vendredi 29 juin 2012

ce con d'Eric Zemmour

Zemmour est ce qu'il est, on ne va pas en faire un blanc chevalier qui aurait toujours raison, mais on ne va pas non plus bouder notre plaisir quand il sort devant un public considérable, des vérités que nous, identitaires européens, n'avons pas le droit d'exprimer ...

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"Condamné pour une chanson menaçant "ce con d'Eric Zemmour", à 800 euros d'amende avec sursis, Youssoupha Mabiki de son vrai nom a fait appel. Et il a était jugé jeudi 28 juin, "non coupable" par la Cour d'appel de Paris.
Youssoupha avait traité de "con" le chroniqueur dans le morceau A force de le dire, en 2009. La Cour d'appel a conclu que les propos poursuivis "n'excédaient pas les limites admissibles en matière de liberté d'expression artistique".
La chambre de la Cour d'appel spécialisée dans les affaires de presse a estimé qu'il n'y avait ni diffamation, ni injure publique et a débouté Eric Zemmour. Les magistrats considèrent que Zemmour, "journaliste, chroniqueur et polémiste connu pour son sens pas toujours bienveillant de l'humour et de la formule", est "un personnage public" vis-à-vis duquel "une plus grande tolérance s'impose". La cour relève, par ailleurs, que le rap est "un style artistique permettant un recours possible à une certaine dose d'exagération". Dans la chanson de Youssoupha consacrée aux "difficultés rencontrées par de jeunes banlieusards" en raison de leur origine, le passage incriminé n'excédait "pas les limites admissibles en matière de liberté d'expression artistique", conclut la Cour.
Eric Zemmour avait porté plainte pour injure et diffamation après la diffusion sur Internet de la chanson en question qui figurait sur l'album Sur les chemins du retour. Les paroles incriminées étaient : "A force de juger nos gueules, les gens le savent qu'à la télé souvent les chroniqueurs diabolisent les banlieusards, chaque fois que ça pète on dit que c'est nous, je mets un billet sur la tête de celui qui fera taire ce con d'Eric Zemmour".
Par ailleurs, Eric Zemmour qualifiait le rap de "sous-culture d'analphabètes".

Source

NDLR : perso j'appellerais plutot ça une « menace de mort » mais bon on doit pas avoir la même conception du droit.
Et pendant ce temps, des camarades identitaires sont poursuivis pour « offense au chef de l'état » pour avoir collé une poignée d'affiches proclamant que « Hollande n'est pas mon président » … deux poids, deux mesures …
quant à la qualification de « sous-culture d'analphabètes », on ne peut guère en vouloir à Zemmour ...

Vendredi, le jour de Rivarol

jeudi 28 juin 2012

Défendre l'Honneur de l'armée française en Algérie


Un communiqué de la Nouvelle Droite Droite Populaire :

Depuis des décennies, l’honneur de l’armée française est quotidiennement bafouée par les thuriféraires de la bien-pensance institutionnalisée. La gauche, après avoir incité à la colonisation au XIXe siècle, ne manque jamais une occasion de cracher sur l’œuvre de la France dans son Empire.

En ce cinquantième anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, toutes les opportunités sont bonnes pour dénigrer l’armée française et donner des gages au président algérien Boutéflika. Avec Hollande à l’Elysée, l’aire de la repentance permanente inaugurée sous Chirac a de beaux jours devant elle… Il est plus que temps de réagir.

La Nouvelle Droite Populaire appelle les nationalistes sincères à se joindre samedi prochain 30 juin, à 14 h 00, Place de l’Etoile à Paris (angle avenue Kleber et avenue d’Iéna), à la manifestation patriotique organisée par le Comité de liaison du Mémorial de l’Honneur français pour dénoncer les mensonges et la désinformation orchestrée par le pouvoir et rendre hommage aux soldats morts pour la France en Algérie.

du "printemps arabe" à ... à quoi ?


« Je ne connais pas d’islamisme modéré…il n’y a pas de charia « light »…le droit fondé sur la charia est nécessairement une restriction des droits et des libertés, notamment de la liberté de conscience » avait déclaré le 3/12/2011 Jeannette Bougrab –ancienne secrétaire d’Etat à la jeunesse du gouvernement français. Celle qui fut également présidente de la Haute Autorité de la lutte contre les discriminations et pour l’égalité s’inquiétait –a posteriori- des succès électoraux des partis islamistes en Tunisie, en Egypte et au Maroc.

Quelle naïveté ! Quelle stupidité !

Quiconque aurait attentivement écouté le discours de Barack Hussein Obama au Caire en juin 2009, aurait compris qu’il persévérait sur la même ligne que son prédécesseur Georges W. Bush, malgré quelques citations du Coran et quelques mots attristés sur le sort des Palestiniens. Le rêve d’un Moyen-Orient totalement soumis aux intérêts géostratégiques et économiques du Nouvel Ordre Mondial, qui est incarné par l’OTAN, y est omniprésent.

La politique des USA est une politique visant à créer le maximum de dissensions entre sunnites et chiites dans cette zone. On le constate au Liban, au Yémen, en Tunisie, à Bahreïn et en Syrie, pays où les groupes armés de rebelles anti-régimes reçoivent l’aide de combattants tunisiens, libyens et irakiens, soutenus, entrainés et armés par les Etats-Unis, le Qatar et l’Arabie Saoudite ; ce qui explique que le bataille d’Homs ait été aussi longue.

Depuis des décennies ces mêmes états financent très généreusement toutes les mouvances de type fondamentaliste (salafistes, Frères musulmans, Takfir ou Tablight) et vont les pousser à l’occasion des diverses élections en Egypte en Tunisie ou au Maroc, (l’élection de Mohammed Morsi ce 24 juin au Caire en est la parfaite illustration).

Voilà pourquoi les barbus ont réalisé le rapt du « Printemps arabe » et de la Révolution ( ?) de jasmin.

Les cocus de la place Tahrir pourront maintenant envoyer leurs doléances à la mosquée la plus proche…

En Tunisie les fous de dieu imposent leurs dogmes rétrogrades par la force et les égorgements, et ceux qui hier applaudissaient partout dans le monde à la chute du régime de Zine el-Abidine Ben Ali, pourront toujours se cotiser pour envoyer des burqàs aux femmes tunisiennes…Mais il est quand même nécessaire de se rappeler que ni Amnistie Internationale, ni Human Right Watch, ni aucune autre ONG droits de l’hommiste, n’ont jamais élevé la moindre protestation depuis 30 ans lors des différentes élections présidentielles ou législatives, que ce soit en Egypte ou en Tunisie : TOUS allaient se bronzer sur les plages de Djerba ou visiter la Terre des Pharaons, sans critiques, sans condamnations, sans aucun scrupule !

Souvenons-nous également du 13 juillet 2008 date du lancement de l’Union Pour la Méditerranée (présidée par Hosni Moubarak et dont le secrétaire général était Ben Ali) à laquelle Mouammar Kadhafi et Bachar Al-Assad étaient parties prenantes et dont tous les mondialistes vantaient les mérites…à commencer par N.Sarközy.

En Libye la pagaille règne à tous les niveaux et plus aucune structure administrative n’existe. Le droit tribal a fait sa réapparition et le pays a replongé vers le Moyen-âge avec un Indice de Développement Humain (IDH) qui a reculé au niveau de celui du Zimbabwe … Un grand merci au duo BHL – Sarközy.

Et ce sont les mêmes imbéciles, à la remorque de la politique yankee, qui s’obstinent à ouvrir nos frontières aux miséreux du monde entier ; ces mêmes collaborateurs de l’invasion musulmane qui ont vidé les églises pour remplir les mosquées ; ces mêmes incapables qui autorisent l’importation de produits de mauvaise qualité et à des prix bradés que nos usines sont parfaitement disposées à produire bien mieux et sans devoir licencier leurs ouvriers ; ces mêmes incompétents qui étaient tout à fait informés de la crise financière mais se sont refusés à prendre des mesures de sauvegarde en temps et en heure, de peur de la réaction de leurs électeurs. Ces lâches, corrompus et menteurs sont aussi les responsables de l’islamisation de nos quartiers et de nos villes.

Ils devront être jugés et punis !"

Pieter Kerstens

mercredi 27 juin 2012

Deuil


"Metamag est en deuil. - L’un de ses fondateurs, notre ami Jacques, est mort.

Jacques était connu par les lecteurs de Metamag sous le pseudo qu’il avait choisi : Guilhem Kieffer. Il était connu dans le midi et dans toute la profession journalistique. Il avait été rédacteur en chef d’un hebdomadaire économique local. Il avait également consacré de nombreux ouvrages à cette région qui l’avait accueilli à son retour d’Algérie.

Il s'était dévoué à la formation de la jeunesse autour des valeurs de la nature et des authenticités dans des mouvements de scoutisme européen.

C’est dans la préparation d’un de ces solstices et feux de la saint jean qu’il aimait tant, qu’il a été victime d’un accident. Un stupide accident. Un arbre qu’il venait de couper lors d’un transport vers « les feux de la joie « a écrasé jacques dans une chute fatale et cette fois sa tête dure n’a pas résisté au choc.

Il est mort au cœur de sa fête préférée, victime de cette nature qu’il aimait tant. Il aura eu droit à une veillée exceptionnelle d’hommage. Il aurait pu choisir cette fin dans la plus longue nuit de l’année.

Il était l’une des âmes de Metamag. Il avait voulu la ligne éditoriale de ce site, « critique et ouvert aux journalistes libres de toutes tendances ». Il avait ses convictions et y restait attaché, il était aussi polythéiste convaincu, un druide aujourd’hui et maintenant.

Ah je sais, il va nous dire qu’il ne fallait pas trop en parler, …. Mais jacques nous sommes bien au delà de tout cela et Metamag n’a de compte à rendre qu’à ses lecteurs et à ses convictions déontologiques au delà des engagements de chacun qui ne regarde que ceux qui les partagent.
Ici grâce à toi toutes les plumes qui le souhaitent dans le respect de la ligne éditoriale que nous avons codifiés et que chacun peut consulter, s’expriment.

Jacques était un perfectionniste et parfois un « emmerdeur ». Il traquait le détail jusqu’à la maniaquerie parfois, provoquant des engueulades homériques dans notre petite équipe devenu grande.

Tu es irremplaçable et pourtant nous allons continuer sans toi, pour toi pour nous, pour vous tous qui appréciez ce site dans ses diversités contre tous les monothéismes de la pensée unique et du sectarisme idéologique.

Jacques est parti ! Il doit maintenant festoyer aux cotés des anciens dieux pour parler à l’infini des mythes fondateurs et des hommes authentiques et fiers de leur passé. Il veille sur sa femme et ses chers enfants.

A l’aurore aux doigts de rose, quand le soleil invaincu se lève, si vous voyez passer la haut dans le ciel un vol d’oies sauvages – regardez bien - Jacques notre confrère et pour certains notre ami et camarade fait obligatoirement parti du vol. Il l’a bien mérité."

L’Equipe de Metamag

source


lundi 25 juin 2012

Soleil invaincu !





Pour ce premier Solstice enraciné depuis la renaissance de la Bannière TP Poitou-Charentes, nous étions une quarantaine à avoir répondu à l'invitation de T. samedi quelque part en Poitou.
Un peu moins nombreux le lendemain à l'aube, nous étions pourtant encore quelques uns pour assister à la renaissance de l'astre invaincu après une nuit passée devant le feu nourri par de chaleureux échanges et par nos chants communautaires.

(merci à Robert pour les photos)

samedi 23 juin 2012

Droite en France : « Le clivage passe entre populistes et médiagogues »


La notion de « droite » a-t-elle encore un sens en France ? Non s’il s’agit d’opposer le PS et l’UMP. Car le véritable clivage oppose les populistes à l’écoute de l’électorat aux médiagogues à l’écoute des médias. Oui, s’il s’agit de distinguer et d’analyser les comportements électoraux. Et sur le fond la notion de droite garde un sens : l’attachement aux racines, à la continuité et à la tradition. La droite, c’est aussi un tempérament, une attitude et des valeurs : celles du LIS, des libertés, de l’identité et de la souveraineté. Voici les réponses de Jean-Yves Le Gallou à Éric Letty de Monde et vie.
Polémia

M&V : La présidentielle et les législatives montrent une nouvelle fois que l’union de la gauche est possible, alors que, dans les faits du moins, celle des droites ne l’est pas. « Nos valeurs ne sont pas les mêmes », affirment les appareils pour s’en justifier. Finalement, parler de droite a-t-il encore un sens ?
Jean-Yves Le Gallou : Cela garde un sens sur le plan des idées, mais plus beaucoup sur celui des oppositions entre appareils partisans. On peut encore parler des idées de droite, mais je ne crois pas que l’on puisse assimiler le PS à la gauche, ni l’UMP à la droite, ces deux partis se situant dans un mouchoir de poche idéologique: l’un et l’autre sont favorables au libre-échange, à l’ouverture des frontières, à l’immigration… En revanche, leurs électorats diffèrent. L’électorat de base de la gauche est constitué par les minorités ethniques, les élites mondialisées et urbanisées, celui de la droite par les périphéries et les classes populaires et moyennes. En fait, le vrai clivage ne passe pas entre les appareils politiquement corrects du PS et de l’UMP, qui ne sont ni de droite, ni de gauche et communient dans le même politiquement correct, mais entre les populistes et les médiagogues.
Comment les définissez-vous ?
Le populiste est à l’écoute de l’électorat, le médiagogue à l’écoute des médias. Les médiagogues savent qu’aujourd’hui, pour devenir ministre ou être élu président de la République, il faut être sélectionné par les médias et tenir le discours qui leur plaît et qu’ils attendent. Or, les dirigeants politiques UMP, et même, dans une moindre mesure, ceux du Front national, sont amenés à passer beaucoup de temps avec les gens des médias, vecteurs de l’idéologie dominante. Les campagnes électorales – c’est leur bon côté – les contraignent à reprendre contact avec les réalités et les valeurs du peuple. C’est ainsi que Nathalie Kosciusko-Morizet, qui aime pourtant les journalistes, leur a interdit de l’accompagner pendant sa campagne électorale, les propos qu’elle allait devoir tenir à ses électeurs risquant de leur déplaire.
Selon-vous, qu’est-ce qui différencie fondamentalement, sur les valeurs, la droite de la gauche, et l’homme de droite de l’homme de gauche ?
La droite est attachée aux racines, à la continuité et à la tradition, tandis qu’à gauche prévaut toujours la logique de la table rase. C’est pourquoi l’UMP ne peut pas être située à droite lorsqu’elle tient un discours « moderniste ». La droite accepte les différences et refuse l’égalitarisme et le nivellement sous toutes ses formes : hommes/femmes, catholique/musulman, blanc/noir, Français/Anglais… Quant à la différence entre l’homme de droite et l’homme de gauche, je dirai que l’idéal de l’homme de droite est celui du héros tragique, pour qui il importe de bien se tenir et qui privilégie les valeurs d’honneur, de droiture, à l’opposé du monde marchand. Il se heurte en effet à la domination absolue de ce monde marchand, qui refuse et gomme toutes les différences à l’exception de celles créées par l’Argent.
L’homme de gauche, quant à lui, revendique une certaine justice, qui risque toujours de se transformer en égalitarisme.
L’expression utilisée par Guy Mollet : « la droite la plus bête du monde », a fait florès. Il est admis que les intellectuels sont de gauche et que la droite n’a pas d’idées, elle gère la boutique. Qu’en pensez-vous ?
C’est doublement faux. Premièrement, la droite n’est pas gestionnaire. Les deux tiers de la dette française sont dus à des gouvernements UMP, qui se prétendaient de droite. Au cours des cinq dernières années, Fillon et Sarkozy ont creusé un trou de 600 milliards d’euros : peuvent-ils après cela prétendre être de bons gestionnaires ? Deuxièmement, je ne suis pas du tout convaincu qu’en France l’intelligence soit de gauche : n’oublions pas que notre seul prix Nobel d’économie, Maurice Allais, l’homme qui avait annoncé la crise économique avec vingt d’avance, était de droite.
Les intellectuels qui sont médiatisés sont de gauche, ce qui n’est pas pareil : ainsi, quantité de faussaires, comme B-H.L., Jacques Attali, ou le démographe Hervé Le Bras sont régulièrement invités sur les plateaux des télévisions. Mais je suis frappé par le nombre d’authentiques intellectuels qui sont en train de basculer à droite, comme Richard Millet, qui s’interroge sur la perte de sens et dénonce l’« immigration massive en Europe de peuples extra-européens », en rupture radicale avec le discours dominant ; le géographe Christophe Guilluy, qui a travaillé sur la fracture entre la périphérie et le centre urbain ; la démographe Michèle Tribalat ; Régis Debray, qui revient au concept de frontières ; en philosophie, Chantal Delsol, Philippe Nemo, Jean-François Mattéi ; en géopolitique, Aymeric Chauprade ; dans le domaine artistique, Jean-Louis Harouel, Jean Clair, Michel Maffesoli, Aude de Kerros, Christine Sourgins… On assiste aujourd’hui à une révolte des intellectuels contre le système dominant, mais les médias étouffent leur voix. La seule émission qui les reçoive, celle de Frédéric Taddéi sur France 3, a vu son temps de parole divisé par quatre – et ce n’est pas un hasard. Les vrais intellectuels sont de droite – mais sont placés sous l’étouffoir.
Sur quels thèmes et quelles valeurs pensez-vous que la droite puisse aujourd’hui se refonder ?
Le lis : Libertés, Identité et Souveraineté !

Propos recueillis par Eric Letty
Pour Monde et vie
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vendredi 22 juin 2012

On flingue à tout va chez les écolos ...

La secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts, Cécile Duflot et le député européen Daniel Cohn-Bendit , en conférence de presse le 30 janvier 2012 à Paris Bertrand Guay afp.com
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Daniel Cohn-Bendit livre, dans un entretien à Libération , un réquisitoire très dur contre Europe Ecologie-Les Verts, tout en menaçant de quitter le parti.
«On existe à l'Assemblée, au Sénat et au gouvernement, mais plus dans la société. Nos succès institutionnels ne sont pas accompagnés, bien au contraire, d'une dynamique citoyenne. Notre image est devenue détestable. Nous avons échoué là où on voulait redonner espoir en faisant de la politique autrement. Aujourd'hui, nous incarnons souvent l'insoutenable légèreté de l'arrivisme», assène «Dany» dans cet entretien.

«Le plus détestable a été la course aux maroquins ministériels»

Daniel Cohn-Bendit, régulièrement critique contre sa formation, souligne le comportement de la secrétaire nationale d'EELV - qui a quitté ses fonctions : «Quand on (la) voit par exemple, dans un documentaire, brandir son stylo en jurant qu'elle ne signera jamais un accord avec le PS sans la sortie du nucléaire, et qu'évidemment on le signe quand même car c'est un bon accord, cela est dévastateur.»
«Le plus détestable a été la course aux maroquins ministériels, y compris chez mes propres amis», lance-t-il, alors que Cécile Duflot ou le patron des sénateurs écologistes Jean-Vincent Placé avaient fait amende honorable, quelques jours avant l'annonce du premier gouvernement de Jean-Marc Ayrault, pour «l'image de chasse aux portefeuilles» qu'ils avaient donnée, selon les mots de Vincent Placé.

Placé, «trop occupé à trouver un ministère»

«Chef de clan, elle impose l'intérêt de ses pairs comme l'intérêt commun», poursuit Daniel Cohn-Bendit à l'égard de Cécile Duflot.
Il reconnaît toutefois à Cécile Duflot «une capacité hors du commun à s'imposer dans l'organisation» et lui décerne un satisfecit pour sa défense de la dépénalisation du cannabis: «Je l'ai défendue. J'ai été un des rares à monter résolument au créneau.» Et «Dany» de tacler Jean-Vincent Placé, proche de Cécile Duflot, qui ne l'a selon lui pas défendue, «trop occupé qu'il était à trouver un ministère».

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Nadine Morano n'est pas raciste : sa meilleure amie est plus noire qu'une arabe...


Hier soir, Nadine Morano, ex-ministre UMP, s'est défendue d'être raciste, citant à l'appui ses amis "qui sont arabes" et, notamment, sa "meilleure amie qui est tchadienne, donc plus noire qu'une arabe". Stupéfiant !

"Me faire passer pour quelqu'un qui serait raciste, alors que j'ai des amis qui sont justement arabes, et dont ma meilleure amie qui est tchadienne, donc plus noire qu'une arabe, je trouve ça choquant", s'est indignée Nadine Morano sur France 5.

"C'est choquant, vous savez pour qui ? Pour ma famille, que je dois protéger. Moi aussi, j'ai des enfants. Dans quelques jours, je vais avoir un petit-fils. Je n'ai pas envie qu'on laisse croire que Nadine Morano est raciste, parce qu'ils savent très bien que ce n'est pas vrai. Tout ça fait du dégât. Ça fait mal au coeur", a déploré l'ex-ministre de l'Apprentissage.

Ndlr : ça n'a pas l'air de la gêner, en revanche, de passer pour une imbécile ...

Vendredi, le jour de Rivarol

mercredi 20 juin 2012

"Les Bleus auraient pu aller visiter Auschwitz" ?


Le président du Crif (Conseil représentatif des institutions juives) Richard Prasquier est en rogne : il regrette que l' équipe de France n' ait pas profité de sa présence à l' Euro 2012 co-organisé par la Pologne et l' Ukraine pour visiter le camp d'"extermination" d' Auschwitz. Ou à tout le moins l' envisager.
"Comme l' Italie, l' Allemagne et les Pays-Bas, l' équipe d' Angleterre s' est déplacée à Auschwitz et cela ne l' a apparemment pas empêchée de jouer correctement trois jours plus tard. La France ne l' a pas fait et ne compte pas le faire", a déploré M. Prasquier dans un éditorial publié sur le site internet du Crif.
Relevant que l' équipe de France est établie à Donetsk en Ukraine "à 1373 km d' Auschwitz", alors que les Anglais et les Italiens sont installés à Cracovie, à une soixantaine de km du camp, M. Prasquier a néanmoins estimé qu' il était "choquant" que le voyage n' ait pas été envisagé.
"Il est vrai que la France jouera ses matches en Ukraine, jusqu' à la demi-finale, si elle y parvient, et que le voyage est plus long. Mais l' avion raccourcit les distances et le fait même que la visite ne semble pas avoir été envisagée est choquant", a ajouté le président du Crif soulignant le "rôle de modèle des grands footballeurs auprès des jeunes".
Il a appelé les dirigeants du football français, une fois l' Euro passé, à conduire une visite au Mémorial de la Shoah qui se trouve à Paris.

L' Angleterre, qui a fait match nul lundi face à la France à Donetsk (1-1) dans le groupe D est la dernière des sélections à avoir visité vendredi dernier l' ancien camp de la mort nazi d' Auschwitz-Birkenau, dans le sud de la Pologne, après les visites de délégations allemande, italienne, néerlandaise, la semaine dernière.


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ndlr : mais quand nous débarrassera -t-on, enfin, de ces nuisibles ?!?!?!?!....

Tous à Lyon samedi

Réfléchir & Agir n°41


mardi 19 juin 2012

Grèce : nouvelle victoire des nationalistes radicaux

Il y a un mois environ, les nationalistes radicaux grecs du mouvement Aube dorée avaient surpris tout le monde et déclenché un séisme politique en atteignant les 7 % aux élections législatives, enterrant au passage le parti patriotique.
Depuis, le mouvement a bien sûr été victime d’une intense campagne de propagande médiatique : vieux dossiers sortis des placards, insinuations en tout genre, incidents montés en épingle (porte-parole du mouvement ripostant énergiquement à deux députés communistes à la télévision, président expliquant que la Shoah est une foutaise, journalistes obligés de se mettre au garde-à-vous devant lui), etc.

Aucune coalition de gouvernement ne sortant du parlement, de nouvelles élections législatives ont été organisées avant hier. Tous les journaleux et sondeurs expliquaient que le parti nationaliste allait s’effondrer, les électeurs s’étant suffisamment défoulés la première fois, ou s’étant fait berner mais ayant depuis découvert l’horrible vérité sur l’Aube dorée…

Que nenni : le mouvement nationaliste a réitéré son score de 7% (contre 0,3 % en 2009 !), obtenant 18 députés.
Une stratégie de radicalité, de fermeté, de force et d’action sociale qui porte ses fruits.

« Le vote d’aujourd’hui prouve que le mouvement nationaliste est enraciné », a déclaré le chef du mouvement Nikolaos Mihaloliakos dans une allocution télévisée. « Aube dorée représente la Grèce du futur. »
« J’adresse mes plus sincères condoléances à tous ceux qui ont tenté non seulement de réduire la base d’Aube dorée mais aussi de l’empêcher d’entrer au parlement: mesdames, messieurs, vous avez perdu. Vous comme les intérêts que vous représentez , a-t-il poursuivi, le combat contre vous continue, le combat contre la désinformation du peuple grec continue. »

source

ndlr : on ne trouve pas ces infos n'importe où. Au contraire, c'est même le grand silence qui règne sur le sujet, tout le monde parle des autres composantes, beaucoup plus "correctes", du nouveau gouvernement grec, mais Aube dorée, après avoir fait les Unes haineuses des médias à la botte, semble ne plus exister pour ceux qui veulent nous imposer leur manière de penser. A croire que de ne plus parler d'un fait quelconque le fait disparaitre. Erreur ! le combat continue !

Le Dictionnaire des Polémistes

Tout au long de l’année 2011, Robert Spieler a proposé aux lecteurs de Rivarol, l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne, une série d’articles consacrés aux polémistes qui marquèrent l’histoire de la presse depuis la Révolution française, jusqu’au milieu du XXe siècle. Il reprend ainsi le travail effectué par Pierre Dominique dans son ouvrage publié au début des années 60 (et aujourd’hui épuisé) Les Polémistes français depuis 1789.
Ce Dictionnaire des polémistes rassemble tous ces articles. Vous retrouverez ici les grands noms qui, en leur temps, marquèrent les esprits. Ils n’hésitaient pas à dénoncer les puissants du moment. Beaucoup parmi eux payèrent très cher leur engagement. Aujourd’hui, la liberté d’expression se heurte encore aux ukases du politiquement correct et, comme hier, des lois liberticides, beaucoup plus insidieuses sans doute, empêchent les vrais polémistes de s’exprimer…
Robert Spieler, ancien député, fondateur d’Alsace d’abord, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, est aussi l’un des journalistes de l’hebdomadaire Rivarol. Chaque semaine il décortique avec délectation et cynisme l’actualité dans sa fameuse Chronique de la France asservie et résistante.
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lundi 18 juin 2012

A gauche tous ! Les journalistes français et leur quête éperdue du prolétaire perdu


Un sondage réalisé par Harris Interactive pour le magazine Médias révèle que 74% des journalistes ont voté François Hollande au second tour de la présidentielle. Pourquoi les journalistes sont-ils si nombreux à se dire de gauche ?

André Bercoff : Je ne peux pas dire que cela me surprenne. C’est une tradition qui date pratiquement de la Libération. Sans rappeler ce qui s’est passé, je m’amuse de la classification collabo à droite et résistant à gauche qui est tout à fait fallacieuse. Il suffit de lire un certain nombre de bouquins pour savoir que c’était beaucoup plus complexe.
Ensuite, il y a eu différentes strates qui ont confirmé la tendance : Guerre de libération nationale, guerres du tiers-monde, la culpabilité coloniale, l’empreinte extrêmement forte du marxisme, puis dans une autre mesure du maoïsme. Toute cette doxa a conduit à ce que j’appelle une « schizophrénie heureuse ». En d’autres termes, je vis avec tous les avantages du système mais je pense « antisystème ». Peu importe comment je vis, puisque je me proclame dans le bon camp, le camp progressiste, celui du « bien ». C’est ce que Philippe Muray appelait les rebelles de confort ou les « mutins de panurge ».
Un exemple : quand on dit aux apôtres de l’altermondialisme que, grâce à la mondialisation, il y a aujourd’hui une classe moyenne en Chine et en Inde et que ces pays-là sortent petit à petit de la pauvreté, on a l’impression que tous ces gens qui devraient être pour l’internationalisme des peuples se foutaient un peu du fait que ces populations vivaient dans une misère noire. C’est un paradoxe intéressant. La réalité se réalise selon mon regard et mes lunettes. Si cela ne correspond pas, je ne change pas de lunettes, je change de réalité…
Evidemment, les journalistes qui ont voté pour François Hollande ne sont pas tous des « schizophrènes heureux » et on peut parfaitement avoir voté pour le président de la République pour de bonnes raisons.

Où placez-vous mai 68 dans tout cela ?


Les soixante-huitards, c’était encore une autre forme. La réalité anarchico-existentielle de mai 68, qui était beaucoup plus situationniste qu’autre chose, a été récupérée par les bureaucrates staliniens, maoïstes et trotskystes et ensuite les bureaucrates du Parti socialiste.
Les journalistes n’ont pas tous été imprégnés de la même manière par ces évènements. Comment cela s’est-il transmis à la génération des trentenaires et des quarantenaires ?
On retrouve effectivement cette posture chez la génération qui suit. Cela s’est transmis par le fait que, comme toutes les révolutions ont échoué, il fallait à tout prix garder la posture. Comme le capitalisme n’a jamais autant fleuri et comme on voyait que sur le plan pratique aucune des utopies ou des objectifs ne se sont réalisés, il fallait d’autant plus garder cette posture.
Evidemment, on n'est plus communiste stalinien comme en 1950 mais plutôt dans une certaine mouvance symbolisée par les droits de l’homme et l’antiracisme. A chaque fois, comme le prolétaire les fuyait, partait sans laisser d’adresse, il fallait trouver de nouvelles incarnations du prolétaire : l’immigré, le sans-papiers. Et le petit peuple français est désormais considéré comme beauf. En gros, on retrouve les sans-papiers contre les « Dupont Lajoie ».
Si François Hollande a été élu président de la République, la France reste néanmoins un pays marqué à droite. Est-ce le signe d’un divorce entre les Français et les journalistes ?
Les « terrifiants pépins de la réalité » sont là. A un moment donné, les gens se rendent compte de la présence d’un certain nombre de problèmes. Même si quand Eric Zemmour, Ivan Rioufol ou Elisabeth Lévy commencent à donner de la voix c’est tout juste s’ils ne sont pas tous considérés comme des agents électoraux de Marine Le Pen.
Pour changer cela, il est vraiment temps de reconsidérer les notions de gauche et de droite. Je trouve fascinant qu’aujourd’hui on parle de la gauche et de la droite avec des grilles de lecture vieilles de 50 ans. Les repères ont complétement changé. La mondialisation ne peut-elle pas être à gauche pour la Chine ou l’Inde ? Est-ce que le fait que ces deux pays sortent de leur misère initiale est de gauche ou de droite ? Les gens de gauche vous diront : « jamais de la vie, c’est le capitalisme le plus immonde qui a fait cela ». Mais alors, comme le dit bien Gaspard Proust : « Comment se fait-il que, quand l’Europe de L’Est s’est libérée, tous les gens n’aient pas foncé vers l'est ? »
source

vendredi 15 juin 2012

NRH Hors Série n°4 : L' Algérie, Histoire d'une terre tragique

Éditorial de Dominique Venner

Des motifs de fierté

L’Algérie fut une invention française. Elle doit sa relative unité à ses conquérants. Les Romains lui accordèrent l’appellation géographique de Numidie qui s’étendait à tout le Maghreb. À la suite des Romains et des Byzantins, les conquérants successifs donnèrent à diverses fractions de territoires plusieurs noms. Sous Louis XIV, pour la région d’Alger, on parlait d’un repaire de Barbaresques, et à la veille de la conquête française, le terme de Régence turque s’était imposé. Il fallut attendre une première instruction du ministère français de la Guerre, le 14 octobre 1838, huit ans après la prise d’Alger en 1830, pour suggérer l’emploi du mot «Algérie» en remplacement de toutes les dénominations antérieures. Une nouvelle instruction du 14 octobre 1839 officialisa définitivement la nouvelle appellation pour désigner les territoires soumis à la France.

Longtemps, la République française refusa la qualification de «guerre» aux violences qui ont déchiré l’Algérie de 1954 à 1962. On parlait alors des «événements», de la «rébellion» ou des «opérations de maintien de l’ordre». Par son vote du 10 juin 1999, l’Assemblée nationale a cependant officialisé l’expression «guerre d’Algérie».

Ce que fut cette guerre, ses causes les plus lointaines et ses conséquences, le nouveau dossier Hors Série (n° 4) de La Nouvelle Revue d’Histoire le dit avec une liberté qui se fait rare. Ce fut une petite guerre cruelle, sans aucune comparaison avec les batailles géantes des deux grandes guerres mondiales. Pourtant, cruelle, elle le fut dès l’origine, par intention délibérée de ceux qui voulaient chasser les Français et supprimer les nombreux indigènes francisés. Ceux que l’on appela les «rebelles», puis les «nationalistes» avaient été marqués par une double influence, celle d’un islam combattant qui a toujours privilégié la violence, et celle du léninisme qui avait théorisé l’usage de la terreur comme méthode pour s’emparer des masses. En l’occurrence, il s’agissait des masses musulmanes. Le but était de les arracher à l’influence française et de susciter un climat de haine « raciale » à l’encontre des Européens et des assimilés. Tout fut bon, l’égorgement collectif, la castration, l’éviscération, la section des mains, du nez, des oreilles, le massacre des femmes et des nouveaux-nés. Le pays fut ainsi plongé dans un délire de sauvagerie, avec la bénédiction des divers clergés laïcs et religieux d’une France devenue malade du péché d’exister.

Cette guerre, la France et les Français ne l’avaient pas voulue. Elle leur fut imposée par ceux qui la désignèrent comme ennemie. Elle leur fut imposée aussi par l’évolution générale du monde à la suite du siècle de 1914 et des deux guerres mondiales qui avaient entrainé un vertigineux recul historique de l’Europe. Après coup, pour nous qui connaissons la fin d’une histoire que les acteurs ne connaissaient pas, il est assez facile de pointer les erreurs multiples commises au fil du temps par la France et ses représentants. Dans ce procès, on omet cependant deux réalités pesantes. On oublie tout d’abord la présence ancienne d’une communauté française ou européenne d’un million de personnes de tous âges et de conditions souvent très modestes que l’on ne pouvait supprimer que par indifférence cynique ou cruauté délibérées.

On oublie ensuite que cette malheureuse France et ces malheureux Français, dont il est convenable de dire tant de mal concernant l’Algérie, ont résisté plus qu’aucun ancien colonisateur européen à leur abaissement historique. Selon le point de vue adopté, on peut voir dans cette résistance un aveuglement coupable et dérisoire ou la manifestation d’un refus exemplaire d’abdiquer. Entre 1960 et 1962, la révolte à grands risques de tant de généraux et d’officiers contre l’État qu’ils avaient appris à servir sans discussion, fut d’une ampleur sans équivalent dans nos annales. Il faut s’en souvenir, tant le fait est exceptionnel. Et peu importe que cette révolte ait été mal pensée ou mal conduite. Je crois pour ma part que, dans une époque de déclin, cette révolte fut une manifestation de santé dont un pays peu tirer de la fierté et des raisons d’espérer.

Vendredi, le jour de Rivarol

jeudi 14 juin 2012

Des graffitis antisionistes à Jérusalem

Une douzaine de graffitis antisionistes "remerciant Hitler" de près de deux mètres de haut ont été découverts lundi à l'intérieur de Yad Vashem, le mémorial de la Shoah à Jérusalem. Parmi ces graffitis figurent des inscriptions telles que : "Si Hitler n'avait pas existé, les sionistes l'auraient inventé" et "Merci Hitler pour cette merveilleuse Shoah, c'est uniquement grâce à toi que nous avons obtenu un État de la part de l'ONU", en référence à la création d'Israël en 1948, à l'issue de la Seconde Guerre mondiale. On peut également lire : "Les sionistes ont amené la Shoah" et "Les guerres des sionistes ne sont pas celles du peuple juif".
La direction de Yad Vashem a évoqué la possibilité que ces actes soient le fait d'extrémistes juifs ultra-orthodoxes antisionistes, très minoritaires mais actifs dans certains quartiers religieux. Sept de ces graffitis peints en blanc et rouge ont été retrouvés sur des murs autour du mémorial dédié aux combattants du ghetto de Varsovie. D'autres ont été inscrits près d'un wagon de chemin de fer symbolisant le déportation des Juifs par les nazis. Une enquête a été ouverte, a indiqué le porte-parole de la police, Micky Rosenfeld, ajoutant que la police "ne privilégie aucune piste". Le mémorial de Yad Vashem, à Jérusalem, est consacré à la mémoire des six millions de Juifs victimes du génocide nazi.
Harédi
Une petite minorité d'activistes ultra-orthodoxes, antisionistes virulents, dénoncent régulièrement ce qu'ils considèrent comme une exploitation de la Shoah pour justifier la création de l'État d'Israël, qu'ils rejettent absolument. Selon eux, l'établissement d'un État juif en Palestine n'aura de légitimité qu'après la venue du Messie. Ce courant rassemble quelques centaines de familles à Mea Shearim, quartier ultra-orthodoxe de Jérusalem, et il est très controversé au sein même de la mouvance juive ultra-orthodoxe.
Le directeur de Yad Vashem, Avner Shalev, a évoqué cette piste et laissé entendre à la radio militaire que cet acte de vandalisme avait sans doute été commis par des extrémistes ultra-orthodoxes juifs. "Une des inscriptions est signée le judaïsme harédi mondial", a affirmé Avner Shalev. Le terme "harédi" (les "craignant Dieu" en hébreu) fait référence à la communauté des ultra-orthodoxes. Avner Shalev a rappelé que dans le passé de petits groupes ultra-orthodoxes s'étaient "livrés à des attaques féroces contre le sionisme et l'État d'Israël". Avec cet acte de vandalisme "sans précédent, une ligne rouge a été franchie", a ajouté Avner Shalev, en précisant que la police examinait les vidéos tournées par les caméras de surveillance disséminées à Yad Vashem.
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Israël expulse ses clandestin


Les autorités israéliennes commenceront dimanche l'expulsion de centaines d'immigrants africains en situation irrégulière, sud-soudanais pour la plupart, a annoncé mercredi le ministère de l'Intérieur."Nous en avons environ 150 pour le moment" pour le premier vol affrété dimanche, a déclaré à l'AFP une porte-parole du ministère, Sabine Hadad, indiquant que les services d'immigration tentaient d'en organiser d'autres. Près de 300 immigrés clandestins ont accepté une proposition de "retour volontaire" assortie d'une incitation de 1.000 euros par adulte, selon le ministère. En outre, au moins 240 étrangers en situation irrégulière ont été appréhendés depuis dimanche --la plupart originaires du Soudan du Sud-- dans le cadre d'une opération spéciale en vue de leur expulsion. Le gouvernement israélien a décidé d'expulser 1.500 Sud-Soudanais en situation irrégulière après avoir reçu le feu vert de la justice la semaine dernière. La présence en Israël de quelque 60.000 immigrés clandestins, la plupart venus de la Corne de l'Afrique via le Sinaï égyptien, a provoqué en mai des violences racistes qui ont divisé le pays.
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mercredi 13 juin 2012

GI’s, La face cachée des Libérateurs (1942-1945)



Nous avons grandi « avec cette image pratiquement immaculée des libérateurs, des héros venus libérer la France et se faire tuer « pour nous », c’est l’image qui nous est transmise et pas celle de bidasses envoyés après des transactions qui ouvraient les portes du pays à des financiers peu scrupuleux, mais ceci est un autre débat. Voilà un documentaire qui écorne largement le cliché du GI héroïque et qui revient sur les 17 000 femmes et enfants violés en France, en Angleterre et en Allemagne!
Soixante ans après la Libération et au risque de ternir l’image heureuse des GI’s, ce documentaire lève le voile sur une face obscure de l’armée américaine et cherche à comprendre les viols et crimes commis par certains soldats américains en Angleterre, en France et en Allemagne de 1942 à 1945.

Patrick Cabouat a tourné ce documentaire en s’appuyant sur l’ouvrage du professeur américain J. Robert Lilly « La face cachée des GI’s », dont l’édition originale en français n’a jamais été publiée en anglais et le livre demeure interdit à la vente sur le territoire américain.

Grâce à des documents d’époque marqués « confidential », « restricted » ou « classified », Lilly confirme que 17 000 femmes et enfants auraient ainsi été victimes des viols commis par les GI’s en Angleterre, en France et en Allemagne. Sans compter les meurtres, les mutilations, les enlèvements, le chantage, le pillage, le grand banditisme… et les 95 % de viols non déclarés.

J. Robert Lilly est professeur de sociologie et de criminologie à la Northern Kentucky University, aux États-Unis, et professeur invité de sociologie et de politique sociale à l’Université de Durham, en Grande-Bretagne.


Bibliographie :
- J. Robert Lilly, la face cachée des GI's. Les viols commis par des soldats américains en France, en Angleterre et en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale. Payot, coll. Histoire."

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mardi 12 juin 2012

Aider la Desouchière


Cet été encore, et pour la quatrième année consécutive, des dizaines de bénévoles se retrouveront sur le chantier de rénovation des locaux occupés dans la Nièvre par l'association "Des racines et des elfes", initiatrice du projet "La Desouchière".

L'association recevra durant 3 mois le concours de volontaires de tous horizons, leur offrant le gite et le couvert contre leur participation bénévole aux travaux. Le plus gros chantier de l'été 2012 consistera à réaliser un bloc sanitaire complet, l'objectif a court terme étant de pouvoir assurer l'accueil de groupes de sympathisants tout au long de l'année, dans un cadre chaleureux et convivial, pour des séances de travail, de formation ou de détente. Un premier dortoir sera également finalisé et des travaux seront menés sur les abords des locaux.

Cette initiative, l'une des plus avancées du genre en France mérite le soutien de tous ceux qui veulent poser les jalons du renouveau de notre civilisation car elle est exemplaire. Née de l'initiative de quelques camarades, totalement indépendante, elle a su assurer au fil du temps sa pérennité et sa croissance malgré des moyens dérisoires face à l'ampleur de la tâche à mener.

Aujourd'hui, pour assurer le financement des travaux en cours et l'accueil des bénévoles, il manque environ 2.000 euros à l'association "Des racines et des elfes".

Vous pouvez l'aider à franchir ce cap par vos dons en vous rendant sur le site http://maisondeselfes.desracinesetdeselfes.com .

Vous y trouverez également d'autres moyens d'apporter votre soutien, par exemple en vous joignant vous aussi aux volontaires de l'été. Vous êtes le bienvenu.

Quelque soit l'aide que vous pourrez apporter, elle sera appréciée n'en doutez pas

lundi 11 juin 2012

la communaute ou le cauchemar du systeme par zentropa

Tribune libre

L’atomisation sociétale, l’anomie sociale, la guerre de tous contre tous et l’extrême individualisation égoïsto-nombriliste des existences contemporaines ne sont pas des « dommages collatéraux » de la société capitalisto-marchande, les symptômes de maux superficiels qui pourraient être guéris par des « ajustements » du système, ce sont tout au contraire le substrat, la matière première et le carburant du monde libéral.


L’oligarchie financiaro-mercantile ne peut en effet régner que sur un conglomérat d’individus séparés, isolés, concurrents les uns des autres en tous domaines (emploi, sexualité, sentimentalité, consommation, représentations symboliques…) et n’ayant pas d’autre horizon que la poursuite de leurs intérêts particuliers et la satisfaction de leurs désirs matériels. C’est pour cela que la bourgeoisie financière, avec l’appui actif et empressé des idiots utiles de la gauche « libérale/ libertaire », n’a jamais eu de cesse que de faire disparaître toutes les entités collectives et les corps intermédiaires qui séparaient encore l’individu du Marché (corporations, syndicats, églises, familles, nations…).

Car le cauchemar du système de l’individu-roi, déraciné et interchangeable, défini uniquement par sa capacité de consommation, porte un nom, celui de « communauté ».

La communauté est un groupement humain rassemblant des individus qui veulent être acteurs et non spectateurs de leur existence, qui ont compris qu’il n’y a ni espoir ni avenir dans la « délégation » du politique à des « élites » expertocratiques qui ne servent jamais que leurs propres intérêts de classe.

A l’opposé du « héros solitaire », notamment vanté par la littérature commerciale et les représentations cinématographiques hollywoodiennes, qui s’oppose au monde au nom de son exceptionnelle singularité, le membre d’une communauté sait que ce n’est que par l’action collective, l’union des qualités et des talents, la collaboration des caractères et des volontés que l’on peut trouver des issues à l’impasse contemporaine et bâtir des alternatives concrètes et durables au suicide général qu’est la mondialisation libérale.

La communauté n’est ni un ghetto ni un refuge, c’est un camp de base, fortifié sur ses fondations mais ouvert sur le monde, un point de ralliement et d’organisation aujourd’hui indispensable à toute perspective de résistance et de reconquête. La communauté c’est l’interdépendance au service d’un projet commun.

Si la communauté se nourrit de la proximité ethnico-culturelle, fruit de la lignée et de l’enracinement historique, elle ne se limite nullement à elle puisque ce qui en fait à la fois la force, la spécificité et le dynamisme est le fait d’incarner des valeurs élevées et exigeantes mais dans lesquelles, potentiellement, tout homme libre, fier et aimant peut se reconnaître.

Ainsi si la communauté offre une nécessaire image d’homogénéité, c’est une homogénéité « plurielle » c’est-à-dire qui associe la diversité des individus, des parcours, des origines et des caractères à un socle moral et politique commun et des objectifs partagés. C’est donc avant tout une homogénéité d’esprit, de vues, d’aspirations et d’espoirs.
Le Larzac plus l’Ordre

Le système se moque des contestations qui ne sont que sonores ou visuelles, des agitations vociférantes, des slogans et des palabres. Il les recycle même avec une déconcertante facilité, les transformant bien souvent en nouvelles micro-niches commerciales nourrissant généreusement le supermarché global. Tant que ses prétendus adversaires continuent à suivre ses programmes télé, à fréquenter ses centres commerciaux et ses agences de voyages, à intégrer ses codes esthétiques et son imaginaire et à apporter leur écot à l’organisation bancaire (épargne, emprunts, assurances-vie…), ils peuvent bien pondre tous les manifestes, tous les fanzines, tous les pamphlets qu’ils souhaitent, ils peuvent même organiser trois fois par an tous les saccages anti G20 ou G8 qu’ils désirent, le système s’en moque éperdument, et même s’en pourléche, pouvant ainsi agiter l’épouvantail factice d’une virulente et redoutable « opposition ».

Aujourd’hui, la seule réelle crainte du système est clairement le retrait et le court-circuit, c’est-à-dire le fait pour des individus, regroupés et organisés au sein de communautés, de rompre non pas avec les superficialités du temps mais avec les fondements de l’époque : la consommation, l’industrie du divertissement et l’omniprésence financière. Il suffit pour s’en convaincre de constater le mépris hargneux de la « gauche » capitalo-compatible envers les tenants de la « décroissance » ou l’acharnement judiciaro-policier dont ont été victimes les SEL (Systèmes d’échanges locaux), les « casseurs de pub » ou les épiciers communautaires de Tarnac.

Que ces expériences socialo-collectivistes se débarrassent de leurs scories libertariennes, xénophiles et ethno-masochistes et s’enrichissent des préoccupations patriotiques, méritocratiques et différentialistes et la plus grand terreur de l’oligarchie prendra alors forme, réveillant les fantômes de la Commune et le souvenir de Louis Rossel.

Pour atteindre cet objectif, qui est tout sauf utopique, il n’y a pas d’autre voie que la communauté, seul « lieu » où le retrait et le court-circuit (consistant à se passer au maximum des infrastructures et des mécanismes imposés par le système) sont viables et porteurs de sens politique. Car il ne s’agit pas d’encourager à la multiplication des retraites au désert et des vocations d’anachorètes mais d’inciter à la mise en place de structures collectives où un autre mode de vie, basé sur la décence commune, le sens de la mesure, l’altruisme, la simplicité volontaire, est possible sans être synonyme d’exclusion et de précarisation progressive.

Prêts sans intérêts entre camarades, habitat collectif, recyclage et récupération, services gratuits, troc, rejet de la lobotomie télévisuelle et de l’emprisonnement facebookien, réappropriation agraire, coopératives, loisirs collectifs, chantiers communs… les moyens, à la fois humbles et gigantesques, sont nombreux pour poser dès aujourd’hui les premières pierres de ces communautés qui seront autant de monastères et de phalanstères conservant et entretenant la flamme de la civilisation au cœur de la longue nuit de la barbarie libérale.

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samedi 9 juin 2012

C.V. Du gouvernement Hollande

Gouvernement Ayrault au 16 mai 2012
(Source : Bulletin d’Emmanuel Ratier)


Manuel Valls – Ministre de l’Intérieur :
Né à Barcelone en 1962.
N’a acquis la nationalité française que par naturalisation en 1982.
Ami avec Alain Bauer – qui est le parrain de l’un de ses fils – Grand Maître du Grand Orient de France de 2000 à 2003.
Le 4 Février 2008, il vote pour la réforme de la Constitution permettant la ratification du Traité de Lisbonne.
Se définit comme « blairiste » et « clintonien ».
Favorable à l’instauration de la TVA Sociale ; favorable à l’allongement de la durée de cotisation pour le droit à une retraite à taux plein ; favorable à l’alignement des régimes spéciaux de retraites avec le régime général.
En 2010, il se déclare favorable au contrôle par la Commission Européenne des budgets nationaux.
Participe aux réunions du Groupe Bilderberg. Franc-Maçon, membre du Grand Orient de France.
Il se prétend « lié de manière éternelle à Israël », et s’est opposé à la demande palestinienne d’adhésion à l’ONU. Intervenant au CRIF, notamment lors du « congrès des amis d’Israël en France » de 2012.
Membre du club Le Siècle.

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vendredi 8 juin 2012

Plus de garde à vue pour les sans papiers

Il n'est plus possible de placer en garde à vue un étranger pour la seule raison qu'il est sans papiers : mardi 5 juin, la Cour de cassation a mis un terme au flou qui entourait jusqu'ici la loi. La France incarcère en effet les sans-papiers depuis 1938, et la loi prévoit un an de prison et 3 750 euros d'amende pour séjour irrégulier.

Mais la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE), saisie du cas d'un Algérien entré illégalement en Italie, avait estimé le 28 avril 2011, au regard de la "directive retour" européenne, qu'il n'était pas possible de l'écrouer au seul motif qu'il était en séjour irrégulier, même en violation d'un ordre de quitter le territoire. C'est l'arrêt El-Dridi, qui a provoqué une série de remises en liberté de sans-papiers.

L'affaire s'est compliquée avec un nouvel arrêt de la Cour de justice, le 6 décembre 2011, appliqué à la France mais si byzantin que la Cimade, une association de soutien aux étrangers, s'était félicitée que le gouvernement ait été "encore une fois désavoué par la justice européenne", alors que les ministres de l'intérieur et de la justice de l'époque avait "pris connaissance avec satisfaction de l'arrêt".

La Cour de cassation a tranché : une garde à vue, depuis la loi du 14 avril 2011, ne peut être décidée "que s'il existe des raisons plausibles de soupçonner" que le suspect a commis une infraction "punie d'emprisonnement". Or, la directive européenne du 16 décembre 2008, "telle qu'interprétée par la Cour de justice de l'Union européenne", impose qu'un étranger mis en cause pour une infraction au séjour "n'encourt pas l'emprisonnement" : "Il ne peut donc être placé en garde à vue à l'occasion d'une procédure diligentée de ce seul chef."

La chambre civile de la Cour, qui avait sollicité l'avis de la chambre criminelle, n'est pas tenue de le suivre, mais elle devrait désormais logiquement appliquer ce raisonnement aux pourvois en cassation qui lui ont été soumis.

Près de 500 personnes sont condamnées en France tous les ans pour séjour irrégulier, dont 200 à de la prison ferme.

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Lire le commentaire de Jeune Nation

Vendredi, le jour de Rivarol

jeudi 7 juin 2012

Ils n'ont pas failli ...

7 juin 1962

Claude Piegts, commerçant à Alger et Albert Dovecar, sergent au 1er REP rejoignent l’OAS et le combat pour l’Algérie Française. Ils intègrent le Commando Delta1 sous les ordres du lieutenant Roger Degueldre, qui mènera la vie dure aux Barbouzes gaullistes. Arrêtés pour l’exécution du commissaire Gavoury, ils comparaissaient entre le 26 et le 30 mars 1962 devant le tribunal militaire spécial de Paris et sont condamnés à mort. Ils sont fusillés le 7 juin, refusant tous les deux qu’on leur bande les yeux.

Bientôt, le Solstice d'été


A proprement parler, il semble que les Celtes n’ « adoraient » pas le Soleil comme certaines autres cultures ont pu le faire, en revanche, il est incontestable que l’élément solaire jouait un rôle très important dans leurs croyances. Pour eux, le soleil était avant tout source de lumière, de chaleur et de vie ce qui justifiait qu’il ait été représenté par un grand nombre de divinités qui en illustraient chacune une ou plusieurs facettes.
Au solstice d’été, le 21 juin, le soleil atteint le point le plus septentrional le long de l’horizon et est sur le point de faire un long voyage vers le sud jusqu’au solstice d’hiver à la mi-décembre. C’est le jour le plus long de l’année et l’événement est fêté comme une extension de Beltaine dans les mois d’été, en en reprenant certains éléments et notamment le feu. Beltaine étant la grande fête sacerdotale annuelle du 1er mai, honorant le dieu Bel, et qui débute la seconde saison celte, l’été, ou saison claire.
Le feu est à la fois un purificateur (en sanskrit, pur et feu sont un même mot) et un régénérateur (c.f. le chaudron de la résurrection sous lequel était allumé un grand feu pour que les morts renaissent), ainsi que le prolongement igné de la Lumière.
Il revêt 3 formes générales :
- le Feu de la terre qui est le nôtre
- le Feu de l’atmosphère qui est la foudre
- le Feu du Ciel qui est le soleil

A ce moment là de l’année une importance primordiale est donc accordée au pouvoir magique du Feu. On allumait des feux de joie pour célébrer le soleil au sommet de sa puissance et l’implorer de ne pas se retirer dans l’obscurité hivernale car les feux d’été, feux de jubilation et de purification sont également feux propitiatoires destinés à apaiser l’angoisse humaine devant le déclin solaire. Les feux donnaient aussi rituellement de la force au soleil pour faire mûrir les fruits et les grains, et protégeaient les hommes et le bétail des maladies . De nos jours, en cette ère vulgaire, la fête a lieu le 24 juin pour le St Jean Baptiste, fameux prêcheur du désert et grand mangeur de sauterelles et de miel sauvage, sous le nom des « feux de la St Jean ». Avec Jean l’évangéliste, fêté le 27 décembre, ils contrôlent tous les deux les « portes » solsticiales, notion construite sur l’alternance des saisons et des cycles végétaux. Comme elle ne parvenait pas à abolir ces rites coriaces, l’église a donc du les christianiser même si certaines traditions qui y sont attachées ont pu se perpétuer dans le temps. Les cérémonies druidiques du solstice , quant à elles, interviennent au lever du jour et à midi. Le rite de l’aube célèbre l’arrivée du jour le plus long (l’observance de ce rite à Stonehenge est connues de tous).Très schématiquement, on y souhaite la bienvenue au soleil en tant que symbole du bannissement des ténèbres.

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Notre fête du Solstice aura lieu dans les Deux-Sèvres le 23 juin et nous honorerons le Soleil jusqu'au lendemain. De plus amples renseignements seront donnés à chaque inscrit. (s'inscrire auprès du blog : contact)

Table Ronde Pictave


La prochaine Table Ronde Pictave se tiendra le vendredi 29 juin 2012, 18 h.30 à Poitiers (86). Nous y ferons l’analyse et le commentaire de l’article de Pierre Vial « La ville : une vieille et longue histoire», extrait de la revue Terre et Peuple Mag n°51 afin de réfléchir sur le thème général de "la Ville".
Pour organiser et enrichir notre débat, nous proposons quelques pistes de réflexion :
● La ville est-elle par essence, "mauvaise" et "pervertie" ?
● Faut-il fuir la ville ou mener le combat en son sein : reconquête ou abandon ?
Petite bibliographie non exhaustive pour aller plus loin :
Romans :
- Knut Hamsun : L'éveil de la glèbe
- Thomas Hardy : Jude l'obscur
- Ernst Von Salomon : la Ville
Essais/Histoire :
- Fernand Braudel : L'identité de la France
- sous la dir. de Georges Duby : Histoire de la France urbaine
- Ernst Jünger : Le recours aux forêts
- Gaston Roupnel : Histoire de la campagne française

mercredi 6 juin 2012

Le taux d'accroissement migratoire en France

Le taux d’accroissement migratoire (TAM) rapporte l’accroissement migratoire à la population. Les 96 départements de la France métropolitaine se classent en 6 groupes.

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Les Gaulois de retour à Saint-Germain-en-Laye


Nos ancêtres les Gaulois reviennent au Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). Naguère Musée des antiquités nationales, cet établissement, créé par Napoléon III le 8 mars 1862 pour accueillir les collections d’archéologie gauloise provenant des grandes fouilles de l’époque, dont celles d’Alise-Sainte-Reine (l’ancienne Alésia), célèbre son 150ème anniversaire.

A cette occasion, il propose mille trois cent cinquante objets, dont plus des deux tiers jamais exposés, qui représentent les principaux aspects de la vie quotidienne au temps des Gaulois, jusqu’à la bataille d’Alésia.

Au fil des salles entièrement rénovées et illustrant chacune un thème, avec des mises en scène qui replacent en situation les objets présentés, on peut ainsi découvrir : « La Gaule des origines » (Ve et IVe siècles avant notre ère), ses hommes et ses femmes, sa table, le savoir de ses artisans, l’équipement de ses guerriers, ses cavaliers et conducteurs de chars, ses tombes à char… ; les « Cultes et rituels gaulois » avec leurs sanctuaires et leurs offrandes, leurs ancêtres et leurs héros …; les « Aristocrates guerriers, sages et savants » avec, en particulier, une superbe restitution du char cérémoniel de Roissy et une vitrine consacrée à l’art et l’imaginaire celtiques.

Bien entendu, n'est pas oublié, parce qu'il joua un grand rôle dans sa réhabilitation historique, « Napoléon III et l’archéologie gauloise », de la découverte d’Alésia au musée impérial de Saint-Germain, les travaux de César devant Alésia, le cavalier romain et le cavalier gaulois…; « La Gaule de Vercingétorix », évocation de la civilisation gauloise à la veille de la conquête romaine, avec ses forgerons et ses bronziers, ses maîtres verriers, sa capitale Bibracte, puis la guerre des Gaules, le siège d’Alésia et la défaite de Vercingétorix face à Jules César…

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vendredi 1 juin 2012

Le contrôle d'identité, premier accroc entre Valls et les policiers

Les syndicats de policiers ne ronronnent plus. Après une première rencontre sous le signe de la confiance avec Manuel Valls, ces derniers sont très remontés contre le ministre de l'Intérieur. En cause, l'annonce, vendredi 1er juin, que la remise de reçu aux personnes faisant l'objet de contrôles était "en préparation".

Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a rappelé vendredi matin sur BFMTV que cette mesure était était un "engagement" de campagne du président socialiste François Hollande. Objectif : lutter contre les contrôles "au faciès", et rendre plus "sereines" les relations entre la population et les forces de police.

Un message "de défiance"

Les syndicats ne l'entendent pas de cette oreille. Selon eux, il s'agit d'un message "de défiance" envoyé aux policiers, "inadmissible", "stigmatisant" et décidé sans concertation. "On stigmatise la police comme étant une police raciste. C'est inacceptable", explique Jean-Claude Delage, le secrétaire général d'Alliance, 2e syndicat des gardiens de la paix.

"Cela part d'une présomption de discrimination des policiers, qui seraient coupables de pratiquer des contrôles au faciès. Or aujourd'hui, il y a la même diversité dans la police que dans la population qu'elle contrôle", renchérit Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie-Officiers, 2e syndicat d'officiers.

Effet pervers sur le terrain

Pour Patrice Ribeiro, cette mesure aura également un effet pervers sur le terrain. "Cela va nous enlever des outils comme la palpation où on peut trouver des armes, de la drogue, assure-t-il. Les voyous contrôlés le matin brandiront un récépissé le reste de la journée et on ne pourra plus les contrôler. Cela va générer une dynamique qui n'est pas saine."

Plusieurs organisations nationales et internationales, parmi lesquelles Human Rights Watch, ont dénoncé la propension présumée de la police française à opérer des contrôles "au faciès". Quinze personnes qui disent avoir subi des contrôle de police abusifs ont attaqué l'Etat au civil en avril dernier.

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ndlr. n'importe quoi ! ça commence très fort ...

La mosquée de Poitiers attend son financement

Le chantier de la mosquée de Poitiers est au point mort depuis 2010, faute d’argent. Mais la communauté musulmane ne désespère pas.

Les travaux de la future mosquée de Poitiers sont arrêtés depuis 2010. - (Photo d'archives, Patrick Lavaud)

Poitiers n'est pas Blois. La communauté musulmane n'a pas reçu un don de 787.000 € comme son homologue du Loir-et-Cher dont le chèque signé du roi du Maroc, Mohamed VI, va permettre de terminer les travaux de la mosquée. Un don que l'imam de Poitiers, Boubaker El Hadj Amor, commente avec prudence. « J'ai toujours dit, depuis 2003, que je ne serai pas opposé sur le principe d'un don de l'étranger, rappelle-t-il. A condition de savoir d'où vient cet argent et s'il est conditionné à quelque chose. Si c'est donné dans le désintérêt total et sans contrepartie, pourquoi pas ? »

Il manque 600.000 € pour la terminer

Ce constat posé, le responsable de la communauté musulmane poitevine préfère tabler sur l'autofinancement local, « petit sou par petit sou », et l'aide de l'Union des organisations islamiques de France (l'UOIF, qui a financé plus de 85 % des travaux de la mosquée de Poitiers jusqu'ici). « Il faut laisser les musulmans de France s'organiser eux-mêmes, explique-t-il. Pour cela, on ne peut pas continuer à affilier les mosquées d'ici à des États étrangers. Cela nuit à la sérénité religieuse. »
Selon lui, « l'écrasante majorité des musulmans de France est prête pour un islam adapté à la laïcité française », et c'est donc à elle « de trouver les moyens de financer ses lieux de culte ». Actuellement, une quinzaine de dossiers occupent l'UOIF, certains dans des grandes villes (Mulhouse, Nantes, Reims). « La communauté y est plus nombreuse qu'ici, alors elle capte plus de dons. »
Pour la future nouvelle mosquée de Poitiers, il manque entre 400 et 600.000 € « pour deux chantiers qu'on ne peut pas découper en tranches et qu'on ne peut pas effectuer nous-mêmes pour des raisons évidentes de sécurité : chauffage et ventilation, électricité et réseaux ». Ensuite, les travaux d'aménagement intérieur, « pourront être faits par nos propres moyens ». La mosquée provisoire de la rue de la Vincenderie permet à la communauté de ne pas être dans l'urgence comme c'était le cas en 2003. « Quand il y a vraiment beaucoup de monde le vendredi, on peut installer des tapis sur le parking. » La communauté n'est plus dans le stress de l'exiguïté, « mais toujours dans l'attente de voir les travaux se conclure un jour ».
(Philippe Bonnet)

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ndlr. une fois de plus, les arabes arrêtés à Poitiers. Damned, encore un coup de Charles Martel...

Le film à la gloire de BHL fait un bide



Scandale. Samedi dernier, l’avant-première parisienne du nouveau film de Bernard-Henri Lévy a connu un échec cinglant. Reportage-express sur le lieu du drame.

[...] Au lendemain de la projection de son documentaire -intitulé « Le serment de Tobrouk »- au festival de Cannes, l’écrivain Bernard-Henri Lévy a gagné la capitale pour venir le présenter, 12 jours avant la sortie nationale, au public parisien. Une terrible déconvenue l’attendait : malgré l’annonce médiatisée de l’évènement, seule une vingtaine de personnes ont daigné se déplacer pour occuper les 584 sièges de la prestigieuse salle A du cinéma MK2 Bibliothèque. Un tiers était composé d’amis comme en témoignaient les salutations affecteuses du philosophe à tel ou tel en remontant les marches de la salle. [...] Peut-être dépité par la faible affluence, BHL n’est pas resté à la suite du film pour répondre, comme c’est l’usage, aux éventuelles questions des spectateurs. [...]

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ndlr. ha ha ha ha ha...

Vendredi, le jour de Rivarol