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lundi 23 septembre 2013

Municipales 2014 : pour quoi faire ? Pour des communes identitaires


(Tribune en forme de programme électoral de Jean-Yves Le Gallou.)

Il n’y a pas beaucoup de suspense pour les municipales du printemps 2014 ! Sauf dans les très grandes villes (et encore), le PS va prendre une raclée. Sans beaucoup d’effort ni de mérite, l’UMP va gagner des communes. Et le FN remportera quelques victoires : à Carpentras ? à Hénin-Beaumont ? à Forbach ? à Dunkerque ? à Fréjus ? à Tarascon ? à Béziers avec Ménard ? Sans doute aussi dans des endroits auxquels personne ne pense !

Pour quoi faire ? Pour l’écharpe ou le grigri ou pour agir ?

Mais au-delà de la géographie électorale, la question qui se pose à ceux qui vont se faire élire – en particulier mais pas seulement sur des listes « modérées » ou « divers droite » ou « intérêt local » – est la suivante : pour quoi faire ? Pour l’écharpe ou le grigri ou pour agir ?

Cultiver l’esprit de résistance et de reconquête

Entrer dans une municipalité n’a de sens que si l’on y va dans un esprit de résistance ou de reconquête. Quitte à choisir un secteur de combat et s’y consacrer et à celui-là seul ! Les terrains d’exercice et de manœuvre sont nombreux : les écoles, la culture, le patrimoine, les cantines, les subventions, les locaux municipaux, l’urbanisme, les paysages, les impôts.

Sur les écoles, s’intéresser au contenu, pas seulement aux locaux

En matière scolaire, il ne faut pas s’intéresser seulement à l’intendance mais au fond. Comment ? En fédérant les parents d’élèves qui en ont marre des dérives politiquement correctes dès le primaire. Ou en boycottant l’achat d’ouvrages de désinformation : histoire-propagande ou théorie du genre. Et puis en aidant des écoles indépendantes à trouver des locaux.

Sur les cantines, défendre l’identité culinaire régionale et nationale

Il faut refuser les interdits alimentaires étrangers ainsi que tout achat de viande halal ; et revenir à des menus plus traditionnels tout en privilégiant le localisme. Il faut retirer le contrôle des assiettes des enfants (et des personnes âgées) aux grands oligopoles de la distribution alimentaire. Former le goût et remettre du sens : proximité, produits français, plats régionaux, cochon, agriculture raisonnée ou bio, le tout servi par des entreprises locales.

Sur le patrimoine, valoriser l’identité locale

Il faut veiller sur l’entretien des bâtiments historiques et des églises, cesser de sacrifier les musées et remplacer les minables logos commerciaux par les blasons enracinés : il faut mettre les « communicants » hors d’état de nuire et faire revenir le temps des « armes de la ville » en choisissant des visuels enracinés !

Sur les fêtes, respecter les traditions et œuvrer au ré-enracinement

Chaque ville, chaque bourg, chaque village a son histoire, ses fêtes, ses traditions, sa toponymie, ses sociétés locales, tout ceci mérite d’être respecté et parfois ranimé. Les noms des places, des rues, des lieux de convivialité ne doivent pas être « idéologiques » mais enracinés dans l’histoire et la géographie locales. Les sociétés locales d’amateurs (des arts, de musique, de théâtre ou de danse, d’histoire) doivent être mieux considérées par les professionnels et les « sachants ».

Sur la culture, protéger le pluralisme et privilégier l’ « art caché » plutôt que le non-art contemporain

Vaste chantier ! Il faut rétablir la pluralité et la diversité dans les bibliothèques municipales, au cinéma, au théâtre. Sans sectarisme, bien sûr, mais aussi sans accepter le sectarisme des autres. Et cesser de céder aux sirènes ridicules du non-art contemporain. Retrouver l’ « art caché », selon la jolie expression d’Aude de Kerros.

Sur les subventions, les supprimer pour les nuisibles

Il faut taper dans la butte et cesser de subventionner les nuisibles : les syndicats politiquement corrects, les lobbys homosexualistes, antiracistes et immigrationnistes, les associations étrangères, les communautaristes musulmans (et autres), tout ce petit monde doit être mis à la diète. Qu’ils se financent avec l’argent de leurs adhérents, pas avec celui des contribuables ! L’argent des contribuables n’a pas à financer les mosquées ni les pseudos centres « culturels » islamiques (ou pentecôtistes ou israélites, d’ailleurs).

Sur les locaux municipaux, veiller au pluralisme dans leur attribution

Là aussi un mot d’ordre : pluralisme dans l’attribution des locaux municipaux pour permettre aux nôtres aussi de s’exprimer. Oui à la liberté d’expression pour les conformistes (si, si !) mais aussi pour les anticonformistes et les dissidents ; oui à la liberté d’expression pour le politiquement, le moralement, l’historiquement et le culturellement incorrect !

La naissance, le mariage, la mort, les accueillir avec dignité et décence

A la place ou en complément des lieux de culte, les mairies sont des lieux de passage lors des étapes essentielles de la vie. Cela ne doit pas être seulement des passages administratifs. Déclarer une naissance mérite accueil et considération. Le mariage, c’est l’union solennelle d’un homme et d’une femme dans la durée et dans le cadre d’une lignée. Il peut être bon de le rappeler. Pour veiller au respect des morts, des efforts considérables doivent être faits : des cimetières bien entretenus et protégés contre le vandalisme ; des crématoriums et des funérariums dignes et localisés ailleurs que dans les zones industrielles et les déchèteries.

Les paysages : les respecter

Les paysages sont le fruit de l’histoire, le résultat d’un jardinage séculaire de la France. La plus grande responsabilité des maires, c’est l’urbanisme. Les 40 dernières années ont été marquées par l’enlaidissement de la France et le saccage de nos paysages. Protéger les paysages doit être une priorité absolue face à la prolifération des zones commerciales, des bâtiments sans âme, des éoliennes et des projets de forage. L’ « architecture douce » doit être promue partout où c’est possible.

Centres villes et centres villages, les faire revivre et les embellir

Les centres villes et les centres villages ont souvent été abandonnés au profit de périphéries sans âme. La reconquête est nécessaire : par l’embellissement d’abord ; en requalifiant les rues et les places, en remettant en valeur églises, fontaines et lavoirs, en enterrant les réseaux, en fleurissant les lampadaires et les terre-pleins ; en encourageant une vie économique enracinée en cessant de privilégier les grandes surfaces commerciales et en promouvant les marchés et les commerces locaux.

Campements de nomades, refuser le laxisme

Il y a de plus en plus d’aires légales aménagées pour le stationnement des nomades. Dans ces conditions il n’y a pas à accepter les campements sauvages, sources de nuisances et de dégradations de l’environnement. Les maires – et leurs adjoints – n’ont aucune raison de tolérer les manquements sanitaires, les vols d’eau ou d’électricité : la loi leur donne d’ailleurs la compétence d’officiers de police judiciaire. Qu’ils s’en servent en mettant les procureurs au pied du mur.

Impôts, les maîtriser en supprimant les dépenses nuisibles

La limitation des impôts locaux est la première exigence des électeurs municipaux. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, elle est simple à satisfaire : en maîtrisant les dépenses de confort des élus et des administrations communales et intercommunales ; en supprimant les subventions nuisibles aux organismes politiquement corrects ; en cessant d’encourager de manière irresponsable les flux migratoires, sources de coûts sociaux et d’insécurité.

Jean-Yves Le Gallou

mercredi 26 juin 2013

Europe Identité

Europe Identité : qu’est-ce que c’est ?

Europe Identité : deux mots qui résument parfaitement les raisons d’être et les objectifs qui sont les nôtres, nous qui avons voulu en créant cette structure disposer d’une organisation politique originale puisqu’elle n’a aucune ambition électorale mais a la volonté de faire un travail en profondeur, un travail de formation politique destiné à des militants engagés sur divers terrains de lutte (et agissant sous diverses étiquettes, notre état d’esprit étant à l’opposé de tout sectarisme, de tout esprit de chapelle).
Donc, deux mots jumelés, Europe et Identité. Parce que l’identité est actuellement au cœur des enjeux politiques les plus forts, au sein de sociétés où la présence conjointe de communautés très différentes les unes des autres soulève aujourd’hui des difficultés, des tensions – et provoquera demain des conflits dramatiques. Il faut regarder en face, lucidement, cette réalité que tout le monde connaît mais que bien peu veulent admettre, en raison d’un conditionnement mental efficace.
Ethnodifférencialisme : Il faut donc appeler un chat un chat. Or, pour nous, l’identité a évidemment une base ethnoraciale (ou, si l’on préfère, - mais c’est la même chose – bioculturelle). C’est donc notre appartenance à la communauté ethnoraciale européenne qui fonde notre identité.
Notre travail consiste à éveiller la conscience identitaire des membres de notre communauté, par le biais d’analyses critiques de l’actualité, la production et la diffusion d’argumentaires, la mise en avant d’un projet de société alternatif par rapport au Système en place. Le tout étant diffusé par les moyens de propagande les plus appropriés.
Soucieux de coller en permanence au réel, nous nous défions de tout intellectualisme.
Notre mot d’ordre : former pour agir.

Vous en saurez plus sur notre vision du monde, en parcourant les rubriques "Notre identité" et "Notre Europe".

La rubrique "Actualité" vous informera sur les faits récents, les plus marquants, nos commentaires...

Enfin la rubrique "Communication" vous apportera des "cartouches" pour agir au quotidien, et désinformer nos semblables, car "la rue appartient à celui qui y descend" ! http://www.europe-identite.com/


Pierre VIAL

mercredi 24 avril 2013

Vote de la loi Taubira : extension du domaine de la lutte


Le vote de la loi Taubira ne sonne pas le retour à l’ordre LGBT protégé par les CRS. Il précède la poursuite, l’amplification, l’approfondissement et l’extension du domaine de la lutte. Le gouvernement va avoir du mal à faire rentrer le dentifrice dans le tube ! Chaud, chaud, le printemps sera chaud !

Poursuite du domaine de la lutte : la bataille pour le référendum, le vote pour tous

Une loi votée n’est pas une loi promulguée. Une loi promulguée peut être suspendue (comme le fut le CPE en 2006). Une loi promulguée peut être abrogée. Trois raisons pour les adversaires de la loi Taubira de maintenir la pression au moins durant tout le mois de mai, et de réclamer « le vote pour tous », le vote pour tous les Français, et non pas pour les seuls élus d’assemblées de moins en moins représentatives : rappelons que les députés socialistes qui ont voté la loi Taubira ont réuni seulement 16% des électeurs inscrits au premier tour des élections législatives de juin 2012. Pour apaiser les esprits, il faut faire les Français juges de la loi Taubira et les consulter par référendum. Laissez-nous voter !

Approfondissement du domaine de la lutte : la bataille pour remettre l’école à l’endroit, la bataille pour les familles

Le gouvernement promeut d’autres projets hostiles à la famille : mise en cause des principes fondateurs des allocations familiales, enseignement de la théorie du genre à l’école (dès la maternelle !). Depuis 30 ans les familles subissent les dérives aberrantes de l’Education nationale, dans l’enseignement public comme dans l’enseignement privé. Elles doivent relever la tête et s’opposer aux peillonneries. Les réunions de parents d’élèves et les réunions parents/profs doivent servir à faire entendre le point de vue des majorités. La France des invisibles doit cesser d’être silencieuse. Il faut aussi combattre mairie par mairie, département par département et région par région les subventions publiques accordées aux lobbies qui imposent leurs lubies.

Extension du domaine de la lutte : la contestation et l’imagination ont changé de camp

La bataille contre la loi Taubira a fait émerger de nouvelles formes d’action : veilleurs, happenings de rue, printemps français, mères en colère, apéros pour tous, mères pour la paix, Hommen, interpellations démocratiques de personnalités conformistes. Il est légitime de demander des comptes à ceux qui prétendent représenter le peuple et qui gouvernent au service des minorités, qu’elles soient sexuelles, ethniques, religieuses, sectaires, financières ou immobilières. Le temps est venu de l’opposition « au quotidien » et sur tous les grands sujets, économiques, sociaux, sociétaux, fiscaux, urbanistiques. Ce n’est pas seulement « on ne lâche rien », c’est aussi « on ne lâche sur rien ». Y compris contre les médias quand ils se comportent en organes de propagande et non pas d’information. Il n’y a aucune raison de continuer à accepter sans mot dire les bidonnages et les Bobards. La crainte doit changer de camp. L’arme fatale : le rire, la dérision, la bonne humeur.

Mai 2013, la revanche de Mai 1968 ?

Mai-68 a engendré un cycle de ruptures : ruptures morales (« Jouissons sans entraves »), rupture des identités (« Nous sommes tous des juifs allemands »), rupture des protections économiques (« Frontière=répression »). Les projets de François Hollande – dénaturation du mariage, droit de vote des étrangers, grand marché transatlantique – représentent l’aboutissement de ce cycle. La mobilisation du printemps 2013 peut en marquer la fin.

C’est une rupture idéologique : le retour du sens, le retour des traditions, le retour des enracinements, la révolte de la majorité contre la dictature des minorités. C’est aussi une rupture technologique : c’est la classe médiatique qui a imposé l’idéologie Mai-68, ce sont les médias alternatifs qui la balayent. C’est enfin une rupture générationnelle : la génération 1968 – de Valls, ministre de l’Intérieur, à Bergé, ministre du nouvel ordre moral et médiatique – est bousculée par une génération de trentenaires ardents. La lotta continua ? Non, la lutte commence ! Sempre Avanti !

(Jean-Yves Le Gallou)

Source

lundi 25 mars 2013

Journalistes : les plus gros menteurs

La quatrième cérémonie des Bobards d’Or a eu lieu mardi 19 mars 2013. Voici le discours d’ouverture de Jean-Yves Le Gallou : Douze thèses sur la désinformation médiatique.

1 - Dans l’absolu, il n’y a pas d’information. Une information, c’est un fait que les médias décident de porter à la connaissance de leur public en le présentant sous un certain angle. Le même type de fait peut être caché ou, au contraire, présenté en « une ». Le même acte peut être excusé ou criminalisé. La désinformation vient du biais répété dans la sélection des faits et la manière dont ils sont anglés.

2 - Tout fait, avant d’arriver à la connaissance du public, est filtré par les médias. C’est-à-dire par ceux qui les font (les éditocrates et les journalistes), ceux qui les possèdent (les patrons de presse), ceux qui les payent (les agences de publicité et de communication).

3 - Les journalistes travaillent en troupeau. Le mimétisme est leur règle. Ils se copient/collent beaucoup. Et copient/collent beaucoup l’AFP, source unique, source inique. Leur règle, c’est le moutonnisme : ils bêlent ensemble.

4 - Les orientations politiques des journalistes sont très décalées par rapport à celles des Français : à l’élection présidentielle de 2012, près de 40% des journalistes (et élèves journalistes) ont marqué leur préférence pour l’extrême gauche (et les écologistes), près de 40% pour les socialistes, le reliquat se partageant entre Bayrou et Sarkozy.

5 - Les journalistes s’identifient au camp du bien : leur critère d’interprétation est moins de distinguer le vrai du faux que le bien du mal. La moraline coule à flots dans les salles de rédaction.

6 - Les patrons de presse cherchent moins à gagner de l’argent qu’à acquérir de l’influence. Les grands médias sont la propriété des banques et des multinationales. Rothschild à Libération, Lazard au Monde, Le Crédit mutuel et le Crédit agricole pour une partie de la presse quotidienne régionale. Pinault aux Echos, Dassault au Figaro, Bouygues à TF1 et le Qatar pour Lagardère Active (Paris-Match, Télé 7 jours, Elle, Europe 1, etc.). Les intérêts des médias sont étroitement liés à ceux de la finance et de la mondialisation. Les médias sont un relais de puissance de la superclasse mondiale.

7 - Les médias vivent de l’argent de la publicité. Celle-ci arrive, via les agences communication, de quatre grands secteurs économiques : la banque et l’assurance, les grandes surfaces commerciales, la pharmacie, le luxe. Là aussi tous ont partie lié à la finance et à la mondialisation.

8 - Les préjugés et les intérêts des propriétaires, des publicitaires et des journalistes se confortent plus qu’ils ne s’opposent : tous militent pour un monde plus « liquide », sans frontières et bousculant les traditions et les nations. Nous ne sommes plus dirigés par le sabre et le goupillon mais par la sainte alliance du capital financier et du gauchisme de salles de rédaction.

9 - La présentation des événements par les médias de l’oligarchie s’inscrit à l’intérieur d’une seule grille idéologique, celle du politiquement correct. La pensée est enfermée dans un carré carcéral reposant sur quatre postulats : le mondialisme, l’antiracisme, la rupture des traditions et la criminalisation de la mémoire française et européenne.

10 - Les techniques de désinformation sont multiples : occultation de certains faits, répétition à l’infini d’autres faits, déformation, angélisation des « bons », diabolisation des « méchants ». novlangue (selon la logique de 1984 de George Orwell) et, bien sûr, le bel et bon bobard.

11 - C’est ainsi qu’une véritable tyrannie médiatique s’est mise en place et impose ses règles : aux journalistes eux-mêmes (qui traquent les dissidents comme Zemmour, Ménard ou Taddei) ; aux administrations ; aux éditeurs (chasse à l’homme visant Renaud Camus ou Richard Millet), aux hommes politiques devenus des médiagogues (des hommes ou des femmes qui flattent les médias).

12 - Mais il y a une bonne nouvelle : tout cela est fini ou en train de finir. Le mur des médias tombera comme le Mur de Berlin est tombé. Les médias de l’oligarchie sont de plus en plus totalitaires mais ils perdent de leur puissance. Car ils sont concurrencés par les médias alternatifs sur Internet. Sites, blogs, forums, réseaux sociaux permettent aujourd’hui de se faire une opinion indépendamment des médias de l’oligarchie. Brimée dans les médias classiques, la liberté revient par la fenêtre des médias numériques. Aujourd’hui les médias de l’oligarchie ont perdu leur monopole et les journalistes ne sont plus intouchables.

C’est le sens de la cérémonie des Bobards d’Or !



bobard-2013
Palmarès de la IVe cérémonie des Bobards d’Or


Suivie en direct par des milliers d’internautes, la IVe cérémonie des Bobards d’Or a eu lieu mardi 19 mars 2013, en présence de 250 personnes qui ont attribué les prix suivants :

Bobard d’Or : Philippe Manière (C’ dans l’air, France 3) pour le bobard professoral, pour avoir osé affirmer de manière péremptoire « Nos flux migratoires en France sont extrêmement ténus » alors qu’il entre en France de l’ordre de 200.000 étrangers supplémentaires par an.

Bobard d’Argent : Serge Le Luyer (Ouest France, Le Monde) pour le bobard d’état civil : comment transformer le nom du meurtrier d’un collégien, de Souleymane en Vladimir ? Ou l’art de faire d’une pierre deux coups : on cache l’origine musulmane du meurtrier, on diabolise le prénom du « méchant » président Poutine.

Bobard de Bronze : Jean-Jacques Bourdin (RMC), pour le bobard par immigrophilie : comment faire croire qu’il y avait moins d’immigration en 2012 qu’en 1931 ? En mentant purement et simplement, en donnant des chiffres bidons pour 2012 : 5,8% d’immigrés au lieu de 8,4% (source INSEE°) ; en prétendant qu’il y avait deux fois plus d’Italiens en 1931 que d’Algériens en 2012 alors que leur nombre est équivalent et que l’assimilation des uns et des autres n’est pas comparable.

Prix spécial du jury : un Mouton d’Or attribué à l’ensemble des médias pour le bobard total, à l’occasion de l’affaire du terroriste islamiste d’origine algérienne Mohamed Merah : présenté avant sa découverte par la police comme « blanc, blond, aux yeux bleus », puis après sa neutralisation comme un « Français de Toulouse, un gentil garçon, au visage d’ange ».
La muselière d'or

La muselière d’or

Enfin, hors concours, une muselière d’or a été attribuée à Patrick Cohen, patron de la matinale de France Inter, qui a répondu « non » à la question « on a le droit de penser ce qu’on veut ? » Avant de préciser : « on a le droit de penser ce qu’on veut dans les limites de la loi. » Phrase orwellienne, s’il en est.

Source

lundi 18 mars 2013

Perpignan refuse de commémorer le cessez-le-feu en Algérie le 19 mars


Le maire de Perpignan, Jean-Marc Pujol (UMP), "mettra en berne le drapeau national de la mairie le 19 mars", jour anniversaire du cessez-le-feu de la guerre d'Algérie en 1962, au lieu de pavoiser comme le demande le gouvernement, a-t-il indiqué mercredi.
"C'est une falsification de l'histoire de dire que ces accords d'Evian sont la fin de la guerre d'Algérie", a déclaré M. Pujol, interrogé par l'AFP.
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"Après le 19 mars 1962, les exactions du FLN ont continué et les harkis abandonnés par la République française ont été massacrés", a-t-il expliqué dans une récente lettre ouverte au ministre délégué aux Anciens combattants, Kader Arif, lui-même fils d'un algérien ayant servi dans l'armée française.
Une loi du 6 décembre 2012 a institué le 19 mars comme "journée nationale du souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d'Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc".
Le maire de Nice, Christian Estrosi (UMP), a annoncé dès le 22 février son refus de pavoiser sa cité à cette occasion.
M. Pujol, comme M. Estrosi, rappelle que le cessez-le feu a en fait été suivi de nombreux massacres, "3.000 Européens, et 60.000 harkis" ont été tués, et il ajoute que "plus d'un million de Français d'Algérie a dû partir de son pays en quelques jours".
Interrogé sur les meurtres nombreux attribués à l'OAS, frange radicale des partisans de l'Algérie française, M. Pujol déclare: "Je ne fais pas de distinction entre les victimes".
Le maire de Perpignan, lui-même "Français d'Algérie", note que les anciens pieds-noirs vivent encore intensément le souvenir douloureux des massacres. Les Pyrénées-Orientales accueillent de nombreux rapatriés, tout comme les Alpes-Maritimes, l'Hérault ou les Bouches-du-Rhône.
Les préfets ont demandé aux maires d'orner du drapeau tricolore les bâtiments et les édifices publics, le 19 mars. Il est également prévu d'organiser une cérémonie au chef-lieu du département.
Selon M. Pujol, la date du 5 décembre retenue en 2003 par le président Jacques Chirac était la bonne "car il n'y a plus eu de tuerie après le 5 décembre 1962".
Le maire de Perpignan reproche au gouvernement actuel de suivre "un choix politicard" et il invoque la Résistance française pour expliquer sa décision de "désobéir".
"Le préfet fera sa cérémonie sans moi", ajoute le maire, sans craindre une éventuelle sanction de lÉtat "qui fera ce qu'il voudra".

Source

mercredi 20 février 2013

Résistance au droit de vote pour les étrangers


Vous allez recevoir une lettre de François Hollande pour vous expliquer l’avantage, selon lui, du vote des étrangers…

Après le mariage homo, le gouvernement, en bon petit serviteur du projet mondialiste et dans l’incapacité de résoudre la crise, va essayer de masquer ses échecs en donnant le droit de vote aux étrangers dans un premier temps lors des élections locales.

L’immense majorité des Français ne veut de cette loi, sauf bien entendu l’hyper-classe et sa cohorte de domestiques aux ordres (journalistes, golden boys, bobos, résidus du PS, droits de l’hommistes, donneurs de leçons patentés et gauchistes reconvertis dans la com…). Bref tous ceux pour qui les mots « nations », « peuples », « civilisations » et « identités » ne font pas partis de leurs culture…

Alors, voici la consigne que nous donnons aux Français qui aiment la France et qui ne souhaitent pas voir leur municipalité tomber entre les mains des islamistes :

La lettre de François HOLLANDE arrivera prochainement dans nos boîtes….

Cette lettre doit être renvoyée sans l’ouvrir

16 860 685 enveloppes, qui lui reviennent, ça fait désordre !

La procédure est simple : Retour à l’expéditeur !

1/ Ne pas ouvrir le courrier

2/ Inscrire en toutes lettres : RETOUR à L’EXPÉDITEUR

3/ Déposez votre lettre, sans affranchissement supplémentaire (quand on écrit à l’Elysée, c’est gratuit), à la poste qui se chargera de la retourner à l’envoyeur

4/ Pour un franc succès, faites passer le message autour de vous, par téléphone, e-mail, internet, etc.

5/ Inutile de motiver votre renvoi, Il comprendra…

Faites suivre… Merci.

mercredi 30 janvier 2013

Objectifs de l'Action Européenne

http://www.europaeische-aktion.org/index_fr.html


Objectifs de l'ACTION EUROPÉENNE



L'ACTION EUROPÉENNE est au-dessus des partis politiques et agit hors de l'enceinte des parlements. Elle atteint ses objectifs d'abord en informant autant de personnes que possible dans l'ensemble des pays européens, ensuite grâce à la collaboration de ces personnes, enfin en formant de futurs responsables.


OBJECTIF 1: RÉTABLISSEMENT DE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION

La parole, l'information et la recherche historique doivent être libres. Les lois muselières doivent être abrogées (loi contre «l'incitation à la haine» en République fédérale d'Allemagne, loi «d'interdiction» en République fédérale d'Autriche, loi «antiraciste» en Suisse, lois similaires dans d'autres Etats).


OBJECTIF 2: DÉPART DE TOUTES LES TROUPES ÉTRANGÈRES

Départ des Américains d'Europe et des autres alliés occidentaux d'Allemagne.


OBJECTIF 3: RAPATRIEMENT DES IMMIGRÉS D'ORIGINE EXTRA-EUROPÉENNE

Fin de l'immigration en provenance d'autres parties du monde et mise en place de programmes de rapatriement des immigrés extra-européens. Il faut fournir une aide politique, économique et humanitaire dans les pays d'origine plutôt que de faire venir les réfugiés en Europe.


OBJECTIF 4: AUTODÉTÉRMINATION POUR LES ALLEMANDS ET LES AUTRICHIENS

Fin de l'influence étrangère en Allemagne et en Autriche. Les actuelles Républiques fédérales d'Allemagne et d'Autriche ont été créées à l'initiative des Alliés, en violation du droit international, par le démembrement du Reich allemand et ne sont pas des Etats souverains. Il faut instaurer un ordre de paix européen en concluant enfin avec le Reich allemand le traité de paix en souffrance depuis 1945.


OBJECTIF 5: CRÉATION D'UNE CONFÉDÉRATION EUROPÉENNE

Remplacement de l'UE et de l'OTAN par une Confédération européenne disposant d'une politique étrangère et d'une politique de défense communes, mais permettant à chaque pays membre de conserver une liberté maximale quant aux affaires intérieures, à la culture, aux finances et à l'économie. Accord de coopération stratégique avec la Russie.


OBJECTIF 6: TRANSFERT DE LA MONNAIE ET DES MÉDIAS DANS LA PROPRIÉTÉ DU PEUPLE

1.) Les banques centrales doivent être dirigées non seulement en théorie, mais également en pratique par les organes de l'Etat.

2.) L'Etat n'accorde plus sa protection juridique à la perception d'intérêts privée.

3.) Seules les corporations de l'Etat, de l'économie et de la culture agréées ont le droit de mener des affaires bancaires.

4.) Seules ces corporations clairement identifiables et responsables ont également le droit de publier des médias. Ce n'est qu'ainsi qu'il est possible de garantir la liberté et la diversité de ces derniers.


OBJECTIF 7: LUTTE CONTRE LA DÉCADENCE ET CONTRE LA DESTRUCTION DE LA NATURE

Il faut mettre un terme au sapement de notre culture. Les traditions européennes doivent être réapprises et approfondies. Nous accordons une importance particulière à la santé de la jeunesse et de la famille, à la protection de la nature, à l'agriculture biologique (y compris à la production de semences décentralisée) et aux développements organiques, conformes à la nature dans les domaines de la médecine, des transports et de la production d'énergie.



Notre Honneur s'appelle Fidélité

Notre Honneur s’appelle Fidélité

Prof. Pierre VIAL

Genève, 20.01.2013


Je salue l’initiative qui a conduit à la réunion d’aujourd’hui et je suis convaincu qu’elle constitue une étape importante vers la réalisation de ce front de combat identitaire européen que nous souhaitons tous.

Je m’exprime ici au nom de TERRE ET PEUPLE, pour la France, et au nom de mes camarades de TIERRA Y PUEBLO, pour l’Espagne, et de TERRA E POVE pour le Portugal, qui sont en parfaite communion de pensée avec nous et m’ont demandé de vous transmettre leur salut.

Avec mon vieux camarade Pierre Krebs nous avons œuvré depuis longtemps à la réalisation d’un front de combat identitaire européen, de Lisbonne et Madrid à Rome, Belgrade et Moscou. Nos efforts sont récompensés aujourd’hui. Pour nous identifier, nous utilisons volontiers le terme de völkisch, ce qui est une façon de dire que nous nous battons pour que les Européens redécouvrent que leur destin passe par l’appartenance à une communauté du peuple. Communauté du peuple qui a une base bioculturelle, ce qui veut dire que, pour nous, l’identité implique l’appartenance à une race et à une culture, implantées sur un territoire où se trouvent leurs racines. Le droit à l’identité et à l’enracinement vaut évidemment pour tous les peuples et c’est dans cet esprit que nous combattons le mondialisme.

Nous voulons être clairs au sujet de nos convictions : c’est pourquoi nous disons, sans hésitation ni ambiguïté, que nous sommes racialistes. Etre racialistes, c’est considérer l’appartenance raciale comme un facteur décisif – mais non le seul – dans l’histoire des peuples. C’est pourquoi nous attachons une telle importance à l’ethnopolitique qui, en liaison avec la géopolitique, est un facteur de compréhension et d’explication concernant les relations entre les peuples au cours de l’histoire, aujourd’hui comme hier et comme demain. Pour prendre un exemple dans l’actualité, on ne peut rien comprendre à ce qui se passe au Mali si on ne connaît pas les communautés raciales qui habitent ce pays et sont opposées depuis toujours par des antagonismes sanglants, comme l’a démontré dans ses ouvrages mon collègue et ami Bernard Lugan.

Aujourd’hui, si nous voulons réveiller les peuples européens anesthésiés par le pouvoir cosmopolite, sur le plan politique, économique, culturel, il faut parler clairement. Bien sûr, cela implique des risques mais nous sommes des combattants et il n’y a pas de combat sans risque.

Notre mission est de réveiller la conscience raciale des peuples blancs, qui sont menacés de mort par les envahisseurs venus d’autres continents et qui haïssent les Blancs. Ceux-ci sont désarmés moralement, intellectuellement, psychologiquement par le conditionnement mental qui leur est infligé depuis 1945 et qui veut leur faire admettre qu’ils sont coupables et doivent donc expier le fait d’être ce qu’ils sont, c'est-à-dire supérieurs. Sont responsables de cet asservissement les monothéismes, les religions du Livre, les fils d’Abraham comme se définissent aussi bien les musulmans et les chrétiens que les juifs – ainsi que les versions laïcisées des monothéismes que sont le marxisme et le capitalisme. C’est pourquoi c’est en retrouvant la fidélité à leur âme la plus profonde, à leur plus longue mémoire, à l’héritage des ancêtres, donc à leur identité païenne que les peuples européens pourront se libérer, se remettre debout.

Notre mission est donc claire: pour organiser la résistance et la reconquête identitaires, il faut éveiller les consciences de nos frères et sœurs de sang. Nous sommes, nous devons être des éveilleurs. Avec une devise dont nous sommes fiers et qui est notre boussole:

Notre Honneur s’appelle Fidélité

vendredi 25 janvier 2013

Front de combat identitaire européen


 Afin de renforcer la collaboration entre identitaires européens, une réunion de coordination a eu lieu en Suisse le 20 janvier. Pierre Vial, pour la France, Pierre Krebs, pour l’Allemagne, Bernard Schaub pour l’Europäische Aktion (Action européenne) et les représentants de Tierra y Pueblo pour les Espagnes ont mis au point un plan de travail destiné à concrétiser la totale unité de vue qui les rassemble et qui débouchera très vite sur certaines opérations.



http://www.europaeische-aktion.org/index_fr.html

jeudi 24 janvier 2013

Qu'ils arrêtent de nous pourrir la vie !...


  Ces thuriféraires de la Davos Goldman Sachs Idéologie (D.G.S.I) qui, de bulles en krachs et de crises en récessions, appauvrissent les peuples et se remplissent les poches. Du 23 au 27 janvier, ces « maîtres du monde » vont se réunir et actualiser leur politique de domination de notre planète et de partage des intérêts réciproques.
Ces charlatans des droits-de-l’hommiste qui à longueur de journée nous gavent des heurts et malheurs des « sans-papiers », ces hors-la-loi qui encombrent nos rues et gangrènent notre quotidien.
Ces médiocres élèves qui nous imposent un devoir de mémoire à géométrie variable, véritable gruyère qui ignore les 100 millions de victimes du marxisme putride, de Lénine à Mugabe ou de Mao à Castro.
Ces adorateurs de la repentance unilatérale et exclusivement anticoloniale, nous inondent de leurs mensonges, pendant que les fils de l’Empire du Milieu dévastent aujourd’hui le continent africain.
Ces eurocrates arrogants qui pondent des directives ineptes et nous obligent à proclamer des lois qui condamnent nos industries, au prétexte d’une « économie durable », d’un commerce « équitable », du principe de « précaution » ou encore de taxes sur la pollution. Dans la guerre commerciale que nous connaissons depuis 40 ans, cela signifie que nos gouvernements exigent des chefs d’entreprises qu’ils s’engagent dans une course de fond, mais …handicapés d’un sac de 50kgs sur le dos : on nage en plein délire !
Ces gouvernants et ces pourriticards qui ignorent nos maux permanents (chômage, insécurité, immigration sauvage, rage taxatrice), mais nous étranglent d’impôts nouveaux afin de pouvoir continuer à gaspiller les deniers publics en entretenant leurs utopies multiculturelles, leurs bataillons de copains et de coquins à tous les échelons (communes, départements, régions, état, Europe) et surtout les privilèges qui s’y rapportent…
Ces minorités perverties et décadentes qui réclament un « mariage pour tous » contre nature, alors qu’une foule de chômeurs attend « l’emploi pour tous ».
Ces lobbies agissant contre notre identité, ennemis de notre civilisation et fossoyeurs de la culture gréco-romaine.
Ces fraudeurs viscéraux et invétérés -réels voleurs de leurs concitoyens- qui profitent des avantages de l’Etat-Providence (écoles, hôpitaux, transports publics, pompiers, justice ou police), sans vouloir en payer le coût !
Ces gourous nauséabonds qui régissent la « Pensée Unique », délivrent des certificats de « Politiquement Correct » et donnent des leçons de démocrasse à la terre entière.
Ces laquais du Nouvel Ordre Mondial qui sèment le chaos et la destruction à travers le monde et s’érigent en prophètes pour désigner le Bien et le Mal, les Gentils et les Méchants comme on l’a vu en Yougoslavie, en Irak, en Afghanistan, en Lybie, en Egypte, et en Tunisie hier, ou à Bahreïn, au Yémen, en Syrie et au Mali maintenant …avant l’Iran demain ?
Ces khmers verts qui nous imposent leurs dogmes de la « mobilité urbaine» fondée sur le vélo pour tous et la voiture pour personne. Ces écolos-nantis nichant dans les beaux quartiers voudraient nous forcer à l’achat d’une électricité « verte » dont le bilan carbone et le coût du KWh sont trois fois plus élevés que ceux du nucléaire ! Et ne parlons pas des impostures du réchauffement climatique, du trou d’ozone, ou des biocarburants…
Ces ayatollahs du mondialisme « tous azimuts » qui ont squatté les organismes internationaux et conduisent l’Europe vers un cimetière industriel avec une vue imprenable sur un désert économique.
Ces centaines de milliers de parasites sociaux -véritables sangsues financières-, qui vivent aux crochets des travailleurs (sans aucune contrepartie), alors qu’ils sont en majorité sains de corps et d’esprit, mais qui rouspètent en permanence, parce qu’ils veulent encore plus, toujours plus d’allocations ou d’aides diverses.
Ces racailles qui attaquent les plus faibles de notre société et dont la mise hors d’état de nuire de 6.000 d’entre eux ramènerait la paix dans les cités et le silence dans les rangs.
Cette pègre immigrée responsable de la majorité des délits et des crimes dont le rapatriement immédiat réduirait de 80% la rubrique « faits divers » et viderait les prisons.
Ces banksters et leurs complices au Pouvoir, seuls responsables de la crise profonde que nous vivons et dont la place est derrière les barreaux, à l’exemple de 2 banquiers islandais condamnés en décembre à la prison ferme.
Ces utopistes enragés qui stigmatisent en permanence leurs opposants populistes ou nationalistes aux prétextes qu’ils seraient « repliés sur eux-mêmes », qu’ils auraient « peur de l’autre », qu’ils seraient « égoïstes » et « intolérants » et qu’ils manqueraient de « solidarité » en désignant les immigrés comme « responsables de tous nos maux ».
Que ces émules de Vychinski prennent garde et ne soient pas entrainés dans une véritable « tornade blanche » qui nettoierait les écuries du Régime !
Ces éternels bobos-socialauds-marxistes qui nous menacent avec leur terrorisme intellectuel et pourchassent les esprits rebelles de leur Police de la Pensée.
Ces fanatiques du laïcisme à tous les étages, qui ont vidé les églises pour remplir les mosquées, s’étonnent maintenant de l’islamisation triomphante qui s’incruste partout dans notre société en nous imposant ses modes de vie et ses croyances médiévales.
(Pieter Kerstens )

Source

lundi 14 janvier 2013

Contre le "mariage" homo : une déferlante populaire "consistante" !

"Il suffit de voir les images! La manifestation d'hier contre le projet de la Taubira visant à dénaturer le mariage en l'octroyant aux paires homosexuelles - premier pas vers la possibilité de laisser adopter des enfants par des lesbiennes et des pédérastes - a été une énorme mobilisation. De toute évidence, l'immense rassemblement allait bien au-delà du nombre de 340 000 personnes annoncé par la police d'Etat, même les "grands" médias - pourtant largement sous influence du lobby gay-lesb-bi-trans - laissent entrevoir une déferlante proche de 800 000 français, de tous âges et de toutes conditions, venus pour dire non à cette réforme sociétale qu'on veut lui imposer sous couvert de bons sentiments et de "justice" , alors qu'ils ne s'agit que d'une hypocrite offensive contre la famille et les lois naturelles qui régissent notre civilisation européenne depuis des millénaires.
Fourvoyé dans l'aventure pour plaire à une partie de son électorat bobo, François le Normal doit se mordre les doigts d'avoir promis la chose, comme il en a promis d'autres qu'ils ne tiendra pas d'ailleurs faute d'en être capable, comme en matière de sécurité, de niveau de vie ou d'emploi. Mais cette réforme - qui ne coûtera rien en matière budgétaire - il semble parti pour s'obstiner à l'imposer par godillots interposés. Officiellement, la formidable déferlante populaire ne l'aurait guère impressionné, c'est tout juste s'il aurait reconnu que la manifestation était consistante...donnant là - et probablement sans le savoir - dans le doux euphémisme.
Il reste aux français qui sont "normaux" comme leur Président est "normal" de rester mobilisés pour faire pression sur le Gouvernement et surtout sur ses godillots parlementaires en agitant le spectre du ressemelage électoral : ces gens là n'ont sans doute ni âme ni conscience mais ils ont un portefeuille et ils tiennent à leur sinécure. Et puis une loi se défait comme elle se fait, une loi inique surtout qui par ailleurs n'a pas vocation à être respectée, en tous les cas pas dans la paix civile. François le Normal aura été prévenu !"

Source (Yves Darchicourt) 

mercredi 26 décembre 2012

Génocide contre les peuples d'Europe

L'article 2 de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide
de l'ONU affirme :

« dans la présente Convention, le génocide s'entend de l'un quelconque des actes ci-après commis, dans l'intention de détruire, en tout ou en partie un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel :

a) Meurtre de membres du groupe.
b) Atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale de membre du groupe.
c) Soumissions intentionnelles du groupe à des conditions d'existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle.
d) Mesures visant à entraver les naissances au sein d'un groupe. »

J'ACCUSE donc tous les dirigeants de mon pays de crime de génocide et de non assistance à peuple en danger.

J'ACCUSE nos dirigeants de masquer le déficit de la natalité de notre espèce en interdisant les statistiques qui prouvent que de l'Oural à Gibraltar le taux de fécondité chez les européennes de souche n'est que de 1,3, alors que le taux minimum pour assurer la reproduction d'une espèce est de 2,1 (3,3 chez les non européens).

J'ACCUSE nos dirigeants de promouvoir la dissolution de la famille (première cause de notre dénatalité) en remplaçant l'autorité parentale et professorale par un 'doltoïsme' aussi stupide que malfaisant.

J'ACCUSE nos dirigeants de laisser nos enfants sans défense devant les drogues, la
violence, la pornographie, la partialité des programmes scolaires, le prosélytisme homosexuel (gay pride, gender théorie).

J'ACCUSE nos dirigeants de complicité de viol, torture et assassinat pour avoir supprimé la peine capitale. La nature produit des monstres, du trèfle à 4 feuilles, au mouton à 5 pattes. Des responsables dignes de ce nom doivent permettre aux Beethoven de se révéler et d'éliminer les Guy Georges. Ceux qui vendent du sang contaminé, de l'amiante et autres produits assassins doivent avoir le courage d'éliminer physiquement les monstres récidivistes.

Ceux qui sont contre la peine de mort sont aussi pour l'avortement ; ils tuent des innocents mais se refont une virginité en sauvant les coupables.

Faites circuler ce manifeste, adressez-le par mail ET courrier à toutes les personnalités dont vous pourrez trouver l'adresse (politiques, décideurs, sportifs, acteurs, etc.).
Ainsi, politiques et intellectuels ne pourront plus prétendre « je ne savais pas » ; ils devront prendre leurs responsabilités ou ils seront mis en accusation et jugés !

mardi 4 décembre 2012

Que faire ? disent-ils ...

"Pour respirer un peu loin des miasmes ridicules de la petite politique, je vais parler d’un message que m’adresse un lecteur de La Nouvelle Revue d’Histoire. Un lecteur mécontent, je le précise. Il a 21 ans, des études scientifiques. Il vit en grande banlieue. Il a réagi à la lecture de notre dossier récent « Les droites radicales en Europe ». Il me reproche, dans mon éditorial, de ne pas répondre à la question du « Que faire ? ». Il relève mes distances à l’égard de l’action politique, note que je parle de « solution spirituelle », me disant en substance : « c’est bien beau, mais cela ne me dit pas comment réagir face à la décadence européenne ». Je ne vais trahir aucun secret en reproduisant ma réponse qui résume en profondeur ma façon de voir. Voici :

« N’attendez pas de moi des recettes pour l’action. Attendez de moi que je dise ce qu’est la vocation de votre génération. Si vous éprouvez le désir d’une action politique, engagez-vous, mais en sachant que la politique a ses propres règles qui ne sont pas celles de l’éthique. Quelle que soit votre action et tout simplement votre existence, il est vital est de cultiver en vous, chaque jour, comme une invocation inaugurale, ce qui doit devenir, par répétition, une foi indestructible. Une foi indestructible dans le devenir européen au-delà de la période présente.

« Je songe souvent au désespoir de Symmaque, appelé « le dernier Romain », l’un de nos ancêtres spirituels. J’ai évoqué ce personnage bien connu dans Histoire et tradition des Européens (p. 39-41). Symmaque, grand aristocrate romain, vivait à la fin du IVe siècle, époque sinistre entre toutes. Il est mort en témoin désespéré de la fin de l’ancienne romanité. Il ignorait que l’esprit de la romanité, héritier lui-même de l’hellénisme, renaîtrait par la suite perpétuellement sous des formes nouvelles. Il ignorait que l’âme européenne, autrement dit l’esprit de l’Iliade, est éternel à l’échelle humaine (qui n’est pas celle de la physique astrale).

« Nous qui connaissons l’histoire sur quelques milliers d’années et l’explorons avec le regard interrogateur qui pouvait être celui de Symmaque, nous savons ce qu’il ne savait pas. Nous savons qu’individuellement nous sommes mortels, mais que l’esprit de notre esprit est indestructible, comme celui de tous les grands peuples et de toutes les grandes civilisations. Pour les raisons que j’ai souvent expliquées (conséquences du Siècle de 1914), ce n’est pas seulement l’Europe de la puissance qui est en sommeil. C’est avant tout l’âme européenne qui est en dormition. Quand viendra le grand réveil ? Je l’ignore et certainement je ne le verrai pas. Mais de ce réveil je ne doute pas une seconde. L’esprit de l’Iliade est comme une rivière souterraine toujours renaissante et intarissable. Parce que cela est vrai, mais invisible, il faut se le répéter soir et matin. Et ce secret (l’éternité de l’esprit de l’Iliade), personne ne pourra jamais nous le voler. »

(Dominique Venner)

Notes

  1- Illustration : Scène de l’Iliade : Achille pansant Patrocle blessé. Figure rouge d’un médaillon attique vers -500.

source

vendredi 30 novembre 2012

SOS Racisme : ça suffit !

Soutenez notre campagne pour demander la dissolution de l'officine "SOS racisme" !
Adressez-nous vos coordonnées (nom, prénom, adresse, courriel) en indiquant :
"Je soutiens votre campagne
pour la dissolution de SOS racisme"
à l'adresse suivante :
synthesenationale@club-internet.fr

Source (et pour reproduire et diffuser le tract)

jeudi 15 novembre 2012

Quand les nationalistes rêvent à la révolution


"La revue Synthèse nationale organisait à Paris, le 11 novembre, pour la sixième année consécutive, sa journée «nationale et identitaire». De nombreux groupes ou personnalités de l’extrême droite, parfois amis, parfois antagonistes, s’y réunissent autour d’une question, pour y exprimer leur point de vue, lors de tables rondes. Cette année, les travaux des participants répondaient au thème «Face à la crise : une autre Europe». Mais au-delà de cet exercice imposé, les résultats de la présidentielle et des législatives tenaient dans cette réunion une résonance particulière. Les nationalistes s’y sont cassé les dents: parmi les organisations politiques présentes, trois d’entre elles, le Parti de la France (PdF), la Nouvelle droite populaire (NDP) et le Mouvement national républicain (MNR), ont tenté de présenter un candidat commun à la présidence, Carl Lang. Ce dernier a échoué à réunir les 500 signatures lui permettant de concourir. Si des candidats ont été présentés aux législatives, ceux-ci n’ont guère obtenu de résultats significatifs. Alors, avant de pouvoir intervenir sur l’Europe, plusieurs intervenants se sont posés la même question que Lénine: «Que faire ?» Comment faire pour arriver au pouvoir ?

«L’illusion électorale»

Ainsi, l’un d’entre eux, Jérôme Bourbon, du journal Rivarol (qui avait soutenu Bruno Gollnisch pendant la campagne interne du FN, resté depuis farouchement anti-mariniste), a mis en garde contre «les solutions qui n’en sont pas». L’éditorialiste a repoussé «les illusions électorales», tout comme «l’illusion de croire à un soulèvement militaire». «Que faire?», une question reprise par un autre éditorialiste, cette fois du journal Militant, André Gandillon, qui préconise «l’action politique, mais une action éminemment révolutionnaire». «Une action révolutionnaire passe par l’existence d’une minorité inaccessible au découragement, explique-t-il, par l’existence de cadres formés, de gens qui s’embarrasseront pas de principes, face à des gens qui n’en ont pas. Lorsqu’en face de vous vous avez le mal, vous avez de la vermine, vous ne chercher pas à savoir si vous allez faire du mal à la vermine, vous ne vous occupez que d’une seule chose: l’éliminer. Dans l’histoire, il a été prouvé, tôt ou tard, que les évènements allaient à la rencontre de ceux qui avaient la volonté d’agir, et je dirais comme Mussolini: “Là où il y a une volonté, là il y a le chemin”.» (1) Cette «minorité inaccessible au changement» a également été évoquée par Bernard Bres du MNR, qui préconise la formation d’une «aristocratie secrète amenée à devenir publique». «Cette mission, qui était autrefois celle des aristocrates de sang, exige une sorte de mystique, qui, comme dans l’Église, exercerait une surveillance sur les hommes de pouvoir. Cette classe dirigeante se fonderait sur une forte conscience identitaire et l’acceptation volontaire de devoir élever, une sorte de phalange, osons le mot.»

«La révolution»

De son côté, l’organisateur de la réunion, Roland Hélie, directeur de la Synthèse nationale et membre de la NDP, pense que «bien sûr les élections c’est important, bien sûr il faut participer là ou l’on peut. Mais dans l’état actuel des choses [...] nous savons fort bien que nous n’avons pas les espérances de résultats suffisants pour arriver au pouvoir. Si l’on veut arriver au pouvoir, il faut autre chose que les élections. Il faudrait [...] quelque chose que s’appellerait, peut-être, une révolution.» «Bien souvent des gens nous disent, qu’il serait peut-être temps d’organiser quelque chose, de passer à l’action. Mais avant de passer à l’action, il faut commencer à être présents partout [...] Nous savons tous que nous devons aller aux devants de nos concitoyens, de nos compatriotes, nous devons aller leur expliquer la nécessité du combat que nous menons.» Une vision qui n’est pas si éloignée que cela que celle du leader de Troisième voie (mouvement nationaliste révolutionnaire), Serge Ayoub, qui estime que avoir affaire à «une question d’éducation». «Notre vrai problème, c’est de prendre le pouvoir, parce qu’on pourra rééduquer les gens, on pourra leur réapprendre, on pourra leur faire fermer la télé, peut-être leur mettre un autre télévision, et, à partir de là, apprendre autrement, être autre chose que simplement “vouloir avoir”. [...] Il faut savoir comment on peut prendre le pouvoir. Le FN a décidé depuis 25 ans de passer par les urnes. C’est courageux de se taper la tête contre le mur pendant 25 ans d’affiler. Mais c’est perdu d’avance. Il ne nous reste plus [qu’une solution], pour sauver notre peuple, notre pays, notre civilisation: c’est la révolution.» (2)

Un mouvement dont les prémices serait déjà en cours selon Pierre Vial, membre de la NDP et patron de l’association politico-culturelle Terre et peuple. Ce dernier place son espoir dans les peuples nationalistes européens (Ecosse, Pays-Basque, Catalogne). Mais plus encore dans le mécontentement induit par l’actuelle crise économique et financière «qui suscite des révoltes populaires dans des pays comme la Grèce, l’Espagne, le Portugal». M. Vial se réjouit d’y voir les militants locaux de son association être «en première ligne dans les luttes sociales très dures qui sont en train de se développer là-bas. C’est ce qu’il faut faire, ajout-il. Il y a des moments où les mots, c’est bien, mais les actes, c’est mieux. Ces révoltes vont logiquement se durcir, elle vont prendre de l’ampleur et s’étendre à d’autres pays menacés par le même fléau, car lorsque les gens ont le dos au mur, il arrive un moment où il n’y a plus d’autre solution que de se battre. D’où des prises de consciences identitaires qui peuvent devenir des jalons de l’Europe des peuples.»

(Julien Licourt)

(1) Un peu plus mesuré, André Gandillon évoque «une révolution des âmes et des cœurs» dans l’ouvrage Face à la crise : une autre Europe ! 30 points de vue iconoclastes (Les Bouquins de Synthèse nationale, Paris, novembre 2012).

(2) Hugo Lesimple, numéro 2 de Troisième voie, évoque également la révolution dans l’introduction de La Doctrine du solidarisme (Serge Ayoub, Editions du Pont d’Arcole, Paris, Octobre 2012) : «Faire la révolution pour la préservation et la survie de ce que nous sommes. Nous sommes des révolutionnaires, mais des révolutionnaires conservateurs.»

Source

lundi 22 octobre 2012

Poitiers : vive la Résistance identitaire !


Le MRAP, SOS Racisme, le RMF (rassemblement des musulmans de france), le Front de Gauche par son habituel Mélenchon, le PS par Jean-Philippe "Harlem" Désir, le PC"F" par les mânes de Georges "messerschmitt" Marchais, deux ou trois grenouilles de bénitier et un raton-laveur convoqué pour faire "diversité" demandent avec fermeté l'interdiction de "Génération Identitaire" dont une centaine de garçons et filles a occupé ce dernier samedi - sans aucun incident ni dégradation - les toits de la future grande mosquée de Poitiers... c'est à dire pas bien loin de là où il y a 1280 ans nos lointains aïeux ont étrillé d'importance une armée de mahométans venus inconsidérément sur nos terres se livrer à leurs occupations favorites : le massacre, le pillage, l'incendie et la profanation au nom de leur religion de tolérance et d'amour.

C'est un acte symbolique de Résistance à la politique criminelle de substitution de population qui croît et embellie depuis des décénies, un réflexe de survie au véritable génocide programmé du peuple indigène de France submergé qu'il risque d'être par une immigration de peuplement exotique, fortement islamisée, installée sur nos terres ancestrales au nom du mondialisme. C'est un acte de Résistance et un crachat symbolique à la face des collabos, des traîtres et de leurs idiots utiles qui se font les valets de cette entreprise génocidaire. C'est un acte de Résistance et un avertissement sans frais pour ceux qui croient déjà que tous les souchiens vont accepter sans se battre de se soumettre et de tomber en dhimmitude ad maiorem prophetae gloriam. C'est un appel aux Français, aux Européens de France pour leur faire comprendre qu'il n'est plus temps d'attendre des jours meilleurs qui ne viendront pas des urnes s'ils ne prennent pas leur destin en main et ne réagissent pas à l'invasion en se regroupant et en manifestant leur détermination. C'est un appel à la levée en masse des gaulois qui entendent rester maîtres chez eux.

Les glapissements des indignés amèneront peut-être Roudoudou et le fatras de son gouvernement à en arriver à des mesures de persécution. Qu'ils y réfléchissent ! La Résistance qui se regroupe et s'organise n'est encore que symbolique, elle ne le sera plus seulement si elle devient clandestine !

source Yves Darchicourt - Synthèse Nationale

samedi 20 octobre 2012

Une nouvelle bataille de Poitiers ? Reconquête !

Communiqué de Géneration Identitaire
Une centaine de jeunes, garçons et filles de toute la France, viennent d’entrer [samedi 20 octobre] dans la future Grande Mosquée de Poitiers et l’occupent depuis les toits. Sur la façade, face au minaret, nous avons déplié une banderole sur laquelle on peut lire un message clair : « Immigration, construction de mosquées : REFERENDUM ! » Par cette première action d’envergure, Génération Identitaire entend se placer en première ligne du combat pour notre identité.

Il y a bientôt 1300 ans, Charles Martel arrêtait les Arabes à Poitiers à l’issue d’une bataille héroïque qui sauva notre pays de l’invasion musulmane. C’était le 25 octobre 732. Aujourd’hui, nous sommes en 2012 et le choix est toujours le même : vivre libre ou mourir. Notre génération refuse de voir son peuple et son identité disparaître dans l’indifférence, nous ne serons jamais les Indiens d’Europe. Depuis ce lieu symbolique de notre passé et du courage de nos ancêtres, nous lançons un appel à la mémoire et au combat !
Nous ne voulons plus d’immigration extra-européenne ni de nouvelle construction de mosquée sur le sol français. Depuis les premières vagues d’immigration africaine et le regroupement familial adopté en 1974, notre peuple n’a jamais été consulté sur les populations avec lesquelles on lui impose de vivre. L’immigration massive transforme radicalement notre pays : selon la dernière étude de l’INSEE, 43% des 18-50 ans d’Ile de France sont issus de l’immigration. Un peuple peut se relever d’une crise économique ou d’une guerre mais pas du remplacement de sa population : sans Français, la France n’existe plus. C’est une question de survie : c’est pourquoi chaque peuple a le droit absolu de choisir s’il souhaite accueillir des étrangers et en quelle proportion.
Puisque ce droit nous a été refusé et que notre génération en paie le prix fort dans la rue face aux intimidations de la racaille, nous disons : ça suffit, on ne recule plus ! Nous réclamons la mise en place d’un référendum national sur l’immigration et la construction de lieux de culte musulmans en France. Nous ne quitterons pas les lieux avant d’avoir été entendus et satisfaits.
Conscients que notre combat ne fait que commencer, nous appelons tous les jeunes Européens à devenir héritiers de leur destin et à rejoindre l’avant-garde de la jeunesse debout.
Que toute l’Europe entende notre appel : ici et maintenant, RECONQUETE !
Génération Identitaire