http://www.europaeische-aktion.org/index_fr.html
Objectifs de l'ACTION EUROPÉENNE
L'ACTION EUROPÉENNE est au-dessus des partis politiques et agit hors de l'enceinte des parlements. Elle atteint ses objectifs d'abord en informant autant de personnes que possible dans l'ensemble des pays européens, ensuite grâce à la collaboration de ces personnes, enfin en formant de futurs responsables.
OBJECTIF 1: RÉTABLISSEMENT DE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION
La parole, l'information et la recherche historique doivent être libres. Les lois muselières doivent être abrogées (loi contre «l'incitation à la haine» en République fédérale d'Allemagne, loi «d'interdiction» en République fédérale d'Autriche, loi «antiraciste» en Suisse, lois similaires dans d'autres Etats).
OBJECTIF 2: DÉPART DE TOUTES LES TROUPES ÉTRANGÈRES
Départ des Américains d'Europe et des autres alliés occidentaux d'Allemagne.
OBJECTIF 3: RAPATRIEMENT DES IMMIGRÉS D'ORIGINE EXTRA-EUROPÉENNE
Fin de l'immigration en provenance d'autres parties du monde et mise en place de programmes de rapatriement des immigrés extra-européens. Il faut fournir une aide politique, économique et humanitaire dans les pays d'origine plutôt que de faire venir les réfugiés en Europe.
OBJECTIF 4: AUTODÉTÉRMINATION POUR LES ALLEMANDS ET LES AUTRICHIENS
Fin de l'influence étrangère en Allemagne et en Autriche. Les actuelles Républiques fédérales d'Allemagne et d'Autriche ont été créées à l'initiative des Alliés, en violation du droit international, par le démembrement du Reich allemand et ne sont pas des Etats souverains. Il faut instaurer un ordre de paix européen en concluant enfin avec le Reich allemand le traité de paix en souffrance depuis 1945.
OBJECTIF 5: CRÉATION D'UNE CONFÉDÉRATION EUROPÉENNE
Remplacement de l'UE et de l'OTAN par une Confédération européenne disposant d'une politique étrangère et d'une politique de défense communes, mais permettant à chaque pays membre de conserver une liberté maximale quant aux affaires intérieures, à la culture, aux finances et à l'économie. Accord de coopération stratégique avec la Russie.
OBJECTIF 6: TRANSFERT DE LA MONNAIE ET DES MÉDIAS DANS LA PROPRIÉTÉ DU PEUPLE
1.) Les banques centrales doivent être dirigées non seulement en théorie, mais également en pratique par les organes de l'Etat.
2.) L'Etat n'accorde plus sa protection juridique à la perception d'intérêts privée.
3.) Seules les corporations de l'Etat, de l'économie et de la culture agréées ont le droit de mener des affaires bancaires.
4.) Seules ces corporations clairement identifiables et responsables ont également le droit de publier des médias. Ce n'est qu'ainsi qu'il est possible de garantir la liberté et la diversité de ces derniers.
OBJECTIF 7: LUTTE CONTRE LA DÉCADENCE ET CONTRE LA DESTRUCTION DE LA NATURE
Il faut mettre un terme au sapement de notre culture. Les traditions européennes doivent être réapprises et approfondies. Nous accordons une importance particulière à la santé de la jeunesse et de la famille, à la protection de la nature, à l'agriculture biologique (y compris à la production de semences décentralisée) et aux développements organiques, conformes à la nature dans les domaines de la médecine, des transports et de la production d'énergie.
mercredi 30 janvier 2013
Notre Honneur s'appelle Fidélité
Notre Honneur s’appelle Fidélité
Prof. Pierre VIAL
Genève, 20.01.2013
Je salue l’initiative qui a conduit à la réunion d’aujourd’hui et je suis convaincu qu’elle constitue une étape importante vers la réalisation de ce front de combat identitaire européen que nous souhaitons tous.
Je m’exprime ici au nom de TERRE ET PEUPLE, pour la France, et au nom de mes camarades de TIERRA Y PUEBLO, pour l’Espagne, et de TERRA E POVE pour le Portugal, qui sont en parfaite communion de pensée avec nous et m’ont demandé de vous transmettre leur salut.
Avec mon vieux camarade Pierre Krebs nous avons œuvré depuis longtemps à la réalisation d’un front de combat identitaire européen, de Lisbonne et Madrid à Rome, Belgrade et Moscou. Nos efforts sont récompensés aujourd’hui. Pour nous identifier, nous utilisons volontiers le terme de völkisch, ce qui est une façon de dire que nous nous battons pour que les Européens redécouvrent que leur destin passe par l’appartenance à une communauté du peuple. Communauté du peuple qui a une base bioculturelle, ce qui veut dire que, pour nous, l’identité implique l’appartenance à une race et à une culture, implantées sur un territoire où se trouvent leurs racines. Le droit à l’identité et à l’enracinement vaut évidemment pour tous les peuples et c’est dans cet esprit que nous combattons le mondialisme.
Nous voulons être clairs au sujet de nos convictions : c’est pourquoi nous disons, sans hésitation ni ambiguïté, que nous sommes racialistes. Etre racialistes, c’est considérer l’appartenance raciale comme un facteur décisif – mais non le seul – dans l’histoire des peuples. C’est pourquoi nous attachons une telle importance à l’ethnopolitique qui, en liaison avec la géopolitique, est un facteur de compréhension et d’explication concernant les relations entre les peuples au cours de l’histoire, aujourd’hui comme hier et comme demain. Pour prendre un exemple dans l’actualité, on ne peut rien comprendre à ce qui se passe au Mali si on ne connaît pas les communautés raciales qui habitent ce pays et sont opposées depuis toujours par des antagonismes sanglants, comme l’a démontré dans ses ouvrages mon collègue et ami Bernard Lugan.
Aujourd’hui, si nous voulons réveiller les peuples européens anesthésiés par le pouvoir cosmopolite, sur le plan politique, économique, culturel, il faut parler clairement. Bien sûr, cela implique des risques mais nous sommes des combattants et il n’y a pas de combat sans risque.
Notre mission est de réveiller la conscience raciale des peuples blancs, qui sont menacés de mort par les envahisseurs venus d’autres continents et qui haïssent les Blancs. Ceux-ci sont désarmés moralement, intellectuellement, psychologiquement par le conditionnement mental qui leur est infligé depuis 1945 et qui veut leur faire admettre qu’ils sont coupables et doivent donc expier le fait d’être ce qu’ils sont, c'est-à-dire supérieurs. Sont responsables de cet asservissement les monothéismes, les religions du Livre, les fils d’Abraham comme se définissent aussi bien les musulmans et les chrétiens que les juifs – ainsi que les versions laïcisées des monothéismes que sont le marxisme et le capitalisme. C’est pourquoi c’est en retrouvant la fidélité à leur âme la plus profonde, à leur plus longue mémoire, à l’héritage des ancêtres, donc à leur identité païenne que les peuples européens pourront se libérer, se remettre debout.
Notre mission est donc claire: pour organiser la résistance et la reconquête identitaires, il faut éveiller les consciences de nos frères et sœurs de sang. Nous sommes, nous devons être des éveilleurs. Avec une devise dont nous sommes fiers et qui est notre boussole:
Notre Honneur s’appelle Fidélité
Prof. Pierre VIAL
Genève, 20.01.2013
Je salue l’initiative qui a conduit à la réunion d’aujourd’hui et je suis convaincu qu’elle constitue une étape importante vers la réalisation de ce front de combat identitaire européen que nous souhaitons tous.
Je m’exprime ici au nom de TERRE ET PEUPLE, pour la France, et au nom de mes camarades de TIERRA Y PUEBLO, pour l’Espagne, et de TERRA E POVE pour le Portugal, qui sont en parfaite communion de pensée avec nous et m’ont demandé de vous transmettre leur salut.
Avec mon vieux camarade Pierre Krebs nous avons œuvré depuis longtemps à la réalisation d’un front de combat identitaire européen, de Lisbonne et Madrid à Rome, Belgrade et Moscou. Nos efforts sont récompensés aujourd’hui. Pour nous identifier, nous utilisons volontiers le terme de völkisch, ce qui est une façon de dire que nous nous battons pour que les Européens redécouvrent que leur destin passe par l’appartenance à une communauté du peuple. Communauté du peuple qui a une base bioculturelle, ce qui veut dire que, pour nous, l’identité implique l’appartenance à une race et à une culture, implantées sur un territoire où se trouvent leurs racines. Le droit à l’identité et à l’enracinement vaut évidemment pour tous les peuples et c’est dans cet esprit que nous combattons le mondialisme.
Nous voulons être clairs au sujet de nos convictions : c’est pourquoi nous disons, sans hésitation ni ambiguïté, que nous sommes racialistes. Etre racialistes, c’est considérer l’appartenance raciale comme un facteur décisif – mais non le seul – dans l’histoire des peuples. C’est pourquoi nous attachons une telle importance à l’ethnopolitique qui, en liaison avec la géopolitique, est un facteur de compréhension et d’explication concernant les relations entre les peuples au cours de l’histoire, aujourd’hui comme hier et comme demain. Pour prendre un exemple dans l’actualité, on ne peut rien comprendre à ce qui se passe au Mali si on ne connaît pas les communautés raciales qui habitent ce pays et sont opposées depuis toujours par des antagonismes sanglants, comme l’a démontré dans ses ouvrages mon collègue et ami Bernard Lugan.
Aujourd’hui, si nous voulons réveiller les peuples européens anesthésiés par le pouvoir cosmopolite, sur le plan politique, économique, culturel, il faut parler clairement. Bien sûr, cela implique des risques mais nous sommes des combattants et il n’y a pas de combat sans risque.
Notre mission est de réveiller la conscience raciale des peuples blancs, qui sont menacés de mort par les envahisseurs venus d’autres continents et qui haïssent les Blancs. Ceux-ci sont désarmés moralement, intellectuellement, psychologiquement par le conditionnement mental qui leur est infligé depuis 1945 et qui veut leur faire admettre qu’ils sont coupables et doivent donc expier le fait d’être ce qu’ils sont, c'est-à-dire supérieurs. Sont responsables de cet asservissement les monothéismes, les religions du Livre, les fils d’Abraham comme se définissent aussi bien les musulmans et les chrétiens que les juifs – ainsi que les versions laïcisées des monothéismes que sont le marxisme et le capitalisme. C’est pourquoi c’est en retrouvant la fidélité à leur âme la plus profonde, à leur plus longue mémoire, à l’héritage des ancêtres, donc à leur identité païenne que les peuples européens pourront se libérer, se remettre debout.
Notre mission est donc claire: pour organiser la résistance et la reconquête identitaires, il faut éveiller les consciences de nos frères et sœurs de sang. Nous sommes, nous devons être des éveilleurs. Avec une devise dont nous sommes fiers et qui est notre boussole:
Notre Honneur s’appelle Fidélité
lundi 28 janvier 2013
vendredi 25 janvier 2013
Front de combat identitaire européen
Afin de renforcer la collaboration entre identitaires européens, une réunion de coordination a eu lieu en Suisse le 20 janvier. Pierre Vial, pour la France, Pierre Krebs, pour l’Allemagne, Bernard Schaub pour l’Europäische Aktion (Action européenne) et les représentants de Tierra y Pueblo pour les Espagnes ont mis au point un plan de travail destiné à concrétiser la totale unité de vue qui les rassemble et qui débouchera très vite sur certaines opérations.
http://www.europaeische-aktion.org/index_fr.html
L’incroyable erreur des experts du FMI
Le principal bailleur de fonds de la planète vient d’admettre sa faute : il a gravement sous-estimé les effets néfastes des cures d’austérité qu’il préconise. «Simple erreur de calcul», dit-il, mais dont les conséquences sont dévastatrices. Or, devinez quoi : les tenants de la rigueur continuent à faire comme si de rien n’était...
Christine Lagarde, directrice du FMI et le ministre de l'Economie espagnol, Luis de Guindos - YE PINGFAN/CHINE NOUVELLE/SIPA
L’aveu est incroyable, presque inimaginable. Quatre ans après le déclenchement de la Grande Crise qui secoue les économies occidentales avec une violence sans égale depuis 1929, l’un des plus grands économistes de la planète, en l’occurrence le directeur du département Recherche du Fonds Monétaire International, vient de publier un rapport dans lequel il avoue que le FMI - et avec lui, l’ensemble des dirigeants européens, ministres des finances, Banque centrale, Commission européenne… – ont gravement sous-estimé les effets néfastes des politiques d’austérité infligées aux Etats les plus endettés.
Oui, vous avez bien lu : Olivier Blanchard, l’une des sommités économiques les plus renommées au monde, admet noir sur blanc, dans un rapport de 43 pages rendu public le 3 janvier dernier, que le FMI s’est trompé sur toute la ligne. Et la faute provient d’une simple erreur de calcul, sur un coefficient bien connu dans la discipline : le multiplicateur.
Entre 1970 et 2007, les prévisionnistes du FMI avaient constaté que 1% de dépense publique en moins – ou d’impôt en plus – entraînait, en moyenne, 0,5% de croissance en moins dans les pays avancés. Soit un multiplicateur de 0,5, qu’ils ont doctement retenu dans les travaux préparatoires aux plans d’aide à la Grèce ou au Portugal. Mais ça, c’était avant la crise et son lot d’incertitudes qui perturbent le comportement des consommateurs.
Dans son « Panorama de l’économie mondiale » publié en octobre dernier, le FMI a d’abord reconnu, au détour d’une page repérée par les seuls spécialistes, que les multiplicateurs actuels pouvaient être compris « entre 0,9 et 1,7 ». C’est-à-dire entre deux et trois fois plus ! L’étude détaillée d’Olivier Blanchard, confirme la bévue. Les conséquences sont abyssales : en obligeant les gouvernements d’Europe du Sud à réduire drastiquement les salaires des fonctionnaires et les pensions des retraités, le FMI a fait plonger la demande intérieure deux à trois fois plus vite que prévu.
La suite, hélas, est connue : faillites en série, explosion du chômage et manifestations monstres dans les rues d’Athènes ou de Lisbonne. Comme le dit le proverbe japonais, « si votre seul outil est un marteau, tout ressemble à un clou »…
(Arnaud Bouillin et Laurent Neumann - Marianne)
source
Jeunes socialistes : mouchards et fiers de l’être !
Cela s’appelle « La carte des dérapages ». Un truc lié aux récentes intempéries, recensant les fractures du col du fémur ? Vous n’y êtes pas. C’est une lumineuse idée du Mouvement des Jeunes Socialistes, et ce ne sont pas les mamies qui s’y cassent la gueule mais les hommes politiques. Son autre nom pourrait être « jedenoncemonelu.com ». Le principe en deux mots : Les jeunes socialistes sont encouragés à traquer les propos « homophobes » des élus et à les envoyer en ligne grâce à un formulaire « participatif », — et non plus « collaboratif » (sic), comme c’était écrit au départ sur le site… —, afin qu’ils soient publiquement répertoriés sur une carte de France consultable sur le Net par tout un chacun. Votre élu y figurera, dans sa région, sous la forme d’un bonhomme noir dans le genre de ceux que l’on voit sur le bord des nationales pour signaler les morts sur la route. Et c’est bien de cela qu’il s’agit : tuer politiquement. Une carte du lynchage en somme.
Mais la sophistication ne s’arrête pas là : Cliquez sur le pictogramme et vous pourrez y voir la fiche complète de l’accusé, assortie de ses insupportables propos. Tenez, au hasard, Jean Perthuis, maire de Valpuiseaux, conseiller général de l’Essonne : « Si on m’y oblige, je rendrai mon tablier. Je n’ai rien contre ces gens-là, ils vivent comme bon leur semble. Mais si aucun adjoint n’accepte de les marier, je démissionnerai. » Ah non, ça c’est trop méchant, c’est très, très laid, c’est affreusement homophobe. La vérité est que le seul fait d’être contre la mariage pour tous fait de vous un mouton noir. Et nos élus ne sont plus que des funambules qui, les fesses serrées, avancent prudemment avec leur tutu et leur ombrelle, conscients que le moindre petit mot de travers les fera sombrer dans le vide.
Une carte du flicage, dites-vous ? Qui nous renvoie aux heures sombres du petit père Combes ? Nuance, chers amis, car à l’époque, ces fiches étaient tenues secrètes, tandis qu’aujourd’hui la délation fait son coming out. Mouchards et fiers de l’être.
Et amnésique aussi… On peut faire de la dénonciation post mortem ? Parce que moi, j’ai du lourd. Et pas vraiment un homme de droite : « Allez vous faire soigner, bande de pédérastes ! » Déclaration de Jacques Duclos, en 1971, à l’encontre d’un groupe d’homosexuels qui le prenait à partie. Et je vous fais grâce de ce petit maire « rouge » de mon enfance qui, lorsqu’il versait à ses administrés une goutte d’eau de vie décapant le gosier au chalumeau, déclarait invariablement, pendant que ceux-ci toussaient et crachaient tripes et boyaux : « J’avais prévenu que c’était pas pour les tafioles ! »
Alors, ces élus de droite cloués au pilori, carte du dérapage… ou carte du courage ? Courage de dire non, — maladroitement parfois peut-être —, non à la folie du « mariage pour tous », même si cela doit leur coûter cher !
(Gabrielle Cluzel)
source
jeudi 24 janvier 2013
Trafic d'organes au Kosovo: l'UE entrave l'enquête
L'enquête sur le trafic d'organes au Kosovo piétine en raison de l'approche "non constructive" adoptée par l'Union européenne dans ce dossier, a déclaré mercredi à Moscou le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.
"Nous nous heurtons à la position non constructive de l'UE qui a usurpé l'enquête et empêche son bon déroulement", a indiqué M.Lavrov.
Un scandale a éclaté en décembre 2010 après la publication d'un rapport dénonçant un trafic d'organes humains au Kosovo. Le rapport a été rédigé pour l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) par le rapporteur suisse Dick Marty.
La préparation de ce document avait débuté en 2008, suite à la parution du livre de Carla del Ponte, ancienne procureure du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY), intitulé "La traque, les criminels de guerre et moi". L'ouvrage évoquait le sort d'environ 300 Serbes kosovars enlevés en 1999 et transportés en Albanie pour subir des prélèvements d'organes.
Le rapport de Dick Marty accusait des personnes proches du premier ministre kosovar Hashim Thaçi d'être impliquées dans des meurtres commandités, des enlèvements et le trafic d'organes humains.
Ces crimes font actuellement l'objet d'enquêtes menées par les autorités serbes et la Mission de l'Union européenne au Kosovo.
Source
(ndlr : on se souvient que cette affaire sordide a d'importantes ramifications en Israël)
Qu'ils arrêtent de nous pourrir la vie !...
Ces thuriféraires de la Davos Goldman Sachs Idéologie (D.G.S.I) qui, de bulles en krachs et de crises en récessions, appauvrissent les peuples et se remplissent les poches. Du 23 au 27 janvier, ces « maîtres du monde » vont se réunir et actualiser leur politique de domination de notre planète et de partage des intérêts réciproques.
Ces charlatans des droits-de-l’hommiste qui à longueur de journée nous gavent des heurts et malheurs des « sans-papiers », ces hors-la-loi qui encombrent nos rues et gangrènent notre quotidien.
Ces médiocres élèves qui nous imposent un devoir de mémoire à géométrie variable, véritable gruyère qui ignore les 100 millions de victimes du marxisme putride, de Lénine à Mugabe ou de Mao à Castro.
Ces adorateurs de la repentance unilatérale et exclusivement anticoloniale, nous inondent de leurs mensonges, pendant que les fils de l’Empire du Milieu dévastent aujourd’hui le continent africain.
Ces eurocrates arrogants qui pondent des directives ineptes et nous obligent à proclamer des lois qui condamnent nos industries, au prétexte d’une « économie durable », d’un commerce « équitable », du principe de « précaution » ou encore de taxes sur la pollution. Dans la guerre commerciale que nous connaissons depuis 40 ans, cela signifie que nos gouvernements exigent des chefs d’entreprises qu’ils s’engagent dans une course de fond, mais …handicapés d’un sac de 50kgs sur le dos : on nage en plein délire !
Ces gouvernants et ces pourriticards qui ignorent nos maux permanents (chômage, insécurité, immigration sauvage, rage taxatrice), mais nous étranglent d’impôts nouveaux afin de pouvoir continuer à gaspiller les deniers publics en entretenant leurs utopies multiculturelles, leurs bataillons de copains et de coquins à tous les échelons (communes, départements, régions, état, Europe) et surtout les privilèges qui s’y rapportent…
Ces minorités perverties et décadentes qui réclament un « mariage pour tous » contre nature, alors qu’une foule de chômeurs attend « l’emploi pour tous ».
Ces lobbies agissant contre notre identité, ennemis de notre civilisation et fossoyeurs de la culture gréco-romaine.
Ces fraudeurs viscéraux et invétérés -réels voleurs de leurs concitoyens- qui profitent des avantages de l’Etat-Providence (écoles, hôpitaux, transports publics, pompiers, justice ou police), sans vouloir en payer le coût !
Ces gourous nauséabonds qui régissent la « Pensée Unique », délivrent des certificats de « Politiquement Correct » et donnent des leçons de démocrasse à la terre entière.
Ces laquais du Nouvel Ordre Mondial qui sèment le chaos et la destruction à travers le monde et s’érigent en prophètes pour désigner le Bien et le Mal, les Gentils et les Méchants comme on l’a vu en Yougoslavie, en Irak, en Afghanistan, en Lybie, en Egypte, et en Tunisie hier, ou à Bahreïn, au Yémen, en Syrie et au Mali maintenant …avant l’Iran demain ?
Ces khmers verts qui nous imposent leurs dogmes de la « mobilité urbaine» fondée sur le vélo pour tous et la voiture pour personne. Ces écolos-nantis nichant dans les beaux quartiers voudraient nous forcer à l’achat d’une électricité « verte » dont le bilan carbone et le coût du KWh sont trois fois plus élevés que ceux du nucléaire ! Et ne parlons pas des impostures du réchauffement climatique, du trou d’ozone, ou des biocarburants…
Ces ayatollahs du mondialisme « tous azimuts » qui ont squatté les organismes internationaux et conduisent l’Europe vers un cimetière industriel avec une vue imprenable sur un désert économique.
Ces centaines de milliers de parasites sociaux -véritables sangsues financières-, qui vivent aux crochets des travailleurs (sans aucune contrepartie), alors qu’ils sont en majorité sains de corps et d’esprit, mais qui rouspètent en permanence, parce qu’ils veulent encore plus, toujours plus d’allocations ou d’aides diverses.
Ces racailles qui attaquent les plus faibles de notre société et dont la mise hors d’état de nuire de 6.000 d’entre eux ramènerait la paix dans les cités et le silence dans les rangs.
Cette pègre immigrée responsable de la majorité des délits et des crimes dont le rapatriement immédiat réduirait de 80% la rubrique « faits divers » et viderait les prisons.
Ces banksters et leurs complices au Pouvoir, seuls responsables de la crise profonde que nous vivons et dont la place est derrière les barreaux, à l’exemple de 2 banquiers islandais condamnés en décembre à la prison ferme.
Ces utopistes enragés qui stigmatisent en permanence leurs opposants populistes ou nationalistes aux prétextes qu’ils seraient « repliés sur eux-mêmes », qu’ils auraient « peur de l’autre », qu’ils seraient « égoïstes » et « intolérants » et qu’ils manqueraient de « solidarité » en désignant les immigrés comme « responsables de tous nos maux ».
Que ces émules de Vychinski prennent garde et ne soient pas entrainés dans une véritable « tornade blanche » qui nettoierait les écuries du Régime !
Ces éternels bobos-socialauds-marxistes qui nous menacent avec leur terrorisme intellectuel et pourchassent les esprits rebelles de leur Police de la Pensée.
Ces fanatiques du laïcisme à tous les étages, qui ont vidé les églises pour remplir les mosquées, s’étonnent maintenant de l’islamisation triomphante qui s’incruste partout dans notre société en nous imposant ses modes de vie et ses croyances médiévales.
(Pieter Kerstens )
Source
mercredi 23 janvier 2013
Retour sur une manifestation
Je reviens sur l’imposante manifestation du 13 janvier à Paris contre le « mariage » des homosexuels, sans homophobie (1). Un succès ! Une énorme foule française « de souche » avec ses enfants. Une foule comme l’occasion n’est plus donnée d’en voir.
Toutes les informations disponibles nous ont appris que l’épiscopat français avait été en partie à l’origine de ce mouvement de protestation. Depuis longtemps, pour reprendre pied dans une société qui lui devenait toujours plus indifférente, l’Église a fait de la famille et du mariage le thème majeur de ses efforts. Elle est ainsi en accord avec sa constante morale individuelle. Faisant du mariage un sacrement, elle a toujours condamné le divorce, même quand celui-ci est préférable à l’enfer des haines au sein des couples désunis, dont les enfants sont les premières victimes.
De cette opposition au divorce elle a même fait jadis un instrument politique pour affirmer son pouvoir sur les empereurs, rois et princes du temps passé, mariés le plus souvent pour des raisons sans rapport avec l’amour mutuel. Il lui est d’ailleurs arrivé de payer le prix de cette politique. On songe bien entendu au schisme anglican provoqué en 1533 par la condamnation du divorce du roi d’Angleterre Henri VIII (2).
Plus que la lignée qui a toujours suscité sa méfiance dans la mesure où la chaine des générations échappe à son intervention, le mariage et, par amplification, la famille « nucléaire » (le couple et ses enfants) ont toujours fait l’objet de l’attention de l’Église. C’est en effet dans le mariage (et uniquement dans celui-ci) qu’elle tolère l’amour sensuel entre un homme et une femme, sinon condamné. Religion de l’individu et non de la communauté, le christianisme était dans sa logique en se focalisant sur le mariage.
Le projet de « mariage pour tous » a permis à l’Église de reprendre pied dans le débat public alors qu’un certain nombre d’affaires d’homosexualité et de pédophilie avaient éclaboussé une institution imposant le célibat des prêtres et des religieux.
Sur cette opposition du « mariage pour tous », l’Église s’est trouvée en accord avec les deux autres grandes religions monothéistes issues de la tradition biblique, le judaïsme et l’islam (lequel favorise la polygamie). On a donc vu les représentants de ces trois religions exprimer ensemble au président Hollande leur opposition commune au projet de loi socialiste. Et lors de la manifestation du 13 janvier, quelques banderoles en langue arabe rappelaient l’opposition des « musulmans de France » au mariage homosexuel.
Tout cela est fort bien, mais on se demande pourquoi l’Église n’a jamais engagé son influence toujours grande dans le rejet de l’immigration de peuplement extra-européenne, enjeu pour l’avenir autrement plus grave et lourd de conséquences que les lubies et revendications de la petite minorité homosexuelle ?
On connaît la réponse. Sur la question de l’immigration, contrairement à celle du mariage, l’Église n’a rien à objecter. Bien au contraire, elle prêche le devoir d’accueil de l’Autre. Un « Autre », fut-il musulman, qui présente l’avantage de se référer à l’interprétation biblique de la transcendance (l’au-delà) face à l’immanence implicite d’une société européenne largement déchristianisée. Ce que soulignait encore récemment l’estimable pape Benoît XVI dans sa célébration du cinquantième anniversaire du concile Vatican II : « Nous apparaissons fatigués, faibles dans notre conviction de la Vérité qui sauve… (3) »
Je suppose que pour Marine Le Pen, qui a fait du refus de l’immigration une priorité, cette réalité a pesé dans sa décision de s’abstenir de participer personnellement à la manifestions du 13 janvier. On ne peut oublier que la présidente du FN a choisi de s’adresser à tous les Français « de souche », quelles que soient leurs convictions religieuses. Sa décision lui évitait de se prêter à une opération médiatique qui pouvait l’éloigner de son électorat laïque.
(Dominique Venner)
Notes
1. Sur ce site, le 6 novembre 2012, sous le titre « Le mariage et les enfants, des biens de consommation ? » j’ai exprimé mes raisons de m’opposer au « mariage pour tous ».
2. Sur l’origine et les conséquences du schisme anglican, La Nouvelle Revue d’Histoire vient de publier un article d’Emma Demeester dans son n° 64 (janvier-février 2013), page 17.
3. Le Monde, 13 octobre 2012, p. 4.
Source
Toutes les informations disponibles nous ont appris que l’épiscopat français avait été en partie à l’origine de ce mouvement de protestation. Depuis longtemps, pour reprendre pied dans une société qui lui devenait toujours plus indifférente, l’Église a fait de la famille et du mariage le thème majeur de ses efforts. Elle est ainsi en accord avec sa constante morale individuelle. Faisant du mariage un sacrement, elle a toujours condamné le divorce, même quand celui-ci est préférable à l’enfer des haines au sein des couples désunis, dont les enfants sont les premières victimes.
De cette opposition au divorce elle a même fait jadis un instrument politique pour affirmer son pouvoir sur les empereurs, rois et princes du temps passé, mariés le plus souvent pour des raisons sans rapport avec l’amour mutuel. Il lui est d’ailleurs arrivé de payer le prix de cette politique. On songe bien entendu au schisme anglican provoqué en 1533 par la condamnation du divorce du roi d’Angleterre Henri VIII (2).
Plus que la lignée qui a toujours suscité sa méfiance dans la mesure où la chaine des générations échappe à son intervention, le mariage et, par amplification, la famille « nucléaire » (le couple et ses enfants) ont toujours fait l’objet de l’attention de l’Église. C’est en effet dans le mariage (et uniquement dans celui-ci) qu’elle tolère l’amour sensuel entre un homme et une femme, sinon condamné. Religion de l’individu et non de la communauté, le christianisme était dans sa logique en se focalisant sur le mariage.
Le projet de « mariage pour tous » a permis à l’Église de reprendre pied dans le débat public alors qu’un certain nombre d’affaires d’homosexualité et de pédophilie avaient éclaboussé une institution imposant le célibat des prêtres et des religieux.
Sur cette opposition du « mariage pour tous », l’Église s’est trouvée en accord avec les deux autres grandes religions monothéistes issues de la tradition biblique, le judaïsme et l’islam (lequel favorise la polygamie). On a donc vu les représentants de ces trois religions exprimer ensemble au président Hollande leur opposition commune au projet de loi socialiste. Et lors de la manifestation du 13 janvier, quelques banderoles en langue arabe rappelaient l’opposition des « musulmans de France » au mariage homosexuel.
Tout cela est fort bien, mais on se demande pourquoi l’Église n’a jamais engagé son influence toujours grande dans le rejet de l’immigration de peuplement extra-européenne, enjeu pour l’avenir autrement plus grave et lourd de conséquences que les lubies et revendications de la petite minorité homosexuelle ?
On connaît la réponse. Sur la question de l’immigration, contrairement à celle du mariage, l’Église n’a rien à objecter. Bien au contraire, elle prêche le devoir d’accueil de l’Autre. Un « Autre », fut-il musulman, qui présente l’avantage de se référer à l’interprétation biblique de la transcendance (l’au-delà) face à l’immanence implicite d’une société européenne largement déchristianisée. Ce que soulignait encore récemment l’estimable pape Benoît XVI dans sa célébration du cinquantième anniversaire du concile Vatican II : « Nous apparaissons fatigués, faibles dans notre conviction de la Vérité qui sauve… (3) »
Je suppose que pour Marine Le Pen, qui a fait du refus de l’immigration une priorité, cette réalité a pesé dans sa décision de s’abstenir de participer personnellement à la manifestions du 13 janvier. On ne peut oublier que la présidente du FN a choisi de s’adresser à tous les Français « de souche », quelles que soient leurs convictions religieuses. Sa décision lui évitait de se prêter à une opération médiatique qui pouvait l’éloigner de son électorat laïque.
(Dominique Venner)
Notes
1. Sur ce site, le 6 novembre 2012, sous le titre « Le mariage et les enfants, des biens de consommation ? » j’ai exprimé mes raisons de m’opposer au « mariage pour tous ».
2. Sur l’origine et les conséquences du schisme anglican, La Nouvelle Revue d’Histoire vient de publier un article d’Emma Demeester dans son n° 64 (janvier-février 2013), page 17.
3. Le Monde, 13 octobre 2012, p. 4.
Source
Ces journalistes, tels des hyènes …
Un combattant des forces spéciales risquant actuellement sa peau au Mali pour y réparer les erreurs de ces irresponsables politiques français qui n’ont pas su prévoir l’enchaînement des évènements, va probablement être sanctionné ou faire l’objet d’une ferme remontrance. Son crime : un « fouille-m… » à carte de presse l’a photographié alors qu’il s’abritait le visage du vent de sable au moyen d’un foulard portant en impression une tête de mort. Horreur, abomination aux yeux des aventuriers du brunch dominical !
Le fond du problème est que la « niche écologique » des journalistes ayant disparu avec internet, ils tentent désormais de survivre tels des sangsues dans une mare asséchée. Ceux de la presse écrite s’imaginent créer quand ils ne font plus que gloser, et ceux de la presse parlée se pensent tels des Cicéron cependant qu’ils lisent des textes écrits par d’autres… Quant à nombre de reporters, sortant de leurs hôtels climatisés pour rôder tels des hyènes à la recherche de carcasses puantes, ils ne sont plus capables que de rapporter des clichés faisandés. Et encore… quand ils n’enfreignent pas les consignes des militaires en allant se faire capturer en zone interdite, mettant ainsi en danger la vie de ceux qui seront chargés d’aller les délivrer.
Jamais un Lartéguy, un Schoendorffer ou ce cher Yves Débay n’auraient publié un tel cliché. Mais il est vrai que des rizières de Bac Ninh aux djebels du Constantinois, ces géants partageaient la vie des combattants, ne cherchant jamais à les trahir.
Nous savions donc de quoi sont capables certains de ces « journalistes » auxquels aucune bassesse n’est décidément étrangère. Mais que la hiérarchie militaire ait cru nécessaire de devoir diligenter une enquête, à propos d’une histoire que tout cavalier qualifierait de « corne-cul », en dit long sur les pertes de repère d’une société dévirilisée, ou plus exactement « découillée ».
(Bernard Lugan)
source
Mélenchon cire les bottes de la finance
Depuis qu’il a tué le Parti Communiste et d’une certaine manière la gauche française, Jean-Luc Mélenchon est apprécié des grands patrons, qui voient d’un très bon œil ses positions sur les sans-papiers (de la main d’œuvre bon marché) et sur le mariage homo (remplacement de la cellule familiale par un égoïsme consumériste). On a ainsi pu voir Mélenchon, tout sourire, ravi d’être invité à une soirée people, se faire photographier à coté des hommes d’affaire Yannick Bolloré et Xavier Romatet. L’extrême gauche caviar, c’est maintenant !
Georges Marchais doit se retourner dans sa tombe : le PCF a vendu son âme et son corps à un socialiste qui braille comme un tribun mais qui a converti les derniers communistes au libéralisme libertaire.
Ainsi, invité à la soirée GQ (un magazine branché de mode pour les hommes issus des catégories socio-culturelles les plus élevées), la Méluche s’est affiché avec tout le show-biz et le gratin du capitalisme à la française. Des crétins bobos qui applaudissent un Mélenchon pendant que ce dernier les insulte (pas trop fort, il sont ses derniers électeurs) et qui l’ont élu « homme politique de l’année » (les électeurs lambada ont pourtant été 2 fois en désaccord avec cette idée que seule les journalistes parisiens véhiculent malgré les résultats électoraux pathétiques d’un Mélenchon pour qui aucun ouvrier ne vote).
La simple présence de Mélenchon à cette soirée bling-bling est une honte pour le Front de gauche. Mélenchon ira-t-il aussi recevoir un NRJ Music Award au Midem de Cannes ? Etait-il présent à la soirée GQ pour se faire offrir un téléphone portable ? Les puissances économiques et financières ne savent plus comment remercier celui qui ramène les brebis égarées dans la douce clôture dorée du système et de la bienpensance. Et qui pose avec son trophée devant le logo Lacoste…
Le système capitaliste, comme l’a longuement expliqué Marx, doit détruire toute cellule qui permet à l’homme d’être stable et solide : on ne consomme que dans l’instabilité, la névrose, la solitude. C’est pourquoi les libéraux poussent depuis des décennies pour ouvrir le mariage et l’adoption aux homosexuels, détruisant ainsi définitivement la famille. Les vrais communistes avaient toujours refusé ces lois modernistes prométhéennes. Avec Mélenchon, ils ont du offrir leur derrière au grand capital sur ce sujet là.
Le PCF avait également toujours soutenu l’industrie nucléaire chère au prolétariat et à ses ouvriers. Mais Mélenchon a abandonné les derniers membres des classes populaires qui le soutenaient et ne cherche plus qu’à séduire les bobos parisiens et à accélérer la désindustrialisation de la France. « Un ouvrier ? Beurk, c’est pauvre, en en plus ça ne vote plus comme il faut ! ».
Le PCF (...) a toujours été opposé à la légalisation des sans-papiers, qui permet de tuer les frontières et offre ainsi aux patrons de la main d’œuvre servile, dont les exigences sociales sont calquées sur celles des pays d’origine (esclavage…).
Pas étonnant que Marine Le Pen ait fait prendre un virage marxiste au FN : la place est libre depuis que l’extrême gauche bouffe au râtelier du grand capital…
Mélenchon : la plus belle invention du Parti socialiste et du Medef !
Décidément, la gauche française n’a pas peur de prendre les gens pour des cons : après Hollande qui nous jure que son ennemie c’est la finance, alors qu’il change de ministre sur un coup de fil de Total, on a Mélenchon, qui se pose en adversaire du système mais qui se vautre dans le luxe des évènements mondains parisiens aux côtés de très gros patrons… Il parait que des gens se disent encore « de gauche » avec tout ça !
Source
Georges Marchais doit se retourner dans sa tombe : le PCF a vendu son âme et son corps à un socialiste qui braille comme un tribun mais qui a converti les derniers communistes au libéralisme libertaire.
Ainsi, invité à la soirée GQ (un magazine branché de mode pour les hommes issus des catégories socio-culturelles les plus élevées), la Méluche s’est affiché avec tout le show-biz et le gratin du capitalisme à la française. Des crétins bobos qui applaudissent un Mélenchon pendant que ce dernier les insulte (pas trop fort, il sont ses derniers électeurs) et qui l’ont élu « homme politique de l’année » (les électeurs lambada ont pourtant été 2 fois en désaccord avec cette idée que seule les journalistes parisiens véhiculent malgré les résultats électoraux pathétiques d’un Mélenchon pour qui aucun ouvrier ne vote).
La simple présence de Mélenchon à cette soirée bling-bling est une honte pour le Front de gauche. Mélenchon ira-t-il aussi recevoir un NRJ Music Award au Midem de Cannes ? Etait-il présent à la soirée GQ pour se faire offrir un téléphone portable ? Les puissances économiques et financières ne savent plus comment remercier celui qui ramène les brebis égarées dans la douce clôture dorée du système et de la bienpensance. Et qui pose avec son trophée devant le logo Lacoste…
Le système capitaliste, comme l’a longuement expliqué Marx, doit détruire toute cellule qui permet à l’homme d’être stable et solide : on ne consomme que dans l’instabilité, la névrose, la solitude. C’est pourquoi les libéraux poussent depuis des décennies pour ouvrir le mariage et l’adoption aux homosexuels, détruisant ainsi définitivement la famille. Les vrais communistes avaient toujours refusé ces lois modernistes prométhéennes. Avec Mélenchon, ils ont du offrir leur derrière au grand capital sur ce sujet là.
Le PCF avait également toujours soutenu l’industrie nucléaire chère au prolétariat et à ses ouvriers. Mais Mélenchon a abandonné les derniers membres des classes populaires qui le soutenaient et ne cherche plus qu’à séduire les bobos parisiens et à accélérer la désindustrialisation de la France. « Un ouvrier ? Beurk, c’est pauvre, en en plus ça ne vote plus comme il faut ! ».
Le PCF (...) a toujours été opposé à la légalisation des sans-papiers, qui permet de tuer les frontières et offre ainsi aux patrons de la main d’œuvre servile, dont les exigences sociales sont calquées sur celles des pays d’origine (esclavage…).
Pas étonnant que Marine Le Pen ait fait prendre un virage marxiste au FN : la place est libre depuis que l’extrême gauche bouffe au râtelier du grand capital…
Mélenchon : la plus belle invention du Parti socialiste et du Medef !
Décidément, la gauche française n’a pas peur de prendre les gens pour des cons : après Hollande qui nous jure que son ennemie c’est la finance, alors qu’il change de ministre sur un coup de fil de Total, on a Mélenchon, qui se pose en adversaire du système mais qui se vautre dans le luxe des évènements mondains parisiens aux côtés de très gros patrons… Il parait que des gens se disent encore « de gauche » avec tout ça !
Source
mardi 22 janvier 2013
Les véritables raisons de la guerre au Mali
Pourquoi la France est-elle en guerre au Mali ? Pour combattre les groupes djihadistes. Mais aussi pour sécuriser ses approvisionnements en uranium. Jadis délaissé, le Sahel est ainsi devenu une zone stratégique que se disputent les grandes puissances.
Comme dans beaucoup de guerres, le combat contre les djihadistes a aussi d’autres buts. Contrairement à ce qu’a laissé entendre François Hollande, les intérêts français sont importants dans cette zone. Au centre des attentions : le pays voisin, le Niger et plus précisément Arlit, la mine d’uranium exploitée par les Français qui se trouve à quelques centaines de kilomètres de la frontière malienne. Troisième producteur de ce minerai au monde, le Niger fournit 33 % de l’uranium utilisé dans les centrales nucléaires françaises.
Surtout, ce pourcentage devrait augmenter : la mine d’Imouraren, proche d’Arlit, qui devrait entrer en fonction en 2015 sera la deuxième mine d’uranium à ciel ouvert du monde. Le pays devrait donc devenir un fournisseur prépondérant à l’horizon 2030. Pas question donc pour les Français d’observer les bras croisés ces groupes menacer des intérêts stratégiques.
D’autant que l’ancienne puissance coloniale n’est pas la seule à s’intéresser de près au Sahel. Cette bande désertique, qui court de l’océan Atlantique à la mer Rouge, suscite de plus en plus de convoitises. On trouve de part et d'autre de cette zone du pétrole, du gaz et des minerais en quantité.
L’espace sahélien regorge également de ressources énergétiques. Le potentiel y est énorme : on y découvre régulièrement des zones pétrolifères comme le bassin de Taoudéni, à la frontière entre le nord du Mali et le Sud algérien, considéré par certains analystes comme un nouvel eldorado pétrolier. Les pays producteurs d’Afrique de l’Ouest engendreront ainsi, entre 2002 et 2019, 350 milliards de revenus pétroliers, c’est-à-dire davantage que le PIB de la Russie.
« Auparavant, ces potentialités étaient connues, mais inexploitées, explique Mehdi Taje, géopoliticien, spécialiste du Maghreb. Aujourd’hui, dans un contexte de course à l’énergie, l’exploration et l’exploitation de ses ressources sont devenues rentables. Or, toutes ces ressources se trouvent dans un espace sous-défendu, sous-administré, où les États ont du mal à exercer leur souveraineté, comme au Mali. » Un « océan sahélien » sur lequel les grandes puissances se retrouvent directement en rivalité pour le contrôle des gisements et des voies de transit…
Source
voir aussi
En guerre contre le terrorisme, vraiment ? Pourquoi les médias ne parlent-ils pas des ressources naturelles convoitées, des multinationales françaises qui se construisent des fortunes dans cette région, de la misère dont elles sont responsables ? Pourquoi nous cache-t-on les véritables cibles : Mali, Niger, Algérie et l'Afrique en général ? Et le Qatar, allié de Paris, qui arme les islamistes maliens, qu'est-ce que cela cache ? Ou bien part-on en guerre pour des intérêts économiques et stratégiques soigneusement cachés ?
Les coquins veulent rester entre eux
Deux députés d’extrême droite contestés au Conseil de l’Europe
La présence de deux parlementaires d'extrême droite au sein de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe a été contestée lundi à l'ouverture de la session de 2013. Un groupe d'élus emmenés par la députée italienne Fiamma Nirenstein a estimé que le Hongrois Tamas Gaudi Nagy, (Jobbik), et la Grecque Eleni Zaroulia (L'Aube dorée) avaient violé les valeurs de l'organisation par leurs prises de position xénophobes et antisémites.
«Mme Zaroulia a dit devant son Parlement national que les immigrés étaient des sous-êtres humains qui envahissaient la patrie et qui répandaient des maladies», a rappelé la députée du Peuple de la liberté, le parti de Silvio Berlusconi.
Le président de l’Assemblée opposé à une mise en cause
«M. Gaudi Nagy a dit devant son Parlement qu'il y avait une liste de juifs qui représentaient une menace pour la sécurité nationale et qu'ils exploitaient l'Holocauste pour dominer le monde», a-t-elle ajouté.
Soutenue par un nombre requis d'au moins dix parlementaires appartenant à un minimum de cinq délégations nationales, la demande a été transmise à la commission du règlement de l'Assemblée parlementaire qui doit rendre son avis dans la semaine.
Le président de l'Assemblée, le Français Jean-Claude Mignon (UMP), s'est prononcé personnellement contre cette mise en cause des deux députés, estimant qu'ils avaient été élus dans le cadre de scrutins jugés démocratiques. «Il n'appartient pas à l'Assemblée de dire aux Hongrois et aux Grecs 'Vous avez correctement voté' ou 'Vous n'avez pas correctement voté», a-t-il estimé lors d'une conférence de presse.
Source
(ndlr . à mon avis, Jean Claude Mignon va se faire taper sur les doigts -la traque des "dérapages", nouveau mot à la mode, va bon train- on engage les paris ?)
lundi 21 janvier 2013
Goldman Sachs double ses bénéfices
La banque d'affaires américaine Goldman Sachs est un peu comme un aigle à deux têtes. D'un côté, une formidable réussite commerciale ; de l'autre, un symbole des dérives de la haute finance.
L'annonce, mercredi 16 janvier, du doublement du bénéfice net en 2012 – et de son triplement lors sur le seul quatrième trimestre – témoigne une nouvelle fois du succès de l'enseigne new-yorkaise.
Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr. Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnés
Un chiffre d'affaires sur l'année de 34,2 milliards de dollars (25,7 milliards d'euros), en hausse de 19 %, et des profits de 7,3 milliards de dollars sont le fruit des excellents résultats des fusions-acquisitions et des émissions de titres, ainsi que des opérations de marché pour le compte de clients.
Par ailleurs, l'établissement a vendu pour 2,3 milliards de dollars une partie de sa participation – très rémunératrice – dans l'Industrial and Commercial Bank of China, première banque mondiale en termes d'actifs.
La cession de hedge funds conformément à la législation Volcker, interdisant aux banques de disposer de fonds spéculatifs, a également gonflé les revenus. Enfin, Goldman Sachs a obtenu un bon prix pour sa participation de 10 % dans LMAX Exchange, une plate-forme de négociation multilatérale des devises et des métaux, pourtant déficitaire.
UNE IMAGE ÉCORNÉE
Mais, parallèlement, l'image de la banque a souffert de plusieurs affaires retentissantes. La veille de la divulgation des résultats, Goldman Sachs Londres a dû abandonner son projet de retarder jusqu'au 6 avril le versement, prévu en février, des bonus 2012.
L'objectif était de faire profiter les bénéficiaires de ces primes de la baisse du taux d'imposition supérieur sur le revenu de 50 % à 45 %. Ce tour de passe-passe, légal mais jugé immoral en ces temps d'austérité, avait été sévèrement critiqué par le gouvernement et la Banque d'Angleterre.
De surcroît, une récente enquête de Bloomberg a révélé que, sous le couvert d'investissements et de prêts à long terme, une unité de Goldman avait en fait agi comme un hedge fund en pariant les capitaux propres de la banque à court terme au mépris de la règle Volcker.
Goldman Sachs a, par ailleurs, été condamnée, mercredi, par la Réserve fédérale américaine à dédommager des clients victimes de saisies immobilières irrégulières aux Etats-Unis pour un montant non précisé.
Source
les dirigeants empochent plus de 100 millions de bonus en actions
Selon des avis boursiers publiés vendredi, les principaux dirigeants de la banque d'affaires américaine, qui a plus que doublé son bénéfice net en 2012, vont se partager 707.634 actions. Ce qui représente 102,2 millions de dollars.
Goldman Sachs ne connaît pas la crise. Et il en va de même pour ses chefs de file. D'après des avis boursiers publiés vendredi, la banque d'affaires américaine a octroyé aux douze membres de son équipe dirigeante quelques 707.634 actions de bonus pour l'exercice 2012, représentant 102,2 millions de dollars.
D'après l'un de ces avis transmis à la SEC, le gendarme boursier américain, le PDG du groupe, Lloyd Blankfein, a reçu 94.320 actions. Elles lui seront versés de manière étalée sur trois ans, et ne pourront pas être vendues ou transférées avant janvier 2018, précise le document. Sur la base du cours de clôture de vendredi soir (144,45 dollars), cela représente 13,6 millions de dollars.
Un chiffre d'affaires en hausse de 19%
Cette annonce fait suite à la publication des très bons résultats de Goldman Sachs. Mercredi, la banque d'affaires a fait état d'un doublement de son bénéfice sur l'exercice 2012, à 7,3 milliards de dollars, soit 14,63 dollars par action alors que les analystes de Wall Street tablaient en moyenne sur 12,20 dollars. De même, le chiffre d'affaires s'affiche en hausse de 19%, à 34,2 milliards de dollars, un bond essentiellement du aux solides performances des activités de banque d'investissement et d'opérations de marché pour compte propre.
Source
L'annonce, mercredi 16 janvier, du doublement du bénéfice net en 2012 – et de son triplement lors sur le seul quatrième trimestre – témoigne une nouvelle fois du succès de l'enseigne new-yorkaise.
Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr. Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnés
Un chiffre d'affaires sur l'année de 34,2 milliards de dollars (25,7 milliards d'euros), en hausse de 19 %, et des profits de 7,3 milliards de dollars sont le fruit des excellents résultats des fusions-acquisitions et des émissions de titres, ainsi que des opérations de marché pour le compte de clients.
Par ailleurs, l'établissement a vendu pour 2,3 milliards de dollars une partie de sa participation – très rémunératrice – dans l'Industrial and Commercial Bank of China, première banque mondiale en termes d'actifs.
La cession de hedge funds conformément à la législation Volcker, interdisant aux banques de disposer de fonds spéculatifs, a également gonflé les revenus. Enfin, Goldman Sachs a obtenu un bon prix pour sa participation de 10 % dans LMAX Exchange, une plate-forme de négociation multilatérale des devises et des métaux, pourtant déficitaire.
UNE IMAGE ÉCORNÉE
Mais, parallèlement, l'image de la banque a souffert de plusieurs affaires retentissantes. La veille de la divulgation des résultats, Goldman Sachs Londres a dû abandonner son projet de retarder jusqu'au 6 avril le versement, prévu en février, des bonus 2012.
L'objectif était de faire profiter les bénéficiaires de ces primes de la baisse du taux d'imposition supérieur sur le revenu de 50 % à 45 %. Ce tour de passe-passe, légal mais jugé immoral en ces temps d'austérité, avait été sévèrement critiqué par le gouvernement et la Banque d'Angleterre.
De surcroît, une récente enquête de Bloomberg a révélé que, sous le couvert d'investissements et de prêts à long terme, une unité de Goldman avait en fait agi comme un hedge fund en pariant les capitaux propres de la banque à court terme au mépris de la règle Volcker.
Goldman Sachs a, par ailleurs, été condamnée, mercredi, par la Réserve fédérale américaine à dédommager des clients victimes de saisies immobilières irrégulières aux Etats-Unis pour un montant non précisé.
Source
les dirigeants empochent plus de 100 millions de bonus en actions
Selon des avis boursiers publiés vendredi, les principaux dirigeants de la banque d'affaires américaine, qui a plus que doublé son bénéfice net en 2012, vont se partager 707.634 actions. Ce qui représente 102,2 millions de dollars.
Goldman Sachs ne connaît pas la crise. Et il en va de même pour ses chefs de file. D'après des avis boursiers publiés vendredi, la banque d'affaires américaine a octroyé aux douze membres de son équipe dirigeante quelques 707.634 actions de bonus pour l'exercice 2012, représentant 102,2 millions de dollars.
D'après l'un de ces avis transmis à la SEC, le gendarme boursier américain, le PDG du groupe, Lloyd Blankfein, a reçu 94.320 actions. Elles lui seront versés de manière étalée sur trois ans, et ne pourront pas être vendues ou transférées avant janvier 2018, précise le document. Sur la base du cours de clôture de vendredi soir (144,45 dollars), cela représente 13,6 millions de dollars.
Un chiffre d'affaires en hausse de 19%
Cette annonce fait suite à la publication des très bons résultats de Goldman Sachs. Mercredi, la banque d'affaires a fait état d'un doublement de son bénéfice sur l'exercice 2012, à 7,3 milliards de dollars, soit 14,63 dollars par action alors que les analystes de Wall Street tablaient en moyenne sur 12,20 dollars. De même, le chiffre d'affaires s'affiche en hausse de 19%, à 34,2 milliards de dollars, un bond essentiellement du aux solides performances des activités de banque d'investissement et d'opérations de marché pour compte propre.
Source
Eléments n°146
Le numéro 146 d’Eléments vient de sortir.
Le dossier de ce dernier numéro : “Pacte budgétaire européen : le coup d’Etat”.
Dans son éditorial, Robert de Herte indique notamment :
« Depuis un demi-siècle, l’osmose idéologique de la droite financière et de la gauche multiculturelle s’est employée, sous couvert de “modernisation” émancipatrice, à faire confluer libéralisme économique et libéralisme sociétal, système du marché et culture marginale. »
Accusations de pédophilie : la discrète audition de Lang
L'ancien ministre de la Culture aurait été auditionné comme témoin après les accusations lancées par Luc Ferry contre un ancien ministre.
Une audition "ultra-discrète". L'ex-ministre de la Culture Jack Lang a été entendu comme témoin en novembre dernier par la Brigade de protection des mineurs de la police parisienne, selon les informations de RTL. L'entretien avait été réalisé dans le cadre de l'enquête sur les propos de Luc Ferry, qui avait alors affirmé sur le plateau du Grand journal de Canal+ qu'un "ancien ministre" s'était fait "poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons".
Interrogé par RTL, Jack Lang, qui s'apprête à prendre les rênes de l'Institut du monde arabe, dit n'être au courant de rien et parle "[d']histoire à dormir debout". Le nom du ministre évoqué par Luc Ferry n'a jamais été révélé et l'affaire a été classée sans suites.
Source
ndlr : bizarre, comme c'est bizarre ... vous avez dit bizarre ?...
vendredi 18 janvier 2013
Synthèse Nationale n° 30
Au sommaire :
● Edito de Roland Hélie : l’heure du bilan et celle des projets…
● Dossier : SOS-RACISME, L’ARNAQUE DOIT CESSER !
Arnaud Raffard de Brienne, Patrick Parment, Roland Hélie.
● Défendre la famille traditionnelle, Pierre Descaves.
● Libre échangisme et libre échange, Eric Miné.
● Quand Salman Rushdie fut lâché par ses amis antiracistes…
Francis Bergeron.
● Du désenchantement, Georges Dillinger.
● Doriot et le PPF, Robert Spieler.
● Les pages du Marquis, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
● Les rubriques d’Yves Darchicourt (Histoire), Pieter Kerstens (l’oncle Sam), Lionel Baland (les droites nationales en Europe), Georges Feltin-Tracole (livres),Patrick Gofman…
● 11 novembre 2012 : le compte rendu de la 6e Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale.
132 pages, 12,00 €
COMMANDEZ-LE,ABONNEZ-VOUS !
● Edito de Roland Hélie : l’heure du bilan et celle des projets…
● Dossier : SOS-RACISME, L’ARNAQUE DOIT CESSER !
Arnaud Raffard de Brienne, Patrick Parment, Roland Hélie.
● Défendre la famille traditionnelle, Pierre Descaves.
● Libre échangisme et libre échange, Eric Miné.
● Quand Salman Rushdie fut lâché par ses amis antiracistes…
Francis Bergeron.
● Du désenchantement, Georges Dillinger.
● Doriot et le PPF, Robert Spieler.
● Les pages du Marquis, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
● Les rubriques d’Yves Darchicourt (Histoire), Pieter Kerstens (l’oncle Sam), Lionel Baland (les droites nationales en Europe), Georges Feltin-Tracole (livres),Patrick Gofman…
● 11 novembre 2012 : le compte rendu de la 6e Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale.
132 pages, 12,00 €
COMMANDEZ-LE,ABONNEZ-VOUS !
mercredi 16 janvier 2013
Les socialistes sont masochistes et le pouvoir les rend fous
Nul n’ignorait en 2012 que l’après Sarkozy, avec ou sans lui, avec ou sans Hollande, serait une succession difficile. La France est prise dans la tourmente d’une immense crise financière qui met à mal ses finances et donc ses emplois. Plus grave encore, la France se désindustrialise et trop de ses usines ferment ou dégraissent comme l’on dit. Bref, le libéralisme qui devait nous apporter la prospérité, forge notre misère. On n’entrera pas ici dans le pourquoi du comment, ce qu’il faut faire ou non et tout le tralala des docteurs miracles (ce qui ne veut pas dire que nous n’avons pas quelques idées !)
Donc, François Hollande savait de quoi il retournait car, pour une fois, le transfert des pouvoirs s’effectuait sans surprises et sans coups fourrés (mais non sans quelques petites mesquineries). L’urgence était simple qui consistait à mettre des pare-feux, dans un premier temps, stabiliser la situation et réfléchir à l’avenir. Les pistes ne manquent pas, notamment en matière de transition énergétique, grande source d’emplois et de technologies d’avenir.
Ne plus avoir à subir l’agitation maladive de Sarkozy ne pouvait que nous permettre de souffler, d’autant que ses beaux discours, parfois justes dans leur appréciation de la situation, ne furent que peu suivis d’effets.
Sauf que Hollande a commencé par ne rien faire. Sauf une chose : donner à Arnaud Montebourg l’un des dossiers les plus intéressants : stopper l’hémorragie industrielle et réindustrialiser ce pays. Montebourg, ça nous interpellait assez parce qu’il avait commis un petit opuscule sur la démondialisation. Pas libéral pour deux sous, prônant une autre économie et surtout adepte d’un protectionnisme comme le pratiquent si bien les Américains ou les Chinois ! Bref, quelques idées susceptibles de nous séduire dans ce monde pourri du mondialisme à dominante américano-occidentale. On se doutait bien que ce brave Montebourg n’allait pas faire de miracles du jour au lendemain. Mais, il a foncé tête baissée dans la fournaise quand ses petits camarades, qui ne foutent rien et donnent dans l’esbroufe à l’image d’une Taubira, Touraine et autres Moscovici, se sont mis à le tataner sévère ! Même Hollande. Alors, désormais, il fait avec les moyens du bord. Hollande ne l’a pas viré, car il en a la trouille. Il faut bien dire que Montebourg, c’est une grenade dégoupillée comme Mélenchon. De surcroît, tous les deux tirent à gauche et pas à droite. Evidemment, la droite n’existe pas (Copé, Fillon ? des traîne-savates !)
Alors que Hollande ne faisait déjà pas grand chose (il semble totalement dépassé par la fonction et les problèmes conjugaux), le voilà qui nous ressort du placard, un thème de sa campagne, l’impôt à 75% pour tous ceux qui déclarent plus d’un million d’euros de revenus. Pure mesure idéologique, car cet impôt médiatique ne rapporte rien. Tout juste 200 millions d’euros, c’est-à-dire une misère. Dans la foulée, Gérard Depardieu déclare qu’il se barre en Belgique. Le Premier ministre monte au créneau et considère cette attitude « minable ». A partir de là, nous entrons dans un feuilleton digne de Mickey. Et Vladimir Poutine saute sur l’occasion et accorde la nationalité russe à notre Gégé-Obélix national. Manière de rappeler aux autorités françaises que la Russie, c’est aussi l’Europe. N’en déplaise à tous les américanophiles sarkozistes autant que Hollandistes qui ne sont jamais que les valets du libéralisme anglo-saxon. Le sieur Hollande, qui paie l’ISF ce me semble, entendait faire la guerre aux banques avant de se raviser et d’être désormais à leur botte. On aurait pu s’en tenir là. Que nenni !
Dans cette France meurtrie par le chômage et l’immigration, voici que les socialistes nous sortent le projet d’un « mariage pour tous » qui concerne les homosexuels, assorti de l’adoption et de la procréation médicale assistée (PMA). Du mariage des homos, tout le monde s’en fout. S’ils veulent les mêmes emmerdements que les couples qui divorcent souvent dans la douleur, c’est leur problème. Mais que l’on vienne modifier le code civil en remettant en question la notion même de père et mère et la filiation qui en découle, voici qui est inacceptable et une atteinte irresponsable à notre culture et à ses traditions. Sans compter que cette PMA est la porte ouverte sur le trafic humain. Faudrait qu’elle réfléchisse la mère Taubira, surréaliste garde des Sceaux.
On ne voit pas du tout l’intérêt d’un tel bouleversement. Si ce n’est de satisfaire une minorité homosexuelle fortement agissante au sein de la gauche et qui regroupe, de surcroît, un ramassis de cinglés.
Cela ne vous rappelle rien ? Si, si, la loi sur les 35 heures de la mère Aubry qui a foutu une pagaille sans nom dans les entreprises (sauf les grosses) et dont la société française ne s’est toujours pas remise. Et, cette droite de couilles molles s’est bien gardée de tailler dans le vif en réduisant tout ça à néant. Mais, là encore, on a pu voir combien les syndicats étaient les complices du patronat. Et les politiques de tout ce petit monde !
Les socialistes marchent complètement à côté de leurs pompes et leur vision purement idéologique de la société française est dangereuse. Ce qui est gênant à l’heure même où notre monde est en train de basculer non pas vers une humanité meilleure mais esclavagiste, car tel est la figure même du mondialisme libéral.
source
Donc, François Hollande savait de quoi il retournait car, pour une fois, le transfert des pouvoirs s’effectuait sans surprises et sans coups fourrés (mais non sans quelques petites mesquineries). L’urgence était simple qui consistait à mettre des pare-feux, dans un premier temps, stabiliser la situation et réfléchir à l’avenir. Les pistes ne manquent pas, notamment en matière de transition énergétique, grande source d’emplois et de technologies d’avenir.
Ne plus avoir à subir l’agitation maladive de Sarkozy ne pouvait que nous permettre de souffler, d’autant que ses beaux discours, parfois justes dans leur appréciation de la situation, ne furent que peu suivis d’effets.
Sauf que Hollande a commencé par ne rien faire. Sauf une chose : donner à Arnaud Montebourg l’un des dossiers les plus intéressants : stopper l’hémorragie industrielle et réindustrialiser ce pays. Montebourg, ça nous interpellait assez parce qu’il avait commis un petit opuscule sur la démondialisation. Pas libéral pour deux sous, prônant une autre économie et surtout adepte d’un protectionnisme comme le pratiquent si bien les Américains ou les Chinois ! Bref, quelques idées susceptibles de nous séduire dans ce monde pourri du mondialisme à dominante américano-occidentale. On se doutait bien que ce brave Montebourg n’allait pas faire de miracles du jour au lendemain. Mais, il a foncé tête baissée dans la fournaise quand ses petits camarades, qui ne foutent rien et donnent dans l’esbroufe à l’image d’une Taubira, Touraine et autres Moscovici, se sont mis à le tataner sévère ! Même Hollande. Alors, désormais, il fait avec les moyens du bord. Hollande ne l’a pas viré, car il en a la trouille. Il faut bien dire que Montebourg, c’est une grenade dégoupillée comme Mélenchon. De surcroît, tous les deux tirent à gauche et pas à droite. Evidemment, la droite n’existe pas (Copé, Fillon ? des traîne-savates !)
Alors que Hollande ne faisait déjà pas grand chose (il semble totalement dépassé par la fonction et les problèmes conjugaux), le voilà qui nous ressort du placard, un thème de sa campagne, l’impôt à 75% pour tous ceux qui déclarent plus d’un million d’euros de revenus. Pure mesure idéologique, car cet impôt médiatique ne rapporte rien. Tout juste 200 millions d’euros, c’est-à-dire une misère. Dans la foulée, Gérard Depardieu déclare qu’il se barre en Belgique. Le Premier ministre monte au créneau et considère cette attitude « minable ». A partir de là, nous entrons dans un feuilleton digne de Mickey. Et Vladimir Poutine saute sur l’occasion et accorde la nationalité russe à notre Gégé-Obélix national. Manière de rappeler aux autorités françaises que la Russie, c’est aussi l’Europe. N’en déplaise à tous les américanophiles sarkozistes autant que Hollandistes qui ne sont jamais que les valets du libéralisme anglo-saxon. Le sieur Hollande, qui paie l’ISF ce me semble, entendait faire la guerre aux banques avant de se raviser et d’être désormais à leur botte. On aurait pu s’en tenir là. Que nenni !
Dans cette France meurtrie par le chômage et l’immigration, voici que les socialistes nous sortent le projet d’un « mariage pour tous » qui concerne les homosexuels, assorti de l’adoption et de la procréation médicale assistée (PMA). Du mariage des homos, tout le monde s’en fout. S’ils veulent les mêmes emmerdements que les couples qui divorcent souvent dans la douleur, c’est leur problème. Mais que l’on vienne modifier le code civil en remettant en question la notion même de père et mère et la filiation qui en découle, voici qui est inacceptable et une atteinte irresponsable à notre culture et à ses traditions. Sans compter que cette PMA est la porte ouverte sur le trafic humain. Faudrait qu’elle réfléchisse la mère Taubira, surréaliste garde des Sceaux.
On ne voit pas du tout l’intérêt d’un tel bouleversement. Si ce n’est de satisfaire une minorité homosexuelle fortement agissante au sein de la gauche et qui regroupe, de surcroît, un ramassis de cinglés.
Cela ne vous rappelle rien ? Si, si, la loi sur les 35 heures de la mère Aubry qui a foutu une pagaille sans nom dans les entreprises (sauf les grosses) et dont la société française ne s’est toujours pas remise. Et, cette droite de couilles molles s’est bien gardée de tailler dans le vif en réduisant tout ça à néant. Mais, là encore, on a pu voir combien les syndicats étaient les complices du patronat. Et les politiques de tout ce petit monde !
Les socialistes marchent complètement à côté de leurs pompes et leur vision purement idéologique de la société française est dangereuse. Ce qui est gênant à l’heure même où notre monde est en train de basculer non pas vers une humanité meilleure mais esclavagiste, car tel est la figure même du mondialisme libéral.
source
Rébellion 56
Au sommaire du numéro :
Editorial : Réflexion en écho à celle d'un philosophe transalpin
Actualité : la rébellion des peuples européens.
Idées : Penser le libéralisme par Charles Robin.
L'Odyssée de la crise.
Entretien avec Francis Cousin : L'Etre contre l'Avoir.
Esprit Libre : La liberté d'expression ne se demande pas. elle se prend !
Entretiens avec Arnaud Guyot-Jeannin et Javier R. Portella
Polémique : Retour sur la pensée de Richard Millet.
Culture : Les illusions de la contre-culture par David l'Epée.
Chroniques livres.
Le numéro est disponible contre 4 euros auprès de :
Rébellion c/o RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02
mardi 15 janvier 2013
Pourquoi refuser aux uns … ?
Pourquoi le Québec, l’Ecosse, la Flandre et la Catalogne ne seraient-ils pas indépendants… demain ?
C’est quand même Charles de Gaulle (ex-président français) qui s’est exclamé le 24 juillet 1967 à l’hôtel de ville de Montréal : « Vive le Québec libre ! »
C’est aussi la communauté internationale qui a immédiatement reconnu l’indépendance du Monténégro après le référendum de mai 2006 et cela, selon le principe de l’autodétermination des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Que l’on se rappelle aussi en France du référendum le 8 février 1962 qui accorda l’indépendance à l’Algérie…
Quant au Kosovo, partie de la Serbie depuis le XIIeme siècle, il s’est proclamé unilatéralement indépendant le 17 février 2008 et a été légitimé par plusieurs Etats de l’Union européenne, dont la France, et par de nombreux autres Etats comme les USA.
Ce pays, de 11.000 km2 et de 2,2 millions d’habitants, aurait-il plus d’influence ou de poids économique que la Catalogne (32 000 km² et 7,3 millions d’habitants), que la Flandre (13 000 km² et 6,7 millions d’habitants) ou que le Québec (1 600 000 km² et 8 millions d’habitants).
Et ne parlons pas du PIB par habitant ! Kosovo : 2 700 € ; Monténégro : 3 000 € ; Malte : 20 000 € ; Québec : 26 000 € ; Ecosse : 28 000 € ; Catalogne : 31 000 € ; Flandre : 33 000 €.
Pourquoi encore refuser aux uns ce que l’on a accordé aux autres ?
Ces régions qui aspirent à leur autonomie totale seraient-elles vouées aux abîmes si elles proclamaient leur souveraineté ?
Est-ce que la désolation, la récession et les faillites ravageraient ces contrées dès leur indépendance ?
Pourra-t-on encore longtemps affirmer que l’Ecosse, la Catalogne, la Flandre ou le Québec n’ont aucune raison de se séparer d’un Etat centralisateur et omnipotent ? Que ces nations auraient moins de justification d’exister que des pays comme Malte, la Slovénie, la Macédoine ou le Monténégro ?
Assez d’hypocrisie : les Flamands, les Ecossais, les Québécois et les Catalans méritent eux aussi leur souveraineté !
Source (Kerstens Pieter )
lundi 14 janvier 2013
Contre le "mariage" homo : une déferlante populaire "consistante" !
"Il suffit de voir les images! La manifestation d'hier contre le projet de la Taubira visant à dénaturer le mariage en l'octroyant aux paires homosexuelles - premier pas vers la possibilité de laisser adopter des enfants par des lesbiennes et des pédérastes - a été une énorme mobilisation. De toute évidence, l'immense rassemblement allait bien au-delà du nombre de 340 000 personnes annoncé par la police d'Etat, même les "grands" médias - pourtant largement sous influence du lobby gay-lesb-bi-trans - laissent entrevoir une déferlante proche de 800 000 français, de tous âges et de toutes conditions, venus pour dire non à cette réforme sociétale qu'on veut lui imposer sous couvert de bons sentiments et de "justice" , alors qu'ils ne s'agit que d'une hypocrite offensive contre la famille et les lois naturelles qui régissent notre civilisation européenne depuis des millénaires.
Fourvoyé dans l'aventure pour plaire à une partie de son électorat bobo, François le Normal doit se mordre les doigts d'avoir promis la chose, comme il en a promis d'autres qu'ils ne tiendra pas d'ailleurs faute d'en être capable, comme en matière de sécurité, de niveau de vie ou d'emploi. Mais cette réforme - qui ne coûtera rien en matière budgétaire - il semble parti pour s'obstiner à l'imposer par godillots interposés. Officiellement, la formidable déferlante populaire ne l'aurait guère impressionné, c'est tout juste s'il aurait reconnu que la manifestation était consistante...donnant là - et probablement sans le savoir - dans le doux euphémisme.
Il reste aux français qui sont "normaux" comme leur Président est "normal" de rester mobilisés pour faire pression sur le Gouvernement et surtout sur ses godillots parlementaires en agitant le spectre du ressemelage électoral : ces gens là n'ont sans doute ni âme ni conscience mais ils ont un portefeuille et ils tiennent à leur sinécure. Et puis une loi se défait comme elle se fait, une loi inique surtout qui par ailleurs n'a pas vocation à être respectée, en tous les cas pas dans la paix civile. François le Normal aura été prévenu !"
Source (Yves Darchicourt)
Fourvoyé dans l'aventure pour plaire à une partie de son électorat bobo, François le Normal doit se mordre les doigts d'avoir promis la chose, comme il en a promis d'autres qu'ils ne tiendra pas d'ailleurs faute d'en être capable, comme en matière de sécurité, de niveau de vie ou d'emploi. Mais cette réforme - qui ne coûtera rien en matière budgétaire - il semble parti pour s'obstiner à l'imposer par godillots interposés. Officiellement, la formidable déferlante populaire ne l'aurait guère impressionné, c'est tout juste s'il aurait reconnu que la manifestation était consistante...donnant là - et probablement sans le savoir - dans le doux euphémisme.
Il reste aux français qui sont "normaux" comme leur Président est "normal" de rester mobilisés pour faire pression sur le Gouvernement et surtout sur ses godillots parlementaires en agitant le spectre du ressemelage électoral : ces gens là n'ont sans doute ni âme ni conscience mais ils ont un portefeuille et ils tiennent à leur sinécure. Et puis une loi se défait comme elle se fait, une loi inique surtout qui par ailleurs n'a pas vocation à être respectée, en tous les cas pas dans la paix civile. François le Normal aura été prévenu !"
Source (Yves Darchicourt)
jeudi 10 janvier 2013
L’immigration, cheval de Troie des puissances étrangères
L’immigration est un boulet. Un boulet pour l’économie : elle pèse sur les déficits, elle aggrave le chômage. Un boulet social : elle tire les salaires à la baisse. Un boulet sécuritaire : inutile d’en dire plus… L’immigration est aussi devenue un vecteur d’influence pour les puissances étrangères.
Les grandes métropoles régionales et les principales villes moyennes se couvrent de minarets coiffant de grandes mosquées. Cet islam conquérant n’est en rien spontané. Derrière chaque construction et chaque imam, il y a l’argent et l’influence d’une puissance étrangère : Maroc, Algérie, Turquie, pétromonarchies du Golfe persique.
Le petit Qatar – peuplé à plus de 80 % d’immigrés sans le moindre droit — est encore allé plus loin : il s’est engagé à financer le développement d’entreprises ethniques en Seine-Saint-Denis.
Mais les pays musulmans ne sont pas les seuls à jouer à ce petit jeu. L’hyperpuissance américaine est aussi omniprésente dans les banlieues françaises. Nommé à Paris, en 2009, par Obama, l’ambassadeur Rivkin s’est donné pour priorité d’exercer l’influence des États-Unis sur les banlieues de l’immigration. Les sites islamiques Oummah et Saphir ont reconnu leurs bonnes relations avec l’ambassade américaine. Le Bondy blog, qui bénéficie d’une notoriété médiatique parfaitement artificielle, a reçu la visite médiatisée de l’ambassadeur américain accompagné de l’acteur noir Samuel Johnson. Les voyages transatlantiques payés par le département d’État ou les agences américaines se multiplient : rappeurs américains venant en banlieue, jeunes pousses économiques et politiques invitées aux États-Unis. La ministre Najat-Belkacem est elle-même un produit de la French american foundation.
Dans son activité d’influence en direction des milieux immigrés, l’ambassadeur est assisté par Mark Taplin : un diplomate d’expérience spécialiste du soft power qui a exercé ses talents en Russie (à l’époque d’Eltsine) puis en Ukraine, Moldavie et Biélorussie de 1999 à 2004 (à l’époque de la « révolution de couleur » en Ukraine). Voilà qui est clair !
(Jean-Yves Le Gallou)
source
« Les Expulsés » : un million de civils allemands tués dans l’indifférence
La traduction en français de l’ouvrage de R. M Douglas, « Les Expulsés », est désormais disponible chez Flammarion. L’auteur américain revient sur l’un des grands crimes de masse du XXème siècle : la déportation et la mise à mort par les Alliés des civils germanophones aussitôt après la Seconde Guerre mondiale.
Au total, 14 millions de personnes expulsées de Tchécoslovaquie, Hongrie, Pologne… « La plupart étaient des femmes et des enfants de moins de 16 ans », souligne l’historien. Au bout de chemin, la mort dans des camps de concentration, sur les routes de l’exode européennes ou dans des wagons à bestiaux. C’est « l’un des plus grands épisodes de violation des droits de l’homme de l’histoire moderne », écrit R. M Douglas.
Il évoque une estimation basse de 500.000 victimes et une estimation haute de 1,5 millions de morts. Des souffrances qui « eurent lieu au grand jour, sous les yeux de dizaines de milliers de journalistes, diplomates, travailleurs humanitaires et observateurs divers », rappelle le professeur d’histoire contemporaine à l’université Colgate (New York). Le livre présente les mécanismes de cette expulsion de masse, l’archipel des camps de concentration, les conséquences des expulsions en matière de droit international et le rôle sous-estimé des Alliés dans cette opération à grande échelle.
Ces déracinements brutaux et mortels sont aujourd’hui presque complètement oubliés hors d’Allemagne. Ils font partie de la longue liste des crimes contre l’humanité perpétrés par les Britanniques, les Américains et les Soviétiques durant les années 1940. Anthony Beevor, dans son dernier ouvrage, « La Seconde Guerre mondiale », consacre par exemple un chapitre entier aux « bombardements stratégiques » des Alliés qui firent plus de 300.000 morts entre 1942 et 1945. Le but : raser les villes allemandes (Cologne, Hambourg, Dresde…) et tuer le maximum de civils. Cette politique de la terreur lâcha 1.350.000 tonnes de munitions sur l’Allemagne. Soit l’équivalent en puissance de 25 fois la bombe atomique larguée sur Hiroshima en 1945…
source
Au total, 14 millions de personnes expulsées de Tchécoslovaquie, Hongrie, Pologne… « La plupart étaient des femmes et des enfants de moins de 16 ans », souligne l’historien. Au bout de chemin, la mort dans des camps de concentration, sur les routes de l’exode européennes ou dans des wagons à bestiaux. C’est « l’un des plus grands épisodes de violation des droits de l’homme de l’histoire moderne », écrit R. M Douglas.
Il évoque une estimation basse de 500.000 victimes et une estimation haute de 1,5 millions de morts. Des souffrances qui « eurent lieu au grand jour, sous les yeux de dizaines de milliers de journalistes, diplomates, travailleurs humanitaires et observateurs divers », rappelle le professeur d’histoire contemporaine à l’université Colgate (New York). Le livre présente les mécanismes de cette expulsion de masse, l’archipel des camps de concentration, les conséquences des expulsions en matière de droit international et le rôle sous-estimé des Alliés dans cette opération à grande échelle.
Ces déracinements brutaux et mortels sont aujourd’hui presque complètement oubliés hors d’Allemagne. Ils font partie de la longue liste des crimes contre l’humanité perpétrés par les Britanniques, les Américains et les Soviétiques durant les années 1940. Anthony Beevor, dans son dernier ouvrage, « La Seconde Guerre mondiale », consacre par exemple un chapitre entier aux « bombardements stratégiques » des Alliés qui firent plus de 300.000 morts entre 1942 et 1945. Le but : raser les villes allemandes (Cologne, Hambourg, Dresde…) et tuer le maximum de civils. Cette politique de la terreur lâcha 1.350.000 tonnes de munitions sur l’Allemagne. Soit l’équivalent en puissance de 25 fois la bombe atomique larguée sur Hiroshima en 1945…
source
mardi 8 janvier 2013
Laurence Parisot : précarité bien ordonnée commence chez soi...
Pressée par l'Elysée de conclure avec les syndicats un compromis «historique» sécurisant l'emploi (et les licenciements), la présidente du Medef ose brandir la menace de destructions d'emplois supplémentaires pour échapper à toute taxation des contrats précaires abusifs. Un casus belli pour les syndicats qui redoutent, eux, une explosion du déficit des caisses de chômage si le travail devient plus flexible sans contrainte. Avec quelque raison, on s'en convaincra facilement en auscultant la gestion de l'Ifop, l'institut de sondage dont Laurence Parisot est vice-présidente et actionnaire...
La patronne des patrons a, en effet, un intérêt évident à promouvoir une France de tâcherons : depuis 2008, seul un recours à des enquêteurs payés au lance-pierres et mobilisables du jour au lendemain permet à sa grosse PME d'augmenter sa profitabilité tout en servant des salaires de plus de 9 000 € (hors primes) à une vingtaine de directeurs...
Le diable se cachant dans les détails, relevons donc qu'en 2010 l'Ifop a signé plus de 750 CDD de très courte mission pour moins de... 200 salariés à temps complet. Que les émoluments de ses vacataires - pour la plupart des femmes - se sont élevés à 1 515 € brut annuels en moyenne... soit moins de 126 € par mois ! Plus hypocrite encore, l'Ifop propose bien à ses «régulières» de leur signer un CDI dit «d'intermittence» (Contrat d'enquête intermittent à garantie annuelle, ou Ceiga) que Laurence Parisot ambitionne d'étendre à toute l'économie. Mais cette «promotion» ne les extirpe nullement de la pauvreté : elle leur garantit seulement, en échange d'une parfaite disponibilité, 60 % de leur salaire annuel de référence. Soit, en 2010, un pactole de 858 € brut ! «C'est le piège parfait, critique Valérie Baggiani, de la CGT Sociétés d'études. Ces Ceiga ne permettent pas aux enquêteurs de vivre. Et ils ne peuvent compléter leurs ressources par d'autres jobs. Certains y renoncent donc.» Les signataires, de leur côté, s'adressent à Pôle emploi pour adoucir leurs fins de mois.
Cette ponction des caisses sociales se justifie-t-elle ? Que nenni. Dans les livres 2011, on découvre que l'Ifop souffre surtout de deux maux qui n'ont rien à voir avec la flexibilité du travail. L'institut est sous-capitalisé et sa rentabilité pâtit de lourds frais financiers. Une mondialisation hasardeuse, notamment en Argentine, lui vaut des ardoises. Las, de cela, Laurence Parisot ne parle jamais. Partisane de la précarité pour les autres, elle préfère réfléchir à un troisième mandat à la tête du Medef. Quitte à en récrire le contrat.
Source
La patronne des patrons a, en effet, un intérêt évident à promouvoir une France de tâcherons : depuis 2008, seul un recours à des enquêteurs payés au lance-pierres et mobilisables du jour au lendemain permet à sa grosse PME d'augmenter sa profitabilité tout en servant des salaires de plus de 9 000 € (hors primes) à une vingtaine de directeurs...
Le diable se cachant dans les détails, relevons donc qu'en 2010 l'Ifop a signé plus de 750 CDD de très courte mission pour moins de... 200 salariés à temps complet. Que les émoluments de ses vacataires - pour la plupart des femmes - se sont élevés à 1 515 € brut annuels en moyenne... soit moins de 126 € par mois ! Plus hypocrite encore, l'Ifop propose bien à ses «régulières» de leur signer un CDI dit «d'intermittence» (Contrat d'enquête intermittent à garantie annuelle, ou Ceiga) que Laurence Parisot ambitionne d'étendre à toute l'économie. Mais cette «promotion» ne les extirpe nullement de la pauvreté : elle leur garantit seulement, en échange d'une parfaite disponibilité, 60 % de leur salaire annuel de référence. Soit, en 2010, un pactole de 858 € brut ! «C'est le piège parfait, critique Valérie Baggiani, de la CGT Sociétés d'études. Ces Ceiga ne permettent pas aux enquêteurs de vivre. Et ils ne peuvent compléter leurs ressources par d'autres jobs. Certains y renoncent donc.» Les signataires, de leur côté, s'adressent à Pôle emploi pour adoucir leurs fins de mois.
Cette ponction des caisses sociales se justifie-t-elle ? Que nenni. Dans les livres 2011, on découvre que l'Ifop souffre surtout de deux maux qui n'ont rien à voir avec la flexibilité du travail. L'institut est sous-capitalisé et sa rentabilité pâtit de lourds frais financiers. Une mondialisation hasardeuse, notamment en Argentine, lui vaut des ardoises. Las, de cela, Laurence Parisot ne parle jamais. Partisane de la précarité pour les autres, elle préfère réfléchir à un troisième mandat à la tête du Medef. Quitte à en récrire le contrat.
Source
Bilderberg, Trilatérale, récession économique italienne… Comment Mario Monti censure Wikipedia
« Interdit de dire la vérité sur Monti » : c’est ainsi que Il Giornale résume l’affaire, qui commence à faire du bruit en Italie.
Le site internet d’extrême gauche Il Buio avait été le premier, fin décembre, à attirer l’attention sur d’étranges manipulations sur Wikipedia, en particulier dans les articles « Commission Trilatérale » et « Groupe Bilderberg ». Trois administrateurs, toujours les mêmes, intervenaient systématiquement pour éliminer toute mention de Mario Monti – membre du comité de direction du groupe Bilderberg et président de la section Europe à la Commission Trilatérale, ce qui n’est quand même pas rien, de 2010 à sa nomination comme président du Conseil en novembre 2011.
C’est ainsi que le 16 décembre, un contributeur ayant eu l’idée d’insérer une liste chronologique des présidents de la Trilatérale (parmi lesquels apparaissait fatalement le nom de Monti), un administrateur est intervenu pour annuler toutes les modifications de l’article (y compris les simples corrections d’orthographe et de style) et rétablir une version précédente, en ayant même soin de bloquer l’article pour empêcher toute nouvelle modification.
De même, le 21 décembre, un contributeur ayant ajouté à l’article « Bilderberg » les noms des quelques Italiens qui avaient fait partie du steering committee, dont évidemment Monti, il n’a fallu que quelques minutes à un administrateur pour supprimer toute la section concernée, avec l’argument que cette information était du « localisme ».
Dans l’article « Mario Monti » lui-même, des statistiques sur le bilan de son gouvernement avaient été données, sans commentaire et avec toutes les références voulues (« durant l’année du gouvernement Monti, le PIB italien a enregistré une baisse de 2,4%. […] Le taux de chômage est passé de 8,6% à 10,8% […] »). Toutes ces données peu flatteuses ont été supprimées le 25 décembre à 10h 18 du matin : les censeurs de Monti ne s’arrêtent pas pour Noël ! L’administrateur qui est intervenu est le même, comme par hasard, qui avait, quelques jours plus tôt, éliminé comme « localiste » la liste des membres italiens du Bilderberg.
Il Giornale rapproche cette censure en ligne du secret obstinément gardé par Monti sur la réunion qu’il a tenue, le 28 décembre, avec les dirigeants centristes italiens pour préparer les élections. Que le lieu n’ait pas été communiqué à l’avance à la presse, on peut le comprendre, mais Monti refuse toujours de le révéler. Selon le quotidien en ligne Formiche.net (a priori bien informé puisque son fondateur, Paolo Messa, a été chef du bureau de presse d’un des partis concernés, l’Union des Démocrates chrétiens et du Centre), Monti et ses associés se sont retrouvés en toute discrétion au couvent romain des Sœurs de Notre Dame de Sion, dans l’appartement qu’y occupe « un prélat qui monte au Vatican, Vincenzo Paglia, président du Conseil pontifical pour la famille et conseiller spirituel de la Communauté de Sant’Egidio fondée par Andrea Riccardi, le plus montinien des ministres ». Tartuffe-Riccardi, l’ultra-immigrationniste ministre de la Coopération internationale et de l’intégration de Monti, était bien sûr présent à cette réunion secrète, qui a duré quatre heures. Rappelons que le Vatican, via l’Osservatore Romano, a pris lourdement position, fin décembre, en faveur d’un nouveau gouvernement Monti, pour permettre à celui-ci « d’ouvrir la seconde phase de son programme réformateur ». L’Osservatore Romano n’a pas même craint d’imprimer que Monti voulait « retrouver le sens le plus haut et le plus noble de la politique ».
La présidence du Conseil a immédiatement publié un communiqué déclarant cette information « privée de tout fondement », mais en se refusant toujours à dire où Monti, Tartuffe-Riccardi et leurs amis démocrates-chrétiens s’étaient rencontrés.
Bilderberg, la Trilatérale, la communauté mondialiste Sant’Egidio… Mario Monti aime décidément les réunions à huis clos. Et il n’aime pas qu’on en parle.
Source
Par ailleurs on signalera que le Vatican a choisi son candidat... Mario Monti, le candidat de Goldmann Sachs est béni par le Vatican !
Illustration de la façon dont on organise les élections; voilà qui on incite à élire en Italie pour ne pas remettre en cause la finance et son diktat contre les peuples. Et qui soutient même une autorité de régulation de la finance mondiale, sans jamais remettre en cause les méfaits de cette finance qui tue les peuples.
Source
Le site internet d’extrême gauche Il Buio avait été le premier, fin décembre, à attirer l’attention sur d’étranges manipulations sur Wikipedia, en particulier dans les articles « Commission Trilatérale » et « Groupe Bilderberg ». Trois administrateurs, toujours les mêmes, intervenaient systématiquement pour éliminer toute mention de Mario Monti – membre du comité de direction du groupe Bilderberg et président de la section Europe à la Commission Trilatérale, ce qui n’est quand même pas rien, de 2010 à sa nomination comme président du Conseil en novembre 2011.
C’est ainsi que le 16 décembre, un contributeur ayant eu l’idée d’insérer une liste chronologique des présidents de la Trilatérale (parmi lesquels apparaissait fatalement le nom de Monti), un administrateur est intervenu pour annuler toutes les modifications de l’article (y compris les simples corrections d’orthographe et de style) et rétablir une version précédente, en ayant même soin de bloquer l’article pour empêcher toute nouvelle modification.
De même, le 21 décembre, un contributeur ayant ajouté à l’article « Bilderberg » les noms des quelques Italiens qui avaient fait partie du steering committee, dont évidemment Monti, il n’a fallu que quelques minutes à un administrateur pour supprimer toute la section concernée, avec l’argument que cette information était du « localisme ».
Dans l’article « Mario Monti » lui-même, des statistiques sur le bilan de son gouvernement avaient été données, sans commentaire et avec toutes les références voulues (« durant l’année du gouvernement Monti, le PIB italien a enregistré une baisse de 2,4%. […] Le taux de chômage est passé de 8,6% à 10,8% […] »). Toutes ces données peu flatteuses ont été supprimées le 25 décembre à 10h 18 du matin : les censeurs de Monti ne s’arrêtent pas pour Noël ! L’administrateur qui est intervenu est le même, comme par hasard, qui avait, quelques jours plus tôt, éliminé comme « localiste » la liste des membres italiens du Bilderberg.
Il Giornale rapproche cette censure en ligne du secret obstinément gardé par Monti sur la réunion qu’il a tenue, le 28 décembre, avec les dirigeants centristes italiens pour préparer les élections. Que le lieu n’ait pas été communiqué à l’avance à la presse, on peut le comprendre, mais Monti refuse toujours de le révéler. Selon le quotidien en ligne Formiche.net (a priori bien informé puisque son fondateur, Paolo Messa, a été chef du bureau de presse d’un des partis concernés, l’Union des Démocrates chrétiens et du Centre), Monti et ses associés se sont retrouvés en toute discrétion au couvent romain des Sœurs de Notre Dame de Sion, dans l’appartement qu’y occupe « un prélat qui monte au Vatican, Vincenzo Paglia, président du Conseil pontifical pour la famille et conseiller spirituel de la Communauté de Sant’Egidio fondée par Andrea Riccardi, le plus montinien des ministres ». Tartuffe-Riccardi, l’ultra-immigrationniste ministre de la Coopération internationale et de l’intégration de Monti, était bien sûr présent à cette réunion secrète, qui a duré quatre heures. Rappelons que le Vatican, via l’Osservatore Romano, a pris lourdement position, fin décembre, en faveur d’un nouveau gouvernement Monti, pour permettre à celui-ci « d’ouvrir la seconde phase de son programme réformateur ». L’Osservatore Romano n’a pas même craint d’imprimer que Monti voulait « retrouver le sens le plus haut et le plus noble de la politique ».
La présidence du Conseil a immédiatement publié un communiqué déclarant cette information « privée de tout fondement », mais en se refusant toujours à dire où Monti, Tartuffe-Riccardi et leurs amis démocrates-chrétiens s’étaient rencontrés.
Bilderberg, la Trilatérale, la communauté mondialiste Sant’Egidio… Mario Monti aime décidément les réunions à huis clos. Et il n’aime pas qu’on en parle.
Source
Par ailleurs on signalera que le Vatican a choisi son candidat... Mario Monti, le candidat de Goldmann Sachs est béni par le Vatican !
Illustration de la façon dont on organise les élections; voilà qui on incite à élire en Italie pour ne pas remettre en cause la finance et son diktat contre les peuples. Et qui soutient même une autorité de régulation de la finance mondiale, sans jamais remettre en cause les méfaits de cette finance qui tue les peuples.
Source
lundi 7 janvier 2013
Un nouveau livre de Bernard Lugan
L’indispensable outil de réfutation des mythes qui alimentent la repentance.
Depuis un quart de siècle les connaissances que nous avons du passé de l’Afrique et de l’histoire coloniale ont fait de tels progrès que la plupart des dogmes sur lesquels reposait la culture dominante ont été renversés. Cependant, le monde médiatique et la classe politique demeurent enfermés dans leurs certitudes d’hier et dans un état des connaissances obsolète : postulat de la richesse de l’Europe fondée sur l’exploitation de ses colonies ; idée que la France devrait des réparations à l’Algérie alors qu’elle s’y est ruinée durant 130 ans ; affirmation de la seule culpabilité européenne dans le domaine de la traite des Noirs quand la réalité est qu’une partie de l’Afrique a vendu l’autre aux traitants ; croyance selon laquelle, en Afrique du Sud, les Noirs sont partout chez eux alors que, sur 1/3 du pays, les Blancs ont l’antériorité de la présence ; manipulation concernant le prétendu massacre d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961 etc. Le but de ce livre enrichi de nombreuses cartes en couleur, est de rendre accessible au plus large public le résultat de ces travaux universitaires novateurs qui réduisent à néant les 15 principaux mythes et mensonges qui nourrissent l’idéologie de la repentance.
Table des matières
Chapitre I – Nos ancêtres étaient-ils Africains ?
Chapitre II – Le « réchauffement climatique » est-il une menace pour l’Afrique Chapitre III – Les anciens Égyptiens étaient-ils des Noirs ?
Chapitre IV – La Grèce est-elle fille de l’Égypte ?
Chapitre V – Le Maghreb est-il arabe ?
Chapitre VI – Les ethnies africaines ont-elles été inventées par les Blancs ?
Chapitre VII – La Traite négrière fut-elle une « invention diabolique » de l’Europe ?
Chapitre VIII – Les Noirs sont-ils les premiers habitants de l’Afrique du Sud Chapitre IX – La colonisation est-elle de droite et l’anticolonialisme de gauche Chapitre X – L’Empire colonial a-t-il enrichi la France ?
Chapitre XI – L’Algérie fut-elle un boulet pour la France ?
Chapitre XII – Les Algériens se sont-ils unanimement dressés contre la France entre 1954 et 1962 ?
Chapitre XIII – Apartheid mérite-t-il d’être devenu un « mot-prison » ?
Chapitre XIV – Y eut-il un massacre d’Algériens le 17 octobre 1961 à Paris Chapitre XV – La France serait-elle complice du génocide du Rwanda ?
pour commander
Depuis un quart de siècle les connaissances que nous avons du passé de l’Afrique et de l’histoire coloniale ont fait de tels progrès que la plupart des dogmes sur lesquels reposait la culture dominante ont été renversés. Cependant, le monde médiatique et la classe politique demeurent enfermés dans leurs certitudes d’hier et dans un état des connaissances obsolète : postulat de la richesse de l’Europe fondée sur l’exploitation de ses colonies ; idée que la France devrait des réparations à l’Algérie alors qu’elle s’y est ruinée durant 130 ans ; affirmation de la seule culpabilité européenne dans le domaine de la traite des Noirs quand la réalité est qu’une partie de l’Afrique a vendu l’autre aux traitants ; croyance selon laquelle, en Afrique du Sud, les Noirs sont partout chez eux alors que, sur 1/3 du pays, les Blancs ont l’antériorité de la présence ; manipulation concernant le prétendu massacre d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961 etc. Le but de ce livre enrichi de nombreuses cartes en couleur, est de rendre accessible au plus large public le résultat de ces travaux universitaires novateurs qui réduisent à néant les 15 principaux mythes et mensonges qui nourrissent l’idéologie de la repentance.
Table des matières
Chapitre I – Nos ancêtres étaient-ils Africains ?
Chapitre II – Le « réchauffement climatique » est-il une menace pour l’Afrique Chapitre III – Les anciens Égyptiens étaient-ils des Noirs ?
Chapitre IV – La Grèce est-elle fille de l’Égypte ?
Chapitre V – Le Maghreb est-il arabe ?
Chapitre VI – Les ethnies africaines ont-elles été inventées par les Blancs ?
Chapitre VII – La Traite négrière fut-elle une « invention diabolique » de l’Europe ?
Chapitre VIII – Les Noirs sont-ils les premiers habitants de l’Afrique du Sud Chapitre IX – La colonisation est-elle de droite et l’anticolonialisme de gauche Chapitre X – L’Empire colonial a-t-il enrichi la France ?
Chapitre XI – L’Algérie fut-elle un boulet pour la France ?
Chapitre XII – Les Algériens se sont-ils unanimement dressés contre la France entre 1954 et 1962 ?
Chapitre XIII – Apartheid mérite-t-il d’être devenu un « mot-prison » ?
Chapitre XIV – Y eut-il un massacre d’Algériens le 17 octobre 1961 à Paris Chapitre XV – La France serait-elle complice du génocide du Rwanda ?
pour commander
vendredi 4 janvier 2013
Diversité : «Les contes traditionnels sont une horreur»
En Espagne, de petites maisons d’édition rompent avec la tradition en publiant des histoires pour enfants avec des personnages homosexuels.
De nouvelles références pour les nouvelles générations.
Une petite fille qui a mis la main sur un crayon magique grâce auquel tout ce qu’elle dessine devient réalité, et une princesse que son père veut marier à quelqu’un qui n’est pas son grand amour : telles sont les héroïnes des premiers contes publiés par Nube Ocho, une nouvelle maison d’édition.
Qu’ont-elles de particulier ? Eh bien, la petite fille a deux papas et la princesse n’est pas amoureuse d’un fringant jeune homme, mais d’une courageuse étrangère.
« Ce sont les livres que notre génération n’a pas pu lire », explique Luis Amavisca, le fondateur de cette petite maison qui vient de faire paraître El lapicero mágico et La princesa Li, en collaboration avec Egales, un éditeur qui depuis vingt ans publie des ouvrages en rapport avec l’homosexualité. Nube Ocho rejoint ainsi d’autres petites maisons d’édition comme A Fortiori et Topka, qui, depuis une dizaine d’années, s’efforcent de pallier l’absence de références littéraires pour des familles de plus en plus nombreuses à sortir du schéma traditionnel, que ce soit par l’orientation sexuelle des parents ou parce qu’elles vivent le divorce, l’adoption, le handicap ou l’immigration.
Des ouvrages pour tous les publics
Luis Amavisca, un artiste plasticien qui s’est lancé dans l’édition et l’écriture, tient à préciser que ses ouvrages ne s’adressent pas seulement à la communauté LGBT (lesbienne, gay, bisexuelle et transsexuelle) « mais aussi, et peut-être plus encore, aux hétérosexuels ». « Bien des adultes auraient intérêt à les lire pour remettre en question leur propre éducation et mieux se préparer à aborder le sujet avec les nouvelles générations », estime-t-il.
« Il y a une volonté marquée de faire entrer dans la littérature jeunesse des sujets qui sont déjà une réalité dans la rue et à l’école », souligne Victoria Fernández, directrice de la revue spécialisée Clij, qui rappelle les deux premiers titres du genre publiés en Espagne, Oliver Button es una nena (1979, sorte d’ancêtre de Billy Elliot [paru en français sous le titre Olivier Bouton est une poule mouillée]) et El príncipe Ceniciento (1998 [Cendrillon au masculin, paru en français sous le titre Le Prince Gringalet]).
Productions originales
A la différence des poids lourds de l’édition, qui le plus souvent font traduire en espagnol des livres qui ont fait un tabac aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni, les petites maisons cherchent à se faire une place en publiant des productions originales, contenant parfois des textes des éditeurs eux-mêmes, et agrémentées d’illustrations soignées.
Les tirages sont faibles, et ces éditeurs ont trouvé en Internet leur meilleur allié. S’ils sont bien distribués dans les supermarchés de la culture et dans les petites librairies, ils peinent à obtenir de bons emplacements. Pour ce faire, il leur faut absolument nouer une relation privilégiée avec les libraires spécialisés afin de leur expliquer la philosophie qui sous-tend ces contes et de les convaincre de leur intérêt.
« Il y a un marché, il y a des auteurs, mais les éditeurs regardent ailleurs et ne prennent de risque que quand le livre a déjà eu du succès dans un autre pays », affirme Lucía Moreno, la créatrice de Topka, qui a publié depuis 2006 seize contes, tous bilingues anglais-espagnol, comme d’ailleurs les deux premiers de Nube Ocho. Le plus vendu, El amor de todos los colores [« L’amour de toutes les couleurs »], tiré à 2.500 exemplaires, est en passe d’être épuisé.
« Les contes traditionnels sont une horreur »
A Fortiori, née deux ans plus tôt, a déjà fait paraître quatorze contes et trois volumes de poésie, « pour toutes les familles, y compris celles qui ne sont pas défendues par les évêques », explique sa fondatrice, Natividad de la Puerta. Docteur en histoire économique et « agitatrice culturelle », l’éditrice raconte que ses livres sont nés de la volonté d’offrir à ses petits-enfants des contes d’un autre genre, qui promeuvent le respect de la diversité. « Les contes traditionnels sont une horreur. Franchement, quelles sont les valeurs prônées par Hansel et Gretel ? Les deux héros sont des imbéciles, excusez-moi, et en plus à la fin ils tuent la sorcière et la volent », plaisante-t-elle.
Tout comme cette petite maison d’édition « kamikaze », comme la qualifie Natividad de la Puerta, Nube Ocho et Topka sont nées des préoccupations personnelles de ses fondateurs, qui ne trouvaient pas ce qu’ils cherchaient en Espagne : Lucía Moreno, en tant que maman lesbienne d’enfants adoptés et handicapés, et Luis Amavisca, qui a vu les neveux de son mari libanais l’accepter sans a priori, malgré les tabous qui pèsent sur l’homosexualité dans ce pays du Moyen-Orient.
Les trois éditeurs s’accordent tous à dire que dans leurs livres la diversité, qu’elle soit sexuelle, raciale ou autre, est certes une caractéristique des personnages, mais ne constitue pas le moteur du récit ni le motif du conflit. « Nous voulons faire des livres amusants, qui plaisent aux enfants et qui transmettent les valeurs que nous défendons », insiste Lucía Moreno. Comme dit Natividad de la Puerta, « les mentalités changent, il faut donner aux enfants la possibilité de lire autre chose ».
(Cecilia Jan, El País)
source
(ndlr. il faudra bien, un jour, que tous ces salauds paient !)
De nouvelles références pour les nouvelles générations.
Une petite fille qui a mis la main sur un crayon magique grâce auquel tout ce qu’elle dessine devient réalité, et une princesse que son père veut marier à quelqu’un qui n’est pas son grand amour : telles sont les héroïnes des premiers contes publiés par Nube Ocho, une nouvelle maison d’édition.
Qu’ont-elles de particulier ? Eh bien, la petite fille a deux papas et la princesse n’est pas amoureuse d’un fringant jeune homme, mais d’une courageuse étrangère.
« Ce sont les livres que notre génération n’a pas pu lire », explique Luis Amavisca, le fondateur de cette petite maison qui vient de faire paraître El lapicero mágico et La princesa Li, en collaboration avec Egales, un éditeur qui depuis vingt ans publie des ouvrages en rapport avec l’homosexualité. Nube Ocho rejoint ainsi d’autres petites maisons d’édition comme A Fortiori et Topka, qui, depuis une dizaine d’années, s’efforcent de pallier l’absence de références littéraires pour des familles de plus en plus nombreuses à sortir du schéma traditionnel, que ce soit par l’orientation sexuelle des parents ou parce qu’elles vivent le divorce, l’adoption, le handicap ou l’immigration.
Des ouvrages pour tous les publics
Luis Amavisca, un artiste plasticien qui s’est lancé dans l’édition et l’écriture, tient à préciser que ses ouvrages ne s’adressent pas seulement à la communauté LGBT (lesbienne, gay, bisexuelle et transsexuelle) « mais aussi, et peut-être plus encore, aux hétérosexuels ». « Bien des adultes auraient intérêt à les lire pour remettre en question leur propre éducation et mieux se préparer à aborder le sujet avec les nouvelles générations », estime-t-il.
« Il y a une volonté marquée de faire entrer dans la littérature jeunesse des sujets qui sont déjà une réalité dans la rue et à l’école », souligne Victoria Fernández, directrice de la revue spécialisée Clij, qui rappelle les deux premiers titres du genre publiés en Espagne, Oliver Button es una nena (1979, sorte d’ancêtre de Billy Elliot [paru en français sous le titre Olivier Bouton est une poule mouillée]) et El príncipe Ceniciento (1998 [Cendrillon au masculin, paru en français sous le titre Le Prince Gringalet]).
Productions originales
A la différence des poids lourds de l’édition, qui le plus souvent font traduire en espagnol des livres qui ont fait un tabac aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni, les petites maisons cherchent à se faire une place en publiant des productions originales, contenant parfois des textes des éditeurs eux-mêmes, et agrémentées d’illustrations soignées.
Les tirages sont faibles, et ces éditeurs ont trouvé en Internet leur meilleur allié. S’ils sont bien distribués dans les supermarchés de la culture et dans les petites librairies, ils peinent à obtenir de bons emplacements. Pour ce faire, il leur faut absolument nouer une relation privilégiée avec les libraires spécialisés afin de leur expliquer la philosophie qui sous-tend ces contes et de les convaincre de leur intérêt.
« Il y a un marché, il y a des auteurs, mais les éditeurs regardent ailleurs et ne prennent de risque que quand le livre a déjà eu du succès dans un autre pays », affirme Lucía Moreno, la créatrice de Topka, qui a publié depuis 2006 seize contes, tous bilingues anglais-espagnol, comme d’ailleurs les deux premiers de Nube Ocho. Le plus vendu, El amor de todos los colores [« L’amour de toutes les couleurs »], tiré à 2.500 exemplaires, est en passe d’être épuisé.
« Les contes traditionnels sont une horreur »
A Fortiori, née deux ans plus tôt, a déjà fait paraître quatorze contes et trois volumes de poésie, « pour toutes les familles, y compris celles qui ne sont pas défendues par les évêques », explique sa fondatrice, Natividad de la Puerta. Docteur en histoire économique et « agitatrice culturelle », l’éditrice raconte que ses livres sont nés de la volonté d’offrir à ses petits-enfants des contes d’un autre genre, qui promeuvent le respect de la diversité. « Les contes traditionnels sont une horreur. Franchement, quelles sont les valeurs prônées par Hansel et Gretel ? Les deux héros sont des imbéciles, excusez-moi, et en plus à la fin ils tuent la sorcière et la volent », plaisante-t-elle.
Tout comme cette petite maison d’édition « kamikaze », comme la qualifie Natividad de la Puerta, Nube Ocho et Topka sont nées des préoccupations personnelles de ses fondateurs, qui ne trouvaient pas ce qu’ils cherchaient en Espagne : Lucía Moreno, en tant que maman lesbienne d’enfants adoptés et handicapés, et Luis Amavisca, qui a vu les neveux de son mari libanais l’accepter sans a priori, malgré les tabous qui pèsent sur l’homosexualité dans ce pays du Moyen-Orient.
Les trois éditeurs s’accordent tous à dire que dans leurs livres la diversité, qu’elle soit sexuelle, raciale ou autre, est certes une caractéristique des personnages, mais ne constitue pas le moteur du récit ni le motif du conflit. « Nous voulons faire des livres amusants, qui plaisent aux enfants et qui transmettent les valeurs que nous défendons », insiste Lucía Moreno. Comme dit Natividad de la Puerta, « les mentalités changent, il faut donner aux enfants la possibilité de lire autre chose ».
(Cecilia Jan, El País)
source
(ndlr. il faudra bien, un jour, que tous ces salauds paient !)
jeudi 3 janvier 2013
Redevenons des Barbares
Anniversaire: Pierre Drieu la Rochelle,est né le 3 janvier 1893 dans le Xe arrondissement de Paris.
Dans son étude sur "Drieu parmi nous", Jean Mabire écrivait, en 1963 : "J'avais juste 18 ans quand il s'est suicidé le 15 mars 1945 et je ne soupçonnais pas alors que cet homme qui avait l'âge de mon père, prendrait un jour pour moi le visage d'un frère aîné. Je préparais mon bac de philo en lisant Karl Marx et Nietzsche qui me paraissaient d'honnêtes antidotes au Descartes du programme. Un hasard me fit découvrir "Le Français d'Europe"dans une série de livres voués au pilon. Drieu me tenait. Il ne devait plus me lâcher. Je sentais bien qu'il brûlait du même feu que le solitaire de Sils-Maria. En cette année 1945, même Zarathoustra avait l'âcre saveur d'un livre défendu."
« Redevenons des Barbares, en mal de formes neuves et inconnues. Et si nous sommes à bout de souffle, nous savons que rien ne renaîtra plus de nous dans les formes que nous connaissons, que la force de création ne reprendra en Europe qu’après de terribles dissolutions. Mais nous savons aussi qu’alors que le fleuve de notre civilisation est prêt de déboucher dans la mer qui boit tout, parcourant d’un trait le cycle récurrent des évaporations, des nuages et des pluies, notre imagination se rejette vers les sources d’où sortira le fleuve nouveau. Nous rôdons autour des abîmes parce que nous savons que nous y retombons mais que nous en ressortirons. Nous sommes l’Esprit Européen ».
Pierre Drieu la Rochelle
Dans son étude sur "Drieu parmi nous", Jean Mabire écrivait, en 1963 : "J'avais juste 18 ans quand il s'est suicidé le 15 mars 1945 et je ne soupçonnais pas alors que cet homme qui avait l'âge de mon père, prendrait un jour pour moi le visage d'un frère aîné. Je préparais mon bac de philo en lisant Karl Marx et Nietzsche qui me paraissaient d'honnêtes antidotes au Descartes du programme. Un hasard me fit découvrir "Le Français d'Europe"dans une série de livres voués au pilon. Drieu me tenait. Il ne devait plus me lâcher. Je sentais bien qu'il brûlait du même feu que le solitaire de Sils-Maria. En cette année 1945, même Zarathoustra avait l'âcre saveur d'un livre défendu."
« Redevenons des Barbares, en mal de formes neuves et inconnues. Et si nous sommes à bout de souffle, nous savons que rien ne renaîtra plus de nous dans les formes que nous connaissons, que la force de création ne reprendra en Europe qu’après de terribles dissolutions. Mais nous savons aussi qu’alors que le fleuve de notre civilisation est prêt de déboucher dans la mer qui boit tout, parcourant d’un trait le cycle récurrent des évaporations, des nuages et des pluies, notre imagination se rejette vers les sources d’où sortira le fleuve nouveau. Nous rôdons autour des abîmes parce que nous savons que nous y retombons mais que nous en ressortirons. Nous sommes l’Esprit Européen ».
Pierre Drieu la Rochelle
mercredi 2 janvier 2013
Immigration-catastrophe : Merci patrons !
Merci au patronat français qui, avec une belle constance, a fait pression sur les gouvernements successifs de la Ve République pour faire ouvrir toutes grandes les portes de l’immigration de travail puis de peuplement, sans jamais en supporter les conséquences collatérales !
Merci en particulier à tous les dirigeants de l’industrie automobile française qui ont organisé dans les années 1960 des caravanes de promotion dans les pays du Maghreb, pour recruter à bas prix une main-d’œuvre destinée à concurrencer les salariés français ainsi que leurs syndicats et à éviter aussi aux entreprises d’investir dans l’innovation.
Merci à tous les patrons qui préfèrent employer des immigrés, en situation régulière ou non, en particulier dans les métiers de la restauration, du nettoyage, du gardiennage ou dans les services à la personne et les travaux publics.
Merci au MEDEF de promouvoir la « diversité » dans les entreprises et d’expliquer que notre économie a toujours plus besoin d’immigrés.
Merci à tous ces patrons du CAC 40 de chanter les vertus du métissage, eux qui habitent dans les beaux quartiers sécurisés, qui se déplacent toujours en voiture avec chauffeur et dont les enfants ne font leurs études que dans des écoles privées ou à l’étranger.
Merci aussi aux syndicats de veiller scrupuleusement au respect des droits sociaux de tous les immigrés.
Merci aux partis « républicains » !
Merci à tous les partis « républicains », de droite comme de gauche, d’avoir toujours répondu avec bienveillance aux attentes du patronat depuis 50 ans. Merci aux élus locaux de faciliter la construction de mosquées qui égayent tellement nos paysages.
Merci à Georges Pompidou d’avoir fait voter la loi Pleven qui rend illégale la préférence nationale en l’assimilant à une discrimination.
Merci à Valéry Giscard d’Estaing et à Jacques Chirac d’avoir ouvert la voie au regroupement familial.
Merci à François Mitterrand d’avoir dit que les immigrés étaient « chez eux chez nous » et d’avoir fait voter des textes réprimant pénalement toute critique des conséquences de l’immigration. Merci aussi à lui d’avoir installé les ligues de vertu « antiracistes » en gardiens vigilants de la bonne moralité publique, avec le concours zélé des juges.
Merci à Édouard Balladur d’avoir réformé le code de la nationalité pour faciliter son acquisition.
Merci à Nicolas Sarkozy d’avoir repris le concept de « discrimination positive » au bénéfice des personnes d’origine immigrée. Merci aussi à lui pour avoir fait de Mayotte un département comme les autres, au bénéfice de tous les migrants comoriens.
Merci à François Hollande de promettre de donner bientôt aux étrangers le droit de vote aux élections locales.
Merci aussi à François Mitterrand et à Jacques Chirac d’avoir fait adopter le Traité de Maastricht qui supprime les frontières de l’Europe et instaure le principe de libre circulation entre tous les États membres de l’Union européenne, au bénéfice de tous les migrants.
Merci enfin aux églises, aux ONG, aux bénévoles et aux intellectuels médiatiques, d’avoir apporté leur précieuse caution morale à la noble cause de l’immigration.
Merci les juges !
Merci à tous les juges, choisis par ces mêmes gouvernements, qu’ils siègent à la Cour européenne des droits de l’homme, au Conseil d’État, à la Cour de cassation et dans les juridictions de première instance, de veiller à ce que les droits humains des migrants, spécialement lorsqu’ils s’efforcent d’entrer sans autorisation sur notre territoire, soient scrupuleusement respectés.
Et merci aux associations de défense des droits des immigrés financées par le contribuable français et leurs avocats, de leur apporter tout leur concours.
Merci à l’Afrique !
Merci aussi aux pays africains, du Nord comme du Sud, de nous faire profiter de leur belle jeunesse, prolifique, sportive et souriante !
Merci aux élites africaines, qui ont souhaité hier que nous quittions leurs pays, de faire en sorte que leurs concitoyens cherchent aujourd’hui à s’installer dans le nôtre.
Merci en particulier aux gouvernements africains, bénéficiaires depuis les indépendances, soit depuis plus de 50 années maintenant, d’une aide internationale massive en vue du « développement » de leur pays, de ne toujours pas pouvoir réguler la croissance de leur population ni assurer sa sécurité ou sa prospérité, comme ont pourtant su faire les pays émergents, en particulier en Asie. Merci à eux de nous rappeler nos lourdes responsabilités de colonisateurs dans cette situation, en omettant les leurs par la même occasion.
Merci à eux qui testent pour nous toutes les formes possibles de gouvernements avec une belle constance – socialiste, marxiste, révolutionnaire, autoritaire, démocratique, libéral, tribal, islamique – pour aboutir toujours aux mêmes médiocres résultats.
Merci à ceux qui profitent de la rente pétrolière ou gazière, qu’ils n’ont pas réussi à valoriser sans l’assistance ou l’intervention des Occidentaux, mais sans jamais doter leur population de conditions stables de vie.
Merci aussi à toutes les institutions caritatives et à toutes les institutions internationales pour le développement, de nous présenter régulièrement des photos d’enfants sous-alimentés afin de nous mobiliser pour de justes causes : merci à eux d’omettre, par une pudeur bien compréhensible, de nous montrer les palais où habitent les dirigeants de ces pays ou bien les dépenses somptuaires qu’ils aiment faire au profit de leurs familles ou de leurs clans.
Merci à tous les chefs d’État africains qui ont tellement confiance dans l’avenir de leur pays qu’ils placent leurs modestes économies à l’étranger où ils aiment d’ailleurs prendre leur retraite.Merci à tous ces étudiants africains qui peuplent nos universités de rester chez nous, plutôt que de retourner faire profiter leur pays de leur savoir.
Merci surtout au peuple français, d’acquiescer à tout cela !
Source : Michel Geoffroy
Merci en particulier à tous les dirigeants de l’industrie automobile française qui ont organisé dans les années 1960 des caravanes de promotion dans les pays du Maghreb, pour recruter à bas prix une main-d’œuvre destinée à concurrencer les salariés français ainsi que leurs syndicats et à éviter aussi aux entreprises d’investir dans l’innovation.
Merci à tous les patrons qui préfèrent employer des immigrés, en situation régulière ou non, en particulier dans les métiers de la restauration, du nettoyage, du gardiennage ou dans les services à la personne et les travaux publics.
Merci au MEDEF de promouvoir la « diversité » dans les entreprises et d’expliquer que notre économie a toujours plus besoin d’immigrés.
Merci à tous ces patrons du CAC 40 de chanter les vertus du métissage, eux qui habitent dans les beaux quartiers sécurisés, qui se déplacent toujours en voiture avec chauffeur et dont les enfants ne font leurs études que dans des écoles privées ou à l’étranger.
Merci aussi aux syndicats de veiller scrupuleusement au respect des droits sociaux de tous les immigrés.
Merci aux partis « républicains » !
Merci à tous les partis « républicains », de droite comme de gauche, d’avoir toujours répondu avec bienveillance aux attentes du patronat depuis 50 ans. Merci aux élus locaux de faciliter la construction de mosquées qui égayent tellement nos paysages.
Merci à Georges Pompidou d’avoir fait voter la loi Pleven qui rend illégale la préférence nationale en l’assimilant à une discrimination.
Merci à Valéry Giscard d’Estaing et à Jacques Chirac d’avoir ouvert la voie au regroupement familial.
Merci à François Mitterrand d’avoir dit que les immigrés étaient « chez eux chez nous » et d’avoir fait voter des textes réprimant pénalement toute critique des conséquences de l’immigration. Merci aussi à lui d’avoir installé les ligues de vertu « antiracistes » en gardiens vigilants de la bonne moralité publique, avec le concours zélé des juges.
Merci à Édouard Balladur d’avoir réformé le code de la nationalité pour faciliter son acquisition.
Merci à Nicolas Sarkozy d’avoir repris le concept de « discrimination positive » au bénéfice des personnes d’origine immigrée. Merci aussi à lui pour avoir fait de Mayotte un département comme les autres, au bénéfice de tous les migrants comoriens.
Merci à François Hollande de promettre de donner bientôt aux étrangers le droit de vote aux élections locales.
Merci aussi à François Mitterrand et à Jacques Chirac d’avoir fait adopter le Traité de Maastricht qui supprime les frontières de l’Europe et instaure le principe de libre circulation entre tous les États membres de l’Union européenne, au bénéfice de tous les migrants.
Merci enfin aux églises, aux ONG, aux bénévoles et aux intellectuels médiatiques, d’avoir apporté leur précieuse caution morale à la noble cause de l’immigration.
Merci les juges !
Merci à tous les juges, choisis par ces mêmes gouvernements, qu’ils siègent à la Cour européenne des droits de l’homme, au Conseil d’État, à la Cour de cassation et dans les juridictions de première instance, de veiller à ce que les droits humains des migrants, spécialement lorsqu’ils s’efforcent d’entrer sans autorisation sur notre territoire, soient scrupuleusement respectés.
Et merci aux associations de défense des droits des immigrés financées par le contribuable français et leurs avocats, de leur apporter tout leur concours.
Merci à l’Afrique !
Merci aussi aux pays africains, du Nord comme du Sud, de nous faire profiter de leur belle jeunesse, prolifique, sportive et souriante !
Merci aux élites africaines, qui ont souhaité hier que nous quittions leurs pays, de faire en sorte que leurs concitoyens cherchent aujourd’hui à s’installer dans le nôtre.
Merci en particulier aux gouvernements africains, bénéficiaires depuis les indépendances, soit depuis plus de 50 années maintenant, d’une aide internationale massive en vue du « développement » de leur pays, de ne toujours pas pouvoir réguler la croissance de leur population ni assurer sa sécurité ou sa prospérité, comme ont pourtant su faire les pays émergents, en particulier en Asie. Merci à eux de nous rappeler nos lourdes responsabilités de colonisateurs dans cette situation, en omettant les leurs par la même occasion.
Merci à eux qui testent pour nous toutes les formes possibles de gouvernements avec une belle constance – socialiste, marxiste, révolutionnaire, autoritaire, démocratique, libéral, tribal, islamique – pour aboutir toujours aux mêmes médiocres résultats.
Merci à ceux qui profitent de la rente pétrolière ou gazière, qu’ils n’ont pas réussi à valoriser sans l’assistance ou l’intervention des Occidentaux, mais sans jamais doter leur population de conditions stables de vie.
Merci aussi à toutes les institutions caritatives et à toutes les institutions internationales pour le développement, de nous présenter régulièrement des photos d’enfants sous-alimentés afin de nous mobiliser pour de justes causes : merci à eux d’omettre, par une pudeur bien compréhensible, de nous montrer les palais où habitent les dirigeants de ces pays ou bien les dépenses somptuaires qu’ils aiment faire au profit de leurs familles ou de leurs clans.
Merci à tous les chefs d’État africains qui ont tellement confiance dans l’avenir de leur pays qu’ils placent leurs modestes économies à l’étranger où ils aiment d’ailleurs prendre leur retraite.Merci à tous ces étudiants africains qui peuplent nos universités de rester chez nous, plutôt que de retourner faire profiter leur pays de leur savoir.
Merci surtout au peuple français, d’acquiescer à tout cela !
Source : Michel Geoffroy
Inscription à :
Articles (Atom)