jeudi 31 mai 2012

La banque Rothschild et le pouvoir "socialiste"

Les deux secrétaires généraux adjoints de la présidence de la République nommés par François Hollande sont :

Emmanuel Macron qui s'occupe des questions économiques. Il a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance) . Membre du PS il a milité dans le Pas-de-Calais dans les années 2000. Depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l'alternance.

Nicolas Revel, fils de la journaliste Claude Sarraute, était jusqu'ici directeur de cabinet de Bertrand Delanoë. Nommé secrétaire général adjoint de la présidence de la République, en tandem avec Emmanuel Macron, il est plus particulièrement chargé des questions régaliennes.

Arnaud Montebourg a fait le choix, pour diriger son cabinet, de la plume de Laurent Fabius, ancien de la banque Rothschild, Stéphane Israël.

Le "conseiller spécial" de M. Montebourg sera Christophe Bejach, membre du directoire de la compagnie financière Saint Honoré, holding de tête du groupe Edmond de Rothschild.

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mercredi 30 mai 2012

Mélenchon agace ...


"Jean-Luc Mélenchon se targue d'être le seul, avec son parti le Front de Gauche, à attaquer l'extrême-droite (sur ce point c'est vrai), mais ses attaques contre la presse le placent malheureusement au même très bas niveau que le Front National qu'il veut combattre. Ainsi, dans une dernière sortie publique, le trublion de la gauche a accusé le Parisien et l'Expres d'être "proches du FN". Une accusation qui va loin et qui met naturellement en colère les journalistes de ces deux quotidiens.
"Reste que le harcèlement de quelques mirmillions nous a déjà assez pourri la vie, comme pendant la présidentielle, pour que j'ai pris la décision, de ne plus publier une bonne partie de mon agenda et m'éviter ainsi leur présence. En tête du classement de ceux qui inventent la moitié de leurs informations en vue de recueillir l'autre moitié, les journaux proches du Front National du fait de leurs lecteurs, le Parisien et l'Express" a ainsi déclaré le candidat aux législatives. Une appréciation qui passe très mal auprès de la société des journalistes qui envisage de porter plainte.
Condamnant ces propos, la société des journalistes a publié un communiqué déclarant "le candidat continue de lancer des invectives contre la presse en général (...) à qui il reproche finalement d'être libre". Plus grave encore, l'ancien sénateur socialiste a qualifié un journaliste qui le suivait de "bon facho patenté", une sortie qu'il avait déjà lancée, dans l'entre deux tours, contre les journalistes du Petit Journal.
Si l'on peut naturellement critiquer la teneur d'un article ou la ligne éditoriale d'un journal qui ne serait pas objectif, les propos tenus par Jean-Luc Mélenchon vont beaucoup trop loin et ne se basent sur aucun fait réel ou avéré dans la mesure où ni l'Express ni le Parisien ne sont connus pour leurs sympathies envers l'extrême-droite, contrairement à d'autres sites d'information. La presse avait été extrêmement malmenée par différents candidats durant la campagne présidentielle (Nicolas Sarkozy, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon principalement), et se placer sur le même plan que ses rivaux n'est pas forcément la stratégie la plus intelligente du Front de Gauche."

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ndlr on notera que les journalistes ne s'offusquent que d'être « rabaissés » au rang de l'extrêeeeeme droâââte !... si on comprend bien, on peut traiter ces plumitifs autant qu'on veut de menteurs, de pourris, de traîtres ou de collabos puisqu'ils n'envisagent de porter plainte que quand on les dit « proches du Front National »... chochottes... Et bien allons-y gaîment, pourquoi se priver ? Ces petits messieurs sont vraiment pitoyables ; il n'y a pas à dire, il y a quand même des moments où on rigole bien à voir s'agiter tout ce petit monde...

Crise économique : l'exemple de l'Islande


La Révolution Islandaise ! par DJAMELITO-UPR

Je fais remonter l'info pour bien montrer qu'il y a d'autres remèdes à la crise quoi qu'on puisse nous dire !...

mardi 29 mai 2012

Terre et Peuple n°51



Contre le droit de vote aux étrangers



Nous vous annonçons la tenue prochaine d’une manifestation unitaire dont l’objet est de s’opposer fermement au droit de vote des étrangers. Un sujet qui est régulièrement remis sur la table par nos « élites » du Système : UMPS, pseudo philosophes ou intellectuels, artistes plus ou moins bidons ont été et sont nombreux à se prononcer en faveur du droit de vote des étrangers.


MAIS QUI SONT-ILS, ces nantis, ces bobos, ces gens déconnectés du peuple et de la réalité, pour oser faire du lobbying en faveur d’une catégorie de la population qui n’a déjà que trop de droits pour le peu de devoirs qu’on exige (à peine) d’eux !

Le 6 mai 2012, ces mêmes bourgeois bohème ainsi que les médias et les politiciens, ont influencé, manipulé une majorité de la population française pour porter François Hollande, aka Flamby, aka Mollande, aux plus hautes fonctions de l’État. Et dès lors nous pend au nez ce fameux droit de vote des étrangers, droit qu’avait déjà soutenu Sarkozy pendant son mandat, avant de le dénoncer, pour l’occasion, hypocritement, au cours de la campagne présidentielle, rappelons-le !

II EST HORS DE QUESTION QUE DES ÉTRANGERS PUISSENT EXPRIMER QUELQUE REVENDICATION QUE CE SOIT SUR NOTRE TERRITOIRE ! Qu’ils sachent que la France est à prendre ou à laisser, que la nationalité s’hérite ou se mérite, et que l’on acquiert par conséquent des droits civiques sur notre territoire non par le droit du sol mais bien par le droit du sang, hérité ou versé pour la France !

Car posons-nous la question : demain le droit de vote des étrangers aux élections dites locales. Et après-demain à votre avis ? Le pouvoir national leur sera cédé ! Les élus locaux ont un pouvoir de nuisance incroyable s’ils sont nombreux à s’opposer à la tête de l’État, ou ont au contraire le pouvoir d’accélérer des processus malsains pour les Français de souche si ceux-ci sont décidés par le Gouvernement ou le Parlement.

L’Union Européenne nous impose déjà grand nombre de directives et de lois, qui ne sont souvent pas dans l’intérêt des Français. Déjà le droit européen prime sur notre droit national ou ce qu’il en reste. ALORS RÉSISTONS FERMEMENT SUR LE DROIT DE VOTE DES ÉTRANGERS, SAUVONS LE PEU DE SOUVERAINETÉ QU’IL NOUS RESTE, NE LES LACHONS PAS, NE NOUS RELACHONS PAS !

Nos élites croient nous manipuler et nous imposer de qu’ils veulent en toute impunité… NE LEUR CÉDEZ RIEN, MAIS PRENEZ LEUR TOUT !
Et le 9 JUIN 2012, TOUS À PARIS MONTPARNASSE DÈS 14H00 POUR MARCHER CONTRE LE DROIT DE VOTE DES ÉTRANGERS !

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Un pour tous, tous pourris

C'est le principe de l'arroseur arrosé. Dans une interview au "Guardian", Christine Lagarde a indiqué que "les Grecs devraient commencer par s'entraider collectivement", en "payant tous leurs impôts". Des propos qui ont entraîné une vive polémique en Europe. Mais, en ce lundi, on apprend que la patronne du FMI ne paie pas d''impôts sur le revenu. Petite explication

L'information fait tache : "protégée" par son statut de fonctionnaire international, Christine Lagarde ne paie pas d'impôts sur le revenu, comme l'a révélé le site Internet "Tout sur les impôts". L'information circule d'autant mieux sur les réseaux sociaux que la patronne du Fonds monétaire international (FMI) a déclenché, en fin de semaine passée, une polémique avec ses propos sur les Grecs et le paiement de leurs impôts. Voici ce qu'elle a, en effet, déclaré au journal britannique "The Guardian" : "Les Grecs devraient commencer par s'entraider collectivement", et ce, en "payant tous leurs impôts". Elle s'est, par ailleurs, dite moins préoccupée par leur sort que par celui des enfants d'Afrique...

Mélenchon réclame sa démission
Des propos qui ont donc été critiqués. On peut, notamment, citer Jean-Luc Mélenchon, ex-candidat du Front de Gauche à la présidentielle : "De quel droit parle-t-elle de cette façon aux Grecs ? Ce sont des propos indignes. S'il y avait une morale politique, Mme Lagarde devrait s'en aller du poste qu'elle occupe".
François Bayrou, président du MoDem, s'en est, lui aussi, pris à l'ex-ministre française de l'Economie en évoquant des "propos extrêmement choquants".

Un salaire de 380.939 € en 2011
Le site "Tout sur les impôts" a donc divulgué que son salaire, qui se serait élevé à 380.939 € en 2011 (dont 57.829 € de frais de représentation), n'était pas soumis à l'impôt sur le revenu, compte tenu de "son statut de fonctionnaire bénéficiaire de revenus issus d'une organisation internationale". Chose confirmée par le site "France Diplomatie".

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ndlr : pour info, on peut signaler que le père la morale Mélenchon, en tant que député européen, ne paie pas non plus d'impôts sur ses émoluments...

vendredi 25 mai 2012

Acceptez-vous en mariage… (liste non-exhaustive)


Outre-atlantique, le président-candidat Obama a déclaré récemment qu’il était désormais favorable au mariage des homosexuel(le)s, non pas à cause « des vidéos de fistfucking en ligne » mais parce que quelques-uns de ses collaborateurs sont « incroyablement engagés dans des relations monogames entre personnes de même sexe et qu’ils élèvent des enfants » et aussi parce que “ces soldats, ces pilotes d’avion, ces marines ou ces marins qui se battent (pour lui) ne se sentent pas libres. »

L’impérialisme américain a bon dos, mais faut-il encore qu’il soit réélu, alors qu’en France, François Hollande ayant emporté l’élection présidentielle en début de mois, son Premier ministre Jean-Marc Ayrault a assuré ce jeudi, à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre l’homophobie « qu’il mettrait en œuvre (son) engagement sur le mariage gay et l’adoption par des couples homosexuels. »

Qu’on le déplore ou non, gageons que cette promesse électorale sera très certainement tenue, à moins d’une défaite prochaine de la gauche aux élections législatives dans quelques jours… Et encore, même si cela advenait, il n’est pas sûr qu’une telle proposition soit repoussée, malgré les déclarations de quelques dirigeants de l’UMP et les engagements de leur ancien champion.

Quoiqu’il en soit, force est de constater, tout de même, qu’un tel changement législatif ne concernera finalement que très peu de monde, pas même la totalité voire la majorité de la population concernée. Ce n’est tout de même pas parce que la loi l’y autorise depuis 30 ans qu’on devient homosexuel pour autant. Gageons que l’autorisation de passer devant Monsieur le Maire – plus rarement sans doute devant monsieur le curé et beaucoup plus difficilement encore devant monsieur l’Imam, monsieur le Rabbin ou monsieur le Grand Gourou – n’intéressera en réalité que quelques dames ou messieurs en mal d’engagements dont la solennité ne durera que ce que dure celle des mariages terriblement conventionnels entre homme et femme, puisqu’« en France, un mariage sur trois se solde par un divorce. Aujourd’hui, la durée moyenne d’un couple est estimée à quatre ans au point que l’on parle désormais de “Couples à Durée Déterminée”…

Que la perspective d’une autorisation du mariage homosexuel choquent nombre de croyants, toutes religions confondues, qu’elle fasse la joie à venir d’une minorité de militants quasi-professionnels de la revendication, permettent à des politiciens d’espérer ainsi grappiller sans la moindre vergogne quelques suffrages électoraux, ou qu’elle fasse hausser les épaules à des millions d’autres, homo ou hétéro-sexuels, la marche du monde n’en sera guère bouleversée.

Mais attendons-nous ensuite à d’autres revendications. Non pas pour obtenir l’autorisation de se marier avec son poisson rouge ou son hamster, comme s’en sont inquiétés sans grande finesse quelques-uns, mais plus sûrement de celle de s’unir entre membres d’une même famille ou encore d’obtenir l’autorisation d’être polygame.

Car en vertu de quelle moralité, de quel tabou, de quel bon sens pourra-t-on logiquement interdire d’officialiser de la même manière que le mariage homosexuel, celui d’un frère et d’une sœur s’aimant d’amour tendre… Tout comme celui de deux frères, deux sœurs, d’un père ou d’une mère avec leurs enfants, voire plusieurs ?

Et comme lorsqu’on aime, on ne compte pas, c’est bien connu, au nom de quel principe pourrait-on interdire l’union collective ? Et puis, comme plus on est de fous, plus on rit, que c’est bien connu aussi, plus on sera de marié(e)s, moins les divorces seront douloureux. CQFD !

(Philippe Randa)

Vendredi, le jour de Rivarol

jeudi 24 mai 2012

Yamina Benguigui : « à qualité égale, priorité au beur »


Un Bogdanoff au gouvernement ?!?

Yamina Benguigui, la nouvelle ministre déléguée aux Français de l’étranger et à la Francophonie, estime que les emplois devraient être réservés aux immigrés par rapport au « blanc de souche ».

Yamnina Benguigui, réalisatrice, présentatrice télé (Hollande semble décidément bien sensible à cette humble profession) et chantre de l’antiracisme, a été nommée ministre dans le gouvernement Ayrault. Cette femme considère que pour les embauches, en France, « à qualité égale, priorité au beur puisqu’il a eu plus d’obstacles à franchir qu’un blanc de souche ».

Une déclaration faite par une ministre de la République française au magazine Courrier cadre, en octobre 2004. Éric Zemmour avait été condamné pour moins que cela, et il n’est pas un représentant de la république.

Il faudrait que les gouvernants arrêtent de nous mettre des pseudos politiques peoples sortis de nul part, dont la présence est uniquement due au symbole qu’ils représentent.

Au delà de ce problème de « politique show-business », présent à gauche comme à droite, en France comme aux États-Unis, si les nominations, comme ministres, de ces peoples sont toutes aussi grotesques que celle de Benguigui, tous ne se permettent pas des discours de discrimination raciale.

En nommant ministre une telle femme aux positions idéologiques anti-françaises nauséabondes, à la limite du racisme, Jean-Marc Ayrault et François Hollande ont fini de convaincre de leur irresponsabilité.

En voyant Yamina Benguigui au ministère, on comprend mieux les couleurs des drapeaux qui ont fleuri place de la Bastille le soir de l’élection de François Hollande. C’était donc cela le fameux rassemblement des Français promis par le candidat avant son élection ?

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(à noter que Yamina Benguigui est par ailleurs membre du club d'influence Le Siècle depuis 2011, à l'instar d'un certain nombre d'autres ministres en exercice... Décidément, il n'y a pas de hasard...)

les mineurs délinquants peuvent s'en donner à coeur joie


Taubira a annoncé dimanche dernier la suppression des tribunaux correctionnels pour mineurs, ainsi que le maintien de l'excuse de minorité, le principe selon lequel un mineur devrait être moins condamné qu'un adulte pour le même délit. Cette excuse de minorité est pain bénit pour les réseaux roumains notamment, qui envoient sans scrupule leurs enfants mendier et dévaliser, en sachant pertinemment que ceux-ci ne peuvent être condamnés : aussitôt relâchés, ils sont envoyés de nouveau dans les rues et les couloirs du métro.

L'insécurité n'a nullement été combattue efficacement sous Sarkozy, et il est difficile d'affirmer que les tribunaux correctionnels pour mineurs jugeaient plus sévèrement que les anciens tribunaux pour enfants. Mais ces déclarations sont catastrophiques de par ce qu'elles annoncent : le règne de l'idéologie rousseauiste de l'homme naturellement bon, alors que le moindre fait divers montre de façon éclatante que l'homme est un loup pour l'homme. Et le loup, animal sauvage, ne s'éduque pas; il est dompté: enfermé ou tué.

De la même façon que l'on peut souhaiter aux juges relâchant allègrement des criminels récidivistes de s'y trouver confronté, l'on ne peut que souhaiter que Taubira soit confrontée à la délinquance sauvage de la Seine-Saint-Denis et d'autres zones de non-droit, où elle n'enverrait certainement pas ses enfants sans une armée de gardes du corps. Souvenez-vous de l'interview de Marie-Neige Sardin, libraire au Bourget, parue dans RIVAROL : les jeunes qui l'ont violée, qui l'ont agressée des dizaines de fois, et continuent de l'agresser, qui s'en prennent à sa fille, ne sont ni poursuivis ni condamnés. Ils ont même donné un petit nom à "la" juge du Bourget--la mère Noël. C'est-y pas touchant?

Tournantes, trafic de drogues, vols avec violence... on ne voit pas pourquoi des jeunes de 16 ans, qui ont la force physique d'un adulte, et que la majorité ne rendra ni plus intelligents, ni plus cultivés, ni moins haineux, ni moins responsables, ne seraient pas punis aussi sévèrement que les mêmes brutes de deux ans leurs aînés.

Taubira parle d'éducation : mais comment une école incapable d'enseigner la lecture à des milliers d'élèves qui en sortent chaque année aussi stupides, voire plus, que lorsqu'ils y sont entrés, peut-elle prétendre leur transmettre le sens de la justice, ou éveiller chez eux une conscience morale?

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(Pour sa première visite officielle, Christiane Taubira avait choisi vendredi de participer à un match de basket opposant des détenus et du personnel pénitentiaire à Paris-Bercy. Mais un détenu de 22 ans, absolument pas charitable, en a profité pour se faire la belle en pleine rencontre.)

Les "antiracistes" contre Google


Un médiateur a été désigné mercredi pour tenter de régler le différend entre Google et des organisations antiracistes qui demandent que le moteur de recherche ne puisse plus associer automatiquement le mot "juif" au nom de personnalités faisant l'objet de requêtes d'internautes.

Lors de l'audience en son cabinet, la juge des référés du tribunal de grande instance de Paris, Martine Provost-Lopin, a accepté, à la demande des parties le principe de la désignation d'un médiateur et fixé au 27 juin à 10H00 une prochaine audience.
Au centre du contentieux, la fonctionnalité "Google Autocomplete" ou "saisie semi-automatique", qui permet de proposer à l'internaute, quand il entre une requête dans la barre de recherche Google, d'autres demandes sur la foi notamment des requêtes faites par d'autres internautes, ce qui simplifie les recherches.

Les organisations antiracistes affirment que de nombreux utilisateurs de Google sont "quotidiennement confrontés à l'association non sollicitée et quasi systématique du terme +juif+ avec les patronymes des personnes les plus en vue dans le monde de la politique, des médias ou des affaires".

Ce faisant, Google Autocomplete enfreint la loi réprimant la constitution de fichiers ethniques, estiment l'Union des étudiants juifs de France, J'accuse!-action internationale pour la justice, SOS Racisme, le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap), la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) et Mémoire 2000.

La médiation a été confiée à un ancien président du tribunal de commerce, Jean-Pierre Mattei, et son cadre sera confidentiel, a indiqué l'avocat de SOS Racisme, Me Patrick Klugman.

"On va parler de philosophie plus que de droit, et de solutions techniques plus que de savoir qui a raison et qui a tort", a déclaré aux journalistes Me Klugman, évoquant "deux approches de la liberté, deux approches aussi de la responsabilité".

"Nous sommes bien conscients que nous ne sommes pas face à un ennemi idéologique mais à un problème qui se pose avec le service de suggestion de Google", a-t-il ajouté.

Un porte-parole de Google France avait expliqué mardi que les résultats des requêtes sur Google étaient "générés de manière totalement automatique, sur la base de critères purement algorithmiques correspondant notamment à la popularité des requêtes saisies par les internautes".

"Google n'établit pas ces requêtes de façon manuelle - l'ensemble des requêtes affichées au sein d'Autocomplete ont été préalablement recherchées par des internautes sur Google", avait-il dit.

Faute d'accord entre les parties au terme de la médiation, l'affaire devra être plaidée.

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mercredi 23 mai 2012

Afrique du Sud: un ouvrier agricole reconnu coupable du meurtre d'Eugène Terre'Blanche



En 2010, Bernard Lugan écrivait : « Eugène Ney Terre'Blanche est le 1148 ème fermier assassiné en Afrique du Sud depuis l’accession au pouvoir de l’ANC au mois d’avril 1994. A titre de comparaison :
- Dans les années 1950, au Kenya pendant la guerre des Mau-Mau, une douzaine de fermiers blancs furent tués.
- Pendant la guerre de Rhodésie, en 15 ans, 270 fermiers blancs furent assassinés.
- En Afrique du Sud, entre 1970 et 1994, en 24 ans, alors que l’ANC était « en guerre » contre le régime blanc, une soixantaine de fermiers blancs furent tués.
Ces 1148 meurtres commis dans un pays officiellement en paix traduisent les profondes tensions raciales caractérisant l’Afrique du Sud et que ne parvient plus à gommer l’image d’Epinal de la « Nation arc-en ciel ».
La rupture de la tectonique raciale sud-africaine a bien été illustrée par l'ancien leader du groupe parlementaire ANC, M.Tony Yengeni qui déclarait en 2001 : "Chaque chose que les Blancs possèdent, ils l'ont volée aux Noirs". Au mois de décembre 2002, la commission sud-africaine des Droits de l'Homme, organisme officiel, affirmait pour sa part que le slogan "Kill the Boer, kill the Farmer" n'était pas un discours de haine mais "un discours indésirable n'incitant pas à la violence et à la guerre ". Forte de cet assentiment, la Youth League de l’ANC a fait de « Kill the Boer » son chant de ralliement. Il semblerait que ses militants l’aient entendu.

La violence ne touche cependant pas que les Blancs. Depuis 1994, la « Nouvelle Afrique du Sud » est ainsi livrée à la loi de la jungle et plus de cinquante meurtres y sont commis quotidiennement. »

Mardi, un tribunal sud-africain a reconnu un ouvrier agricole, Chris Mahlangu, coupable du meurtre d'Eugene Terre'Blanche, défenseur de la communauté blanche en Afrique du Sud à la tête de son Mouvement de résistance afrikaner (AWB), disculpant son co-accusé et jugeant que son assassinat à coups de gourdin et de machette n'avait pas eu de motif politique.
Le juge John Horn a rejeté la thèse de la légitime défense: "Les preuves montrent que l'accusé numéro un est entré dans la ferme du décédé et a pénétré chez lui avec l'intention de le tuer et de le voler."
Chris Mahlangu risque la perpétuité, peine maximum en Afrique du Sud.
La mort d'Eugene Terre'Blanche avait déchaîné les passions en 2010 et fait craindre une flambée de violences raciales juste avant le Mondial de football, joué en Afrique du Sud.
Mais le procès lui-même, qui traînait en longueur depuis octobre, n'a pas déchaîné les passions.
Une trentaine de militants de l'AWB s'étaient mardi réunis devant le tribunal de la petite ville, agitant le drapeau de leur mouvement. Ils sont restés calmes.

les dérapages du Système ...


Facebook : l'introduction en bourse pourrait tourner au scandale
Valorisation trop importante, volume de titres extravagant, mauvaise communication financière... Les soupçons pèsent sur l'introduction de Facebook.

Le titre de Facebook a accusé hier une seconde journée de baisse de 8,9% pour clôturer à 31 dollars, contre un prix d'introduction de 38 dollars, suscitant l'interrogation des marchés et la colère des nouveaux actionnaires. Si Morgan Stanley, une des principales banques d'investissement du monde, est accusé d'avoir fixé un prix d'introduction trop élevé , il s'avère que Facebook avait pourtant prévenu ses investisseurs dès le 9 mai qu'il revoyait ses prévisions de revenus à la baisse. Notamment en raison du passage plus rapide que prévu de ses utilisateurs sur mobile, que le réseau social ne monétise pas autant que sur web fixe.

Là encore, Morgan Stanley, chef de file de cette IPO ( Initial Public Offering : Introduction en Bourse), est dans le collimateur de Wall Street. La banque n'aurait ainsi pas suffisamment informé les marchés des risques de la révision à la baisse des revenus de Facebook, ni informé les investisseurs de manière équitable. Des soupçons qui on déjà poussé l'Etat du Massachusetts à l'assigner pour qu'elle réponde de sa communication aux investisseurs avant l'IPO. Rémunérée en partie sur les fonds levés lors de l'introduction, Morgan Stanley a touché 67,8 millions de dollars de commission lors d'une IPO où la banque était celle ayant le plus de poids pour fixer le prix d'introduction et le volume de titres placés sur les marchés, parmi un pool de 33 institutions financières.
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mardi 22 mai 2012

Les bébés blancs minoritaires aux USA

Pour la première fois, il y a plus de bébés noirs, hispaniques, asiatiques et issus d'autres minorités nés aux Etats-Unis que de nouveau-nés blancs, selon des chiffres gouvernementaux publiés jeudi, qui confirment une tendance de longue haleine.
Les chiffres du Bureau du recensement montrent que les Etats-Unis vont devenir "majoritairement minoritaires". Près de la moitié de ses jeunes enfants appartiennent actuellement à des minorités.

Au 1er juillet 2011, 50,4% des bébés de moins d'un an appartenaient pleinement à une minorité ou étaient métis, contre 49,5% en 2010.
En ce qui concerne les enfants de moins de cinq ans, 49,7% appartenaient à une minorité ou étaient métis en 2011, contre 49% en 2010.
Selon les chiffres du Bureau du recensement, les habitants issus de minorités sont déjà majoritaires dans les Etats de Hawaï, de Californie, du Nouveau-Mexique, du Texas et dans Washington, la capitale des USA.

Au total, 36,6% des Américains appartenaient à une minorité en 2011, contre 36,1% en 2010.
Alors que les 197 millions et demi de blancs représentent deux tiers de la population, les 52 millions d'Hispaniques constituent la minorité la plus importante, devant les 43,9 millions de noirs.
La minorité hispanique est en outre celle qui connaît la croissance la plus rapide, devant la population asiatique qui, avec 17 millions de personnes, a augmenté de 3% entre 2010 et 2011.

Les Amérindiens et les natifs de l'Alaska représentent 6,3 millions de personnes, et les natifs d'Hawaï et d'autres îles du Pacifique sont 1,4 million.
Ces chiffres sont publiés alors que les questions raciales, et d'immigration, en particulier en ce qui concerne les minorités hispaniques, s'annoncent centrales dans la campagne pour les élections présidentielle et législatives du 6 novembre.

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lundi 21 mai 2012

On traque, on enchaîne, on fusille...

« Du 21 au 28 mai 1871, c'est la « Semaine Sanglante » de la Commune de Paris. Les Versaillais prennent, l'un après l'autre, les forts tenus par les communards et entrent dans Paris. Les batailles sont violentes, acharnées. Le 28 mai, on tire les derniers coups de feu. La Commune a succombé à la répression et parmi les survivants, nombreux seront les déportés en Nouvelle-Calédonie. Née de la capitulation et des souffrances des parisiens pendant le siège des Prussiens, la Commune fut d'inspiration patriotique, socialiste, anticléricales et républicaine »

(Éphémérides nationalistes)


A ceux qui, à gauche, voudraient confisquer pour leur profit exclusif cette page d'Histoire, Pierre Vial objecte que ce sont « les radicaux-socialistes de la IIIe République [qui] firent en sorte de neutraliser, en acceptant le jeu constitutionnel et électoral, les ardeurs révolutionnaires des vrais socialistes français, héritiers de Proudhon et de Blanqui, marqués par le beau rêve de la Commune de Paris. Ces hommes et ces femmes (honneur à Louise Michel !) que les bourgeois versaillais traitaient dédaigneusement de « Communards », incarnaient une tradition politique qui, comme l’a rappelé Alain de Benoist « impliquait à la fois le refus de l’exploitation du travail, de l’égoïsme prédateur et du nihilisme jouisseur, en même temps qu’un certain conservatisme moral, le sens de l’honneur et de la parole donnée, le goût de la loyauté, de l’entraide et de la solidarité ». Une telle conception, forgée dans les luttes contre la bourgeoisie louis-philipparde et héritière du compagnonnage, transcendait le clivage artificiel gauche-droite, conçu pour couper les peuples en deux – pour le plus grand profit des usuriers cosmopolites. »

Le bilan total de la Semaine sanglante est d’environ 20.000 victimes, sans compter 38.000 arrestations. C’est à peu près autant que la guillotine sous la Révolution.

samedi 19 mai 2012

Manuel Valls : « Je suis lié de manière éternelle à Israël »



En campagne pré-électorale, le socialiste Manuel Valls a récemment révélé son attachement -qualifié d’« éternel »- à l’Etat hébreu. L’aveu est éclairant : le député de l’Essonne s’est déclaré également hostile à la demande palestinienne d’adhésion à l’ONU. Il est pourtant aujourd'hui ministre de l'Intérieur !

L’élève aurait-il dépassé le maître ? En matière d’allégeance d’un élu de la République envers un Etat étranger, seul Dominique Strauss-Kahn avait osé se démarquer de ses confrères. C’était en 1991, à l’occasion d’un entretien accordé à la revue Passages : « Dans mes fonctions et dans ma vie de tous les jours, au travers de l’ensemble de mes actions, j’essaie de faire en sorte que ma modeste pierre soit apportée à la construction de la terre d’Israël ».

Coming out

Vingt ans plus tard, un de ses plus fidèles partisans est allé encore plus loin : maire d’Evry et député de l’Essonne, Manuel Valls a récemment prononcé des paroles singulières pour un représentant de la Nation. Le 17 juin, le socialiste était l’invité d’une conférence-débat organisée par l’antenne strasbourgeoise de Radio Judaïca. Interpellé par un membre du public sur l’attitude de la gauche contre l’antisémitisme, Manuel Valls a tenu à se justifier par un biais inattendu : l’évocation de son « lien éternel » -à travers son épouse, la violoniste Anne Gravoin- avec « la communauté juive et Israël ». Depuis trois mois, cette petite phrase était passée curieusement inaperçue, notamment de la part des journalistes politiques du microcosme parisien : Oumma se devait de donc réparer cette cruelle injustice en repérant, découpant et mettant en ligne l’aveu stupéfiant d’un homme à la conquête de la magistrature suprême.
Dans l’expression publique, de telles paroles sont doublement inédites : le responsable d’un parti qui s’affiche comme hostile au communautarisme avoue tout haut son lien privilégié avec une religion au détriment des autres. En outre, l’élu républicain manifeste avec une emphase quasi-religieuse son dévouement envers un Etat étranger-en l’occurrence, Israël.

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Ce jour là ...

Le penseur italien et figure importante de l'école traditionaliste Julius Evola, de son vrai nom Giulio Cesare Evola est né à Rome le 19 mai 1898 .

"Sur la base de l’autosuffisance et d’un mépris héroïque de l’existence, l’aristocrate ignore tout de ces droits et de ce respect de l’«homme» qu’inversement, le christianisme a introduits superstitieusement en Occident. La loi de la noblesse, c’est la justice, l’honneur, le sain orgueil qui maintient fièrement sa propre tradition et qui se fortifie dans la conscience de sa propre vertu : alors qu’il n’est que trop clair que pour le christianisme, tout cela a une odeur «luciférienne» et que le postulat que celui-ci pose, c’est la conscience d’être un pécheur, l’humilité, la pénitence, le pardon, la prière. Le principe évangélique de rendre le bien pour le mal n’est pas celui de la noblesse : elle aussi sait pardonner et faire preuve de générosité, mais pour l’ennemi vaincu, pas pour celui qui redresse la tête dans la force de l’injustice. "
Ur et Krur 1929

vendredi 18 mai 2012

Derrière l’éloge fait à Jules Ferry

Lorsque l’on est président de la République, l’on se doit d’être prudent avec l’Histoire et de demander à ses conseillers de relire soigneusement leurs fiches. Nicolas Sarkozy et François Hollande l’ont tous deux appris à leurs dépens. Le premier avec son « Discours de Dakar », dans lequel, voulant paraître avoir compris des Afriques dont il ignorait tout, il humilia gravement les Africains. Le second avec son éloge de Jules Ferry, quand, pensant placer son mandat sous la figure tutélaire d’un homme de gauche consensuel, il provoqua la polémique, une grande partie de ses millions d’électeurs issus de notre ancien Empire colonial considérant le « père de l’Ecole républicaine » comme un odieux « raciste ». Adieu le consensus…


Faut-il que la culture historique des conseillers du nouveau président soit à ce point partielle qu’ils aient pu ignorer que Jules Ferry a, en son temps, tenu des propos qui, aujourd’hui, le feraient très sévèrement condamner par les tribunaux ? Dans son fameux discours du 28 juillet 1885 prononcé devant les députés, il déclara ainsi : « Il faut dire ouvertement qu’en effet, les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures ; mais parce qu’il y a aussi un devoir. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures ». Précisant sa pensée, il ajouta même que la colonisation est le « devoir d’hommes de race supérieure »…
Pour Jules Ferry, la conquête coloniale n’était brutale qu’en apparence puisque son but était civilisateur. La République n’avait-elle pas agi de même avec les « fanatiques » Vendéens pour les libérer de leur « obscurantisme », avec les Bretons, les Occitans ou les Basques et toutes ces « peuplades inférieures » qu’elle brisa et accultura par « altruisme », pour les transformer et les « sublimer » en Français ? Il devait donc en être de même avec les « sauvages » d’Afrique. Toujours par amour de la Liberté et du genre humain.

Chez Jules Ferry se retrouvent à la fois la notion de conquête émancipatrice et celle d’une France patrie des Droits de l’Homme ne pouvant se dérober devant les exigences de cette croisade laïque, libératrice et pour tout dire républicaine, qu’était la colonisation. D’ailleurs, pour lui, « la race supérieure ne conquiert pas pour le plaisir, dans le dessein d’exploiter le faible, mais bien de le civiliser et de l’élever jusqu’à elle » (Discours du 28 juillet 1885).

Ceux qui ont applaudi le discours prononcé au pied de sa statue dans l’attente fébrile de maroquins tant espérés, Madame Taubira en tête, ainsi que les édiles socialistes qui ont fait débaptiser des universités et des rues portant le nom d’Alexis Carrel, ont donc une mémoire curieusement sélective, pour ne pas dire hémiplégique…

(Bernard Lugan)

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Napoléon 1er, Empereur des Français

Le 18 mai 1804, le sénatus-consulte proclame Bonaparte « empereur des Français » sous le nom de Napoléon Premier. Le plébiscite du 6 novembre 1804 confirmera cette désignation. Enfin, le sacre aura lieu le 2 décembre 1804 en la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Vendredi, le jour de Rivarol

Terre et Peuple déménage

Attention nouvelle adresse pour contacter Terre et Peuple :

Terre et Peuple BP 38 04300 Forcalquier

A partir de ce jour, toutes correspondance se fera à cette adresse, transmettez là à vos proches.

si vous avez en votre possession des bulletins d'abonnement, modifier l'adresse avant de les transmettres.

lundi 14 mai 2012

Journaliste politique : un métier d'avenir ?



Une nouvelle école de journalisme politique

L'agence de presse politique ouvre une école de journalisme, ouverte, libre, indépendante des partis politiques. Bien que la direction de l'agence annonce son orientation d'opposition nationale, elle encourage la liberté d'information à ses étudiants - journalistes .Les cours se dérouleront sur 3 ans, en week-end et sur le terrain en semaine. Le nombre de week-end sera déterminé selon le niveau général de chaque étudiant, après étude du dossier. Différentes techniques écrites seront abordées : article, traitement de communiqué, interview, chronique, édito. Une formation " télévison " est prévue avec les moyens les plus novateurs. Une carte d'étudiant journaliste "france libre infos" sera délivrée dès le commencement des cours. Une carte de presse "france libre infos" sera délivrée au bout des trois ans, après acceptation du Conseil Représentatif du Groupe Librexpress.

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samedi 12 mai 2012

A la botte des médias


Les médias et leurs chaînes par Georges FELTIN-TRACOL


Fondée le 2 décembre 2002 (belle date riche en symboles historiques !), l’association Polémia animée par Jean-Yves Le Gallou conduit depuis bientôt une décennie une véritable guerre culturelle contre le Bien-penser dominant. Polémia n’hésite pas à dévoiler l’action délétère des médias et orchestre une indispensable réinformation. Outre un excellent site Internet, véritable contre-Encyclopédie en ligne, Polémia produit avec une fréquence soutenue nombre de brochures thématiques.
Après s’être intéressée à La tyrannie médiatique, à la novlangue ou à l’Immigration : l’illusion de l’intégration, l’équipe de Jean-Yves Le Gallou assistée pour la circonstance d’un soutien de poids, Claude Lorne alias Camille-Marie Gallic (nom de plume révélé dans l’Encyclopédie politique française, tome II, d’Emmanuel Ratier), ancienne directrice de l’hebdomadaire Rivarol, dissèque, avec Les médias en servitude, la médiaklatura hexagonale.
Dans les régimes communistes d’antan, hauts-fonctionnaires de l’administration, bureaucrates du Parti, responsables syndicaux et dirigeants des combinats économiques formaient une Nomenklatura bénéficiant de privilèges matériels qui les distinguaient des simples quidams. Aujourd’hui, l’Occident en général et la France en particulier connaissent eux aussi un parasitisme semblable qui se concentre essentiellement dans la communication, l’information et le divertissement. Ceux qui en font partie sont les vrais maîtres de l’Hexagone.
On a coutume de dire que les médias sont le quatrième pouvoir. Grossière erreur ! Ils en sont le premier, car ils imposent aux gouvernants, aux élus et aux magistrats leurs mots d’ordre. Or cette primauté, cette omnipotence, n’empêche pas que les médias dépendent eux-mêmes d’une puissance considérable, celle du marché, de l’économie et des finances. Leur assujettissement – consentant – a favorisé « l’union des milliardaires et de la médiaklatura (p. 7) ». En effet, la brochure révèle que quatre milieux issus de l’économique se partagent le domaine de l’influence sur l’opinion :
« – les banques : cinq d’entre elles siègent au conseil d’administration de Bouygues, propriétaire de T.F.1; Rothschild contrôle Libération; Lazard siège au Monde; et le Crédit Agricole et le Crédit Mutuel se partagent la presse quotidienne régionale (la P.Q.R.) à l’Est d’une ligne Amiens/Marseille;
– l’industrie du luxe et les grandes fortunes : Bernard Arnault, Serge Dassault, François Pinault, Martin Bouygues, Vincent Bolloré, Arnaud Lagardère, Claude Bébéar sont omniprésents;
– les grandes agences de communication et de publicité : Euro R.S.C.G. de Stéphane Fouks et Publicis de Maurice Lévy sont au cœur des stratégies d’influence adossées à de puissants budgets;
– les paladins de “ l’antiracisme ” : Louis Schweitzer (la H.A.L.D.E.), Pierre Bergé (S.O.S.-Racisme), Bernard-Henri Lévy donnent le ton (pp. 7 – 8 ) ».

Une dernière catégorie, la cinquième, constituée de « grands éditocrates : Érik Israelewicz, Laurent Joffrin, Nicolas Demorand, Denis Olivennes ont un rôle clé, celui d’assurer la cohérence entre les bailleurs de fonds et les soutiers de l’information », que sont les journalistes de base souvent formatés par un conformisme affolant enseigné dans les écoles de presse...


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vendredi 11 mai 2012

Lendemain d'élections

Les maladies infantiles du populisme.

Les deux tours de l’élection présidentielle de mai 2012 m’incitent à des réflexions nullement électoralistes ni politiciennes. Quelque chose d’important est survenu, qui était peu prévisible et que je vais résumer en deux remarques principales.

En dépit d’effets d’annonce peu discrets n’engageant que ceux qui voulaient y croire, le président sortant a raté sa tentative de « siphonner » l’électorat frontiste qui lui avait tant bénéficié en 2007. Oublions le candidat socialiste désigné en raison de son profil terne et rassurant après la mise à l’écart du richissime couple Sinclair-DSK pour cause de scandales publics répétés. Oublions aussi Jean-Luc Mélanchon qui n’a pas dépassé le total habituel des candidats d’extrême gauche, PC inclus. Reste la nouveauté de cette campagne, le Front national entièrement rajeuni et dynamisé par la personnalité de sa présidente. À la faveur de qualités propres et d’un parcours difficile et tenace, Marine Le Pen a pu se faire entendre par la France qui souffre, représentant un réel espoir. Ses 18 % de suffrages au premier tour constituent un succès d’autant plus évident qu’ils s’accompagnent d’un renouvellement important de l’électorat. Avec Marine Le Pen, le Front a changé de physionomie. Il a perdu l’image ringarde et agressive qui était la sienne pour s’afficher « moderne » sur les questions de société (contraception, avortement) et ferme sur la question de l’immigration. Les erreurs de la campagne de 2007 (présence d’une beurette) alors que Sarkozy brandissait un karcher symbolique, ont semble-il été comprises. Le Front national est redevenu le grand rassemblement identitaire des Français souvent très jeunes qui refusent l’immigration.

Mais je ne prends pas la plume pour entretenir mes lecteurs d’évidences que l’on peut trouver ailleurs. Je voudrais attirer tout d’abord l’attention sur certaines conséquences de la défaite du président sortant. Elle vaut condamnation de son style « marchand de cravates » et de son soutien inconditionnel aux Etats-Unis et à Israël. Cette défaite s’étend à l’ancienne majorité. Dans son désarroi, celle-ci ne pourra plus opposer au Front national l’habituel barrage électoral l’excluant des assemblées contre toute justice démocratique. Un barrage qui favorisait la reproduction des oligarchies de droite et de gauche (à supposer que ces mots aient un sens). Ce « système » avait été mis en place par le général de Gaulle pour éliminer des concurrents de droite, et assurer son pouvoir face à un parti communiste encore puissant et avec qui il entretenait une étrange complicité depuis la Résistance (été 1941), l’Épuration (mené contre des ennemis communs) et la Libération (cinq ministre communistes dans le gouvernement de Gaulle en 1945). Neutralité encore du PCF lors des événements de Mai 68 provoqué en grande partie par le soutien du pouvoir à l’intelligentsia de gauche pour lutter contre la droite « Algérie française » de l’époque. J’ai détaillé tout cela dans mon essai, De Gaulle, La grandeur ou le néant (Le Rocher, 2004) qui est plein d’enseignements pour comprendre notre temps.

En résumé, la grande époque de la bipolarisation voulue par l’ancien gaullisme est révolue. On le doit au temps qui passe et use tout, aux fautes et au tempérament de Sarkozy, mais aussi aux qualités de Marine Le Pen, sans préjuger naturellement d’un avenir que nous ignorons.

À ce sujet, il est nécessaire de relever une tendance inquiétante qui n’est pas le propre du Front national, mais qui semble commune à la plupart des mouvements « populistes » européens (j’entends le qualificatif populiste de façon nullement péjorative).

Comme la plupart de ses émules européens, le Front national souffre d’une sorte de « maladie infantile », comme aurait dit Lénine pour les siens. La « maladie infantile » du populisme peut être diagnostiquée comme une méconnaissance dramatique de la réalité européenne et une tentation de repli rétrograde, dans le vieux cadre apparemment rassurant de vieilles nations sorties de l’Histoire, celui de la « France seule » (comme si nous en étions encore à Louis XIV). C’est une option difficilement soutenable dans un monde constitué d’énormes puissances et de vastes espaces en conflits, et alors que d’évidentes catastrophes pointent à l’horizon. On comprend naturellement la défiance justifiée à l’encontre des institutions actuelles de l’Union européenne qui n’ont d’européennes que le nom, et sont en réalité mondialistes dans leur idéologie et leurs desseins. Mais, sous prétexte qu’une oligarchie dénaturée a mis en place un système aberrant (plus jacobin que fédéral), faut-il rejeter en bloc toutes les perspectives européenne qui étaient justes à l’origine (interdire une nouvelle guerre fratricide entre la France et l’Allemagne et construire un ensemble géopolitique cohérent par rapport aux grands blocs mondiaux, disposant de sa propre monnaie face au dollar et au yen). Ne faut-il pas, au contraire, dessiner un nouveau projet mobilisateur, celui d’une nouvelle Europe carolingienne, qui entrainerait la volonté d’une refonte complète des institutions, afin que celles-ci permettent une véritable union fédérative de peuples frères et non l’instrument dictatorial d’idéologies mondialistes et d’oligarchies mafieuses ? Enfin ne faudrait-il pas rappeler haut et fort, en préambule à tout, notre appartenance à une civilisation européenne qui nous justifie et plonge ses racines jusque dans notre antiquité commune la plus ancienne, qu’elle soit grecque, romaine, celte et germanique ?

Dominique Venner

Vendredi, le jour de Rivarol

jeudi 10 mai 2012

Persona non grata ...


Julien Dray n’est pas le bienvenu au QG de campagne de François Hollande. Mercredi matin, rapporte Le Parisien, Valérie Trierweiler, la compagne du president élu, est venue le lui dire en personne, lorsque le député de l’Essonne s’est présenté avenue de Ségur pour se joindre au pot de fin de campagne. Auquel il n’était pas invité.
Si la future première dame lui a refusé l’accès, c’est qu’elle ne lui pardonne pas d’avoir invité Dominique Strauss-Kahn à son anniversaire, dans un bar parisien de la rue Saint-Denis, pendant l’entre-deux-tours. Toujours selon le quotidien, cet incident avait rendu François Hollande furieux.

Il n’avait pas été le seul, Ségolène Royal, Manuel Valls et Pierre Moscovici avaient également quitté précipitamment la soirée. La présidente de la région Poitou-Charentes avait jugé «inadmissible» que Julien Dray ne l’ait pas prévenu.

Source
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En tout cas, ça commence bien … mais on ne peut pas s'empêcher de ricaner en imaginant la gueule qu'a du faire le communautaire en étant viré comme un malpropre (le malpropre qu'il est, d'ailleurs !) !...

730 voitures brûlées pour fêter Hollande ...


La direction générale de la police nationale, qui avait annoncé lundi matin que 367 voitures avaient été brûlées au cours de la nuit du second tour de l'élection présidentielle, a revu son bilan à la hausse, avec 730 véhicules incendiés au total en France métropolitaine.
C'est la première fois que la DGPN actualise officiellement dans la journée le bilan des violences urbaines qu'elle arrête traditionnellement à 6H00.
Ces chiffres non actualisés avaient déjà occasionné une polémique pour la dernière nuit de la Saint-Sylvestre. Le ministère de l'Intérieur avait ainsi arrêté son bilan à 396 voitures brûlées, un chiffre qu'Europe 1, sur la foi d'une enquête conduite auprès de l'ensemble des préfectures, avait jugé largement au-dessous la réalité, chiffrant les voitures brûlées à 683.
Lundi, la DGPN a également relevé 592 interpellations, dont 79 dans la capitale, opérées durant la nuit qui a suivi la victoire de Nicolas Sarkozy à la présidentielle, contre 270 totalisées le matin, ainsi que 78 policiers et gendarmes blessés contre 28 dans la matinée.
Au vu du premier bilan, la DGPN avait souligné qu'on était "à peine au-dessus de la nuit du 14 juillet 2006 et en-deçà d'une nuit de Saint-Sylvestre". Concernant son bilan définitif, elle a dit pouvoir "confirmer cette même tendance", sans autre commentaire.
Elle a estimé que "le second tour de l'élection présidentielle n'a pas amené de grands mouvements de violences urbaines dans les quartiers sensibles, et seuls quelques petits groupes ont, ici et là, mis le feu à des poubelles et à des voitures".
En revanche, a souligné la DGPN, la nuit de dimanche à lundi a donné lieu "dans plusieurs centres villes, tels qu'à Lyon, Nantes, Paris, Toulouse ou Rennes par exemple, à des regroupements initiés par des mouvements d'extrême gauche, anarchistes ou autonomes qui ont dégénéré en affrontements avec les forces de l'ordre".
A Paris, 35 voitures ont été brûlées, selon la DGPN qui, le matin, avait relevé "moins d'une dizaine" de faits de ce type dans la capitale.
Selon les décomptes non exhaustifs des bureaux de l'AFP, qui ont interrogé la police, les pompiers ou les préfectures en région parisienne, environ 250 véhicules ont été visés, notamment 85 dans le Val-de-Marne, 66 dans l'Essonne, 35 dans les Yvelines, 30 en Seine-Saint-Denis et 22 en Seine-et-Marne.
En province, 52 voitures ont brûlé à Lyon. Environ 200 véhicules ont été incendiés dans l'ensemble de la région Rhône-Alpes, dont plusieurs bus et des camions-poubelles.
Dans l'ouest, plus de 70 véhicules ont été brûlés dans une dizaine de villes, dont 33 à Nantes et 8 à Rennes.
Dans l'agglomération toulousaine, on dénombrait une cinquantaine de feux de voitures et une vingtaine à Strasbourg. Dans la communauté urbaine de Bordeaux, 18 voitures ont brûlé.
Dans le département du Nord, les chiffres varient de 70, selon la police, à une centaine, selon les pompiers. Une quinzaine de véhicules ont été incendiés dans le Pas-de-Calais, autour d'Arras, de Boulogne-sur-Mer et de Lens.
© 2007 AFP

source

ndlr : au choix du vocabulaire employé tant par la police que par les journalistes on s'aperçoit que tendent à se développer une banalisation extrême et insupportable d'un état d’insécurité et l'acceptation (fataliste ?) de violences qui semblent presque normales !...

mercredi 9 mai 2012

Tir à l'Oiseau à Exoudun (79)


Les « Archers de Virecourt » et les « Chasseurs à l’Arc des Trois Provinces » se rassembleront le dimanche 20 MAI 2012, pour la onzième année, au lieu dit Plateau des Chaumes sur la commune d’EXOUDUN (79) pour perpétuer la tradition multiséculaire du Tir à l’Oiseau en vue de couronner leur Roi ou Reine pour l’année nouvelle.

EXOUDUN(79) se situe Prés de BOUGON (79). Pour s'y rendre : à LUSIGNAN prendre la D950 direction SAINTES- MELLE- St JEAN D’ANGELY. Rouler 11 Km, tourner à droite sur la D56 direction EXOUDUN situé à 8 Km.
Le plateau des Chaumes, est un lieu profondément enraciné dans notre histoire. Habitat préhistorique, oppidum gaulois, fortification médiévale. Il surplombe le splendide village médiéval d’EXOUDUN marqué par la présence d’une importante implantation Templière.

Rassemblement Au plateau des chaumes à 9.30.
Fléchage à partir de la mairie.
Café brioche
10.00 Tir à l’oiseau;
11.45 Apéritif et intronisation du Roi;
12.00 Repas sous forme de pique nique. CHACUN APPORTERA SON REPAS (et ses couverts).

Prix de la journée 5 euros par personne pour les TIREURS incluant Le café-brioche du matin
Gratuit pour les accompagnateurs, visiteurs et enfants de moins de 14 ans.

Le Tir comportera deux disciplines :
- Tir à l’arc primitif ou traditionnel en bois flèches munies de pointes de tir.
- Tir à l’arc moderne sans poulie et sans viseur flèches munies de pointes de tir ;
- Tir au JAMBON !!!
Des ateliers « TIRS » seront mis à disposition (propulseur, haches, couteaux…)
Les musiciens sont invités à apporter leurs instruments !!!

vendredi 4 mai 2012

Présidentielle : ne pas tomber dans le piège

Un communiqué de Pierre Vial :
Pas d’hypocrisie : appeler à « faire barrage à Hollande » c’est appeler à voter Sarkozy. Or Hollande et Sarkozy sont l’un et l’autre les hommes d’un Système que nous combattons, sans hésitation ni rémission. Croire ou affecter de croire que l’un est une menace mortifère plus que l’autre, c’est participer à un jeu de dupes que nous refusons car nous renvoyons dos à dos ces deux nuisibles. Voter Sarkozy ? C’estse faire une fois de plus les harkis du capitalisme apatride, pleinement responsable de la présence des envahisseurs.

Plus que jamais il faut maintenir le cap : ni droite ni gauche, pour une troisième voie révolutionnaire, identitaire ethnique.

NRH n°60

Vendredi, le jour de Rivarol

mardi 1 mai 2012

Beltaine et le Mai


Beltaine « feu de Bel » est, au 1er mai, la fête du feu et des maîtres du feu et des éléments atmosphériques, les druides. Fête sacerdotale par excellence, elle indique le début de la saison claire et aussi le commencement de l’activité guerrière. Il n'y a pas d’équivalence continentale attestée mais, dans toute l’Europe, y compris l’ancien domaine celtique, le folklore de mai est immense et varié. C'est surtout celui qui a été le plus difficilement christianisé.

Beltaine, le "feu de Bel"

Pour les Celtes, la nuit du 30 avril au 1er mai était une nuit sacrée à la veille de la saison chaude ( claire ), comme la nuit de Samain l'était à la veille de la saison froide ( sombre ). Selon ce que l'on sait de l'Irlande, des feux de joie, comparables à ceux de la Saint-Jean, étaient allumés sur les hauteurs: on s'y rendait comme à de véritables pèlerinages car, en cette nuit sacrée, le monde divin et celui des morts, qui en est indissociables, se confondaient avec celui des vivants. La fumée purifiait tout ce qu'elle enveloppait et la végétation avait des vertus magiques et protectrices : on cueillait des herbes, on se roulait dans la rosée, on recueillait "l'eau nouvelle" comme lors de la nuit de la Saint-Jean au solstice d'été.
Cette fête donne encore l'occasion dans différentes régions d'Europe, à des manifestations populaires. Une des plus remarquable est la célébration de Beltane à Edimbourg en Ecosse, la nuit du 30 avril au 1er mai. 
( http://beltane.org)

Plus tard, cette nuit fut christianisée et reçut le nom de Walpurgis, d'après sainte Walburge (779), fêtée le 25 février. Encore au début du XXème siècle en Alsace et en Allemagne, cette nuit de Walpurgis, appelée "nuit des sorcières", faisait peur : on n'en parlait qu'à voix basse.

Nuit de Beltaine au Ballon d'Alsace

Au sud du Rhin supérieur les Celtes utilisaient le «Triangle des Belchen» composé des ballons de Forêt Noire (Belchen), de Suisse (Bölchen, Belchenfluh) et des Vosges (Ballon d’Alsace) comme repère temporel et spatial. Les astres, et surtout le soleil et la lune, servaient «d’indicateurs» et le paysage constituait un «cadran» à la fois topographique et astronomique. Les sommets marquants étaient des repères pour l’établissement d’un calendrier astronomique. Les «chiffres» de ce cadran portent à peu près le même nom : Belchen ou Ballon (Belenus = dieu celtique du soleil). Ce sont des plate-formes d’observation des levers de soleil tout comme les trois Blauen le sont pour les phases de la lune. Ainsi à partir du sommet du Ballon d’Alsace, on peut contempler le lever du soleil du solstice d’été sur le Belchen badois et le 21 décembre, jour du solstice d’hiver, sur le Belchenfluh suisse.
- http://www.dailymotion.com/video/xahj1a_suisse-mysterieuse-le-triangle-magi_travel
- 
http://www.mythische-orte.com/index.php?setLang=fr

Pour aller plus loin :

- Christian-J. Guyonvarc'h et Françoise Le Roux, Les Fêtes celtiques,Ouest France, 1995
- Pierre VIAL, Fêtes païennes des quatre saisons, les éditions de la forêt, 2008
- Nadine CRETIN, Fête des fous, Saint-Jean & Belles de mai. Une histoire du calendrier, Seuil, 2008
- Philippe WALTER, Mythologie chrétienne, Imago, 2003, 20 €
- Guy DELEURY , Les fêtes de Dieu, éditions du Félin, 1994 (épuisé)
- Yvonne de Sike, Fêtes et croyances populaires en Europe, Bordas,1995 (épuisé)
- Alain de BENOIST, Les traditions d'Europe, Le Labyrinthe, 1996
- Antoinette Glauser-Matecki, Le Premier Mai ou le Cycle du printemps : Rites, mythes et croyances, Imago, 2002
- Arnold VAN GENNEP, Le folkore français, Robert Laffont, 1999