lundi 30 septembre 2013

L’American Jewish Committee salue l’arrestation des dirigeants d’Aube dorée


Photo ci-dessus : distribution de nourriture et de vêtements par l’Aube dorée à la partie des Grecs en voie de clochardisation.

 - Dans un communiqué publié samedi, l’American Jewish Committee a félicité le gouvernement grec pour son action énergique contre l’Aube dorée : quatre députés du parti, dont son chef Nikolaos Michaloliakos, et dix autres de ses responsables ont été arrêtés ; d’autres arrestations sont en cours. L’Aube dorée, troisième plus important parti grec dans les sondages, avait de bonnes chances de gagner des municipalités aux élections municipales de mai 2014.

Selon le directeur de l’American Jewish Committee, David Harris, « l’essence même de la démocratie en Grèce est en jeu. Le gouvernement grec envoie un message clair pour dire que les forces de l’extrémisme violent sont une menace pour la société et ne seront pas tolérées ».

« Quoique nous soyons conscients, a poursuivi Harris, des risques encourus en s’en prenant à un parti politique représenté au Parlement, il y a des limites, qui, dans le cas de l’Aube dorée, ont été franchies il y a longtemps. À son honneur, le gouvernement du Premier Ministre Samaras a reconnu la nécessité absolue qu’il y avait à dire “trop c’est trop”, et à agir effectivement pour arrêter la folie d’Aube dorée. Un parti ne peut pas être autorisé à utiliser cyniquement la liberté qu’offre la démocratie, dans le but de renverser cette liberté elle-même. »

« L’American Jewish Committee va organiser une rencontre avec le Premier Ministre Samaras lors de sa venue à New York, dans la semaine qui vient ».

Source

(ndlr. Ils ne s'inquiètent même plus d'agir au grand jour)

lundi 23 septembre 2013

Municipales 2014 : pour quoi faire ? Pour des communes identitaires


(Tribune en forme de programme électoral de Jean-Yves Le Gallou.)

Il n’y a pas beaucoup de suspense pour les municipales du printemps 2014 ! Sauf dans les très grandes villes (et encore), le PS va prendre une raclée. Sans beaucoup d’effort ni de mérite, l’UMP va gagner des communes. Et le FN remportera quelques victoires : à Carpentras ? à Hénin-Beaumont ? à Forbach ? à Dunkerque ? à Fréjus ? à Tarascon ? à Béziers avec Ménard ? Sans doute aussi dans des endroits auxquels personne ne pense !

Pour quoi faire ? Pour l’écharpe ou le grigri ou pour agir ?

Mais au-delà de la géographie électorale, la question qui se pose à ceux qui vont se faire élire – en particulier mais pas seulement sur des listes « modérées » ou « divers droite » ou « intérêt local » – est la suivante : pour quoi faire ? Pour l’écharpe ou le grigri ou pour agir ?

Cultiver l’esprit de résistance et de reconquête

Entrer dans une municipalité n’a de sens que si l’on y va dans un esprit de résistance ou de reconquête. Quitte à choisir un secteur de combat et s’y consacrer et à celui-là seul ! Les terrains d’exercice et de manœuvre sont nombreux : les écoles, la culture, le patrimoine, les cantines, les subventions, les locaux municipaux, l’urbanisme, les paysages, les impôts.

Sur les écoles, s’intéresser au contenu, pas seulement aux locaux

En matière scolaire, il ne faut pas s’intéresser seulement à l’intendance mais au fond. Comment ? En fédérant les parents d’élèves qui en ont marre des dérives politiquement correctes dès le primaire. Ou en boycottant l’achat d’ouvrages de désinformation : histoire-propagande ou théorie du genre. Et puis en aidant des écoles indépendantes à trouver des locaux.

Sur les cantines, défendre l’identité culinaire régionale et nationale

Il faut refuser les interdits alimentaires étrangers ainsi que tout achat de viande halal ; et revenir à des menus plus traditionnels tout en privilégiant le localisme. Il faut retirer le contrôle des assiettes des enfants (et des personnes âgées) aux grands oligopoles de la distribution alimentaire. Former le goût et remettre du sens : proximité, produits français, plats régionaux, cochon, agriculture raisonnée ou bio, le tout servi par des entreprises locales.

Sur le patrimoine, valoriser l’identité locale

Il faut veiller sur l’entretien des bâtiments historiques et des églises, cesser de sacrifier les musées et remplacer les minables logos commerciaux par les blasons enracinés : il faut mettre les « communicants » hors d’état de nuire et faire revenir le temps des « armes de la ville » en choisissant des visuels enracinés !

Sur les fêtes, respecter les traditions et œuvrer au ré-enracinement

Chaque ville, chaque bourg, chaque village a son histoire, ses fêtes, ses traditions, sa toponymie, ses sociétés locales, tout ceci mérite d’être respecté et parfois ranimé. Les noms des places, des rues, des lieux de convivialité ne doivent pas être « idéologiques » mais enracinés dans l’histoire et la géographie locales. Les sociétés locales d’amateurs (des arts, de musique, de théâtre ou de danse, d’histoire) doivent être mieux considérées par les professionnels et les « sachants ».

Sur la culture, protéger le pluralisme et privilégier l’ « art caché » plutôt que le non-art contemporain

Vaste chantier ! Il faut rétablir la pluralité et la diversité dans les bibliothèques municipales, au cinéma, au théâtre. Sans sectarisme, bien sûr, mais aussi sans accepter le sectarisme des autres. Et cesser de céder aux sirènes ridicules du non-art contemporain. Retrouver l’ « art caché », selon la jolie expression d’Aude de Kerros.

Sur les subventions, les supprimer pour les nuisibles

Il faut taper dans la butte et cesser de subventionner les nuisibles : les syndicats politiquement corrects, les lobbys homosexualistes, antiracistes et immigrationnistes, les associations étrangères, les communautaristes musulmans (et autres), tout ce petit monde doit être mis à la diète. Qu’ils se financent avec l’argent de leurs adhérents, pas avec celui des contribuables ! L’argent des contribuables n’a pas à financer les mosquées ni les pseudos centres « culturels » islamiques (ou pentecôtistes ou israélites, d’ailleurs).

Sur les locaux municipaux, veiller au pluralisme dans leur attribution

Là aussi un mot d’ordre : pluralisme dans l’attribution des locaux municipaux pour permettre aux nôtres aussi de s’exprimer. Oui à la liberté d’expression pour les conformistes (si, si !) mais aussi pour les anticonformistes et les dissidents ; oui à la liberté d’expression pour le politiquement, le moralement, l’historiquement et le culturellement incorrect !

La naissance, le mariage, la mort, les accueillir avec dignité et décence

A la place ou en complément des lieux de culte, les mairies sont des lieux de passage lors des étapes essentielles de la vie. Cela ne doit pas être seulement des passages administratifs. Déclarer une naissance mérite accueil et considération. Le mariage, c’est l’union solennelle d’un homme et d’une femme dans la durée et dans le cadre d’une lignée. Il peut être bon de le rappeler. Pour veiller au respect des morts, des efforts considérables doivent être faits : des cimetières bien entretenus et protégés contre le vandalisme ; des crématoriums et des funérariums dignes et localisés ailleurs que dans les zones industrielles et les déchèteries.

Les paysages : les respecter

Les paysages sont le fruit de l’histoire, le résultat d’un jardinage séculaire de la France. La plus grande responsabilité des maires, c’est l’urbanisme. Les 40 dernières années ont été marquées par l’enlaidissement de la France et le saccage de nos paysages. Protéger les paysages doit être une priorité absolue face à la prolifération des zones commerciales, des bâtiments sans âme, des éoliennes et des projets de forage. L’ « architecture douce » doit être promue partout où c’est possible.

Centres villes et centres villages, les faire revivre et les embellir

Les centres villes et les centres villages ont souvent été abandonnés au profit de périphéries sans âme. La reconquête est nécessaire : par l’embellissement d’abord ; en requalifiant les rues et les places, en remettant en valeur églises, fontaines et lavoirs, en enterrant les réseaux, en fleurissant les lampadaires et les terre-pleins ; en encourageant une vie économique enracinée en cessant de privilégier les grandes surfaces commerciales et en promouvant les marchés et les commerces locaux.

Campements de nomades, refuser le laxisme

Il y a de plus en plus d’aires légales aménagées pour le stationnement des nomades. Dans ces conditions il n’y a pas à accepter les campements sauvages, sources de nuisances et de dégradations de l’environnement. Les maires – et leurs adjoints – n’ont aucune raison de tolérer les manquements sanitaires, les vols d’eau ou d’électricité : la loi leur donne d’ailleurs la compétence d’officiers de police judiciaire. Qu’ils s’en servent en mettant les procureurs au pied du mur.

Impôts, les maîtriser en supprimant les dépenses nuisibles

La limitation des impôts locaux est la première exigence des électeurs municipaux. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, elle est simple à satisfaire : en maîtrisant les dépenses de confort des élus et des administrations communales et intercommunales ; en supprimant les subventions nuisibles aux organismes politiquement corrects ; en cessant d’encourager de manière irresponsable les flux migratoires, sources de coûts sociaux et d’insécurité.

Jean-Yves Le Gallou

vendredi 20 septembre 2013

Projet de loi Taubira : les dispositions qui vont faire polémique

L'encre n'est pas encore sèche que déjà les critiques pleuvent sur le projet de réforme pénale qui sera bientôt examiné par le Parlement. Le Point.fr s'est procuré une copie du texte (...) et lève le voile sur ces dispositions qui risquent de faire controverse.

L'article 12 est sans doute celui qui prête le plus à polémique. Si la loi est votée, les collectivités devront "garantir l'accès effectif des personnes condamnées aux droits sociaux". En clair, communes et départements auraient obligation d'octroyer aux délinquants passés par la case justice des aides sociales comme le RSA ainsi que des coups de pouce à l'emploi ou au logement.

Tour de passe-passe

Autre dispositif qui pose question : la suppression de la révocation automatique du sursis simple prévue à l'article 6. Ce mécanisme aurait pour effet de faire chuter artificiellement le taux de récidive. Comment ? Quand un jeune délinquant se fait condamner pour la première fois par la justice, il écope d'une peine avec sursis simple. Si pour une nouvelle infraction une condamnation est prononcée, le sursis tombe mécaniquement, ce qui fait alors du délinquant un récidiviste. En supprimant l'automaticité du couperet, le projet de loi Taubira aura pour effet de vider les prisons, la majorité des récidives correspondant à des révocations de sursis simple. Certains magistrats dénoncent un tour de passe-passe statistique pour tenir l'objectif de la garde des Sceaux qui a fait de la lutte contre la récidive son cheval de bataille, jusqu'à en faire une loi.

JAP tout-puissant

Le grand gagnant de la réforme est le juge d'application des peines. Le JAP, comme on l'appelle, devient le juge le plus puissant de France. C'est désormais lui qui, au bout de la chaîne judiciaire, décide seul, dans le secret de son cabinet et uniquement sur dossier, du devenir du délinquant. Une situation paradoxale alors que depuis l'affaire d'Outreau, la collégialité est présentée comme le rempart à l'erreur judiciaire.

Interrogé par Le Point, Emmanuel Poinas, le secrétaire général de FO Magistrats, prévient : "La mise en oeuvre de cette réforme suppose des moyens qui pour l'heure n'ont pas été précisés. Surtout, le nouveau texte ne simplifie en rien la prise en charge des condamnés, qui était déjà d'une extrême complexité. Au final, pour le citoyen, l'action de la justice restera encore plus obscure."

Plus gênant pour la Place Vendôme, s'il devait être voté en l'état au Parlement, le projet de loi tant souhaité par Christiane Taubira risquerait par la suite d'être retoqué pour anticonstitutionnalité. En effet, en laissant au JAP le soin de définir les modalités de la peine seul et dans le secret de son cabinet, on porte atteinte à un principe constitutionnel : la publicité des débats judiciaires et leur caractère contradictoire.

( Mélanie Delattre et Christophe Labbé )

jeudi 19 septembre 2013

La justice défavorable à l'expulsion de Kristian Vikernes



La commission juridique chargée de se prononcer sur une éventuelle expulsion du territoire français de Kristian Vikernes a statué en faveur du Norvégien.

Dans une notification transmise aujourd'hui au musicien de métal, la commission a jugé que "la mesure d'expulsion projetée ne répond à aucune nécessité impérieuse pour la sûreté de l'Etat ou la sécurité publique et qu'aucun élément du dossier ne caractérise un comportement personnel représentant une menace réelle".

Pour son avocat, Kristian Vikernes est "plutôt rassuré". "Il est satisfait que la justice française et corrézienne ait considéré qu'il n'y avait pas d'éléments dans le dossier" pouvant justifier une expulsion, a indiqué Me Freyssinet à La Montagne.

Kristian Vikiernes s'était vu notifier sa convocation devant cette commission juridique quelques temps après avoir fait part de sa volonté d'attaquer l'Etat français à la suite de son interpellation le 16 juillet dernier. Soupçonné de préparer un acte terroriste, le Norvégien avait été laissé libre sans qu'aucune charge n'ait été retenue contre lui, après 60 heures de garde à vue.

Me Freyssinet confiant pour la suite

"Cet avis est seulement consultatif, mais cela donne une vision claire de ce qu'il y a dans le dossier. Le ministère de l'Intérieur aura du mal à justifier une expulsion après que trois magistrats compétents et reconnus comme tels ont considéré qu'il n'y avait pas de menace justifiant une expulsion du territoire", a poursuivi Me Freyssinet.

L'avocat a par ailleurs confirmé que ni lui ni son client n'avaient reçu de convocation devant le tribunal correctionnel de Paris le 17 octobre pour "incitation à la haine raciale".

Marié à une française et père de trois enfants, KristianVikernes est installé en France depuis 2010 et à Salon-la-Tour depuis un an. Connu pour ses positions extrêmistes et antisémites, il avait été condamné en 1994 à 21 ans de réclusion criminelle, en Norvège, pour le meurtre d'un rival musical.

Jean-Paul Cohade et Emilie Auffret
http://www.europe-identite.com/index.php/Actualite/A-lire/La-justice-defavorable-a-l-expulsion-de-Kristian-Vikernes.html

mardi 17 septembre 2013

Le contribuable va financer le futur Centre européen du judaïsme

Futur centre européen du judaïsme : 2 millions d’euros apportés par l’Etat, 700 000 euros par l’IdF et terrain prêté par la mairie de Paris


Si c’est pas beau ! On détruit des églises chaque années en France (contre la volonté populaire), mais pour un centre du judaïsme de 5OOO mètres carré, les collectivités territoriales trouvent rapidement l’argent nécessaire…

Lors de ses vœux aux autorités juives pour la nouvelle année, le ministre de l’Intérieur a répondu à leurs craintes sur la laïcité.(…)

Dans sa réponse, Manuel Valls dont l’entourage a montré quelques petits signes d’agacement aux propos de Joël Mergui, s’est voulu rassurant. «Il ne faut pas avoir peur de la laïcité», a-t-il lancé, soutenant la charte de son collègue, ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon. Malgré ce différend, les relations semblent au beau fixe entre le ministre de l’Intérieur et la communauté juive. Manuel Valls partage ainsi l’analyse de cette dernière sur les nouvelles formes d’antisémitisme.

Il a aussi confirmé la subvention de deux millions d’euros qu’apportera l’Etat au futur centre européen du judaïsme.

Dans les cartons depuis plusieurs années, c’est un projet d’envergure de 5 000 m2 sur cinq étages, comprenant notamment une synagogue, un hall d’exposition, des salles de réunion et des bureaux. Les travaux devraient commencer prochainement. Ils seront achevés au plus tôt en 2015. «La France compte la communauté juive la plus importante d’Europe», rappelle Joël Mergui, soulignant que le judaïsme français a une vocation particulière de rayonnement sur le vieux continent.

Évalué à neuf millions d’euros, le projet de centre européen bénéficie de l’appui, outre de l’État, du conseil régional d’Ile de France (qui versera, lui, 700 000 euros) et de la mairie de Paris, propriétaire du terrain.

Source

jeudi 12 septembre 2013

La manif interdite : une décision politique de Manuel Gaz Valls !


Ainsi donc le Préfet de Police de Paris envisage d'interdire la grande manifestation prévue ce prochain samedi à Paris pour la défense des libertés publiques et le soutien à nos camarades emprisonnés et notamment Esteban Morillo, coupable de s'être défendu contre un agresseur gauchiste, un bobo gringalet qui pétait plus haut que son cul. Il paraît même que cette manifestation risquer de heurter la sensibilité humaniste des anti-fascistes dont on sait qu'il n'ont recours aux dégradations, aux incendies, aux pillages, à la bastonnade et à la frénésie du cutter que pour défendre la démocratie et les droits de l'homme, allogène de préférence.

Ne nous y trompons pas. D'abord, la ficelle de risques de troubles à l'ordre public est aussi grosse que celle des armes de destruction massive irakiennes ou le recours au gaz sarin par les loyalistes syriens. Et puis, le Préfet de Police de Paris n'envisage pas, ne décide pas : il obeit aux ordres de son ministre; un haut fonctionnaire n'est qu'un rond de cuir mieux payé que les autres certes mais pas plus payé pour penser que les préposés aux photocopies des sous-préfectures. Cette décision n'a rien à voir avec la sécurité et la tranquillité des parisiens; c'est une décision politique prise par Manuel Gaz Valls, marionnette des lobbies du Nouvel Ordre Mondial pour qui tout ce qui de près ou de loin relève du patriotisme, du nationalisme, de l'identitaire ou du solidarisme est voué à être combattu, villipendé, interdit, réprimé... et même gazé comme on a pu le voir faire sur des femmes et des enfants lors des manifestations contre le mariage homo.

Le combat bien sûr continue, il doit s'étendre à tous les domaines, se radicaliser et entraîner par l'exemple nos comatriotes et congénères anesthésiés ou nos camarades découragés. Les coups qui nous sont portés ne feront que renforcer notre détermination : qu'avons nous de plus à perdre quand notre identité même est menacée? Contre la dictature qui veut faire de nous un peuple en voie de disparition, tout est bon, tout se justifie et la résistance n'est plus seulement un droit, c'est un devoir. Serviteur d'un Système déconsidéré, le pouvoir écolo-socialiste a peur, il a la peur de la bête blessée qui cherche à mordre une dernière fois. A nous de l'achever... même par les moyens légaux ! Rassemblement ! Résistance ! Reconquête !

(Yves Darchicourt)

mercredi 11 septembre 2013

Nouvelle année juive : Halter reçoit ses copains, les coquins ...

                  

La nouvelle année juive était célébrée dimanche soir chez l'écrivain Marek Halter. Il a reçu du beau monde, près de la place des Vosges à Paris : le Premier ministre Jean Marc Ayrault, le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, ou encore la ministre de la Justice Christiane Taubira.

Féter la nouvelle année juive chez Marek Halter est une tradition pour les politiques. Tous les ans, l'écrivain réunit ministres, artistes, intéllectuels. La nouveauté cette année : la présence du premier ministre Jean-Marc Ayrault.

Si la présence de Jean-Marc Ayrault peut étonner au moment où une charte de la laicité est affiché dans tous les établissements scolaires publics, le Premier réfute toute idée de communautarisme : "Vous avez des gens de différentes sensibilités culturelles, politiques et religieuses. Pouvoir se rencontrer, ce n'est pas si mal", a-t-il expliqué. "Ce n'est pas communautaire. La laïcité, ce n'est pas l'ignorance des autres, c'est la garantie du vivre-ensemble".
De nombreux politiques présents

Le premier ministre n'est pas le seul a avoir accepté l'invitation de Marék Halter. Arnaud Montebourg, Christiane Taubira, mais aussi des figures de l'UMP Valérie Pécresse, ou Frédéric Lefevre. Pour l'écrivain polonais Marek Halter, c'est une manière pour les personnalités politiques de sortir de leur quotidien :

  "Tout le monde a envie d'être là, parce qu'il n'y a pas beaucoup d'endroits où les gens se rencontrent sans débattre de politique ou de différence" (Marek Halter)

"On se raconte ce qu'on a envie, on se partage un cheesecake de ma maman, il y a du champagne : c'est peut-être une manière de montrer qu'on n'est pas sectaires" a-t-il poursuivi.

L'écrivain espère la venue l'an prochain de François Hollande. Le président de la république lui a promis de se déplacer si son agenda le lui permet.


Plusieurs responsables du CRIF étaient présents : Jean-Pierre Allali et Arié Bensemhoun, membres du Bureau Exécutif, Paul Rechter, conseiller du président Roger Cukierman, et Patrick Klugman, membre du Comité directeur.

Sous un dais dressé devant le porche de l’immeuble, les invités étaient accueillis par un orchestre klezmer, tandis qu’un imposant cordon de policiers bloquait la rue dans l’attente du Premier ministre qui avait annoncé sa venue. En milieu d’après-midi, Jean-Marc Ayrault faisait son entrée en compagnie de deux ministres du gouvernement : Yamina Benguigui, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée de la Francophonie et Michèle Delaunay, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires sociales et de la Santé, chargée des personnes âgées et de l’Autonomie. Le monde politique, de droite comme de gauche était bien représenté avec Harlem Désir, Premier secrétaire du Parti Socialiste, David Assouline, Anne Hidalgo, Pierre Aidenbaum, Bernard Kouchner, Valérie Pécresse, Frédéric Lefèbvre, Nicole Guedj ou encore Jean-Jacques Curiel du Parti radical.

Parmi les nombreux représentants du monde de la presse : Ruth Elkrief, Christine Ockrent , Étienne Mougeotte Alain Chouffan du Nouvel Observateur et Judith Waintraub, du Figaro.

On notait également la présence de Samuel Pisar et de son épouse, de Gérard et Claude Unger, de Caroline Fourest, de Gérard Miller, de François Weil, recteur de l’Académie de Paris, des professeurs Dominique Reynié et Philippe Théry, du producteur Tarek Ben Ammar, de Duc Co Minh, président du Club d’Initiative des Français d’Origine Asiatique, de Claude Barouch de l’UPJF et de son épouse, d’Henri Cukierman et de son épouse, de Macha Méril et de Chantal Thomass.

Très entouré, l’imam de Drancy, Hassen Chalgoumi, récemment victime d’une agression en Tunisie, se déplaçait difficilement avec des béquilles. À ses côtés, très protecteur, le père Alain Maillard de la Morandais.

mardi 10 septembre 2013

Sécurité : les mauvais chiffres de Manuel Valls


INFOGRAPHIE - Le Figaro s'est procuré le nouveau tableau de bord du ministre, un an après sa prise de fonction. La violence augmente presque partout, les patrouilles sont moins nombreuses et le taux d'élucidation diminue.

Le Figaro a pu décortiquer le nouveau «tableau de bord» de Manuel Valls. Une centaine de pages de chiffres et de cartes en couleur, qui décrivent l'évolution des crimes et délits en ­France. Le ministre de l'Intérieur voulait un nouvel outil d'analyse: il a donc bâti son propre instrument de pilotage, avec de nouveaux indicateurs d'activité des forces de l'ordre. Un souci louable de transparence, mais dont la première traduction n'est guère réjouissante…

Dans le baromètre Valls, ce qui grimpe figure en rouge. Or, sur un an, d'août 2012 à juillet 2013, période qui démarre quand la gauche assume pleinement la conduite des affaires, tout ou presque vire à l'écarlate: les atteintes à l'intégrité physique (+2,9%) et, parmi ­celles-ci, les violences sexuelles ­(+10,4%) ; les atteintes aux biens (+3,5%), parmi lesquels les cambriolages (+9,3%) ; enfin, les infractions économiques et financières (+5,9%).

Beauvau a défini dans ses «indicateurs cibles» la «grande criminalité». Qui augmente depuis un an (+5,2%). Censé éclairer l'univers des vrais voyous, cet agrégat comprend 17 rubriques, du règlement de comptes (+10%) à la fausse monnaie (+14,5 %), en passant par les attentats à l'explosif contre des biens privés (+33,7%) ou les vols à main armée contre des commerces (+8,4%), à l'instar de l'attaque à la voiture-bélier, lundi, contre une bijouterie située sous les fenêtres de la garde des Sceaux à Paris. S'y ajoutent les trafics et reventes de stupéfiants (+10,2%), avec 6321 infractions constatées sur l'année écoulée contre 5735 précédemment. Mais là, bonne nouvelle, l'action antidrogue révèle la capacité d'initiative des services. Beauvau entend donc la mettre davantage en avant dans les jours à venir.

Noyées désormais dans les «infractions à la réglementation», celles liées à la police des étrangers connaissent une chute vertigineuse: les constats sur douze mois des infractions aux conditions d'entrée et de séjour sont passés de 79.445 sous Sarkozy à 34.267 aujourd'hui (-56, 8%). «Or, il devient difficile de se retrancher derrière la décision de la Cour de cassation qui avait considéré, en juillet 2012, que le séjour irrégulier d'un étranger ne pouvait suffire à le placer en garde à vue. Depuis janvier dernier, les forces de l'ordre ont obtenu un droit de rétention de 16 heures», explique un haut fonctionnaire. Pour l'ancien ministre UMP de l'Intérieur, Brice Hortefeux, l'affaire est entendue: «C'est le signe que la France a ouvert les vannes de l'immigration.»

Manuel Valls voulait un vrai indicateur d'efficacité. Il a nettoyé celui des années Sarkozy pour ne garder que les faits significatifs, à ses yeux. Et pourtant, globalement, le taux de réussite passe de 18% à 17,7%. Dans le détail, la plupart des taux d'élucidation baissent: homicides (de 89 à 77%), vols à main armée (de 37 à 36%), vols avec violences sans arme (de 12,3 à 12,1%), cambriolages (de 12 à 11%), vols liés à l'automobile et aux deux-roues (de 8 à 7%), vols simples (de 10,3 à 10,1%). Le taux d'élucidation remonte toutefois pour les coups et blessures volontaires (de 76,2 à 76,7%) et les violences sexuelles (de 76 à 78%). De même, police et gendarmerie mettent davantage de personnes en cause pour tous ces faits. «Le problème, c'est que lorsque l'élucidation baisse et que les mis en cause augmentent, cela peut signifier que la police n'attrape pas forcément les bons», spécule un haut magistrat.

Autre point noir de taille dans le bilan chiffré de Manuel Valls: les «missions opérationnelles» de la gendarmerie ont chuté de 10,2% et celles de la police en tenue de 2,2% (en millions d'heures cumulées). Pourtant, dans le même temps, les «tâches indues» (transfèrement de détenus, garde des bâtiments publics, escortes diverses, procurations de vote), dont se plaignent depuis toujours les agents, au prétexte qu'elles les distrairaient de leur mission principale de lutte contre la délinquance, ont baissé de 10% côté gendarmerie et de 7,8% côté police.

On aurait pu imaginer que la prévention allait croître sous la gauche. Il n'en est rien: le total de ces missions a baissé de 3,3% chez les gendarmes et de 6,1% chez les policiers. En clair: malgré des «tâches indues» en diminution, malgré des actions de prévention en baisse par rapport aux années Sarkozy, et bien que la police consacre moins de temps à courir derrière les clandestins, les heures épargnées pour s'occuper du «cœur de métier» ne se retrouvent pas dans l'«opérationnel».

Les missions de patrouille ont ainsi chuté de 6% côté police et de 3,4% côté gendarmerie. Au total, les forces de l'ordre ont collectivement diminué leur présence de 2,5 millions d'heures sur le terrain en un an. Se peut-il qu'aujourd'hui plus d'agents revendiqués au tableau d'effectifs aboutisse à moins de missions dans la rue? La pression des années Sarkozy sur la productivité policière ne pouvait durer éternellement. Et le nouveau premier flic de France a été reçu cinq sur cinq quand, le 19 septembre 2012, il claironna, devant toutes la hiérarchie de Beauvau, qu'il allait rompre avec la «politique du chiffre». Des chiffres décidément impitoyables. Mais indispensables pour savoir par où et comment remonter la pente.
La carte des violences passe au rouge

Marseille, capitale des violences? Selon le tableau de bord Valls, au-delà du bilan sanglant du banditisme, celles-ci ont diminué de 5,3% sur un an dans les Bouches-du-Rhône (de 29.895 à 28.312 infractions). Ce département détient la troisième place au palmarès des faits commis, juste derrière la Seine-Saint-Denis (29.000). Ailleurs en Ile-de-France, pas un seul département ne déclare moins de 10.000 faits. Le Nord cumule plus de 25.000 infractions, loin devant le Rhône et ses 16.000 agressions. La Seine-Maritime, avec plus de 10.000 affaires, a rejoint la Haute-Garonne, où l'on déplore une hausse de violences de 7%. Seuls 15 des 96 départements métropolitains échappent à la hausse des violences. La dégradation est patente dans toutela zone sud-ouest, tout le Nord, le Languedoc-Roussillon, l'Ouest, l'Est. Les DOM ne figurent pas dans le tableau, mais la délinquance y explose. Seul le Grand Paris connaît une légère embellie, avec une baisse des violences hors vol, souvent intrafamiliales.


NRH n°68


vendredi 6 septembre 2013

Histoire à l’école : le Grand Effacement s’accélère !


Dans l’indifférence générale, le pouvoir continue son œuvre de destruction de la mémoire nationale. Logiquement, le Grand Effacement accompagne le Grand Remplacement…

« Il n’y a pas d’ancêtres des Français. » C’est l’affirmation scandaleuse que l’on peut par exemple lire ce mois-ci dans le hors-série du magazine L’Histoire, « Atlas de France ». La phrase est signée Dominique Borne, ancien doyen de l’Inspection générale de l’Éducation nationale. Ce magazine, pourtant de qualité, a dû satisfaire la ligne éditoriale obligatoire. Depuis quelques années, c’est partout la même antienne, du cours dispensé dans une classe de CM2 aux émissions diffusées à la télé : nous sommes un pays d’immigration depuis la nuit des temps, les Français de souche n’ont jamais existé, etc.

Comme si cette histoire génétiquement modifiée ne suffisait pas, en haut lieu, on a décidé de pratiquer le Grand Effacement. Renaud Camus ne m’en voudra pas de relooker sa célèbre expression. Car le Grand Remplacement n’est possible qu’accompagné du Grand Effacement. Et dans ce présent orwellien, force est de constater que tableaux anciens, livres d’histoire de France et statues de toutes nos places sont une insulte à l’idéologie dominante. Affreusement monochrome, cet insupportable jadis… Comme une grande claque au mensonge ambiant, l’immensité iconographique est une preuve accablante : non, le passé de la France n’est pas métissé ; oui, il est grandiose. Ceux qui veulent la « France d’après » à marche forcée vont devoir pratiquer un véritable mémoricide.

Il faut aller vite avant que le peuple ne réagisse : pour cette rentrée 2013, on prétexte donc la « surcharge » des programmes d’histoire (en troisième et en terminale) pour les réduire drastiquement. Il est vrai qu’avec l’étude de la civilisation islamique ou des royaumes africains, il avait déjà fallu quasiment supprimer Clovis, Louis XIV et Napoléon. Rien que ça ! Maintenant, c’est au tour du général de Gaulle de passer à la trappe…

Le Monde annonce l’ampleur de la boucherie : « Ce n’est pas de petites coupes qu’il s’agit. En Troisième, trente à trente-six heures seraient économisées – soit près du quart du programme, selon le SE-UNSA. En histoire, la première partie sur le XXe siècle qui correspond à 15 % du temps deviendrait une « introduction » réduite à 5 % du temps. L’évolution du capitalisme, du système de production, disparaîtrait pour laisser plus de place aux guerres mondiales et aux régimes totalitaires. »

La situation actuelle est paradoxale jusqu’à la folie : jamais il n’y a eu autant de revues historiques dans les kiosques ou de documentaires à la télé ou la radio, jamais les musées n’ont été aussi pleins. Le public français est affamé de son propre passé, comme si les gens souffraient d’un manque. Pourtant au même moment, l’enseignement de l’histoire est réduit presque à néant…

Comprenne qui voudra !

(Joris Karl)

jeudi 5 septembre 2013

La défaite d'Obama


L'Afrique Réelle n°45 - Septembre 2013
Sommaire :

Dossier : Algérie
- Le vaisseau fantôme
- Une société en crise, un Etat riche
- La succession du président Bouteflika
- Les islamistes en embuscade ?
- L’armée n’est plus le seul pouvoir
- Le mythe fondateur du pouvoir algérien
- A travers la presse algérienne : Tlemcen, nouvelle capitale de l’Algérie ?

Rwanda :
Et si le général Roméo Dallaire avait eu pour mission cachée de faire triompher Paul Kagamé ?

Editorial de Bernard Lugan :

Egypte : la défaite d’Obama, d’Erdogan et du Qatar

Le temps des recompositions et du retour aux grandes constantes historico-géopolitiques est venu en Egypte et dans tout le Moyen-Orient pour au moins trois grandes raisons :

1) La crise économique, sociale et politique qui a suivi l’arrivée au pouvoir des Frères musulmans en Tunisie et en Egypte a permis de mettre en évidence la véritable nature de cette internationale sunnite. Avançant masquée et pratiquant constamment le double langage, elle utilisa habilement le suffrage universel pour arriver au pouvoir et tenter d’imposer une dictature théocratique à des pays sans traditions démocratiques. Mais, trop sûre d’elle-même, arrogante et dominatrice, elle fut rejetée par les masses quand ces dernières comprirent qu’elles avaient été abusées.

2) Le monde sunnite sort de cette « expérience » encore plus meurtri et plus divisé que jamais. Il va donc rapidement lui falloir choisir entre la marginalisation et l’invention de nouveaux systèmes politiques non démocratiques au sens occidental du terme. Parlons clair : il lui faut donc de nouveaux Nasser et de nouveaux Saddam Hussein. Au Maghreb, la situation est différente, notamment en raison de la réalité ethno-politique berbère.

3) L’échec égyptien venant après le désastre irakien et la déconvenue syrienne, l’effacement des Etats-Unis est désormais une évidence. L’axe Washington - Ankara - Jérusalem - Doha - Ryad - Le Caire n’existant plus, l’Arabie saoudite et les émirats naviguent désormais à vue, tétanisés à la fois par la puissance iranienne et par l’inéluctable révolution interne qui, tôt ou tard les balayera.

Au mois d’août 2013, les deux principaux perdants de cette recomposition régionale étaient le Qatar et la Turquie.
En dépit du silence qu’il achète avec ses dollars, le Qatar ne pouvait plus cacher qu’il est, avec l’Arabie saoudite, le principal soutien de toutes les tentatives de terrorisme islamiste, de la Libye à la Syrie, en passant par la Bosnie et par l’Egypte. Quant à la Turquie d’Erdogan, elle paraissait affaiblie par son échec en Syrie, ses maladresses en Egypte et la crise économique qui se profilait.
L’échec d’Obama était alors criant et cela, au moment où la victoire de Poutine paraissait au contraire éclatante. Le premier avait une stratégie de court terme faite de coups rapides, comme au basket, quand le second, solidement appuyé sur l’alliance chiite déplaçait avec méthode ses pions sur l’échiquier régional. Résultat, au moment où la chaîne sunnite se disloquait, emportant les rêves hégémoniques américains, le bloc chiite affirmait au contraire sa solidité.

Les Etats-Unis devaient donc réagir ; la Syrie leur en donna le prétexte. La Turquie se rallia naturellement au projet militaire américain cependant qu’en bons valets, les Européens, en premier lieu les Britanniques et les Français, se faisaient une fois de plus les porte-cotons de leur suzerain d’outre-Atlantique. Dans la plus totale ignorance des constantes géopolitiques régionales.


(Bernard Lugan)

mercredi 4 septembre 2013

Les crimes et délits concernés par la réforme pénitentiaire


Afin de lutter contre la surpopulation carcérale et la récidive, Madame Taubira, notre inventive ministre de la Justice, a lancé une réforme de la loi pénitentiaire. Celle-ci loi prévoit un aménagement quasi automatique des peines inférieures ou égales à cinq ans.

Actuellement, cet aménagement presque systématique ne concerne que les peines encourues d’une durée d’un an maximum. Cette pratique, bien évidement, donne une sorte de blanc-seing à la petite délinquance qui se sent désormais confortée dans son sentiment d’impunité.

Je me suis donc demandé quels types de crimes et délits cette réforme couvrait, et par voie de conséquence quels types de criminels seraient demain dans nos rues qui n’y étaient (en principe) pas hier.

Après quelques heures passées sur le code pénal, j’ai pu établir une liste, certes incomplète, mais assez représentative du type de crimes et délits qui ne seront presque plus punis de prison. La voici :

Violences volontaires ayant entrainé une ITT de plus de 8 jours (art 222-11/222-12 / 222-13)
– sur mineur
– sur le conjoint
– violences en réunion
– sur ascendant
– sur magistrat
– sur un enseignant
– sur un témoin
– sur un policier ou gendarme
– avec préméditation
– avec usage ou menace d’une arme
– empoisonnement
– etc…

Délits sexuels (art 222-27 / 222-32 / 222-33)
– agressions sexuelles hors viol
– exhibition et harcèlement sexuel

Homicides involontaires (art 221-6)
– homicide involontaire routier sous influence d’alcool ou de stupéfiants

Vols (art 311-4)
– vol en réunion
– vol avec violences
– vol avec destruction de biens
– recel
– blanchiment
– association de malfaiteurs

Escroqueries (art 441-1)
– faux et usage de faux
– commerce et fabrication de faux

Terrorisme (art 431-13 et suivants / 436-1)
– créer, organiser ou participer à un groupe de combat armé
– participation à une activité mercenaire

Harcèlement (art 222-33-2)
– harcèlement moral sur conjoint
– harcèlement moral sur employé ou subordonné

Liste non exhaustive, donc, et qui laisse le champ libre à bien des crapules désormais préservées de la paille humide des cachots…

(Sylvain Banducci)

lundi 2 septembre 2013

BHL indigné...


BHL juge «indigne» le revirement de l’Occident, s’il devait se confirmer.
Jeudi 29 août, Bernard-Henry Lévy a jugé sur RMC que l’Occident « est en train de perdre toute crédibilité » en hésitant à attaquer la Syrie. Ces tergiversations sont « honteuses » et « gravissimes », a-t-il affirmé.


Ce qui est indigne, c'est qu'on la laisse encore parler cette charogne va-t-en-guerre !