jeudi 1 novembre 2012

Samonios


Najat Vallaud-Belkacem s'acharne à promouvoir l'homosexualité


POLITIQUE - La ministre inculte qui veut faire de Vercingétorix un homo veut placer la France «en tête du combat pour les droits des personnes LGBT..."

La ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, a présenté mercredi au conseil des ministres un vaste plan contre l'homophobie avec l'ambition de placer la France «en tête du combat pour les droits des personnes LGBT (lesbienne, gay, bi et trans)».
Les violences contre les personnes LGBT feront l'objet «d'un travail de recueil et d'analyse, et d'une publication annuelle», selon le programme de la ministre, élaboré après consultation de «plus d'une centaine d'organisations».

Aborder les questions LGBT dans les programmes scolaires

Afin de mieux accueillir les victimes, des «sessions de formation pluridisciplinaire à la lutte contre les violences qui frappent les personnes LGBT seront organisées par l'Ecole nationale de la magistrature, à l'attention des policiers, gendarmes et magistrats». Ainsi des «trames d'audition seront élaborées pour les enquêteurs en charge de prendre les plaintes, comme cela existe pour d'autres infractions».
Les questions LGBT seront «davantage abordées dans les programmes scolaires. Les personnels intégreront ces questions dans leurs enseignements, en relation avec les thématiques abordées en cours, et avec des approches différenciées, du primaire au lycée». Le ministre de l'Education nationale a lancé une mission relative à la lutte contre l'homophobie, qui portera notamment sur la prévention du suicide des jeunes LGBT et «des propositions seront faites au début de l'année 2013» selon le plan de la ministre.

Les «thérapies de conversion» à l'hétérosexualité dans le viseur

La Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) sera saisie des «thérapies de conversion» qui se donnent pour objectif de rendre hétérosexuel un jeune homosexuel. Afin d'agir contre les discriminations qui frappent les familles homoparentales, «la composition des différentes instances représentatives des familles sera modifiée pour que les associations représentant les familles homoparentales puissent s'y exprimer».
Enfin la France participera à la «définition de lignes directrices de l'Union européenne» en matière de lutte contre les violences et les discriminations commises à raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre, et les ambassades de France soutiendront l'action des ONG qui luttent contre les violences et les discriminations anti-gays.
Selon le seizième rapport annuel de SOS homophobie rendu en mai 2012, les témoignages des gays, lesbiennes et trans reçus par l’association ont encore augmenté de 5 % entre 2010 et 2011 et de 23 % depuis 5 ans.

Et la rue d’Isly, M. le Président ?


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Bernard Lugan
Boulevard Voltaire cliquez ici
François Hollande a des émotions sélectives et il pratique une repentance à la carte.
Au nom de la France, il a ainsi cautionné le mythe de « la maison des esclaves » de Gorée alors que, pour les historiens, il s’agit d’une légende.
Il a ensuite fait de même avec le prétendu massacre du 17 octobre 1961 à Paris alors qu’il a été démontré qu’il s’agissait d’un montage réalisé à l’époque par le FLN et son allié privilégié, le Parti communiste français.
Amplement reprises par les médias d’aujourd’hui avec des commentaires décalés et contraires aux images présentées, les archives de l’INA nous montrent certes des Algériens arrêtés, parqués dans des stations de métro, entassés dans des cars de police et même recevant des coups plus ou moins violents. Mais de morts, point.
Ce qui n’est d’ailleurs guère étonnant puisque le 17 octobre, l’Institut médico-légal de Paris, la Morgue, n’enregistra pas d’entrée de corps de manifestants. Pas davantage d’ailleurs les jours suivants… De plus, la plupart des Algériens tués ou noyés durant ce mois d’octobre et pendant toute l’année 1961, le furent, non par la police, mais par le FLN qui pourchassait alors impitoyablement les partisans de la France et ceux du MNA de Messali Hadj.
Tout cela a été écrit, démontré, étayé ; je me bornerai à ce sujet à renvoyer au rapport Mandelkern et aux ouvrages de Jean-Paul Brunet. Cependant, aveuglé par l’ethno-masochisme, le président Hollande a, comme Jean-Jacques Rousseau avant lui, décidé d’écarter les faits puisqu’ils sont contraires à son idéologie.
Le président de « tous les Français » est en revanche demeuré bien silencieux sur un vrai massacre opéré sous l’objectif des caméras et par l’armée française dont une unité fusilla à bout portant une foule française pacifique. Sur ce massacre qui dura plus de 15 minutes, nous avons des images, nous connaissons les noms des victimes, enfants, femmes et hommes. Nous ne sommes donc ni dans le fantasme, ni dans les morts imaginaires, pas davantage dans l’inflation victimaire.
Il s’agit de la tuerie de la rue d’Isly qui se produisit le 26 mars 1962 devant la Grande Poste d’Alger quand des civils non armés furent « tirés comme des lapins », notamment au fusil-mitrailleur, par une section du 4e régiment de Tirailleurs. Selon les chiffres officiels, ces tirs dans la foule firent 46 morts et des centaines de blessés. En réalité bien plus.
A la différence du 17 octobre 1961, ici, pas de commission d’enquête, pas de reconnaissance de responsabilité. Rien de plus « normal » en somme car ces victimes-là n’ont rien pour attirer sur elles la commisération des « gentils ». Elles sont en effet françaises et elles avaient eu l’audace de demander à le rester… Une telle exigence aussi insupportable qu’anachronique ne méritait-elle pas châtiment ?

Les voies et les voix du djihâd...


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Pierre Vial
Terre et peuple
Des affaires récentes et en particulier, début octobre, le démantèlement par la police d’un réseau islamiste, à Cannes, à Strasbourg et en région parisienne illustrent des tendances qui s’affirment au sein du salafisme.
Celui-ci recrute de plus en plus de jeunes Français (Français de papiers et non de sang puisque beaucoup sont d’origine africaine ou antillaise). Ils sont souvent recrutés en prison (de l’aveu même des autorités, la majorité des détenus sont musulmans…) où des militants islamistes sèment « la bonne parole », en fournissant à des gens souvent paumés et incultes une conscience identitaire à base religieuse et le réconfort d’appartenir à une communauté solidaire, active, bien organisée. On sait à quel point la prison peut être une école révolutionnaire efficace.
Pour éviter aux nouveaux convertis de se faire repérer, il leur est parfois conseillé d’éviter de manifester des signes extérieurs d’islamisme : pas de prières ostentatoires, pas de respect du ramadan, pas de tenue identifiable… et même consigne de manger du cochon et de boire de l’alcool, pour tromper l’ennemi.
Des responsables officiels musulmans se donnent beaucoup de peine pour nier l’évidence, en assurant que le djihadisme « n’a rien à voir avec l’islam »… Il suffit de lire le Coran pour comprendre l’hypocrisie de telles affirmations.
Le ministre de l’intérieur (et des cultes) Manuel Valls s’exerce à l’art difficile du grand écart : devant les évidentes manifestations d’antisémitisme des salafistes, il lui faut rassurer la communauté juive, à laquelle appartient sa femme (sur Radio Judaica, de Strasbourg, il a déclaré : « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël »). Mais, en même temps, il tend la perche aux musulmans, en déclarant qu’il ne faut pas jeter « l’opprobre sur nos concitoyens de confession musulmane ». Des discours chèvre chou qui risquent de ne satisfaire ni les uns ni les autres….

Quand l’idéologie homosexualiste instrumentalise Hergé…


arton13698.jpgLaurent Colonier, dessinateur de presse, sort ces jours-ci une nouvelle bande-dessinée aux éditions 12bis. Intitulée Georges et Tchang et sous-titrée Une histoire d’amour au vingtième siècle, cet album met en scène, à Bruxelles en 1934, deux personnages principaux : Hergé, créateur de Tinitin, et un jeune étudiant chinois, Tchang, fidèle ami de Tintin dans certaines de ses aventures.Et leur rencontre, sous la plume et le crayon de Laurent Colonier, scelle le début d’une histoire d’amour homosexuel…
Où l’on s’aperçoit que la propagande homosexualiste -car il s’agit bien ici d’une entreprise idéologique de banalisation de l’homosexualité- ne recule devant aucun moyen, pas même l’instrumentalisation de celui dont le coup de crayon a fait rêver plusieurs générations d’enfants, ennoblissant leurs sentiments et dessinant pour eux un idéal généreux et désintéressé…

source : contre-info via NDP Ile de France

L’Algérie pour une reconnaissance des crimes du colonialisme français


Les Algériens veulent « une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre par le colonialisme français », a déclaré mardi à Alger le ministre algérien des moudjahidine (anciens combattants) Mohamed Cherif Abbas.
 « Au regard des crimes perpétrés par ce colonisateur contre un peuple sans défense et compte tenu de leur impact dans l’esprit même des générations qui n’ont pas vécu cette période, sachant que tout un chacun connaît les affres subies par notre peuple (…), les Algériens veulent une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre », a dit le ministre dans un entretien à l’agence APS. »La reconnaissance des massacres du 17 octobre 1961 est d’abord politique vue la manière dont elle a été conçue », a-t-il estimé, à la veille du 58e anniversaire du début de la guerre contre la France le 1er novembre 1954. 

ndlr. et vous allez voir qu'on va encore baisser culotte ...  

(photo : enfants européens assassinés par le FLN)