vendredi 5 octobre 2012
Contre le capitalisme spéculatif
Sa défaite de 1918 provoqua en Allemagne un profond traumatisme collectif, nourrissant interrogations, doutes, remises en cause dans tous les domaines de la vie sociale. Aux questions posées certains hommes voulurent apporter des réponses. Pour surmonter l'épreuve et préparer l'avenir. Gottfried Feder était du nombre
Il eut la conviction d'avoir trouvé une clef décisive pour comprendre la crise existentielle de l'Allemagne et y remédier : le grand fautif était le capitalisme spéculatif, qui tire son profit non du financement de la production et du travail des producteurs mais des manipulations financières à l'échelle internationale, suscitent des prises de bénéfice colossales, sans tenir compte et même à l'encontre des intérêts des citoyens et des collectivités nationales. La haute banque cosmopolite joue contre le peuple, sans aucun scrupules.
Feder s'est attelé à la rédaction d'un texte expliquant les méfaits du capitalisme spéculatif. Ce document a joué un rôle important dans la genèse du mouvement et de la doctrine national-socialistes dont Feder fut effectivement partie prenante. C'est pourquoi il était nécessaire de la porter à la connaissance des lecteurs français s'intéressant à l'histoire des idées et des mouvements politiques du XXe siècle.
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