jeudi 22 août 2013
Dominique Venner, présent !
Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Parution : août 2013
130 pages, 18,00 €
POUR MIEUX COMPRENDRE, POUR NE PAS OUBLIER :
Il ne nous appartient pas de commenter le geste ultime de Dominique Venner.
Nous rappellerons seulement la place essentielle qui fut la sienne dans le combat nationaliste au cours des années 60. Après la fin de l'Algérie française, il fut l'un des instigateurs de deux mouvements, la Fédération des étudiants nationalistes et Europe Action, qui allaient être à l'origine d'un grand bouleversement idéologique au sein de notre famille politique, à savoir l'introduction de la dimension civilisationnelle européenne dans la doctrine nationaliste. Ses écrits, en particulier son fameux texte intitulé "Pour une critique positive", ont marqué durablement les générations militantes qui se sont succédées depuis cette époque tumultueuse. Enfin, en lançant, il y a une dizaine d'années, la Nouvelle Revue d'Histoire, Venner a probablement aussi été à l'origine de l'une des initiatives les plus intelligentes depuis bien longtemps.
Dominique Venner a voulu donner à son acte une signification politique. Nul ne peut encore préjuger de l'impact que celui-ci aura réellement sur notre peuple. Quoi qu'il en soit, le devoir de chaque militant nationaliste est de continuer et d'amplifier le combat contre l'oligarchie mondialiste et sa politique destructrice de nos identités et de nos libertés, le combat pour que revive une France française dans une Europe européenne. C'est sans doute là le plus bel hommage que l'on puisse rendre à la mémoire de Dominique Venner.
Voilà pourquoi nous avons décidé de publier ces quelques témoignages, à la fois sur l’homme et sur son engagements, afin de faire, à notre modeste niveau, en sorte que l’acte fatal de Dominique Venner et le message qu’il nous a laissé ne tombent pas dans l’oubli.
● Gabriele Adinolfi ● Alain de Benoist ● Francis Bergeron ● Renaud Camus ● Guillaume Faye ● Georges Feltin-Tracol ● Bruno Gollnisch ● François Sidos ● Gilbert Sincyr ● Nicolas Tandler ● Abbé Guillaume de Tanoüarn ● Pierre Vial et bien d'autres…
Livre réalisé sous la direction de Lionel Muresan
Bulletin de commande
mardi 14 mai 2013
“Les guerres d’Afrique, des origines à nos jours” de Bernard Lugan
Dans l’Afrique d’ « avant les Blancs », la guerre entraîna la mutation de nombre de sociétés et fut créatrice d’empires, dont ceux d’el Hadj Omar, de Samory, de Rabah, de Shaka Zulu, etc.
Avec la conquête coloniale, à l’exception de l’échec italien en Ethiopie, les guerres tournèrent toutes à l’avantage des colonisateurs, même si, ici ou là, des batailles retardatrices dont le livre rend compte, furent occasionnellement remportées par les Africains.
La parenthèse impériale fut ensuite refermée sans affrontements majeurs, les guérillas nationalistes n’y étant jamais en mesure de l’emporter sur le terrain.
Après les indépendances, l’Afrique fut ravagée par de multiples confits qui firent des millions de morts et des dizaines de millions de déplacés.
Après la « guerre froide », l’Afrique redevint l’actrice de ses propres guerres, donc de sa propre histoire. Les placages idéologiques et politiques qui lui avaient été imposés depuis des décennies volèrent alors en éclats et le continent s’embrasa. Durant la décennie 2000-2010, 70% des décisions de l’ONU et 45% des séances du Conseil de Sécurité furent consacrées aux conflits africains.
- Bernard Lugan - Les guerres d’Afrique, des origines à nos jours – Les éditions du Rocher, 2013. 408 pages , 72 cartes et planches.
Sortie du livre le 1er juin 2013 mais il est disponible à l’Afrique Réelle dès le 17 mai et peut y être commandé dès à présent.
Table des matières :
Première partie : Guerres et sociétés guerrières dans l’Afrique d’avant la colonisation.
Chapitre I : Aux origines de la guerre africaine
I- Sahara et Afrique australe : les plus lointains échos guerriers.
II-L’ Egypte et ses « Neuf arcs »
III- Rome et Carthage : les premières guerres coloniales
IV- Une nouveauté, la guerre pour convertir : la conquête de la Berbérie par les Arabes (644-750).
Chapitre II : Les grandes sociétés militaires et guerrières africaines
I- L’armée marocaine, une force polyvalente devenue outil de gouvernement
II-Conquérants et guerres jihadistes au Sahel
III- Le Rwanda, royaume de la lance et de la vache
IV- Le royaume zulu : son « pâturage est le champ de bataille »
V- Les Ndebele-Matabele : des guerriers errants fondateurs de royaumes.
Chapitre III : Deux sociétés guerrières exogènes : l’Etat ethno-militaire mamelouk et le militaro-pastoralisme boer
I- Les Mamelouks d’Egypte : une aristocratie guerrière à titre viager.
II- Les Boers : une société guerrière d’inspiration biblique
Deuxième partie : Les guerres de conquête coloniale
Chapitre I : La France s’adapte à la guerre d’Afrique
I-La création d’une armée coloniale
II- L’Algérie et la naissance de l’armée d’Afrique.
III-La conquête de l’Ouest africain.
Chapitre II : La Grande Bretagne et les guerres d’Afrique australe
I-Les « surprises » de la guerre anglo-zulu (1879).
II-La guerre des Boers : entre modernité et archaïsme.
Chapitre III : De difficiles campagnes d’Afrique
I- Allemagne : une lente adaptation à la guerre d’Afrique.
II- L’échec militaire italien face à l’Ethiopie (1895-1896).
III-Une guerre privée : la campagne anti esclavagiste au Congo (1890-1896).
Troisième partie : Les guerres durant la période coloniale
Chapitre I : Le premier conflit mondial : quand l’homme blanc combattait l’homme blanc
I- Afrique du Nord : objectif Suez
II- Afrique de l’Ouest : la « promenade » des Alilés
III- Afrique orientale : le général Paul von Lettow-Vorbeck invente la guérilla moderne.
Chapitre II : Du Maroc à l’Ethiopie : la mutation des guerres africaines.
I- La « pacification » marocaine : une guerre par procuration
II- La Guerre du Rif, première guerre de libération
III-La dernière guerre de conquête coloniale : Ethiopie (1935)
Chapitre III : Le second conflit mondial
I- Les années 1940-1942 et la fin de l’Impero italien
II-Le débarquement allié de novembre 1942 et ses conséquences militaires.
Chapitre IV : La décolonisation : des guerres gagnées, des empires perdus.
I- La guerre des Mau Mau (1952-1956) : un coup de tonnerre dans un ciel serein
II- La guerre d’Algérie (1954-1962) : victoire militaire française, victoire politique algérienne.
III-Les guerres de décolonisation portugaise : Angola, Mozambique, Guinée Bissau (1961-1975).
Quatrième partie : Les guerres contemporaines (1960-2013)
Chapitre I : Les guerres en Afrique du Nord
I-La double conflictualité algéro-marocaine
II- La guerre civile algérienne (1992-2002)
III- La guerre de Libye (février 2011-octobre 2011)
Chapitre II : Les guerres le long du rift racial sahélo-saharien.
I- Le Sahel : un archipel de conflits
II- Mali-Niger-Azawad : des conflits récurrents
III-2012-2013 : de la guerre touareg à la guerre islamiste.
VI-Les guerres du Tchad (1965-2009).
Chapitre III : Les guerres dans la Corne de l’Afrique
I-Les guerres d’Ethiopie (1970-1991)
II-Le conflit Ethiopie-Erythrée (1998-2000)
III-Les guerres de Somalie : clans contre clans (depuis 1977)
Chapitre IV : Les guerres du Soudan (1956-2013)
I-Les guerres raciales Nord-Sud (1956-2010)
II- La guerre du Darfour (depuis 2003)
III- La guerre entre les deux Soudan (2011-2012)
Chapitre V : Les guerres ethniques de l’ouest africain (1990-2013)
I- Liberia : Kru contre Mandé
II-Sierra Leone :Limba contre Mendé
III- Côte d’Ivoire : Nord contre Sud
IV- Nigeria : de la guerre du Biafra au conflit ethno-religieux Nord Sud
Chapitre VI : Un demi siècle de guerres au Zaïre/RDC (1960-2012)
I- Les premières guerres du Congo (1960-1978)
II-De la campagne du Zaïre (septembre 1996- mai 1997) à la deuxième guerre du Congo-RDC (1998-2002)
III-La guerre de l’Ituri (1996-2004)
IV- La deuxième guerre du Kivu (depuis 2007)
Chapitre VII : La guerre du Rwanda ( 1°octobre 1990- 19 juillet 1994)
I- De l’offensive tutsi d’octobre 1990 aux accords d’Arusha (4 août 1993).
II- Entre guerre et génocide : du 6 avril au 19 juillet 1994.
Chapitre VIII : Les guerres d’Afrique australe (1965 à 2002).
I- La guerre de brousse rhodésienne (1965-1978)
II- La seconde guerre d’Angola (1975-1984)
III- La troisième (1992-1993) et la quatrième ( 1997-2002) guerre d’Angola
IV-Les guerres du Mozambique (1975-1992)
mardi 16 avril 2013
L'autre Europe de Maurice Bardèche
Fort d’un engagement payé par des procès et une incarcération, Maurice Bardèche est dès les années 1950 l’artisan d’une révolution mentale parmi les nationalistes français envers l’Europe. Tant au cours de la Guerre froide qu’au moment de la Détente, à la tête de la revue Défense de l’Occident et dans ses livres, il expose en géopoliticien fin et lucide une troisième voie nationale-européenne, parfois néo-fasciste, prête à dialoguer avec les nationalismes du Tiers-Monde.
Par une démarche souvent déroutante, Bardèche entend promouvoir son idée de l’Europe, une « Europe cuirassée », car « nationale, libérée et indépendante ». À l’heure où l’Union européenne atlantiste, bureaucratique et mondialiste conduit à une impasse catastrophique, le raisonnement bardéchien et ses solutions retrouvent une pertinence inattendue.
L'auteur : Georges Feltin-Tracol
Né en 1970, passionné de géopolitique, d'histoire et de métapolitique, Georges Feltin-Tracol co-fonde en août 2005 le site non-conformiste, identitaire et solidariste Europe Maxima (www.europemaxima.com) dont il en assume la rédaction en chef. Auteur d'Orientations rebelles (Éditions d'Héligoland, 2009), de L'Esprit européen entre mémoires locales et volonté continentale (Éditions d'Héligoland, 2011) et de Réflexions à l'Est (Alexipharmaque, 2012), il collabore aussi à L'Unité Normande, à Réfléchir & Agir, à Salut public, à Culture Normande et à Synthèse nationale.
Bulletin de commande : cliquez ici
lundi 25 mars 2013
De la gauche au capitalisme absolu
Jadis, au temps de la Commune de Paris (1871), la gauche n’avait pas encore de nom. Et par surcroit, elle était terriblement divisée. Entre les anciens Communards et ceux qui les avait fait fusiller ou déporter, on se doute que l’entente n’allait pas de soi. Pourtant, les uns et les autres partageaient la même religion du Progrès issue des Lumières. Ils étaient tous des admirateurs de la Révolution française qui avait mis fin à la « féodalité », ce monstre exécré. Ils vouaient une même détestation au parti royaliste et au « parti prêtre » encore puissants. Ils entendaient bâtir un régime républicain, même s’ils divergeaient sur son interprétation. Surtout, ils se séparaient sur la question sociale. En simplifiant les choses à l’extrême, les uns se voulaient « socialistes » (mot inventé par Pierre Leroux en 1834) et les autres étaient libéraux. Ces derniers, bourgeois jacobins et radicaux, fermement attachés au capitalisme naissant et à l’individualisme des droits de l’homme, traitaient les autres de « partageux ».
Ces deux grandes branches opposées de la gauche française conclurent en 1899, au temps de l’affaire Dreyfus, un pacte de « défense républicaine » devant la crainte (illusoire) d’un coup de force de la « réaction ». Tel fut l’acte de naissance de la gauche française qui n’allait pas cesser par la suite de se diviser et pourtant de se retrouver au nom de la même « défense républicaine » sous les diverses républiques. Le parti communiste, créé en 1920, dans le sillage de la révolution bolchevique de Russie, ajouta sa partition discordante à ce concert. Au-delà de conflits internes souvent féroces, la gauche était cependant unie par le rejet de la droite, incarnation de l’ancien monde déchu mais toujours menaçant, dont le fascisme historique ne fut jamais qu’un avatar aux yeux de ceux qui ne cédèrent pas à son aimantation entre 1925 et 1945 (1).
Dans son nouvel essai, Jean-Claude Michéa rappelle cette histoire ancienne pour souligner à quel point elle appartient à un passé révolu (2). Cet esprit libre ne masque pas sa nostalgie de la gauche disparue. Grand lecteur de Marx ou Engels, mais aussi d’Orwell, il propose une interprétation convaincante de l’immense révolution interne vécue par la gauche (et par l’ensemble des société « occidentales ») entre la fin des années 1960 et les années 1980. Cette révolution se caractérise par le ralliement universel de la gauche moderne au culte de la croissance, de la compétitivité, de la mondialisation et du libéralisme culturel, dont le mariage « pour tous », la dépénalisation de la cannabis et la « discrimination positive » sont quelques attributs. Ralliement qui s’accompagne de l’abandon de tout projet d’édification d’une société socialiste.
Comment expliquer un tel renversement en si peu de temps ? Dans un précédent ouvrage, Le Complexe d’Orphée (3), Michéa avait déjà offert la clef philosophique de ce ralliement. Aveuglé que l’on est par les apparences et les péripéties historiques, on ne s’est pas souvenu que les différentes gauches avaient les mêmes ancrages philosophiques que le capitalisme le plus sauvage. Tous communiaient dans la religion du Progrès issue des Lumières. Tous croyaient religieusement que le passé est détestable et que le lendemain sera toujours mieux qu’hier. Cette « représentation » imprimée dans l’inconscient de gauche signifie que la modernité incarnée par le capitalisme triomphant accomplit aujourd’hui le devenir historique. Impossible donc de refuser cette évidence au risque de paraître coupable d’un sinistre penchant « réactionnaire » au « repli sur soi », à la « peur de l’autre » ou à ces idées « nauséabondes » qui pourraient un jour nous ramener aux « heures les plus sombres de notre histoire ». J’emprunte ce vocabulaire ironique à Michéa lui-même. Mais, comme il le souligne, parlant du capitalisme, « jamais, dans l’histoire de l’humanité, un système social et politique n’avait – en un temps aussi court – changé à ce point la face entière du monde ». Rien n’est plus vrai. En France, depuis les années Mitterrand, l’ancienne gauche a bradé ses rêves socialistes pour épouser l’individualisme fondamental des Lumières qui est celui du libéralisme : les droits de l’homme et la société (y compris la famille) conçue comme un froid contrat révocable entre intérêts privés. Et ce qui est vrai pour la gauche vaut également pour la droite. Il y a longtemps que le clivage gauche-droite ne fait donc plus illusion qu’auprès d’électeurs bernés. Au terme de son essai, Michéa laisse entendre que l’on pourrait entrer dans une nouvelle époque marquée par des révoltes « populistes » échappant à ce clivage désuet.
Dominique Venner
Notes
1-Les hommes de gauche qui, en France, cédèrent à l’aimantation du fascisme furent assez nombreux. Pour un tableau d’ensemble, on peut se reporter à mon Histoire de la Collaboration (Pygmalion, 2002).
2-Jean-Claude Michéa, Les Mystères de la Gauche, Climats, 2013, 133 p., 14 €.
3-Jean-Claude Michéa, Le Complexe d’Orphée, Climats, 2012. J’en avais rendu compte ici-même en novembre 2012
source
Un nouveau livre d'Anne Kling
Dans ces conditions, il n’est guère étonnant que des petits malins aient exploité à leur profit un filon qu’ils jugeaient prometteur. Cet ouvrage relate un certain nombre des tromperies avérées de ces menteurs de la shoah, récits d’imaginaires souffrances ou de tribulations présentées comme autobiographiques. Il relate également les affabulations, exagérations, inventions ou récupérations d’autres personnages, y compris celles d’anciens déportés dont les récits soulèvent quelques questions.
Pour commander: adresser chèque de 21 € (18 € +3 € de frais d'envoi) à:
Editions Mithra - Anne Kling - BP 60291 - 67008 Strasbourg cedex
Source
lundi 11 février 2013
La tyrannie médiatique
L’auteur, énarque, dirige la fondation Polémia, un « think tank » qui organise chaque année la Journée d’étude de la réinformation et la cérémonie des Bobards d’Or. Il a déjà publié La Préférence nationale (chez Albin Michel), Le Défi gaulois, carnets de route en France réelle et dirigé l’équipe d’auteurs du Dictionnaire de novlangue (chez Polémia).
Les médias ne sont pas un contre-pouvoir. Ils ne sont pas davantage le quatrième pouvoir. Ils sont progressivement devenus le premier pouvoir : celui qui s’exerce sur les esprits. Plus inquiétant, ils semblent même prendre le contrôle des autres pouvoirs, intellectuel, politique et judiciaire.
J.-Y. Le Gallou reconstitue l’histoire et autopsie cette tyrannie des temps modernes ; il trace aussi les voies de son renversement : par le développement de l’esprit critique, la réinformation, l’essor des médias alternatifs sur Internet, l’abolition des lois liberticides, le développement de la démocratie numérique et de la démocratie directe. Pour redonner vie à une véritable liberté d’expression, il faudra bien chasser les assassins de l’information.
La tyrannie médiatique de Jean-Yves Le Gallou peut être déjà commandée aux éditions Via Romana. Ou à Polémia, 60ter rue Jean-Jacques-Rousseau – 92500 Rueil-Malmaison, 01 47 49 74 16, au prix de 23 euros franco de port. Pour les commandes adressées à Polémia, il est possible de payer par Paypal via le bouton « Faire un don » du site de Polémia indiquant le motif du versement.
lundi 7 janvier 2013
Un nouveau livre de Bernard Lugan
Depuis un quart de siècle les connaissances que nous avons du passé de l’Afrique et de l’histoire coloniale ont fait de tels progrès que la plupart des dogmes sur lesquels reposait la culture dominante ont été renversés. Cependant, le monde médiatique et la classe politique demeurent enfermés dans leurs certitudes d’hier et dans un état des connaissances obsolète : postulat de la richesse de l’Europe fondée sur l’exploitation de ses colonies ; idée que la France devrait des réparations à l’Algérie alors qu’elle s’y est ruinée durant 130 ans ; affirmation de la seule culpabilité européenne dans le domaine de la traite des Noirs quand la réalité est qu’une partie de l’Afrique a vendu l’autre aux traitants ; croyance selon laquelle, en Afrique du Sud, les Noirs sont partout chez eux alors que, sur 1/3 du pays, les Blancs ont l’antériorité de la présence ; manipulation concernant le prétendu massacre d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961 etc. Le but de ce livre enrichi de nombreuses cartes en couleur, est de rendre accessible au plus large public le résultat de ces travaux universitaires novateurs qui réduisent à néant les 15 principaux mythes et mensonges qui nourrissent l’idéologie de la repentance.
Table des matières
Chapitre I – Nos ancêtres étaient-ils Africains ?
Chapitre II – Le « réchauffement climatique » est-il une menace pour l’Afrique Chapitre III – Les anciens Égyptiens étaient-ils des Noirs ?
Chapitre IV – La Grèce est-elle fille de l’Égypte ?
Chapitre V – Le Maghreb est-il arabe ?
Chapitre VI – Les ethnies africaines ont-elles été inventées par les Blancs ?
Chapitre VII – La Traite négrière fut-elle une « invention diabolique » de l’Europe ?
Chapitre VIII – Les Noirs sont-ils les premiers habitants de l’Afrique du Sud Chapitre IX – La colonisation est-elle de droite et l’anticolonialisme de gauche Chapitre X – L’Empire colonial a-t-il enrichi la France ?
Chapitre XI – L’Algérie fut-elle un boulet pour la France ?
Chapitre XII – Les Algériens se sont-ils unanimement dressés contre la France entre 1954 et 1962 ?
Chapitre XIII – Apartheid mérite-t-il d’être devenu un « mot-prison » ?
Chapitre XIV – Y eut-il un massacre d’Algériens le 17 octobre 1961 à Paris Chapitre XV – La France serait-elle complice du génocide du Rwanda ?
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samedi 15 décembre 2012
Le début de la fin

Le début de la fin est le titre d’un petit livre d’Éric Werner, dont je vais parler pour ceux qui ne le connaissent pas encore. On va vite comprendre de quelle fin il est question, bien qu’Éric Werner se garde de donner des assurances à ce sujet. Confidence : j’aimerais bien, pour ma part, que ce soit en effet le début de la fin de ce que nous détestons, mais je ne suis pas certain que ce soit encore pour demain. Mais venons-en au fait.
Longtemps professeur de philosophie politique à l’université de Genève, Éric Werner s’est fait connaître du grand public par un essai retentissant, L’Avant-guerre civile, publié en 1998. Il faisait entendre une voix d’une lucidité inhabituelle. Il développait la thèse d’une stratégie délibérée par laquelle la nouvelle classe dirigeante européenne, structurée autour du triptyque : libéralisme, américanisation, mondialisme, a établi son pouvoir en favorisant la dislocation des anciens cadres sociaux et en suscitant des antagonismes internes à la limite de la guerre civile. Antagonismes d’âge de sexe, de statut social, de culture, de religion, d’ethnie… Parmi ces antagonismes, l’immigration de masse extra-européenne jouait un rôle décisif.
Éric Werner posait la question : pourquoi cette immigration de masse a-t-elle été voulue et encouragée par les gouvernements et classes dirigeantes européennes alors que ses conséquences nuisibles sont évidentes ? Réponse : s’ils favorisent cette immigration c’est qu’elle leur profite. En attisant les antagonismes et la défiance mutuelle, elle paralyse les réactions et défenses de la population. Pour une classe dirigeante corrompue, une société balkanisée est plus facile à contrôler qu’une société homogène. L’insécurité née de l’immigration devient même une arme formidable de gouvernement.
« En laissant les délinquants agir à sa place, le pouvoir fait d’une pierre deux coups. L’ordre se défait, mais le désarroi même qui en résulte débouche paradoxalement dans une relégitimisation du pouvoir, car le pouvoir apparaît comme l’ultime rempart contre le désordre triomphant ». Le pouvoir tire ainsi argument de l’insécurité pour que les citoyens se résignent à l’abandon de leurs droits, comme la légitime défense.
C’est un peu cette thématique, avec un zest de sophistication et d’ironie mordante en plus qu’Éric Werner développe dans son nouvel essai sous la forme très originale de brefs dialogues entre plusieurs personnages (ou plusieurs « types ») qui s’entrecroisent, l’Avocate, l’Ethnologue, l’Auteur bien sûr, l’Étudiante, le Colonel (d’un cynisme réjouissant), etc. Si vous souhaitez rire (jaune parfois) devant la réalité vraie de notre « meilleur des mondes », courez acheter Le début de la fin & autres causeries crépusculaires. Le plaisir de la démonstration est garanti.
(Dominique Venner)
source
jeudi 8 novembre 2012
Une autre Europe

Depuis septembre 2008 une crise, sans doute aussi grave que celle de 1929, asphyxie l’Europe. La France n’échappe pas à cette situation de plus en plus préoccupante. Aucun gouvernement, ni aucun parti du Système, ne semble capable d’apporter des solutions efficaces pour sortir de ce marasme. Les peuples européens ne croient plus en leurs dirigeants, pire encore, ils ne croient plus dans leur avenir…
En réalité, cette crise remonte à beaucoup plus longtemps. Depuis une soixantaine d’années, l’Europe que l’on nous propose, ou plutôt que l’on nous impose, n’est qu’un ersatz imaginé et réalisé par des technocrates serviles, dénués de toutes conscience nationale ou identitaire, dont la seule raison d’être est de servir, sur notre continent, les intérêts de l’hyper-classe mondialiste. Ils ont livré l’Europe, et les nations qui la composent, au bon vouloir des prédateurs de la Goldman & Sachs et autres banques apatrides…
Alors, un autre destin pour l’Europe est-il possible ? Certainement, mais celle-ci devra vite rompre avec les carcans qui lui sont jusqu’à présent imposés. Tout est une question de volonté.
Ce livre n’a pas, loin s’en faut, la prétention d’être ni un programme ni un quelconque manifeste. Nous avons interrogé une trentaine de personnalités (politiques, écrivains, journalistes, responsables associatifs…) françaises ou européennes qui ont toutes un point commun : l’amour de la civilisation européenne. Chacune d’entre elles, avec ses références et sa sensibilité, a répondu à nos questions. Ces réponses peuvent sembler parfois paradoxales. Il en découle cependant une certitude : la fin de notre civilisation et de notre identité ne sont pas une fatalité.
Cette enquête pour une autre Europe a la volonté d’ouvrir des pistes nouvelles, des pistes aussi éloignées les unes que les autres du libéralisme et du socialisme…
Liste des contributeurs :
Franck Abed, écrivain, Gabriele Adinolfi, écrivain (Rome), Serge Ayoub, Président de Troisième voie, Lionel Baland, journaliste (Liège), Francis Bergeron, écrivain, Thibaut de Chassey, Président du Renouveau français, Pierre Descaves, ancien député, Georges Feltin-Tracol, écrivain, André Gandillon, rédacteur en chef de Militant, Nicolas Gauthier, journaliste, Olivier Grimaldi, Président du Cercle franco-hispanique, Pieter Kerstens, chef d’entreprise (Bruxelles), Pierre Le Vigan, écrivain, Patrick Parment, journaliste, Luc Pécharman, membre du Bureau de la Nouvelle Droite Populaire, Martin Peltier, journaliste, Dr Bernard Plouvier, écrivain, essayiste, Philippe Randa, écrivain, Enrique Ravello, responsable de Plataforme pour la Catalogne (Barcelone), Alain Renault, ancien secrétaire général du Front national, Jean-Claude Rolinat, écrivain, Marc Rousset, économiste, Gilbert Sincyr, ancien président du GRECE, Robert Spieler, ancien député, Hervé Van Laethem, membre de la direction de Nation (Bruxelles), Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Gabor Vona, Président de Jobbik (Budapest) et un texte en annexe de Bruno Mégret, fondateur du MNR...
Face à la crise : une autre Europe, enquête, Editions Les Bouquins de Synthèse nationale, 18 € (+ 3€ de port), 166 pages, novembre 2012.
pour commander
jeudi 11 octobre 2012
Jacques Doriot et le PPF

Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Année : 2012
170 pages, 18,00 €
Edité une première fois en juillet 1977, cet « historisme » fut longtemps le seul livre de référence sur Jacques Doriot et sur le Parti populaire français. L’ensemble des documents qui le compose, rassemblés par Bernard-Henri Lejeune, constitue une véritable mine de renseignements à la fois sur l’homme et sur le parti. La lecture de ces textes, écrits par les intellectuels les plus en vue de l’époque, tels Pierre Drieu La Rochelle, Pierre Dominique, Robert Brasillach, François Mauriac, Bertrand de Jouvenel, Roland Gaucher, Maurice Duverger et bien d’autres, ou retrouvés dans les archives d’anciens responsables du PPF, permettra de se faire une opinion dégagée des poncifs de l’historiquement correct sur cette grande aventure qui marqua l’histoire des mouvements nationalistes français dans les années 30.
L’auteur :
Bernard-Henri Lejeune, dès l’âge de 16 ans, fut militant dans les organisations de jeunesses du Parti populaire français. Toute sa vie il resta fidèle à son engagement et il fit son possible pour défendre, envers et contre tous, la mémoire de Jacques Doriot. Il anima dans les années 60 et 70 le Cercle d’études politiques et sociales, association nationaliste très active en Picardie.
Commandez Jacques Doriot et le PPF :
Règlement à la commande par chèque à l’ordre de Synthèse nationale à retourner à :
Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris
18, 00 € l’exemplaire (+ 3 € de port)
Nombreuses illustrations, 1re partie : avant la défaite de 1940 (parution de la seconde partie au printemps 2013)
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vendredi 5 octobre 2012
Contre le capitalisme spéculatif
Sa défaite de 1918 provoqua en Allemagne un profond traumatisme collectif, nourrissant interrogations, doutes, remises en cause dans tous les domaines de la vie sociale. Aux questions posées certains hommes voulurent apporter des réponses. Pour surmonter l'épreuve et préparer l'avenir. Gottfried Feder était du nombre
Il eut la conviction d'avoir trouvé une clef décisive pour comprendre la crise existentielle de l'Allemagne et y remédier : le grand fautif était le capitalisme spéculatif, qui tire son profit non du financement de la production et du travail des producteurs mais des manipulations financières à l'échelle internationale, suscitent des prises de bénéfice colossales, sans tenir compte et même à l'encontre des intérêts des citoyens et des collectivités nationales. La haute banque cosmopolite joue contre le peuple, sans aucun scrupules.
Feder s'est attelé à la rédaction d'un texte expliquant les méfaits du capitalisme spéculatif. Ce document a joué un rôle important dans la genèse du mouvement et de la doctrine national-socialistes dont Feder fut effectivement partie prenante. C'est pourquoi il était nécessaire de la porter à la connaissance des lecteurs français s'intéressant à l'histoire des idées et des mouvements politiques du XXe siècle.
Commandes
mardi 18 septembre 2012
Réédition : "Poitiers demain" de Philippe Randa...

Philippe Randa, conscient très jeune des menaces islamiste et immigrationniste, a écrit ce roman d’anticipation voilà près d’un quart de siècle… Poitiers demain connut un succès immédiat dans la mouvance nationale française et européenne et plusieurs éditions successives. Cette nouvelle réédition témoigne qu’il n’a rien perdu de son message prophétique et de l’espoir que place l’auteur dans la détermination des Européens à s’opposer aux dangers de l’islamisme radical et d’une immigration-colonisation qui, hélas, n’ont fait qu’empirer depuis quarante ans…
2032, ils reviennent…
Au XXIe siècle, la Troisième Guerre mondiale embrase la Terre. Les bombes d’abord, le Sida Foudroyant ensuite, ravagent le Monde en quelques mois.
En France, de petites communautés survivent, peureuses et désemparées dans un pays dévasté. Elles doivent se défendre contre les pillards, puis contre la menace du cheikh Akim qui veut conquérir l’ensemble du pays, réduisant en esclavage tous les « infidèles » qui lui résistent.
Un homme va alors rassembler une poignée d’Européens, de ceux qui veulent vivre libres sur leur terre et s’opposer à la formidable armée des envahisseurs. L’affrontement aura lieu à Poitiers en 2032 ! Bis repetita placent !
Poitiers demain est une épopée de la reconquête. Un hymne à l’Europe des Seigneurs de la guerre dont le héros emprunte ses traits aux chevaliers de le Table ronde. La Vouivre, mobilisée pour la bonne cause, entame une nouvelle carrière. Thor et Merlin font bon ménage avec les logiciels les plus perfectionnés. Quant aux Barbares, ils n’ont guère changé depuis la mort de Roland.
Poitiers demain de Philippe Randa est paru aux Éditions Dualpha, collection « Fictions populaires », 304 pages, 23 €.
mercredi 12 septembre 2012
Eloge de Richard Millet

À la différence sans doute des lyncheurs, j’ai lu les trois brefs ouvrages publiés simultanément par Richard Millet aux Éditions Pierre Guillaume de Roux. Un court roman, Intérieur avec deux femmes, où l’on retrouve le talent de l’auteur et sa façon très sensuelle et intériorisée de restituer les visages, les corps et les sentiments des femmes. Deux brefs essais accompagnent ce roman, De l’antiracisme comme terreur littéraire, une terreur dont Richard Millet peut parler en connaissance de cause. Enfin, Langue fantôme suivi de Éloge littéraire d’Anders Breivik. Personne ne s’est attardé sur la première partie (une déploration des maux de la langue française). Tout le monde s’est jeté sur les dix-huit pages du curieux Éloge littéraire d’un serial killer.
Personnellement, j’éprouve surtout de la perplexité devant le tueur d’Oslo. Anders Breivik est ce citoyen norvégien qui, le 22 juillet 2011, est passé à l’action armée en solitaire. Il a d’abord fait exploser une bombe au siège du gouvernement (8 morts), puis s’est livré au mitraillage d’un camp de vacances de jeunes travaillistes dans l’île d’Utoya (69 morts). Après s’être laissé arrêter, il a expliqué que son acte était destiné à protester contre l’islamisation de l’Europe. Curieuse protestation que de s’en prendre ainsi à de jeunes compatriotes innocents et sans défense. Un acte qui relève plus de la psychiatrie que de la politique. Mais ce n’est pas cette évidence qui a retenu Richard Millet. Sans approuver, on s’en doute le forfait de juillet 2011, il place celui-ci dans un registre provocateur inattendu : « C’est sur ces actes que je me pencherai, frappé par leur perfection formelle, donc, d’une certaine façon, et si tant est qu’on puisse les détacher de leur contexte politique, voire criminel, par leur dimension littéraire, la perfection, comme le Mal, ayant toujours peu ou prou à voir avec la littérature » (p. 103). Il me semble qu’en réalité, Richard Millet a vu dans cet acte de folie le symptôme d’une société en proie à une démence d’autodestruction. Mais aucun romancier n’avait eu la force intérieure et le talent de décrire avec ses mots l’ampleur du suicide européen dont l’immigration est le signe (1). Il a fallu qu’un dément agisse pour qu’un écrivain s’en saisisse. Voilà, selon moi, ce qu’a fait Richard Millet. Et, bien entendu, cet acte de courage intellectuel a aussitôt été perçu pour ce qu’il était : la dénonciation d’une société condamnée et de ceux qui en sont les complices à la façon de vers sur un cadavre en putréfaction.
Dominique Venner
Notes
1-Hormis Jean Raspail.
2-Richard Millet, Langue fantôme, suivi de Éloge littéraire d’Anders Breivik, Éditions Pierre-Guillaume de Roux.
source
jeudi 6 septembre 2012
lundi 3 septembre 2012
CasaPound ? CasaPound !

Depuis quelques années déjà, les actions et les prises de positions de l’organisation politique italienne nourrissent les discussions de la mouvance nationaliste, patriote et identitaire française. Beaucoup tentent de comprendre le succès et l’attraction de CasaPound. Résolument novatrice, insolente et avant-gardiste, CasaPound étonne, questionne, intrigue, irrite, séduit.
Centre social, structure politique, révolte de la jeunesse, réseau de solidarité active, syndicat, mouvement artistique, sportif et culturel… CasaPound Italia est à la fois tout cela et bien plus. Mais surtout CasaPound vit et vit intensément. Au confluent du mouvement, du lobby, de la contre-société et de l’Ordre, tel un organisme en constante évolution, CasaPound Italia fait germer une nouvelle forme de militance, une forme profondément positive, une forme conquérante. Enracinée sur des principes intangibles, CasaPound a su se libérer des carcans réactionnaires réducteurs et sclérosants du « milieu », opérant par là une rupture salvatrice et créatrice, un dépassement vitaliste, affirmatif. Cette forme, nous l’appréhendons mais souvent sans comprendre ce qui structure CasaPound.
Il manquait à nos débats un outil de compréhension de l’essence du phénomène. C’est justement à cette tâche qu’Adriano Scianca s’est attelé en écrivant Riprendersi tutto (« Tout se réapproprier », nom de l’ouvrage en italien). Journaliste, diplômé en philosophie, à 32 ans Adriano est surtout un militant qui participe depuis ses débuts à l’aventure de CasaPound. Il en est d’ailleurs aujourd’hui le responsable culturel. Son travail d’écriture nous propose, sous la forme d’un abécédaire clair et didactique, une plongée philosophique et esthétique dans l’identité profonde de CasaPound : Action, Fascisme, Identité, Style, Nature, Femme… constituent quelques-unes des entrées de ce manifeste passionnant croisant vision du monde et données applicatives.
Cet ouvrage fondamental – tant par l’éclairage qu’il procure sur la méthode que par l’esprit de conquête qu’il véhicule – se devait d’être traduit pour tous ceux qui, en France, souhaitent nourrir leur réflexion et leur action aux sources de la révolution organique que porte CasaPound.
Les Editions du Rubicon vous proposent une exploration militante au cœur de la pensée non conforme des fils de la Tortue. Mais cette lecture ne peut constituer qu’un commencement car il faut tout se rapproprier ! Bon voyage.
mercredi 18 juillet 2012
Lorànt Deutsch explorera "Le Paris de Céline" en septembre 2012

Au cœur d’une polémique entre la ville de Paris et le groupe PCF- parti de gauche concernant l’idéologie contenue dans son best-seller Métronome, Lorànt Deutsch annonce la parution d’un livre à la rentrée intitulé "Le Paris de Céline".
Ecrivain, comédien, animateur de bonne humeur, Lorànt Deutsch ne s’arrête que pour faire escale et prendre la correspondance de son prochain métro. En septembre prochain, il publiera Le Paris de Céline avec Patrick Buisson, politologue et président de la chaîne Histoire, un livre tiré du documentaire diffusé en 3D sur France 5, à paraître chez Albin Michel.
Un album qui, selon l’éditeur, fait revivre le jeune Louis Ferdinand Céline, « infatigable arpenteur de la ville, passager clandestin de ses mondes souterrains, (qui) s’est nourri du « théâtre » parisien (…) le Passage Choiseul, où le jeune Louis-Ferdinand observe « sous cloche » le spectacle de la Belle époque… Clichy la rouge, «banlieue paillasson» où le docteur Destouches fait son premier voyage au bout de la misère… Montmartre, où l’écrivain Céline s’inspire de sa vie de bohème... Meudon, enfin, où l’auteur maudit se retranche après l’exil…
Autant de parcours insolites que Patrick Buisson et le plus célèbre guide touristique parisien Lorànt Deutsch nous font visiter en enrichissant cette histoire d’anecdotes palpitantes, de documents d’archives recueillis au fil des années et de leur humour.
mardi 19 juin 2012
Le Dictionnaire des Polémistes

Ce Dictionnaire des polémistes rassemble tous ces articles. Vous retrouverez ici les grands noms qui, en leur temps, marquèrent les esprits. Ils n’hésitaient pas à dénoncer les puissants du moment. Beaucoup parmi eux payèrent très cher leur engagement. Aujourd’hui, la liberté d’expression se heurte encore aux ukases du politiquement correct et, comme hier, des lois liberticides, beaucoup plus insidieuses sans doute, empêchent les vrais polémistes de s’exprimer…
Robert Spieler, ancien député, fondateur d’Alsace d’abord, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, est aussi l’un des journalistes de l’hebdomadaire Rivarol. Chaque semaine il décortique avec délectation et cynisme l’actualité dans sa fameuse Chronique de la France asservie et résistante.
■ Commandez le Dictionnaire des Polémistes :
Règlement à la commande par chèque à l’ordre de Synthèse nationale à retourner à :
Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris
18, 00 € l’exemplaire (+ 3 € de port)
samedi 28 avril 2012
Les "Mémoires" d'Alain de Benoist
C’est un événement que tous les amateurs de la pensée iconoclaste et exigeante d’un des derniers grands intellectuels français attendaient avec impatience. Les « mémoires » d’Alain de Benoist, chef de file de la « Nouvelle Droite » et fondateur du GRECE, sortent le 2 mai prochain aux Editions de Fallois.
Sous le tire de « Mémoire vive », l’ouvrage prend la forme d’un long entretien avec François Bousquet, journaliste et ancien rédacteur en chef du Choc du mois, qui retrace le parcours personnel et intellectuel de l’auteur de « Vu de droite », « Demain, la décroissance », « Nous et les autres », « Au bord du gouffre » et tant d’autres ouvrages et articles ayant nourris la réflexions de plusieurs générations de militants politiques.
« Mémoire vive : Entretiens avec François Bousquet »
336 pages ; 15,5 x 22,5 cm ; broché
Prix de vente au public (TTC) : 22 €
mercredi 28 mars 2012
Fêtes païennes des quatre saisons

Comprendre le judaïsme

Tout le monde entend parler des juifs, mais bien peu de gens les connaissent vraiment. Qui sont-ils ? En quoi se distinguent-ils du reste de la population ?
Ces questions sont d’autant plus importantes que le peuple juif joue un rôle central dans l’évolution de l’humanité. On cite souvent Marx, Freud et Einstein, qui ont personnifié un temps le génie du judaïsme.
Aujourd’hui, l’apport des juifs à la culture mondiale est d’une richesse extraordinaire. Leur amour de la paix, de l’égalité et de la tolérance, leur combat inlassable pour les droits de l’homme, font d’eux les meilleurs défenseurs de l’idéal démocratique. Alors comment expliquer l’antisémitisme ?
Ce petit livre est une synthèse des six livres d’Hervé Ryssen parus sur le sujet et publiés entre 2005 et 2010. Ils sont indispensables pour comprendre le monde contemporain.
Format poche (10,5 x 15 cm). 144 pages, 8 € + 2 € de port. Chèque à l'ordre de LALIN, 14 rue Brossolette, 92300 Levallois (ce n'est qu'une boîte aux lettres).
Table des matières
I. L’identité juive
Parfaitement intégrés
Assimilation ou dissimulation ?
La solidarité juive
Une communauté fermée sur elle-même
La mission des juifs
Les droits de l’homme
Les juifs et l’humanité
L’Esperanto
II. La propagande cosmopolite
L’apologie du métissage et de la société plurielle
La culpabilisation des Blancs
Détruire les élites locales
L’antichristianisme
Les Noirs vont sauver l’humanité
Les races n’existent pas
Vous ne voyez rien !
III. Le nouvel ordre mondial
La finance au service de la démocratie
Guerre à l’islam
Les guerres libératrices
IV. Les traumatismes de l’histoire
Le traumatisme de la shoah
Le monde entier est coupable
L’esprit de vengeance
Le communisme sous Lénine
Le communisme sous Staline
Mai 1968
V. L’antisémitisme
Un phénomène inexplicable
La théorie du bouc émissaire
Nier les évidences
Inverser la réalité
Les bienfaits des juifs
La jalousie des antisémites
Toujours innocents
L’antisémitisme : une maladie
La folie des hommes
L’inversion accusatoire
La haine de l’humanité
VI. La mafia
Trafic mondial d’ecstasy : 100% kasher
Les grandes escroqueries
Le proxénétisme international
Le trafic d’organes
VII. La destruction de la famille traditionnelle
L’apologie de l’homosexualité
Travestis et transsexuels
Le féminisme
La destruction du patriarcat
VIII. Psychopathologie de “l’antisémitisme”
Violeurs et désaxés
Pédocriminalité
IX. La psychanalyse enfin expliquée
Le mythe du complexe d’Œdipe
X. La secte hystérique
Besoin d’amour
L’art juif
La prison juive
Les symptômes de folie
Le juif suicidaire
Avec quelques références inédites, et surprenantes !