jeudi 12 septembre 2013

La manif interdite : une décision politique de Manuel Gaz Valls !


Ainsi donc le Préfet de Police de Paris envisage d'interdire la grande manifestation prévue ce prochain samedi à Paris pour la défense des libertés publiques et le soutien à nos camarades emprisonnés et notamment Esteban Morillo, coupable de s'être défendu contre un agresseur gauchiste, un bobo gringalet qui pétait plus haut que son cul. Il paraît même que cette manifestation risquer de heurter la sensibilité humaniste des anti-fascistes dont on sait qu'il n'ont recours aux dégradations, aux incendies, aux pillages, à la bastonnade et à la frénésie du cutter que pour défendre la démocratie et les droits de l'homme, allogène de préférence.

Ne nous y trompons pas. D'abord, la ficelle de risques de troubles à l'ordre public est aussi grosse que celle des armes de destruction massive irakiennes ou le recours au gaz sarin par les loyalistes syriens. Et puis, le Préfet de Police de Paris n'envisage pas, ne décide pas : il obeit aux ordres de son ministre; un haut fonctionnaire n'est qu'un rond de cuir mieux payé que les autres certes mais pas plus payé pour penser que les préposés aux photocopies des sous-préfectures. Cette décision n'a rien à voir avec la sécurité et la tranquillité des parisiens; c'est une décision politique prise par Manuel Gaz Valls, marionnette des lobbies du Nouvel Ordre Mondial pour qui tout ce qui de près ou de loin relève du patriotisme, du nationalisme, de l'identitaire ou du solidarisme est voué à être combattu, villipendé, interdit, réprimé... et même gazé comme on a pu le voir faire sur des femmes et des enfants lors des manifestations contre le mariage homo.

Le combat bien sûr continue, il doit s'étendre à tous les domaines, se radicaliser et entraîner par l'exemple nos comatriotes et congénères anesthésiés ou nos camarades découragés. Les coups qui nous sont portés ne feront que renforcer notre détermination : qu'avons nous de plus à perdre quand notre identité même est menacée? Contre la dictature qui veut faire de nous un peuple en voie de disparition, tout est bon, tout se justifie et la résistance n'est plus seulement un droit, c'est un devoir. Serviteur d'un Système déconsidéré, le pouvoir écolo-socialiste a peur, il a la peur de la bête blessée qui cherche à mordre une dernière fois. A nous de l'achever... même par les moyens légaux ! Rassemblement ! Résistance ! Reconquête !

(Yves Darchicourt)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire