La nouvelle année juive était célébrée dimanche soir chez l'écrivain Marek Halter. Il a reçu du beau monde, près de la place des Vosges à Paris : le Premier ministre Jean Marc Ayrault, le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, ou encore la ministre de la Justice Christiane Taubira.
Féter la nouvelle année juive chez Marek Halter est une tradition pour les politiques. Tous les ans, l'écrivain réunit ministres, artistes, intéllectuels. La nouveauté cette année : la présence du premier ministre Jean-Marc Ayrault.
Si la présence de Jean-Marc Ayrault peut étonner au moment où une charte de la laicité est affiché dans tous les établissements scolaires publics, le Premier réfute toute idée de communautarisme : "Vous avez des gens de différentes sensibilités culturelles, politiques et religieuses. Pouvoir se rencontrer, ce n'est pas si mal", a-t-il expliqué. "Ce n'est pas communautaire. La laïcité, ce n'est pas l'ignorance des autres, c'est la garantie du vivre-ensemble".
De nombreux politiques présents
Le premier ministre n'est pas le seul a avoir accepté l'invitation de Marék Halter. Arnaud Montebourg, Christiane Taubira, mais aussi des figures de l'UMP Valérie Pécresse, ou Frédéric Lefevre. Pour l'écrivain polonais Marek Halter, c'est une manière pour les personnalités politiques de sortir de leur quotidien :
"Tout le monde a envie d'être là, parce qu'il n'y a pas beaucoup d'endroits où les gens se rencontrent sans débattre de politique ou de différence" (Marek Halter)
"On se raconte ce qu'on a envie, on se partage un cheesecake de ma maman, il y a du champagne : c'est peut-être une manière de montrer qu'on n'est pas sectaires" a-t-il poursuivi.
L'écrivain espère la venue l'an prochain de François Hollande. Le président de la république lui a promis de se déplacer si son agenda le lui permet.
Plusieurs responsables du CRIF étaient présents : Jean-Pierre Allali et Arié Bensemhoun, membres du Bureau Exécutif, Paul Rechter, conseiller du président Roger Cukierman, et Patrick Klugman, membre du Comité directeur.
Sous un dais dressé devant le porche de l’immeuble, les invités étaient accueillis par un orchestre klezmer, tandis qu’un imposant cordon de policiers bloquait la rue dans l’attente du Premier ministre qui avait annoncé sa venue. En milieu d’après-midi, Jean-Marc Ayrault faisait son entrée en compagnie de deux ministres du gouvernement : Yamina Benguigui, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée de la Francophonie et Michèle Delaunay, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires sociales et de la Santé, chargée des personnes âgées et de l’Autonomie. Le monde politique, de droite comme de gauche était bien représenté avec Harlem Désir, Premier secrétaire du Parti Socialiste, David Assouline, Anne Hidalgo, Pierre Aidenbaum, Bernard Kouchner, Valérie Pécresse, Frédéric Lefèbvre, Nicole Guedj ou encore Jean-Jacques Curiel du Parti radical.
Parmi les nombreux représentants du monde de la presse : Ruth Elkrief, Christine Ockrent , Étienne Mougeotte Alain Chouffan du Nouvel Observateur et Judith Waintraub, du Figaro.
On notait également la présence de Samuel Pisar et de son épouse, de Gérard et Claude Unger, de Caroline Fourest, de Gérard Miller, de François Weil, recteur de l’Académie de Paris, des professeurs Dominique Reynié et Philippe Théry, du producteur Tarek Ben Ammar, de Duc Co Minh, président du Club d’Initiative des Français d’Origine Asiatique, de Claude Barouch de l’UPJF et de son épouse, d’Henri Cukierman et de son épouse, de Macha Méril et de Chantal Thomass.
Très entouré, l’imam de Drancy, Hassen Chalgoumi, récemment victime d’une agression en Tunisie, se déplaçait difficilement avec des béquilles. À ses côtés, très protecteur, le père Alain Maillard de la Morandais.
Sous un dais dressé devant le porche de l’immeuble, les invités étaient accueillis par un orchestre klezmer, tandis qu’un imposant cordon de policiers bloquait la rue dans l’attente du Premier ministre qui avait annoncé sa venue. En milieu d’après-midi, Jean-Marc Ayrault faisait son entrée en compagnie de deux ministres du gouvernement : Yamina Benguigui, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée de la Francophonie et Michèle Delaunay, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires sociales et de la Santé, chargée des personnes âgées et de l’Autonomie. Le monde politique, de droite comme de gauche était bien représenté avec Harlem Désir, Premier secrétaire du Parti Socialiste, David Assouline, Anne Hidalgo, Pierre Aidenbaum, Bernard Kouchner, Valérie Pécresse, Frédéric Lefèbvre, Nicole Guedj ou encore Jean-Jacques Curiel du Parti radical.
Parmi les nombreux représentants du monde de la presse : Ruth Elkrief, Christine Ockrent , Étienne Mougeotte Alain Chouffan du Nouvel Observateur et Judith Waintraub, du Figaro.
On notait également la présence de Samuel Pisar et de son épouse, de Gérard et Claude Unger, de Caroline Fourest, de Gérard Miller, de François Weil, recteur de l’Académie de Paris, des professeurs Dominique Reynié et Philippe Théry, du producteur Tarek Ben Ammar, de Duc Co Minh, président du Club d’Initiative des Français d’Origine Asiatique, de Claude Barouch de l’UPJF et de son épouse, d’Henri Cukierman et de son épouse, de Macha Méril et de Chantal Thomass.
Très entouré, l’imam de Drancy, Hassen Chalgoumi, récemment victime d’une agression en Tunisie, se déplaçait difficilement avec des béquilles. À ses côtés, très protecteur, le père Alain Maillard de la Morandais.
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