vendredi 2 novembre 2012
jeudi 1 novembre 2012
Najat Vallaud-Belkacem s'acharne à promouvoir l'homosexualité
POLITIQUE - La ministre inculte qui veut faire de Vercingétorix un homo veut placer la France «en tête du combat pour les droits des personnes LGBT..."
La ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, a présenté mercredi au conseil des ministres un vaste plan contre l'homophobie avec l'ambition de placer la France «en tête du combat pour les droits des personnes LGBT (lesbienne, gay, bi et trans)».Les violences contre les personnes LGBT feront l'objet «d'un travail de recueil et d'analyse, et d'une publication annuelle», selon le programme de la ministre, élaboré après consultation de «plus d'une centaine d'organisations».
Aborder les questions LGBT dans les programmes scolaires
Afin de mieux accueillir les victimes, des «sessions de formation pluridisciplinaire à la lutte contre les violences qui frappent les personnes LGBT seront organisées par l'Ecole nationale de la magistrature, à l'attention des policiers, gendarmes et magistrats». Ainsi des «trames d'audition seront élaborées pour les enquêteurs en charge de prendre les plaintes, comme cela existe pour d'autres infractions».Les questions LGBT seront «davantage abordées dans les programmes scolaires. Les personnels intégreront ces questions dans leurs enseignements, en relation avec les thématiques abordées en cours, et avec des approches différenciées, du primaire au lycée». Le ministre de l'Education nationale a lancé une mission relative à la lutte contre l'homophobie, qui portera notamment sur la prévention du suicide des jeunes LGBT et «des propositions seront faites au début de l'année 2013» selon le plan de la ministre.
Les «thérapies de conversion» à l'hétérosexualité dans le viseur
La Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) sera saisie des «thérapies de conversion» qui se donnent pour objectif de rendre hétérosexuel un jeune homosexuel. Afin d'agir contre les discriminations qui frappent les familles homoparentales, «la composition des différentes instances représentatives des familles sera modifiée pour que les associations représentant les familles homoparentales puissent s'y exprimer».Enfin la France participera à la «définition de lignes directrices de l'Union européenne» en matière de lutte contre les violences et les discriminations commises à raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre, et les ambassades de France soutiendront l'action des ONG qui luttent contre les violences et les discriminations anti-gays.
Selon le seizième rapport annuel de SOS homophobie rendu en mai 2012, les témoignages des gays, lesbiennes et trans reçus par l’association ont encore augmenté de 5 % entre 2010 et 2011 et de 23 % depuis 5 ans.
Et la rue d’Isly, M. le Président ?
Bernard Lugan
François Hollande a des émotions sélectives et il pratique une repentance à la carte.
Au nom de la France, il a ainsi cautionné le mythe de « la maison des esclaves » de Gorée alors que, pour les historiens, il s’agit d’une légende.
Il
a ensuite fait de même avec le prétendu massacre du 17 octobre 1961 à
Paris alors qu’il a été démontré qu’il s’agissait d’un montage réalisé à
l’époque par le FLN et son allié privilégié, le Parti communiste
français.
Amplement
reprises par les médias d’aujourd’hui avec des commentaires décalés et
contraires aux images présentées, les archives de l’INA nous montrent
certes des Algériens arrêtés, parqués dans des stations de métro,
entassés dans des cars de police et même recevant des coups plus ou
moins violents. Mais de morts, point.
Ce
qui n’est d’ailleurs guère étonnant puisque le 17 octobre, l’Institut
médico-légal de Paris, la Morgue, n’enregistra pas d’entrée de corps de
manifestants. Pas davantage d’ailleurs les jours suivants… De plus, la
plupart des Algériens tués ou noyés durant ce mois d’octobre et pendant
toute l’année 1961, le furent, non par la police, mais par le FLN qui pourchassait alors impitoyablement les partisans de la France et ceux du MNA de Messali Hadj.
Tout
cela a été écrit, démontré, étayé ; je me bornerai à ce sujet à
renvoyer au rapport Mandelkern et aux ouvrages de Jean-Paul Brunet.
Cependant, aveuglé par l’ethno-masochisme, le président Hollande a,
comme Jean-Jacques Rousseau avant lui, décidé d’écarter les faits
puisqu’ils sont contraires à son idéologie.
Le président de « tous les Français »
est en revanche demeuré bien silencieux sur un vrai massacre opéré sous
l’objectif des caméras et par l’armée française dont une unité fusilla à
bout portant une foule française pacifique. Sur ce massacre qui dura
plus de 15 minutes, nous avons des images, nous connaissons les noms des
victimes, enfants, femmes et hommes. Nous ne sommes donc ni dans le
fantasme, ni dans les morts imaginaires, pas davantage dans l’inflation
victimaire.
Il
s’agit de la tuerie de la rue d’Isly qui se produisit le 26 mars 1962
devant la Grande Poste d’Alger quand des civils non armés furent « tirés comme des lapins »,
notamment au fusil-mitrailleur, par une section du 4e régiment de
Tirailleurs. Selon les chiffres officiels, ces tirs dans la foule firent
46 morts et des centaines de blessés. En réalité bien plus.
A la différence du 17 octobre 1961, ici, pas de commission d’enquête, pas de reconnaissance de responsabilité. Rien de plus « normal » en somme car ces victimes-là n’ont rien pour attirer sur elles la commisération des « gentils ».
Elles sont en effet françaises et elles avaient eu l’audace de demander
à le rester… Une telle exigence aussi insupportable qu’anachronique ne
méritait-elle pas châtiment ?
Les voies et les voix du djihâd...
Pierre Vial
Terre et peuple
Des
affaires récentes et en particulier, début octobre, le démantèlement
par la police d’un réseau islamiste, à Cannes, à Strasbourg et en région
parisienne illustrent des tendances qui s’affirment au sein du
salafisme.
Celui-ci
recrute de plus en plus de jeunes Français (Français de papiers et non
de sang puisque beaucoup sont d’origine africaine ou antillaise). Ils
sont souvent recrutés en prison (de l’aveu même des autorités, la
majorité des détenus sont musulmans…) où des militants islamistes sèment
« la bonne parole », en fournissant à des gens souvent paumés et
incultes une conscience identitaire à base religieuse et le réconfort
d’appartenir à une communauté solidaire, active, bien organisée. On sait
à quel point la prison peut être une école révolutionnaire efficace.
Pour
éviter aux nouveaux convertis de se faire repérer, il leur est parfois
conseillé d’éviter de manifester des signes extérieurs d’islamisme : pas
de prières ostentatoires, pas de respect du ramadan, pas de tenue
identifiable… et même consigne de manger du cochon et de boire de
l’alcool, pour tromper l’ennemi.
Des
responsables officiels musulmans se donnent beaucoup de peine pour nier
l’évidence, en assurant que le djihadisme « n’a rien à voir avec
l’islam »… Il suffit de lire le Coran pour comprendre l’hypocrisie de
telles affirmations.
Le
ministre de l’intérieur (et des cultes) Manuel Valls s’exerce à l’art
difficile du grand écart : devant les évidentes manifestations
d’antisémitisme des salafistes, il lui faut rassurer la communauté
juive, à laquelle appartient sa femme (sur Radio Judaica, de Strasbourg,
il a déclaré : « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la
communauté juive et à Israël »). Mais, en même temps, il tend la perche
aux musulmans, en déclarant qu’il ne faut pas jeter « l’opprobre sur nos
concitoyens de confession musulmane ». Des discours chèvre chou qui
risquent de ne satisfaire ni les uns ni les autres….
Quand l’idéologie homosexualiste instrumentalise Hergé…
Où
l’on s’aperçoit que la propagande homosexualiste -car il s’agit bien
ici d’une entreprise idéologique de banalisation de l’homosexualité- ne
recule devant aucun moyen, pas même l’instrumentalisation de celui dont
le coup de crayon a fait rêver plusieurs générations d’enfants,
ennoblissant leurs sentiments et dessinant pour eux un idéal généreux et
désintéressé…
L’Algérie pour une reconnaissance des crimes du colonialisme français
Les
Algériens veulent « une reconnaissance franche des crimes perpétrés à
leur encontre par le colonialisme français », a déclaré mardi à Alger le
ministre algérien des moudjahidine (anciens combattants) Mohamed Cherif
Abbas.
«
Au regard des crimes perpétrés par ce colonisateur contre un peuple
sans défense et compte tenu de leur impact dans l’esprit même des
générations qui n’ont pas vécu cette période, sachant que tout un chacun
connaît les affres subies par notre peuple (…), les Algériens veulent
une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre », a dit
le ministre dans un entretien à l’agence APS. »La reconnaissance des
massacres du 17 octobre 1961 est d’abord politique vue la manière dont
elle a été conçue », a-t-il estimé, à la veille du 58e anniversaire du
début de la guerre contre la France le 1er novembre 1954.
ndlr. et vous allez voir qu'on va encore baisser culotte ...
(photo : enfants européens assassinés par le FLN)
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