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vendredi 19 juillet 2013
Ils ont menti ! des scènes de vol et de caillassage ont bien eu lieu à Brétigny !
Le Point.fr s'est procuré un document confidentiel de la direction centrale des CRS qui fait état de jets de projectiles et de vols sur les victimes du déraillement du train.
Des forces de l'ordre devant la gare de Brétigny, le 12 juillet 2013. Des forces de l'ordre devant la gare de Brétigny, le 12 juillet 2013. © Michel Euler/AP / Sipa
A-t-on voulu cacher une réalité trop dérangeante ? Contrairement à la version officielle véhiculée par les autorités politiques, policières et sanitaires, il y a bel et bien eu des scènes de vol et de caillassage après le déraillement du train Paris-Limoges à Brétigny-sur-Orge. Le Point s'est procuré le rapport de synthèse des affaires marquantes du 10 au 16 juillet de la Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS) dans lequel une page est consacrée à l'opération de sécurisation mise en place après la catastrophe ferroviaire par deux sections de la CRS 37-Strasbourg venues du cantonnement de Meaux.
Or le compte rendu des forces de l'ordre est sans ambiguïté. "À leur arrivée, les effectifs de la CRS 37 devaient repousser des individus, venus des quartiers voisins, qui gênaient la progression des véhicules de secours en leur jetant des projectiles", note la synthèse de la DCCRS. Un constat fort différent de celui dressé par les responsables de la Croix-Rouge et du Samu qui affirmaient n'avoir constaté "aucune agression et avoir travaillé de façon tout-à-fait normale" en gare de Brétigny. Pourtant le rapport de synthèse de la DCCRS va plus loin : "Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s'emparer d'effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes." Et la note d'enfoncer le clou : "Les fonctionnaires protégeaient ensuite les lieux de l'accident pour favoriser le travail des enquêteurs et des techniciens et sécuriser la visite des nombreuses autorités (président de la République, Premier ministre, ministre de l'Intérieur, ministre des Transports, ministre de la Santé...).
Démentis officiels
À la lecture de la synthèse, on apprend qu'un dispositif de sécurité très important a été déployé alors sur place. Ainsi pour assurer des escortes d'ambulances, un équipage motocycliste de la CRS autoroutière Sud-Ile-de-France était également réquisitionné. Par ailleurs, deux autres sections de la compagnie 37, employées sur le département de la Seine-et-Marne ainsi que les fonctionnaires de la CRS 51-Orléans, utilisées sur le département de la Seine-Saint-Denis étaient appelées en renfort.
Pourtant, ministres et sous-préfet présents sur place ont démenti à l'unisson tout caillassage sur les forces de secours et vol sur les victimes. Ainsi, sur i>Télé, le ministre des Transports Frédéric Cuvillier déclarait ne pas avoir eu connaissance "de victimes dépouillées", faisant simplement état "d'actes isolés" et "de pompiers qui par petits groupes ont été accueillis de façon un peu rude". Le sous-préfet d'Estampes, Ghyslain Chatel, démentait pour sa part que les secours aient fait l'objet de jets de projectiles, à l'exception "d'un camion de pompiers, qui pourrait avoir été visé mais pas touché".
Enquêtes
Contacté jeudi par Le Point.fr, Luc-Didier Mazoyer, le directeur départemental de la sécurité publique de l'Essonne, persiste et signe : "J'étais sur place, il y a certes eu des tensions pour repousser des individus, mais je n'ai vu ni scène de pillages ni violences urbaines. J'ai déclenché une enquête pour en avoir le coeur net." Le parquet d'Évry a ouvert une enquête préliminaire pour vol en réunion avec violences, à la suite des incidents qui se sont déroulés en marge de la catastrophe. Les autorités avaient seulement reconnu qu'un urgentiste du Samu s'était fait voler son portable. Dans le cadre de cette affaire, cinq personnes ont été placées en garde à vue puis relâchées, les perquisitions à leurs domiciles n'ayant rien donné. Eux-mêmes ont nié toute participation à ces vols. L'un d'eux a néanmoins été désigné comme l'auteur du vol du téléphone par sa victime. Selon le parquet d'Évry, aucune plainte pour d'autres vols n'aurait été à ce jour déposée.
Nos révélations ne vont pas manquer de relancer la polémique. En effet, dès le vendredi, le syndicat de police Alliance avait fait état de scènes de pillage avec un groupe de jeunes qui "aurait dépouillé les victimes et notamment les premiers cadavres". Des déclarations démenties avec virulence par de nombreux responsables socialistes ou ministres du gouvernement. Le syndicat avait alors quelque peu fait machine arrière. Aujourd'hui, la synthèse de la DCCRS, même si elle ne mentionne pas le terme de cadavre, ni celui de pillage, semble bel et bien donner raison au syndicat.
(Par Jean-Michel Décugis et Aziz Zémouri)
mardi 2 juillet 2013
Goldman Sachs propriétaire d’Endemol : Quand la finance se paye la lobotomisation des téléspectateurs
On le sait depuis longtemps, la puissante banque privée américaine s'est diversifiée depuis 2007. Elle est en partie propriétaire d'Endemol, groupe de télévision, à qui l'on doit des programmes comme Loft Story, la Star Academy, Secret Story et autres émissions d'une haute qualité intellectuelle. Notamment où les participants s'affrontent à la recherche d'une gloire éphèmère. Et ce, généralement par le biais de phrases qui marqueront l'histoire tel : "Non mais allo quoi ! t'es une fille t'as pas de shampoing" ou "c'est la guerre mondiale de 78" ou encore par le biais d'acte héroïque comme se taper une future dépressive comme Loana, dans une piscine, devant la France entière (merci Jean Edouard et paix à ton âme)...
On le sait déjà, la banque d'investissement est déjà bien ancrée à la maison blanche. Depuis 2007, voilà qu'on laisse Goldman Sachs, en partie au contrôle de la société produisant les déchets télévisuels les plus abrutissants de la terre.
"Donnez leur du pain et des jeux", disait la maxime, voilà que les jeux sont servis par les mêmes maîtres qui soutirent le capital financier des Etats. Pendant que l'on divertit le monde, le tour de passe-passe via les dettes souveraines continuent, et en plus, ils peuvent se payer le luxe de payer l'opium télévisuel...
Déjà Etienne Mougeotte avouait vendre "du temps de cerveaux disponible". Là, il ne s'agit pas des publicités, mais des programmes avec Endemol. Donc de l'occupation du temps de cerveau indisponible (à comprendre : que le spectateur choisit consciement de regarder). Et donc malheureusement, de la qualité du divertissement. En l'occurence, au vu des programmes produits (source), c'est à se demander si il ne serait pas bénéfique pour les oligarques, d'abrutir le plus de gens possible, afin de les laisser lobotomisés face à la réalité (Non ! En fait, ça ne se demande pas...)
Du "Big Deal" avec Lagaffe ou à "A prendre ou à laisser" avec Arthur, c'est une bonne partie du PAF qui s'acoquine avec Endemol. Ces émissions, toutes aussi intéressantes qu'un épisode de Dallas ou des feux de l'Amour... Sauf que dans l'Histoire, c'est la Banque qui fait l'amour à la Télévision en trompant les téléspectateurs et JR diffuse les émissions qu'il veut pour abrutir les gens...
Pendant ce temps là, Goldman Sachs, alias, une banque d'investissement s'afférant ardemment à ses intérêts plus que privés, a réussi à placer ses pions sur l'échiquier internationale :
- Henry Paulson, secrétaire du Trésor des Etats-Unis depuis 7 ans le 30 mai, infiltré sous l'ère Bush Junior.
- Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne depuis un an et demi.
- Mario Monti, qui aura réussi à saborder l'Italie come il se doit, avant de sombrer politiquement.
- Loukas Papadimos, qui a su truquer les comptes publics grecs au moyen d'instruments financiers proposés par notre entreprise de charité : Goldman Sachs. Et a fait sombrer la Grèce dans une crise sans précédent.
Source
On le sait déjà, la banque d'investissement est déjà bien ancrée à la maison blanche. Depuis 2007, voilà qu'on laisse Goldman Sachs, en partie au contrôle de la société produisant les déchets télévisuels les plus abrutissants de la terre.
"Donnez leur du pain et des jeux", disait la maxime, voilà que les jeux sont servis par les mêmes maîtres qui soutirent le capital financier des Etats. Pendant que l'on divertit le monde, le tour de passe-passe via les dettes souveraines continuent, et en plus, ils peuvent se payer le luxe de payer l'opium télévisuel...
Déjà Etienne Mougeotte avouait vendre "du temps de cerveaux disponible". Là, il ne s'agit pas des publicités, mais des programmes avec Endemol. Donc de l'occupation du temps de cerveau indisponible (à comprendre : que le spectateur choisit consciement de regarder). Et donc malheureusement, de la qualité du divertissement. En l'occurence, au vu des programmes produits (source), c'est à se demander si il ne serait pas bénéfique pour les oligarques, d'abrutir le plus de gens possible, afin de les laisser lobotomisés face à la réalité (Non ! En fait, ça ne se demande pas...)
Du "Big Deal" avec Lagaffe ou à "A prendre ou à laisser" avec Arthur, c'est une bonne partie du PAF qui s'acoquine avec Endemol. Ces émissions, toutes aussi intéressantes qu'un épisode de Dallas ou des feux de l'Amour... Sauf que dans l'Histoire, c'est la Banque qui fait l'amour à la Télévision en trompant les téléspectateurs et JR diffuse les émissions qu'il veut pour abrutir les gens...
Pendant ce temps là, Goldman Sachs, alias, une banque d'investissement s'afférant ardemment à ses intérêts plus que privés, a réussi à placer ses pions sur l'échiquier internationale :
- Henry Paulson, secrétaire du Trésor des Etats-Unis depuis 7 ans le 30 mai, infiltré sous l'ère Bush Junior.
- Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne depuis un an et demi.
- Mario Monti, qui aura réussi à saborder l'Italie come il se doit, avant de sombrer politiquement.
- Loukas Papadimos, qui a su truquer les comptes publics grecs au moyen d'instruments financiers proposés par notre entreprise de charité : Goldman Sachs. Et a fait sombrer la Grèce dans une crise sans précédent.
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mardi 11 juin 2013
Solidarité avec Esteban !
L'affaire de la rixe mortelle de la rue Caumartin ayant entrainé le décès du militant "antifasciste" Clément Méric aurait dû rester dans la rubrique des faits divers. Elle a revêtue une tournure effroyablement politique condamnant par avance et avant la moindre enquête le principal mis en cause, Esteban.
Le ministre de l'Intérieur M. Valls perdant tout sang-froid, parlait même d'assassinat ! C'est dans ce contexte de déferlement de haine médiatique et politique qu'Esteban a été placé en détention provisoire en fin de semaine dernière.
Face à cette atteinte au droit et aux libertés de la défense, qui, sinon le CEPE, pouvait venir en aide à Esteban?
C'est donc en accord avec ses proches que nous avons décidé de prendre en charge la partie administrative du soutien à Esteban et d'assurer les collectes de fonds permettant à la fois le soutien juridique, mais également le soutien financier direct à Esteban, afin de lui permettre de survivre dignement en attente de son procès dans les geôles de la république.
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mercredi 5 juin 2013
Le B’nai B’rith réclame un contrôle « des valeurs » des jeunes Français
Achtung! Achtung! L’organisation maçonnique réservée aux seuls juifs (y a pas de discrimination là?!) souhaite un enseignement plus « efficace » de la religion shoatique sans pour autant avoir oublié de contrôler d’éventuels relents d’antisémitisme chez les jeunes Français.
Pour vous convaincre il suffit de lire son communiqué délirant :
Le B’nai B’rith France a présenté à la presse aujourd’hui 28 mai 2013
« Le Livre Blanc Pour la Citoyenneté et Contre l’Antisémitisme – Propositions du B’nai B’rith France »
« L’organisation juive B’nai B’rith France demande au gouvernement d’introduire un test sur « les valeurs de la République » lors de la Journée Défense et Citoyenneté, dans un Livre Blanc publié mardi qui recense ses propositions pour lutter contre l’antisémitisme.
Lors de ces journées, obligatoires pour tous les jeunes de 18 ans, « il serait pertinent de faire passer un test préalable de sensibilité aux valeurs de la République et au principe de laïcité », estime cette ONG dans son ouvrage, transmis vendredi au président François Hollande.
Il s’agirait à la fois de mieux connaître l’ampleur des déficits et d’imposer une formation aux « jeunes chez qui le test relèverait des fondamentaux défaillants », ajoute l’organisme.
Le B’nai B’rith, créé en 1843 à New York sur le modèle des confréries maçonniques, est présent dans 58 pays. En France, où il existe depuis 1932, il est membre du Conseil représentatif des institutions juives (Crif) et compte 60 loges. Selon son site, il a notamment pour mission l’action caritative, la lutte contre l’antisémitisme et le soutien à Israël.
« En publiant notre Livre Blanc, nous sommes en rupture avec notre tradition de discrétion, car nous considérons que l’heure est grave », a expliqué son président Serge Dahan lors d’une conférence de presse, en mentionnant la montée des actes antisémites et « le traumatisme de l’affaire Merah ».
Depuis l’assassinat de trois enfants et un enseignant juif à Toulouse par Mohamed Merah, le 19 mars 2012, « François Hollande n’a pas ménagé ses messages réconfortants envers la communauté », a estimé M. Dahan. « Mais finalement, il ne se passe pas grand’ chose », a-t-il déploré, en demandant aux autorités de passer « des mots aux actes ».
Pour ce faire, le B’nai B’rith recommande, entre autres, de renforcer la formation des enseignants pour les aider à transmettre l’histoire des Juifs et de la Shoah, notamment en leur donnant « une méthode psychopédagogique de déconstruction des stéréotypes auprès des élèves ».
L’organisation suggère aussi de compléter les programmes d’histoire sur la présence du monde juif en Europe. Celui-ci « disparaît de la scène de l’Histoire de la fin de l’Antiquité et ne réapparait qu’à travers l’affaire Dreyfus », constate-t-elle. « Dans ces conditions comment appréhender l’anéantissement des 6 millions de Juifs d’Europe entre 1940 et 1945 ? » »
Source
Pour vous convaincre il suffit de lire son communiqué délirant :
Le B’nai B’rith France a présenté à la presse aujourd’hui 28 mai 2013
« Le Livre Blanc Pour la Citoyenneté et Contre l’Antisémitisme – Propositions du B’nai B’rith France »
« L’organisation juive B’nai B’rith France demande au gouvernement d’introduire un test sur « les valeurs de la République » lors de la Journée Défense et Citoyenneté, dans un Livre Blanc publié mardi qui recense ses propositions pour lutter contre l’antisémitisme.
Lors de ces journées, obligatoires pour tous les jeunes de 18 ans, « il serait pertinent de faire passer un test préalable de sensibilité aux valeurs de la République et au principe de laïcité », estime cette ONG dans son ouvrage, transmis vendredi au président François Hollande.
Il s’agirait à la fois de mieux connaître l’ampleur des déficits et d’imposer une formation aux « jeunes chez qui le test relèverait des fondamentaux défaillants », ajoute l’organisme.
Le B’nai B’rith, créé en 1843 à New York sur le modèle des confréries maçonniques, est présent dans 58 pays. En France, où il existe depuis 1932, il est membre du Conseil représentatif des institutions juives (Crif) et compte 60 loges. Selon son site, il a notamment pour mission l’action caritative, la lutte contre l’antisémitisme et le soutien à Israël.
« En publiant notre Livre Blanc, nous sommes en rupture avec notre tradition de discrétion, car nous considérons que l’heure est grave », a expliqué son président Serge Dahan lors d’une conférence de presse, en mentionnant la montée des actes antisémites et « le traumatisme de l’affaire Merah ».
Depuis l’assassinat de trois enfants et un enseignant juif à Toulouse par Mohamed Merah, le 19 mars 2012, « François Hollande n’a pas ménagé ses messages réconfortants envers la communauté », a estimé M. Dahan. « Mais finalement, il ne se passe pas grand’ chose », a-t-il déploré, en demandant aux autorités de passer « des mots aux actes ».
Pour ce faire, le B’nai B’rith recommande, entre autres, de renforcer la formation des enseignants pour les aider à transmettre l’histoire des Juifs et de la Shoah, notamment en leur donnant « une méthode psychopédagogique de déconstruction des stéréotypes auprès des élèves ».
L’organisation suggère aussi de compléter les programmes d’histoire sur la présence du monde juif en Europe. Celui-ci « disparaît de la scène de l’Histoire de la fin de l’Antiquité et ne réapparait qu’à travers l’affaire Dreyfus », constate-t-elle. « Dans ces conditions comment appréhender l’anéantissement des 6 millions de Juifs d’Europe entre 1940 et 1945 ? » »
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jeudi 30 mai 2013
Européens, nous sommes en guerre !
De Stockholm à Londres en passant par Paris ou Athènes, le temps est désormais venu d’ouvrir les yeux et de mettre des mots sur ce qu’il se passe aujourd’hui en Europe : nous sommes en guerre.
Cette guerre a été déclarée non par nous, peuples d’Europe, mais par nos gouvernants, politiciens et grandes multinationales, qui ont sciemment contribué, depuis des dizaines d’années, à pourrir le fruit Europe.
Ils ont décidé sans nous consulter de mettre en place une immigration massive, destructrice de nos identités et de nos acquis économiques et sociaux.
Ils ont accepté sans broncher l’influence grandissante de la religion musulmane sous toutes ses formes, partout en Europe. Ils ont accepté de tout leur donner pour ne pas provoquer leur colère. Ils ont décidé que nous devions devenir des esclaves sur nos propres terres.
Ils ont accepté de vendre nos pays, nos institutions, aux marchands nomades qui sillonnent le monde, se sentant partout chez eux.
Ils ont décidé, afin de nous ôter définitivement toute racine, tout humanité, de mettre en place une politique de destruction des racines et de la famille. Afin de faire de nous demain des simples robots.
Mais le produit de leurs folles décisions est en train aujourd’hui de leur échapper totalement. Ils n’ont plus le contrôle.
Ils n’ont pas pu empêcher l’assassinat en plein jour et en pleine rue, à Londres, d’un militaire par deux islamistes fanatiques, alors qu’ils prétendent combattre l’islamisme partout dans le monde (sauf chez nous)
Ils nient le caractère ethnique des émeutes de Stockholm aujourd’hui, hier de Paris et de Londres, aidés en cela par des médias aux ordres. Mais à l’heure d’Internet, tout le monde peut voir que les émeutiers, ceux qui saccagent, pillent, violent, ne sont pas majoritairement européens de souche.
Ils vendent quotidiennement notre patrimoine aux puissances pétrolières arabes, rendant des populations entières dépendantes de nos ennemis.
Ils n »ont pas voulu mettre en place des barrières douanières qui protègeraient l’ensemble des européens de la guerre économique que nous mènent la Chine notamment.
Ils cherchent par la force s’il le faut à contenir tout mouvement de révolte populaire en Europe (des gazages des manifestations pour la défense de la famille en France, à la répression féroce contre les manifestation anti-austérité en Grèce).
Eux qui sont si prompts à donner des leçons à d’autres civilisations, d’autres pays, et même à y financer la guerre civile quand il le faut.
Ils n’ont plus le contrôle, et aujourd’hui, en voulant cadenasser par la force, l’amalgame et le dénigrement la révolte de leurs propres peuples, la haine qui monte et la colère qui gronde chaque jour un peu plus, ils abattent leurs dernières cartes, avant de s’effondrer.
Dominique Venner, éveilleur de peuple, historien et journaliste au service des peuples européens depuis toujours, avait bien compris cela, depuis longtemps déjà.
Son dernier geste héroïque à Notre Dame de Paris, un mardi, jour du dieu de la guerre Mars, , a sonné les cloches annonçant la fin de la récréation.
La fête est terminée. Européens, si vous voulez la paix demain, alors préparez vous à la guerre.
Yann Vallerie
Source
jeudi 21 février 2013
Qatar : Tour d’horizon de ses investissements en Fance
François Hollande et l'émir du Qatar, le sheikh Hamad bin Khalifa Al-Thani, à l'Elysée le 22 août 2012. KENZO TRIBOUILLARD / AFP
ECONOMIE - L'émirat poursuit des investissements tous azimuts...
Le fonds immobilier Rreef, appartenant à Deutsche Bank, est entré en négociations exclusives avec le groupe financier italien Borletti associé à des investisseurs du Qatar pour leur céder ses 70% dans le groupe français Le Printemps, ont annoncé conjointement mercredi Rreef et Borletti. Voici la liste des principaux investissements connus du Qatar en France, qui entrent dans le cadre d'une stratégie européenne de l'émirat alors que sa présence sur le sol français divise l’opinion.
Médias
Lagardère - Qatar Holding, une des branches d'investissement du fonds souverain Qatar Investment Autority (QIA), détient 12,83% du capital du groupe de médias, selon des données Thomson Reuters. Qia avait dit en mars 2012 se réserver la possibilité d'augmenter encore sa participation dans Lagardère - groupe qui détient 7,5% d'EADS - sans en prendre le contrôle et envisager de demander à siéger au conseil de surveillance.
Vivendi - Qatar Holding détient 1,67% du capital du groupe de télécoms, maison mère de l'opérateur téléphonique mobile SFR, selon des données Thomson Reuters.
Industrie
Vinci - Le Qatar possède environ 5,5% du capital, ce qui en fait le deuxième actionnaire du numéro un mondial du BTP et des concessions derrière les salariés.
Véolia environnement - L'émirat détient 4,7% du capital, ce qui en fait l'un des cinq premiers investisseurs du groupe de services aux collectivités.
Total - Le PDG du groupe pétrolier Christophe de Margerie a annoncé en avril 2012 que le Qatar avait augmenté sa participation à 3%.
Luxe
LVMH - Le Qatar est devenu actionnaire du groupe en 2011 en acquérant 1% du capital, selon le document de référence du numéro un mondial du luxe pour l'exercice 2011.
Le Tanneur - Qatar Luxury Group contrôle le maroquinier.
Sports
TV - Le groupe de télévision Al Djazira, détenu par le Qatar, a lancé début juin les chaînes beIN Sport 1 et beIN Sport 2 après s'être vu attribuer en février une partie des droits de la Ligue 1 de football pour la période 2012-2016.
Foot - Qatar Sports Investments a racheté la participation de 30% qu'il restait à Colony Capital dans le Paris Saint-Germain, concluant ainsi sa prise de contrôle du club de football.
Handball - En juin, le fonds a aussi racheté le club Paris Handball.
Immobilier
A Paris, l'émirat, via le gestionnaire de portefeuille hôtelier de luxe Katara Hospitality, possède l'hôtel Royal Monceau ainsi que l'hôtel Péninsula dont l'ouverture est attendue en 2014.
Sur les Champs-Elysées, le Qatar possède l'immeuble du Virgin Megastore et l'ancien siège de HSBC France.
La banque centrale du Qatar est également propriétaire de la galerie commerciale Elysées 26, un immeuble de bureaux et de logements également situé sur les Champs-Elysées. Le Qatar est actionnaire minoritaire de la Société Fermière du Casino Municipal de Cannes, qui exploite le Gray d'Albion et le Majestic.
(Avec Reuters)
Source
ECONOMIE - L'émirat poursuit des investissements tous azimuts...
Le fonds immobilier Rreef, appartenant à Deutsche Bank, est entré en négociations exclusives avec le groupe financier italien Borletti associé à des investisseurs du Qatar pour leur céder ses 70% dans le groupe français Le Printemps, ont annoncé conjointement mercredi Rreef et Borletti. Voici la liste des principaux investissements connus du Qatar en France, qui entrent dans le cadre d'une stratégie européenne de l'émirat alors que sa présence sur le sol français divise l’opinion.
Médias
Lagardère - Qatar Holding, une des branches d'investissement du fonds souverain Qatar Investment Autority (QIA), détient 12,83% du capital du groupe de médias, selon des données Thomson Reuters. Qia avait dit en mars 2012 se réserver la possibilité d'augmenter encore sa participation dans Lagardère - groupe qui détient 7,5% d'EADS - sans en prendre le contrôle et envisager de demander à siéger au conseil de surveillance.
Vivendi - Qatar Holding détient 1,67% du capital du groupe de télécoms, maison mère de l'opérateur téléphonique mobile SFR, selon des données Thomson Reuters.
Industrie
Vinci - Le Qatar possède environ 5,5% du capital, ce qui en fait le deuxième actionnaire du numéro un mondial du BTP et des concessions derrière les salariés.
Véolia environnement - L'émirat détient 4,7% du capital, ce qui en fait l'un des cinq premiers investisseurs du groupe de services aux collectivités.
Total - Le PDG du groupe pétrolier Christophe de Margerie a annoncé en avril 2012 que le Qatar avait augmenté sa participation à 3%.
Luxe
LVMH - Le Qatar est devenu actionnaire du groupe en 2011 en acquérant 1% du capital, selon le document de référence du numéro un mondial du luxe pour l'exercice 2011.
Le Tanneur - Qatar Luxury Group contrôle le maroquinier.
Sports
TV - Le groupe de télévision Al Djazira, détenu par le Qatar, a lancé début juin les chaînes beIN Sport 1 et beIN Sport 2 après s'être vu attribuer en février une partie des droits de la Ligue 1 de football pour la période 2012-2016.
Foot - Qatar Sports Investments a racheté la participation de 30% qu'il restait à Colony Capital dans le Paris Saint-Germain, concluant ainsi sa prise de contrôle du club de football.
Handball - En juin, le fonds a aussi racheté le club Paris Handball.
Immobilier
A Paris, l'émirat, via le gestionnaire de portefeuille hôtelier de luxe Katara Hospitality, possède l'hôtel Royal Monceau ainsi que l'hôtel Péninsula dont l'ouverture est attendue en 2014.
Sur les Champs-Elysées, le Qatar possède l'immeuble du Virgin Megastore et l'ancien siège de HSBC France.
La banque centrale du Qatar est également propriétaire de la galerie commerciale Elysées 26, un immeuble de bureaux et de logements également situé sur les Champs-Elysées. Le Qatar est actionnaire minoritaire de la Société Fermière du Casino Municipal de Cannes, qui exploite le Gray d'Albion et le Majestic.
(Avec Reuters)
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vendredi 14 décembre 2012
Poitiers : ouverture de la mosquée fin 2013 ?
dans son édition d'aujourd'hui, le journal dhimmi la Nouvelle République, par l'intermédiaire de son journaliste aux ordres se réjouit :
Le chantier de la future grande mosquée devrait avancer dans les prochaines semaines. Son ouverture est prévue d’ici à la fin 2013.
Un permis de construire délivré en 2003, un chantier débuté en 2008. Une ouverture « espérée » fin 2013… Il est long le chemin qui mène à la future grande mosquée. Rue de la Vincenderie, l'édifice de béton devrait si tout va bien accueillir les fidèles dans de meilleures conditions dans quelques mois.
" Pas exclusivement réservé aux musulmans "
« Au début du printemps prochain, les différents corps de métier (électricité, chauffage, isolation) pourront intervenir sur le site, résume Boubaker El Hadj Amor, le président de la communauté musulmane de Poitiers, nous avons récemment plaidé notre cause devant l'UOIF qui nous a promis un soutien dans des délais très proches. Pour finaliser un projet propre, il nous manque encore entre 700.000 et un million d'euros. Il faudra un million supplémentaire pour l'ameublement, la décoration, etc. » Au final, le bâtiment comprendra un étage qui sera consacré à l'enseignement de l'islam, un autre à des activités culturelles (salle d'exposition et de conférences) deux autres enfin à des salles de prières et à des bureaux. (…)
« Vous savez, appuie Khelef Ali Zazou, vice-président de la communauté, ce sera un centre qui appartiendra à Poitiers. Et à Poitiers il n'y a pas que des musulmans ! ».
Le chantier de la future grande mosquée devrait avancer dans les prochaines semaines. Son ouverture est prévue d’ici à la fin 2013.
Un permis de construire délivré en 2003, un chantier débuté en 2008. Une ouverture « espérée » fin 2013… Il est long le chemin qui mène à la future grande mosquée. Rue de la Vincenderie, l'édifice de béton devrait si tout va bien accueillir les fidèles dans de meilleures conditions dans quelques mois.
" Pas exclusivement réservé aux musulmans "
« Au début du printemps prochain, les différents corps de métier (électricité, chauffage, isolation) pourront intervenir sur le site, résume Boubaker El Hadj Amor, le président de la communauté musulmane de Poitiers, nous avons récemment plaidé notre cause devant l'UOIF qui nous a promis un soutien dans des délais très proches. Pour finaliser un projet propre, il nous manque encore entre 700.000 et un million d'euros. Il faudra un million supplémentaire pour l'ameublement, la décoration, etc. » Au final, le bâtiment comprendra un étage qui sera consacré à l'enseignement de l'islam, un autre à des activités culturelles (salle d'exposition et de conférences) deux autres enfin à des salles de prières et à des bureaux. (…)
« Vous savez, appuie Khelef Ali Zazou, vice-président de la communauté, ce sera un centre qui appartiendra à Poitiers. Et à Poitiers il n'y a pas que des musulmans ! ».
mercredi 12 décembre 2012
A Poitiers, la deuxième mosquée reste d'actualité
Bouchaïb Kamali est depuis 2011 le président du conseil régional du culte musulman.
Le président du conseil régional du culte musulman défend le projet d’une seconde mosquée. Concernant la première, il souhaite la transparence.
A l'image du reste de la société, la communauté musulmane n'est pas constituée d'un seul bloc. A Poitiers comme ailleurs, des tiraillements, parfois de réelles divergences se font jour entre différentes tendances de l'islam. Elles émergent notamment au sujet de la future grande mosquée, encore en chantier du côté de la rue de la Vincenderie, dont le permis de construire fut accordé en octobre 2003 à l'UOIF ( Union des organisations islamiques de France).
" L'entretien coûtera cher "
« Déjà en 1998, rappelle le poitevin Bouchaïb Kamali, aujourd'hui président du conseil régional du culte musulman, un groupe avait commencé à réfléchir sur un projet de mosquée à Poitiers. » Puis le projet de la Vincenderie est arrivé, piloté par le président de la communauté musulmane Boubaker El Hadj Amor, l'un des dirigeants de l'Union des organisations islamiques de France, réputée proche des Frères musulmans .
A plusieurs reprises, le financement de la mosquée a posé question. D'où vient l'argent ? Des émirats arabes unis ? Des Etats du Golfe ? « Il n'y a pas de traçabilité et de transparence sur l'origine des fonds. Deux millions d'euros ont déjà été dépensés. Et puis c'est un grand monument dont l'entretien coûtera cher. Comment gérer l'après ? Je crois en fait que tous ces éléments n'encouragent pas la communauté musulmane locale à donner », déplore Bouchaïb Kamali, inquiet par ailleurs de la destination d'une certaine partie de la future mosquée.
« Un institut de formation ou une école d'imams ? J'émets toutes mes réserves sauf si l'encadrement est fait par l'Etat, de manière claire et transparente. La formation des imams doit se traiter au niveau national. La question ce n'est pas de finir la mosquée, c'est son entretien et son utilisation, une fois construite… »
Aujourd'hui, Bouchaïb Kamali affirme qu'il est en train de travailler « sur un projet poitevin de deuxième mosquée. Une mosquée de proximité qui intégrerait toutes les nationalités et communautés, des Turcs aux Algériens… »
repères
L'interlocuteur du pouvoir
> Créé en 2003 par Nicolas Sarkozy, le conseil français du culte musulman (CFCM) se veut l'instance représentative du culte musulman en France. Il intervient notamment dans les relations avec le pouvoir politique français, dans la construction des mosquées, dans le marché des aliments halal ou la gestion des lieux de culte.
> Plusieurs grandes fédérations y sont affiliées parmi lesquelles le rassemblement des musulmans de France (RMF) plutôt soutenue par le royaume du Maroc, la grande mosquée de Paris (Algérie), l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), le comité de coordination des musulmans Turcs de France ou encore la fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles.
> On dénombre actuellement 13 lieux de culte en Poitou-Charentes : Châtellerault (1), Angoulême (3), Parthenay (1), La Rochelle (2), Rochefort (1), Royan (1), Cognac (1), Niort (1), Poitiers (2).
> Contact CRCM :
tél. 06.42.56.67.70
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Le président du conseil régional du culte musulman défend le projet d’une seconde mosquée. Concernant la première, il souhaite la transparence.
A l'image du reste de la société, la communauté musulmane n'est pas constituée d'un seul bloc. A Poitiers comme ailleurs, des tiraillements, parfois de réelles divergences se font jour entre différentes tendances de l'islam. Elles émergent notamment au sujet de la future grande mosquée, encore en chantier du côté de la rue de la Vincenderie, dont le permis de construire fut accordé en octobre 2003 à l'UOIF ( Union des organisations islamiques de France).
" L'entretien coûtera cher "
« Déjà en 1998, rappelle le poitevin Bouchaïb Kamali, aujourd'hui président du conseil régional du culte musulman, un groupe avait commencé à réfléchir sur un projet de mosquée à Poitiers. » Puis le projet de la Vincenderie est arrivé, piloté par le président de la communauté musulmane Boubaker El Hadj Amor, l'un des dirigeants de l'Union des organisations islamiques de France, réputée proche des Frères musulmans .
A plusieurs reprises, le financement de la mosquée a posé question. D'où vient l'argent ? Des émirats arabes unis ? Des Etats du Golfe ? « Il n'y a pas de traçabilité et de transparence sur l'origine des fonds. Deux millions d'euros ont déjà été dépensés. Et puis c'est un grand monument dont l'entretien coûtera cher. Comment gérer l'après ? Je crois en fait que tous ces éléments n'encouragent pas la communauté musulmane locale à donner », déplore Bouchaïb Kamali, inquiet par ailleurs de la destination d'une certaine partie de la future mosquée.
« Un institut de formation ou une école d'imams ? J'émets toutes mes réserves sauf si l'encadrement est fait par l'Etat, de manière claire et transparente. La formation des imams doit se traiter au niveau national. La question ce n'est pas de finir la mosquée, c'est son entretien et son utilisation, une fois construite… »
Aujourd'hui, Bouchaïb Kamali affirme qu'il est en train de travailler « sur un projet poitevin de deuxième mosquée. Une mosquée de proximité qui intégrerait toutes les nationalités et communautés, des Turcs aux Algériens… »
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L'interlocuteur du pouvoir
> Créé en 2003 par Nicolas Sarkozy, le conseil français du culte musulman (CFCM) se veut l'instance représentative du culte musulman en France. Il intervient notamment dans les relations avec le pouvoir politique français, dans la construction des mosquées, dans le marché des aliments halal ou la gestion des lieux de culte.
> Plusieurs grandes fédérations y sont affiliées parmi lesquelles le rassemblement des musulmans de France (RMF) plutôt soutenue par le royaume du Maroc, la grande mosquée de Paris (Algérie), l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), le comité de coordination des musulmans Turcs de France ou encore la fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles.
> On dénombre actuellement 13 lieux de culte en Poitou-Charentes : Châtellerault (1), Angoulême (3), Parthenay (1), La Rochelle (2), Rochefort (1), Royan (1), Cognac (1), Niort (1), Poitiers (2).
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