Rassurez-vous, braves gens, cette excuse-là n’est plus en vigueur lorsqu’il s’agit de faire l’impasse sur une interpellation dans une cité sensible suite à une agression. Ou de fermer les yeux sur les délits en tout genre qui se multiplient (conduite sans port du casque, vente de drogue aux yeux et à la vue de tous, cambriolages, etc.)
Cachés derrière leur uniforme et leur « devoir de réserve », ces serviteurs zélés du système acceptent sans broncher les ordres que leur hiérarchie, leur ministère leur impose : ici, augmentation de la répression contre les automobilistes (faire rentrer de l’argent dans les caisses via les contrôles radars, criminaliser celui qui boit trois verres au lieu de deux). Là, focalisation sur des affaires de voisinage, ou encore de football, pendant que tant de dangereux délinquants courent les rues.
Que ces valets du système arrêtent de prétendre, après une grande tape dans le dos et une mise de menottes en bonne et due forme : « Hé ! petit gars, je pense comme toi, t’inquiète pas. » Non, vous ne pensez pas comme nous ! Oui, vous avez accepté de vous engager au service d’un État et de le servir au détriment de votre idéal. Oui, le mépris grandissant que vous porte jour après jour la population est justifié, puisque vous n’êtes pas dans son camp.
Pour qu’un policier ou qu’un gendarme puisse encore être respecté par ce peuple en colère, il n’a aujourd’hui qu’une chose à faire : rendre son insigne, signer sa lettre de démission et rejoindre les rangs de la contestation. Quant aux doux rêveurs qui hurlent « la police avec nous ! » dans les manifestations, comment peuvent-ils penser une seule seconde que la police, tout comme la gendarmerie, qui ont été au cours de l’histoire de toutes les répressions, de toutes les exactions sanglantes commises par l’État contre le peuple, pourraient les rejoindre ?
Une vague de contestation et de radicalisation des peuples est en marche dans l’Hexagone. De Notre-Dame-des-Landes aux manifestations contre le mariage pour tous, en passant par la crise et la fracture ethnique que supportent de moins en moins les familles, la colère gronde.
La droite au pouvoir hier n’a rien fait car elle est lâche et individualiste. Elle a laissé le champ libre à la mafia socialiste pour accélérer le processus de destruction et de remplacement de nos peuples.
Dans ce chaos généralisé qui pourrait bien se profiler à l’horizon, les barricades n’ont que deux côtés. Les forces de répression au service de l’État sont d’office de l’autre côté : il ne faut jamais l’oublier.
(Yann Vallerie)
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