au long de la tribune libre, de constantes références aux « femmes victimes de viol », aux « violences machistes » – le criminologue ne pouvant bien sûr que frémir à l’évocation de ces graves exactions.

Je me suis donc précipité sur le bulletin Osez le féminisme ! dont j’ai lu toute la collection, du numéro 0 au numéro 19 et le dernier paru (juin 2012). Quel bilan en ai-je tiré ?

Côté proclamations, de l’énergie à revendre : « Violences, discriminations, oppressions, nous en avons assez. » Côté intellectuel-bac+5, rien à dire non plus : « De la construction du genre et des rapports entre les sexes », ça, c’est un sujet de conférence qui en jette. Mais côté concret, j’ai cherché en vain. Le grand vide intersidéral. Qui sont les agresseurs ? où et comment opèrent-ils ? « 75 000 femmes violées par an », oui bien sûr, mais dans la France de 2012, qui sont leurs bourreaux ? Rien dans Osez le féminisme ! – sinon (numéro 17) un article dénonçant énergiquement les « viols français au Rwanda » – qui m’a quand même laissé sur ma faim.

Alors j’ai pensé que les moteurs de recherche et les médias m’aideraient. Ayant tapé “viols de mineures”, et “fugueuses, prostitution” (116 000résultats pour cette dernière recherche), la réponse m’a sauté aux yeux.

Quel fut le sort d’une fugueuse de 14 ans, égarée en avril 2005 vers une cité coupe-gorge de Carpentras ? Séquestrée par une meute, elle fut, pendant plusieurs semaines, violée dans des caves par trente individus de 16 à 22 ans ; exhibée, filmée, ses bourreaux la prostituèrent même à des automobilistes de passage. Qui, en août 2009 encore, a fait vivre un « épouvantable calvaire » à la petite Julie (de Toulouse, 14 ans) ? Qui, en juin 2012, dans le tristement notoire quartier du Franc-Moisin, à Saint-Denis, a « violé en réunion » une « collégienne de 13 ans », « adolescente intelligente, mais fragile » ? Ses violeurs n’ayant pas « exprimé le moindre remord ».

Oui, qui happe ainsi les fugueuses ? Qui les torture ? Qui les viole et les prostitue ?

Trop souvent, les coupables de cette odieuse litanie de viols, de séquestrations, de violences sont des racailles, agissant en meutes dans les fameuses “cités sensibles” ou à proximité.

Or pas un mot sur ces crimes aussi graves que chroniques (il y en a de semblables, quasiment chaque semaine à l’échelle nationale) dans Osez le féminisme !.

Rien non plus sur les arguments – pires encore, si possible – dont usent leurs avocats pour défendre ces violeurs. Échantillon (il s’agit ici de l’affaire de Carpentras et d’une pré-adolescente) : « C’est dans la relation avec le sexe qu’elle va vers l’autre. Ce n’est pas une recherche de plaisirs ; elle s’exprime avec son cul. » Et l’incitation au viol alors ? Qui, d’abord en chansons, pousse aux “violences machistes” justement dénoncées par Magali, Anne-Cécile et Hélène ?

Sur Internet, on tombe vite sur les rappeurs de Ministère A.M.E.R et leur chanson Brigitte (femme de flic) – un exemple entre cent. Extraits : « C’est la putain d’une fille de brute. C’est-à-dire d’un flic de pute. […] Les novices du vice pissent sur la police. » Or la photo du groupe Ministère A.M.E.R n’est pas précisément celle d’un groupe folklorique berrichon.

Et c’est là où le bât blesse, chères Magali, Anne-Cécile et Hélène. Vous affirmez que « lutte antisexiste et lutte antiraciste sont étroitement liées » : cela ne vous condamne-t-il pas à passer par profits et pertes les horreurs ci-dessus évoquées ?

Et comment dissiper l’idée que, quand vous écrivez : « Ce sont surtout des stéréotypes qui doivent être combattus », vous désertez sagement le réel et vous comportez en prudentes petites bourges frimant sans risque, plutôt qu’en militantes impavides ? Car à “combattre les stéréotypes”, on risque certainement moins de se faire cogner dessus qu’en s’en prenant à des voyous en chair et en os, eux violents – et pas féministes pour un sou.

Redescendez sur terre, chères Magali, Anne-Cécile et Hélène. Ouvrez les yeux. Dénoncez bravement, en vraies militantes, les vrais violeurs ; défendez les vraies violées. Sinon, le côté factice que prendrait votre “combat” risquerait de faire rimer féministe et fumiste, ce qui serait dommage.

Source : Xavier Raufer, criminologue

Réfléchir & Agir n°42


vendredi 12 octobre 2012

Prix Nobel de la paix

Le prix Nobel de la paix a été attribué, vendredi 12 octobre, à l'Union européenne (UE), pour avoir "contribué pendant plus de six décennies à promouvoir la paix et la réconciliation, la démocratie et les droits de l'homme en Europe", a annoncé le comité Nobel.

source

on aimerait en rire si ce n'était pas si lamentable ...

Vendredi, le jour de Rivarol


Il dormait avec une hache et un vélo ...

Exilé volontaire en Argentine, Robert Le Vigan meurt le 12 octobre 1972.
En 1943, il avait adhéré au Parti Populaire Français de Jacques Doriot et rejoint Louis-Ferdinand Céline à Sigmaringen en 1944. Cette fuite avec l’écrivain en Allemagne pour échapper à la sanglante Épuration est décrite en détails par Céline dans « Nord » et « Rigodon » dont Le Vigan est un des protagonistes aux côtés de Lili, la compagne de Céline, et du chat Bébert. 
Marginal et excentrique : « Il dormait » , rapporte Madeleine Renaud, » avec une hache et un vélo, pour se défendre et s’enfuir« .

Il avait joué dans les remarquables « Disparus de Saint-Agil » , « Goupi Mains Rouges » et « L’assassinat du Père Noël », films adaptés des romans du charentais Pierre Véry qui mourut curieusement, jour pour jour, douze ans précisément avant lui, le 12 octobre 1960.

A découvrir, ce site sur la Vigue comme l’appelait Céline :

http://encinematheque.net/seconds/S43/index.asp

jeudi 11 octobre 2012

L’immigration de substitution se poursuit, inéluctablement…


L’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) publiait en début de semaine une étude, « Immigrés et descendants d’immigrés en France « , qui confirme la progression de l’immigration de peuplement sur le sol français. On y apprend notamment que les descendants d’immigrés sont plus nombreux que les immigrés eux-mêmes : « plus de 5,3 millions d’immigrés vivaient en France en 2008, les deux tiers natifs de pays hors UE. Leurs descendants sont près de 6,7 millions, soit 11% de la population. Au total, plus de 7 millions de personnes nées à l’étranger résident en France« . Plus de détails ici.

Il est vrai que la France se met sous la dépendance des populations extra-européennes qu’elle attire économiquement, aussi bien pour pallier l’insuffisance de sa natalité qui peine à elle seule à assurer le renouvellement des générations, que pour pourvoir à la place des français, exploitant ainsi une main d’oeuvre bon marché, les métiers manuels financièrement  dévalorisés. Mais rien n’est fait pour endiguer cette politique de déracinement qui accroît chaque année le brassage des populations et des cultures : les français seront bientôt minoritaires sur la terre de leurs ancêtres ? Ces bâtisseurs auront-ils oeuvré en vain ? Était-il écrit que leurs fils ne seraient plus leurs débiteurs ? Peut être faudra-t-il atteindre le point de non retour pour être définitivement fixé, à moins que…
Source (Jean de Rouen) 

Jacques Doriot et le PPF

Auteur : Bernard-Henri Lejeune
Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Année : 2012
170 pages, 18,00 €

Edité une première fois en juillet 1977, cet « historisme » fut longtemps le seul livre de référence sur Jacques Doriot et sur le Parti populaire français. L’ensemble des documents qui le compose, rassemblés par Bernard-Henri Lejeune, constitue une véritable mine de renseignements à la fois sur l’homme et sur le parti. La lecture de ces textes, écrits par les intellectuels les plus en vue de l’époque, tels Pierre Drieu La Rochelle, Pierre Dominique, Robert Brasillach, François Mauriac, Bertrand de Jouvenel, Roland Gaucher, Maurice Duverger et bien d’autres, ou retrouvés dans les archives d’anciens responsables du PPF, permettra de se faire une opinion dégagée des poncifs de l’historiquement correct sur cette grande aventure qui marqua l’histoire des mouvements nationalistes français dans les années 30.

L’auteur :
Bernard-Henri Lejeune, dès l’âge de 16 ans, fut militant dans les organisations de jeunesses du Parti populaire français. Toute sa vie il resta fidèle à son engagement et il fit son possible pour défendre, envers et contre tous, la mémoire de Jacques Doriot. Il anima dans les années 60 et 70 le Cercle d’études politiques et sociales, association nationaliste très active en Picardie.
Commandez Jacques Doriot et le PPF :
Règlement à la commande par chèque à l’ordre de Synthèse nationale à retourner à :
Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris
18, 00 € l’exemplaire (+ 3 € de port)
Nombreuses illustrations, 1re partie : avant la défaite de 1940 (parution de la seconde partie au printemps 2013)

pour commander

mercredi 10 octobre 2012

Prisons : état des lieux


Les surveillants de prison sont constamment en colère et ils ne cessent d’interpeller leur ministère de tutelle pour réclamer plus de moyens. Au début de l’année, certains avaient même dressé des barricades devant  quelques établissements pénitentiaires. Rien dans les médias!
A Colmar, pendant la campagne électorale présidentielle, une soixantaine de manifestants avaient bloqué l’accès à la maison d’arrêt, une bousculade avec la police venue les déloger s’en était suivie à coups de gaz lacrymogène et avait fait un blessé parmi les gardiens, une femme tombée sur la tête, et deux parmi les policiers, blessés aux jambes. Les journaux n’en avaient pas parlé !

Les conditions de travail dans les prisons françaises sont devenues insupportables.

Ailleurs, ce sont les détenus qui commencent à prendre la parole et les premiers à le faire, ce sont précisément les détenus d’outre-mer, non seulement parce que Christiane Taubira, la garde des Sceaux en est originaire (Guyane) mais surtout parce qu’elle s’est illustrée depuis longtemps par des joutes oratoires lyriques contre l’esclavage et le bagne. Ses compatriotes la rappellent à l’ordre. La pasionaria anti-esclavagiste devenue architecte de prisons ! En Martinique, les détenus ont dénoncé dans une pétition, la « surpopulation » de la seule prison de l’île qui génère « bagarre et agressions » et oblige nombre d’entre eux à dormir sur des matelas au sol avec « cafards et souris », selon l’Observatoire International des Prisons (OIP).
(...)

L’Islam, première religion des prisons françaises …

L’Islam est la deuxième religion en France mais, déjà, en effet, la première en prison ! L’affaire Mohamed Merah nous l’a rappelé mais c’est un constat qu’avait déjà fait le sociologue Farhad Khosrokhavar dans L’Islam dans les prisons, (Edition Balland) : « Le taux des islamistes dépasse souvent les 50% de la population carcérale, avoisinant parfois les 70%, voire les 80% dans les prisons proches des banlieues, soit huit prisonniers sur dix. Or, ces hommes et ces femmes ne représentent que 7 à 8% de la population française ».
Pendant deux ans, Khoroskhavar, directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en sciences sociales, a eu le droit de mener une enquête dans trois prisons représentatives de la population carcérale française, en Ile de France et dans le Nord. Un constat se dégage : l’Islam qui n’est pas reconnu par les institutions se radicalise et l’intégrisme gagne du terrain. Le milieu carcéral est de plus propice aux conversions. Le premier contact s’établit souvent durant la promenade ou sur le terrain de sport. Puis, c’est un prêt du Coran, ou d’une cassette. Enfin, viennent les prières et surtout l’observation collective du ramadan. Ignorer l’Islam en prison et esquiver l’obstacle en plaçant la laïcité dans la constitution, c’est ouvrir le champ à une radicalisation de plus en plus dure de la question religieuse en France.

De Taubira à Copé, le racisme anti-blanc

(...)
Pour revenir sur les prisons pleines, faute de places, on sait que de nombreux inculpés restent chez eux et que dans certains procès, on libère pour « maîtriser les flux », comme l’on dit dans le jargon ! Pourtant, tout indique au niveau sécuritaire que la situation ne cesse d’empirer. Un exemple, parmi d’autres - mais ô combien significatif ! -, 109, c’est le nombre d’arbitres agressés en moyenne, chaque semaine, sur les terrains de football amateur de l’Hexagone lors de la saison 2010-2011, soit 5 417 au total.

On nous parlera alors du « vivre ensemble », de « règles sportives incomprises » mais on a plutôt l’impression en épelant les faits divers sécuritaires de ces dernières semaines qu’un climat d’insurrection sourde, de résistance larvée s’incruste dans le paysage français,  une rébellion, qui commence à prendre petit à petit une tournure raciale, un style anti-blanc que Jean-François Copé dans son arrivisme honteux a su quand même pointer du doigt sans jamais s’en prendre bien sûr à l’éducation de la repentance, à la mauvaise conscience coloniale dont il a  toujours été, avec Taubira, l’un des premiers propagandistes.

Source Michel Lhomme

mardi 9 octobre 2012

NRH Hors série n°5 - Jeanne d'Arc, une passion française

Edito du Hors série n°5 – Printemps/Hiver 2012

L’écrivain qui a sans doute le mieux perçu le mystère de Jeanne d’Arc au cœur du mystère français est un Allemand, Friedrich Sieburg, auteur en 1929 de Dieu est-il français ? Essai fameux, publié en français l’année suivante par Bernard Grasset.

L’essai s’ouvre par une trentaine de pages éblouissantes sur le personnage admirable et mystérieux de Jeanne. Sieburg veut voir en elle la clef interprétative de la France, ce qui est flatteur : « Toute route, menant au cœur de l’être français, doit partir de Jeanne ». La suite n’aurait pas dû déplaire au lecteur français qui se voyait conforté dans l’idée un peu écornée aujourd’hui de sa “supériorité” : « De même que Jeanne revendiquait le roi du ciel au bénéfice exclusif de la France, de même ses descendants, nos contemporains, mettent à leur profit l’embargo sur la civilisation et ne laissent à autrui que l’alternative de se soumettre à leur esprit, ou d’être du “non-esprit”. »

La prétention française à l’universel (qui inspira entre autres les “droits de l’homme”) a été notée par tous ceux qui ont réfléchi au sujet. C’est un thème qu’a longuement développé l’anthropologue Louis Dumont dans L’idéologie allemande. France-Allemagne et retour (Gallimard, 1991). A la façon de Sieburg, mais dans un style moins coloré, Dumont discerne aussi chez les Français une culture individualiste qu’il oppose à la culture communautaire (holiste) des Allemands. Personne ne contestera qu’à partir du XVIIe siècle, la France a commencé de cultiver l’universalisme et l’individualisme, nés entre autres de la Contre-Réforme et de l’esprit de géométrie.

Les modifications intervenues dans la pensée à partir du XVIIe siècle écornent la thèse si brillante de Sieburg sur Jeanne d’Arc. Contrairement à ce qu’il croyait, la Pucelle ne fit jamais l’unanimité parmi les Français. Dès le XVIe siècle, époque de la Renaissance et des guerres de religion, sa haute figure était oubliée. Aux deux siècles suivants, qui virent triompher l’ordre classique puis la pensée rationaliste, Jeanne devint étrangère et suspecte. Son indépendance farouche, son rayonnement de sainteté magique n’étaient plus compris. Dans son Abrégé de l’Histoire de France pour l’instruction du Dauphin , Bossuet flaire en elle une hérétique dangereuse contre qui s’imposent les plus grandes réserves. Plus tard, le rationalisme et le libertinage du XVIIIe siècle dictèrent à Voltaire la satyre infâme de sa Pucelle . Le retournement vint au XIXe siècle avec l’éveil du romantisme. Redécouvrant les splendeurs celtiques et médiévales, celui-ci redécouvrait Jeanne, qui devint aussi un enjeu national et politique.

Beaucoup moins que d’une prétendue universalité, Jeanne témoigne en fait de la part médiévale et enracinée de l’âme française, dont Descartes figure le pôle opposé. En France, on ne le dit pas assez, deux traditions se mêlent et se heurtent tour à tour, tradition celtique de la poésie sensuelle et froide tradition latine de la rationalité, France de Villon et France de Bossuet. Jeanne appartient à la première et Descartes à la seconde.

Malgré ses vues profondes et sa perception psychologique, Sieburg semble avoir méconnu cette dichotomie fondamentale. Il a décrit la France arrogante d’après 1918, sans en saisir le caractère double suggéré par l’œuvre à venir de Céline. Abusé par la thématique universaliste du discours français, par l’instrumentalisation politique de Jeanne et par le fameux « embargo » sur la civilisation et l’humanité, il a imaginé que ce qu’il voyait décrivait la France de toujours, alors que ce tableau était celui d’un moment particulier.

Dominique Venner

lundi 8 octobre 2012

Bannière Languedoc



Avis de naissance

C'est avec joie que nous vous présentons le nouveau blog  de la bannière Terre et Peuple du Languedoc ! Salut Kamarade !



http://terraepoble.wordpress.com/

via bannière Bourgogne

vendredi 5 octobre 2012

Contre le capitalisme spéculatif


Sa défaite de 1918 provoqua en Allemagne un profond traumatisme collectif, nourrissant interrogations, doutes, remises en cause dans tous les domaines de la vie sociale. Aux questions posées certains hommes voulurent apporter des réponses. Pour surmonter l'épreuve et préparer l'avenir. Gottfried Feder était du nombre
Il eut la conviction d'avoir trouvé une clef décisive pour comprendre la crise existentielle de l'Allemagne et y remédier : le grand fautif était le capitalisme spéculatif, qui tire son profit non du financement de la production et du travail des producteurs mais des manipulations financières à l'échelle internationale, suscitent des prises de bénéfice colossales, sans tenir compte et même à l'encontre des intérêts des citoyens et des collectivités nationales. La haute banque cosmopolite joue contre le peuple, sans aucun scrupules.
Feder s'est attelé à la rédaction d'un texte expliquant les méfaits du capitalisme spéculatif. Ce document a joué un rôle important dans la genèse du mouvement et de la doctrine national-socialistes dont Feder fut effectivement partie prenante. C'est pourquoi il était nécessaire de la porter à la connaissance des lecteurs français s'intéressant à l'histoire des idées et des mouvements politiques du XXe siècle.

Commandes

Vendredi, le jour de Rivarol


jeudi 4 octobre 2012

Poitiers : Exposition « La fabrique de la paix »


jusqu'au 2 déc 2012. POITIERS (86) | Espace Mendès France- 1 place de la Cathédrale.

« Peut-on reconnaître un français à sa couleur de peau ? John est-il le prénom le plus courant au monde ? Les réfugiés sont des profiteurs, fait ou préjugé ? Jouer au rugby quand on est une fille, normal ou bizarre ?
Cette exposition interactive sur la paix, les conflits, les préjugés et la diversité propose une approche pédagogique active et non moralisatrice de ces sujets d’actualité. Elle s’adresse en priorité aux adolescents, mais pas seulement, et invite les visiteurs à réagir à des situations quotidiennes, pour évaluer eux-mêmes leurs préjugés et les effets de leurs comportements. »
Exposition réalisée par la Stichting Vredeseducatie (Fondation pour l’éducation à la Paix située aux Pays-Bas) et la Fondation Evens, et proposée en partenariat avec la Ligue de l’enseignement – Fédération des oeuvres laïques de la Vienne.
*******************************
(ndlr. Avouons le tout de suite : on commence à en avoir ras le bol ; ça fait déjà longtemps qu'ils n'arrêtent pas de nous enquiquiner, pour rester poli, avec leur propagande incessante. C'est la méthode Mao : répéter, répéter, répéter et encore répéter jusqu'à ce que ce soit bien inscrit dans notre petite tête ! On appelle ça, aussi, un lavage de cerveau. Il fut un temps où l'Espace Mendès-France s'appelait « la Maison des Sciences et Techniques », soit la MST, soit « la Maladie Sexuellement Transmissible » : elle fait honneur aujourd'hui à son ancienne appellation ! Il suffit de lire la première phrase « peut-on reconnaître un français à sa couleur de peau ? » pour comprendre que cette expo sera tout sauf honnête et qu'elle n'a été montée que pour cajoler la pensée unique, pour, entre autres, enfoncer dans le cerveau de nos petites têtes blondes les bienfaits du métissage et de la « diversité », comme un virus, effectivement transmissible... mais bon, à trop en faire, n'est-ce-pas, on peut penser que la réaction viendra et que la corde qu'ils tressent pour être pendus servira un jour ...)

L'Islande, un exemple ...


« Je ne cesserai jamais de répéter que l’Islande est LE pays à prendre en exemple,même s’il est complètement ignoré des médias, s’il est loin ou quelle qu’en soit la raison pour ne pas en parler, c’est le pays à suivre! Payer pour les banques? Même pas en rêve, là bas ils ont été emprisonnés! Sauver les banques? Elles ont été nationalisées. Quand à la croissance actuelle, elle se porte au mieux.  
L'Islande a terminé l’année 2011 avec une croissance économique de 2,1% et selon les prévisions de la Commission européenne, elle va faire le triple du taux de croissance attendu pour l’UE en 2012 (La croissance de l’UE est prévue à 0,5% en 2012 contre 1,5% en Islande). Pour 2013 la croissance devrait atteindre 2,7%, principalement à cause de la création d’emplois. L’Islande est le pays qui a nationalisé les banques privées et qui a emprisonné les banquiers responsables de la crise.L’Islande a été le seul pays européen qui a rejeté par un référendum citoyen le sauvetage des banques privées, laissant s’effondrer certaines d’entre elles et jugeant de nombreux banquiers pour leurs crimes financiers.
Pendant ce temps dans un pays comme l’Espagne, le ministre l’économie qui fut un grand responsable chez Lehman Brothers, a maquillé les soldes bancaires et a gonflé les résultats pour faire croire à une solvabilité du système financier résultant de la déréglementation des marchés mais ce dernier a fini par s’effondrer.
Glitnir, Landsbankinn et Kaupthing furent les banques nationalisées en 2008 pour éviter leur faillite et qui furent placées sous contrôle démocratique, plutôt que de profiter d’injections inconditionnelles de capitaux publics, comme en Espagne ou dans les autres pays européens. En juin dernier, l’une d’elle Landsbankinn, a annoncé son intention de rembourser les intérêts aux détenteurs d’hypothèques pour compenser les citoyens de payer leurs pertes ... »

Lire la suite  

mercredi 3 octobre 2012

Saintes (17) : une salle de prière à 53 centimes le m²


Communiqué des identitaires de Saintonge :

Nous apprenions il y a de cela dix jours par un article du journal  Sud-Ouest que l’association des musulmans de Saintes (17) disposerait d’un local pour prier en « toute dignité ». Rien de plus normal.
 Là où nous tiquons, c’est qu’un bail emphytéotique de 99 ans allait être signé pour un loyer dérisoire de 80 € par mois avec la mairie de Saintes. La valeur de ces locaux a été estimée à 97 700 Euros (travaux inclus) : si l’on fait un calcul rapide on constate que ce loyer, malgré la durée du bail, ne sera pas à même de couvrir le coût réel du bâtiment et donc de subvenir aux frais d’entretien engendrés par cette structure. On peut facilement en conclure que cette charge sera supportée par les contribuables Saintais.
 Nous avons appris, toujours via le journal Sud-Ouest,  que le club de réflexion ‘’La Libre Pensée 17 ‘’ (que l’on peut difficilement taxer de fascisme et racisme) s’émouvait des avantages certains dont bénéficierait l’association des musulmans  de Saintes. Le président de La Libre Pensée 17, Monsieur Claude Biardeau a pu parler à juste titre de ‘’laïcité malmenée’’, et de rappeler que malgré ces procédés détournés (bail de 99 ans, loyer plus que modéré),   la république française , à travers l’article 2 de la constitution, ne reconnaît, ne salarie, ni ne subventionne aucun culte.
 C’est pourquoi  le Bloc Identitaire Saintongeais demande à ce que les élus de Saintes  s’opposent à ce projet à leur prochaine réunion du 15 Octobre. Sans cela, comme à notre habitude, nous mettrons toute en oeuvre afin de faire suspendre ce projet scandaleux.


source

Des musulmans choqués par un papier WC


Dans la série "mais jusqu'où vont-ils aller ?"

Un papier toilette marqué des signes du zodiaque et commercialisé par Carrefour a été retiré de la vente en Belgique.
Les signes du zodiaque dessinés sur le papier toilette (notamment ceux de la Vierge et du Capricorne) rappellent en effet la graphie des noms d'Allah et Mahomet,  écrit le journal "La Capitale".
Carrefour a fait retirer ce papier toilette de la vente pour "désamorcer le problème". Le produit avait déjà été retiré des rayons en France, pour les mêmes raisons.
Plusieurs musulmans interrogés par le quotidien trouvent la ressemblance "tirée par les cheveux" et parlent de "polémique inutile".

Source

(ndlr. si on comprend bien, les musulmans ne sont pas à l'origine de cette histoire, c'est simplement Carrefour qui a pris les devants d'un problème éventuel, a baissé sa culotte et même fourni la vaseline. Maso et kollabo ! A la lanter-er-ne !!!)

mardi 2 octobre 2012

Douce France !


"A Marseille, dans le XVe arrondissement (les « quartiers Nord », où règne la loi des Kalashnikov), des « habitants » ont chassé sans ménagement des Roms qui s’étaient installés au pied de leurs immeubles, avant de mettre le feu à leur campement. Ils ont agi ainsi, disent-ils, parce que les vols et l’insalubrité étaient devenus insupportables, tandis qu’autorités locales et forces de police faisaient preuve d’une totale inertie, malgré force réclamations. Détail important : les « habitants » en colère sont des Maghrébins, comme tout un chacun a pu le constater sur les écrans de télévision (l’info en direct a du bon). Les ligues de vertu antiracistes sont dans l’embarras (le mot est faible) : on ne peut, malgré les évidences, accuser de racisme des Maghrébins, n’est-ce pas ? Mais on peut difficilement les approuver… Il est donc urgent de ne rien faire.
Le plus important, dans cette affaire, est ce qui est sous-jacent à l’incident. A savoir le message que celui-ci véhicule : quand les Gaulois sont incapables, par veulerie et ethnomasochisme, de faire régner l’ordre, les Maghrébins, eux, sont capables de le faire. Conclusion : braves gens, si vous voulez vivre dans la tranquillité, faites confiance à l’islam. Avec lui – et bien sûr si vous acceptez de vous soumettre à lui – vous n’aurez plus de problème, la charia sera un garant de paix.
Echirolles, à côté de Grenoble : deux jeunes hommes, l’un Noir l’autre Maghrébin, ont été poignardés à mort par une quinzaine d’autres « jeunes », venus d’un quartier voisin. Règlement de compte dont le procureur de la République dit ne pas arriver à comprendre la raison, puisqu’au départ il y a eu simplement « un mauvais regard » jeté par un adolescent à un autre. Cet abruti ne voit pas – ou refuse de voir, au nom du politiquement correct – qu’il s’agit là, simplement, d’un nouvel épisode illustrant ce que nous disons depuis longtemps : une société multiraciale est une société multiraciste, au sein de laquelle des bandes de quartiers s’affrontent pour des questions de domination territoriale et de contrôle des trafics en tous genres qui brassent beaucoup, beaucoup d’argent. Les media se sont dépêchés, dès que l’info du double assassinat est tombée, de répéter en boucle que les deux victimes étaient des gens au-dessus de tout soupçon, sans aucune implication dans des affaires louches. Peut-être… Mais attendons la suite de l’enquête (si ses conclusions ne sont pas discrètement étouffées)."

Pierre Vial via Synthèse Nationale

Pour un Ordre Nouveau


lundi 1 octobre 2012

après la manif interdite

Communiqué de presse de l'Œuvre française et des Jeunesses Nationalistes du Samedi 29 septembre 2012.



Aujourd’hui, samedi 29 septembre 2012, a été interdite à la dernière minute la manifestation des Jeunesses Nationalistes programmée depuis deux mois. Sur le thème « Maîtres chez nous », avec l’accord des autorités légales, les nationalistes ont voulu manifester pour exprimer leur révolte la plus légitime face au racisme anti-blancs dont sont victimes chaque jour les Français de souche.

Une fois encore, après les 2 interdictions de Lyon en juin 2012, un pouvoir illégitime qui continue de desservir les intérêts de la France et de ses filles et fils, a voulu museler les Souchiens. Toutefois, pacifiquement mais fermement, afin de canaliser des centaines de jeunes venus à l’appel des Jeunesses Nationalistes, un ordre de rassemblement a été donné à Paris pour affirmer que le droit légitime des Français non reniés à rester maîtres chez eux était imprescriptible et prévalait sur la volonté d’un régime politique installé en France mais qui n’est pas de France.

Malgré la volonté du système de nous faire taire, nous nous sommes rassemblés devant Notre Dame de Paris afin de montrer que les Français relevaient la tête et étaient déterminés à redevenir maîtres chez eux. Avant même d’être encerclés par des forces de l’ordre au pied de la Statue de Charlemagne place Notre Dame à Paris, avec une brutalité sans pareil, les militants dont Alexandre GABRIAC et Yvan BENEDETTI ont été arrêtés par la police du ministre à la kippa Manuel Valls.

Cette répression montre non pas la force mais la faiblesse d’un régime aux abois empêtré dans une crise économique porteuse d’une grave crise sociale et politique à venir. Comme toujours, l’avenir appartiendra à ceux qui sauront constituer une minorité politiquement formée et inaccessible au découragement.

Plus que jamais nous sommes déterminés à rester maîtres chez nous, à rétablir la France. Nul ne nous fera taire ! Hauts les cœurs, en avant la victoire !


Yvan BENEDETTI, président de l’Œuvre française.
Alexandre GABRIAC, fondateur des Jeunesses Nationalistes, conseiller régional.

Terre et Peuple n°53




Anniversaire

Maurice Bardèche qui se disait lui même “écrivain fasciste” est né le 1er octobre 1907 à Dun-sur-Aurun dans le Cher.
Il s'occupe longtemps de ses travaux littéraires et universitaires mais les horreurs de l’épuration et notamment l’exécution de son beau-frère et ami Robert Brasillach, au matin du 6 février 1945, le décident à entrer en politique comme d’autres entrent en religion. Il affirmera dans Jeune nation, en 1959: « C’est la mort de Brasillach et l’épuration qui ont fait de moi un animal politique. La politique ne m’intéressait absolument pas avant cette date; à partir de ce moment-là, j’ai foncé dans la politique. »


« Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l’homme et de la création. Je crois à l’inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l’hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d’autres hiérarchies que celle de l’argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner, c’est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré. »

(Sparte et les Sudistes. Éditions Les sept couleurs.)