(Lu dans l'excellent « Journal du Chaos »)
Le problème de l’errance des Tziganes en Europe ne date pas d’aujourd’hui. Installés pour la plupart dans les pays de l’est européen, ces populations ont toujours été réfractaires à toute sédentarisation et donc à une quelconque intégration. Ils ont leur culture qui dicte leurs mœurs et vivent ainsi en marge des sociétés qu’ils côtoient. Et ce, quels que soient les pouvoirs en place. Certes, ici ou là, certains sont sortis de leur statut de voleurs de poules, ont envoyé leurs enfants à l’école et se sont intégrés sans rien perdre de leur identité. Certains ont même fait fortune dans la musique qui semble être l’une des expressions majeures de leur culture. C’est par ce biais que certains écrivains se sont penchés sur eux à l’image d’un Blaise Cendrars ou d’un Pierre Mac Orlan.
L’éclatement du bloc de l’Est, l’Europe de Bruxelles et l’ouverture des frontières ont soudain mis en lumière le problème de ces minorités qui sont venus chercher à l’Ouest une misère a priori moins grande et ce malgré une mendicité endémique. Au point de semer le trouble dans de nombreuses villes d'Europe de l'Ouest et en France particulièrement.
D’autre part, des mafias originaires d’Europe de l’Est se sont constituées qui ont su mettre à profit leur talent pour la rapine et le pillage en règle des résidences secondaires, châteaux et églises quand ce ne sont pas les vols de voitures et même des tracteurs comme récemment en Bretagne.
Dans la périphérie des grandes villes, ils s’installent dans des formes de ghettos semant le trouble au sein des populations faisant monter d’autant les taux de délinquance.
Quand M. Valls ordonne le démantèlement de certains de ces ghettos (chez la mère Aubry, à Lille, comme par hasard), il n’offre aucune alternative. Ils iront fatalement s’installer ailleurs. Quant à l’idée de leur offrir un billet de retour et 300 €, on s’est aperçu que ça ne marchait pas. Ils empochent l’argent et s’empressent de revenir, la pauvreté étant plus juteuse à l’Ouest qu’à l’Est. Alors que faire, dès lors que l’on connaît les tenants et les aboutissants du problème ? L’Etat ne peut laisser indéfiniment, comme il le fait avec l’immigration clandestine ou non, les collectivités locales se débrouiller toutes seules face à un problème qui nécessite un traitement national.
Il serait temps aussi de tirer un bras d’honneur à cette Europe de Bruxelles ou d’ailleurs qui a décidé de placer la France sous surveillance sur le problème Rom, alors que les guignols européens sont incapables d’aider l’Italie à faire face à l’immigration sauvage qu’elle subit par mer du côté de Lampedusa.
Il y a des solutions que nos démocraties refusent malheureusement de prendre par manque de volonté et de courage politiques préférant nettement empoisonner la vie des populations européennes de souche. C’est Le Pen qui a raison quand il dit qu’il serait temps de remettre en marche « la machine à couilles » !
PS/ Je me suis bien marré avec ces jeux dits Olympiques. Pauvre Coubertin ! Sur les 32 médailles françaises rapportées, 23 sont le fait de bons Gaulois dont 8 en or sur 10! Cherchez l’erreur !
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